Samia au marché - histoire érotique

Samia au marché :

Elle s'appelle Samia, mariée, une Algéroise au corps de rève. Voici une histoire qui s'est déroulée il y a quelques temps, dans un marché populeux à Alger.
C'était un beau matin d'été, durant une période de vacances. Samia avait décidée d'aller faire un petit tour au marché d’El Harrach. Il y avait de tout, un marché me direz vous quoi de plus normal. Elle aime l’endroit; le bruit, les couleurs, les odeurs, la foule. Elle aime sentir les hommes la frôler plus ou moins exprès. Parfois même, elle sent une main passer sur ses fesses, ses cuisses. Mais elle ne dit rien, jamais, heureuse de donner un peu de bonheur. Cependant, en se promenant en ce lieu, elle fut assaillie d'une forte odeur de parfum venant du stand d'en face. D'humeur curieuse elle se surprit, elle qui pourtant n'est pas une grande fan de parfum, à jeter un œil dans cette boutique de lingerie! Mais en entrant, son regard fut attiré par un des sous vétements luxe, ou plutôt un ensemble qu’elle n'avait encore jamais vu. Elle observait tous ces sous-vet sexy. Prise elle voulait l'essayer pour l’acheter.
Le vendeur, un jeune de 32 ans, un regard de rapace lui propose un ensemble soutien string, et l'invite à l'essayer dans l'arrière boutique. Un fois à l’interieur, elle se déshabille et effile ces sous vêtements. Le vendeur rentre dans la cabine d'essayage et la contemple légèrement vêtue. La surprise passée, Samia se sent toute chose. Il la regarde bien, lui caresse un sein, puis l'autre. Sans hésiter, le vendeur glisse sa main entre les cuisses de Samia, qui les écarte et lui laisse le passage vers sa chatte mouillée. Elle aime sentir une main glissée sur sa peau, sur ses seins, réveillant deux pointes roses qui sous l’action du massage gonflent et se dressent. Descendre doucement, masser son ventre et s’attarder sur sa vulve. Faire dresser son clito, mais pas trop, juste pour garder au ventre une indéfinissable envie de plaisirs amoureux. Le vendeur lui dit d'un ton autoritaire: enti kahba, tu viens demain, je te baise et prends ces sous vêtements, tu es une belle pute, l’Algéroise « li theb zob ». Samia est troublée, remet sa robe et rentre chez elle. Elle sait que demain, elle ira le rejoindre pour être baisée.




Le lendemain, Samia se réveille de bonne humeur et en pleine forme. La journée s’annonce chaude, et ensoleillée. Alors, elle doit de se rendre au marché.
Elle saute sous la douche. L’eau fraîche sur son corps réveille ses sens. La mousse du gel douche lui procure de douces sensations. Elle s’essuie rapidement, se coiffe, admire son image dans le grand miroir et se maquille légèrement, juste pour souligner son regard et donner de l’éclat à ses lèvres.
Dans l’armoire, les vêtements sont encore très présents.
Elle fait la moue, ouvre des portes, des tiroirs, fouille et finie par retomber sur une robe d’été, qu’elle n’avait encore jamais portée. Bien que pas transparente, elle décide de la porter sans rien d’autre, se disant que le rouge et les petites fleurs imprimées cacheront bien suffisamment son corps.
Quand elle est rentrée dans la boutique d’hier,
Le jeune vendeur l’invite à rejoidre une cabine d’essayage modeste.. C’est alors que Samia réalise qu’il va lui falloir se mettre nue. Bien que seule, elle rougie un peu de cette situation, mais au fond d’elle-même, elle adore.
Elle déboutonne sa robe et la laisse glissée à terre.
Etre nue, dans cette cabine, l’excite beaucoup. Elle imagine le rideau s’ouvrir et son corps exposé à la vue de tous. Ça lui donne des frissons.
Elle se regarde dans un miroir, installé sur deux chaises. Elle caresse son corps, suivant les courbes douces de son anatomie. Le rideau bouge un peu et elle entend le vendeur lui demander si tout va bien. Elle entrouvre le rideau, et lui demande :
« Je vous attends ? »
Le jeune homme n’en croit pas ses yeux. Subjugué par la beauté de Samia, il précipite. Le pauvre homme est tellement en panique, qu’il entre et referme aussitôt le rideau, s’excusant au près de Samia, de sa peur du regard des gens. Elle lui souri gentiment lui murmurant qu’elle comprenait très bien. Elle fait un pas vers lui, passe ses bras autour de son cou et se frotte doucement en bougeant le bassin. Instantanément elle sent une grosse bosse se former entre les jambes du vendeur, qui s’agrippe déjà aux hanches de la belle pour mieux l’attirer à lui.
En descendant la main vers le renflement dans le pantalon, Samia déboutonne sa braguette et sort un engin d’une taille impressionnante. Elle le masturbe un peu et se caresse la chatte avec le gland énorme. Puis elle s’accroupie, et commence à sucer le bel étalon, faisant glisser sa langue le long du membre, jusqu'à deux magnifiques bourses et remonte pour tenter d’engloutir le pénis tout entier.
Elle le suce avec délectation deux minutes, puis il l’invite à se retourner et à s’appuyer sur un gros carton.
Elle sent le gland se poser sur sa chatte trempée. Il monte et descend le long des grandes lèvres humides, qui s’ouvrent comme une fleur au soleil.
Doucement le membre s’enfonce en elle puis ressort trempé de mouille et disparaît de nouveau, encore et encore.
Elle se pince les lèvres pour ne pas gémir. Une dernière grosse secousse vient ébranler le véhicule et un jet de foutre chaud se répand en elle.
Quand l’homme se retire de son puits d’amour, elle s’agenouille afin de bien nettoyer de sa bouche l’objet de son plaisir. Puis le jeune homme s’excuse, timidement, et sort discrètement en prenant bien garde de ne pas trop ouvrir le rideau. Elle l’entend, dehors, se disputer avec une cliente.
Madame Samia remet sa petite robe et sort, le string à la main. Les joues rouges, elle dit à son amant de passage, qu’elle prend celle-ci.
Il l’attrape par le bras et l’attire à l’écart. Il glisse le string dans le sac de Samia. « Ça, c’est cadeau.