Sa maitresse et moi .... 1/2 - histoire érotique

Je viens de surprendre une conversation téléphonique entre mon mari et une femme, après l’avoir cuisiné il a bafouillé pendant une demi-heure avant de craquer
- Oui j’avoue, j’ai une relation avec une femme depuis six mois, mais c’est toi que j’aime chérie !
- Ben voyons ! quelle âge a-t- elle ?

Du bout des lèvres il m’a annoncé
- Vingt ….. sept …non … dix neuf …Angelina a dix neuf ans …- Dix neuf ? vieux salaud, tu en as le double, que te fait-elle de plus que moi cette ANGELINA ?
- Tu fais aussi bien l’amour qu’elle chérie, peut être même mieux, mais ça ne s’explique pas, je l’ai rencontrée sur le parking du super marché- Ça ne s’explique pas ? tu n’as pas encore l’âge du fameux ‘démon de midi ‘ Je veux la rencontrer j’aurais l’explication je te le promets ! donne moi son adresse et ne t’avise pas de la prévenir sinon je te quitte
Cette fille au chômage habite une petite cité hlm un après midi je prends mon courage a deux mains et je vais a l’adresse qu’il m’a donnée Que je frappe a la porte je respire un grand coup, des pas …..La porte s’ouvre, une magnifique jeune fille apparait comment la décrire ? … toute frêle, ‘sauvageonne aux pieds nus ‘ les cheveux fous, une jupe ample qui lui arrive a mis cuisses un corsage légèrement transparent prouve que ses petits seins pointus sont libres de toute entraves, comment un homme peut il résister a une créature aussi belle !

- Bonjour, vous êtes Angelina ?
- Oui, que puis-je pour vous ?
- Je suis la femme d’Alex- ….. ha …..
- Rassurez vous je ne suis pas venue pour faire un scandale mais pour comprendre - Que voulez vous savoir Sophie ?
- Vous connaissez mon prénom ???
- Luc me parle toujours de vous … en bien rassurez vous- Comment vous êtes vous connus ?
- Asseyez vous …Tout bêtement sur le parking du centre commercial, il pleuvait, j’étais au coffre de ma voiture embarrassée avec un gros carton d’appareil ménager, Alex … pardon, votre mari s’est proposé de m’aider, j’ai accepté quand un coup de vent a soulevé ma robe…. Je ne porte jamais de sous-vêtement …. J’étais gênée mais ça l’a fait marrer et comme il pleuvait a torrent il a insisté pour venir chez moi déposer l’appareil … tandis qu’il l’installait je suis allée me changer car j’étais trempée jusqu’aux os….je suis revenue avec une serviette trop courte autour de moi … elle a glissé, il me plaisait … ça c’est fait comme ça voilà ….

Au fur et à mesure que cette fille parle une émotion bizarre s’empare de moi, elle communique un sentiment envoutant, j’en arrive à comprendre mon mari …La gorge nouée je lui demande une chose absurde …
- Vous ne portez jamais de sous-vêtements ?
- Non, tout simplement parce que ça coute cher et que j’aime sentir le vent passer entre mes jambes - Jeeeeee… je peux voir ?
- Comment ?
- Oui je veux voir ce qui pousse Alex à venir vous baiser - Si vous y tenez Sophie…..

Docile la jeune fille se lève et face a moi elle relève sa jupe lentement, jusqu'à sa taille, deux cuisses fuselées et bronzées apparaissent, a hauteur de mes yeux, en haut du triangle que forme les jambes une toison blonde bien taillée cache a peine des lèvres bombées délicatement fendues, j’avale difficilement ma salive, je n’aurais pas cru qu’une vulve de femme me fasse autant d’effet
- Je peux rabaisser ?
- Oui … NON ! attendez …je peux toucher ?
- Jamais une femme ne m’a demandé ça, mais je ne peux pas vous le refuser …- Approche ….

Du dos de la main j’effleure ces poils que mon mari a caressés, sans que je ne lui demande Angelina ouvre ses jambes, ma main se retourne et maintenant c’est mes doigts qui passent sur la fente
- Ta chatte est soyeuse …je suis sûre qu’Alex te l’a dit !
- Effectivement …- Pourquoi t’es tu amourachée de lui ?
- Il fait bien l’amour- Ne parle pas d’amour s’il te plait, ça me fais mal …- Pardon, il baise bien !
- Je sais …..

Qu’est ce qui me prend de glisser deux doigts entre les lèvres ? Sans doute parce que je mouille autant cette fille transpire de la chatte, elle geint et ferme les yeux acceptant cette caresse, mes doigts en crochet grattent son point G tandis que mon pouce retrousse son clitoris, son bassin se cambre vers moi, j’accélère le mouvement, un bruit indécent, des gouttes ne tardent pas a s’accrocher dans sa toison et a couler sur mon poignet Ses bras se tendent, ses mains se posent sur mes épaules Angelina est merveilleusement belle dans la jouissance même si elle essaie de cacher pudiquement son orgasme, une fois ‘ l’orage ‘ passé je retire à regret ma main
- Excuse moi je ne sais pas ce qui m’a pris - Moi non plus ! vous avez déjà fait ça avec une femme ?
- Non et toi ?
- Non plus
Toujours aussi troublée je me lève et l’enlace, nos lèvres se joignent, nos langues font connaissance, nos mains cherchent les seins de l’autre, comme dans un pas de danse, sans nous désunir, nous reculons vers le lit qui trône dans la pièce, je me retrouve sous elle, alors elle me lâche et en me fixant passe sa main sous ma robe et tire mon string sur le coté, je remonte les genoux et m’offre a ses doigts délicats qui me rendent la pareille
- Tu mouille autant que moi dit donc !
- Je comprends mieux l’écart d’Alex tu es irrésistiblement sensuelle, dit moi ? tu fais profiter des hommes de ton absence de sous-vêtements ?

Elle devient loquace et me parle comme si nous avions été toujours copines
- J’adore ça ! Mais attention je n’ai qu’un amant ton mari ! Mon terrain de chasse c’est les escalators du centre commercial, si tu veux je vais te montrer…- Pourquoi pas - Mais tu fais comme moi, ôte ton chiffon d’entre tes cuisses et coince ta robe a ta taille, n’ai pas peur de montrer tes cuisses - Chiche !

Un quart d’heure plus tard nous sommes en haut d’un escalator, j’ai chaussée mes lunettes de soleil au cas où quelqu’un de connu passerait par là, nous guettons l’arrivée d’un ou plusieurs hommes seuls et nous nous baissons sans plier les genoux, le résultat est impressionnant, y’ a des mecs qui tournent depuis une demie heure mais un plus hardi vient nous accoster
- Alors les chéries vous avez l’air d’avoir chaud je vous offre un verre ?
- Casse-toi ou nous crions !
- Espèces de gouines !

Nous somment rentrées car ça commençait à chauffer ! La mouille nous coulait le long des cuisses, de nouveau allongées mais cette fois entièrement nues et tête bêche nous nous somment fouillées et bouffées la moule, j’ai examinée la sienne sous tous les angles afin de voir de visu ce que mon mari a léché, doigté, baisé , jamais nous aurions cru que les caresses entre femmes puissent amener a des jouissances aussi violentes , je ne pense pas qu’il ai touché a sa petite rondelle car elle est très serrée, elle me l’a d’ailleurs confirmé, repues et satisfaites nous avons longuement discuté
- Dommage que tu n’ai pas de gode ceinture …- Tu me ferais ça ??? c’est vrai que ça manque une bonne queue !.... pardon Sophie, je vais arrêter de voir ton mari ….
- Surtout pas ! mais nous pourrions peut être le piéger gentiment et faire ça a trois ??????