Samia la salope du souk
Récit érotique écrit par Rose15 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2013 dans la catégorie Plus on est
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Samia la salope du souk
Aller au marché, c’est toujours un plaisir ! Les femmes que l’on peut y croiser peuvent être sublimes. Des corsages pleins de poitrines aguichantes, des jambes gracieuses, des culs qui se pressent à l’étal des carottes, bananes et concombres…
Toutes ces dames se pressent pour acheter, pour se laisser tenter. Et moi je me presse pour essayer de tenter…
Aujourd’hui, c’est le cas et je repère tout de suite une femme mature que je connais bien. Elle habite notre cité. Elle s’appelle Samia, une dame ronde et appétissante. Je la suis toute la matinée allant d’une boutique à une autre. Dans la foule, je profite l’occasion pour mettre une main contre le cul. Le contact est chaud et ne se dérobe pas. Deux jolis seins qui sont là, cachés…. Comment y mettre le nez ? comment y mettre la main ? Comment visiter ce joli corps qui ne demande qu’à vibrer ? J’en suis là de mes questions et pensées quand je sens une main passer sur la bosse de mon pantalon. Ya Zabi !… Et mon regard rencontre un sourire ravageur. Madame ne s’embarrasse pas de fioritures. Droit au but ! Elle me fait un clin d’œil pour la suivre. Ma main a saisi la taille et s’égare bien vite un peu plus bas en caressant le haut d’une fesse réceptive. Oh la la… Même si je tiens maintenant les fesses à pleines mains. J’espère qu’elle va pas me planter au beau milieu de la ville..
Je jette des regards circulaires pour dégotter l’endroit ou je pourrais conclure avec la dame et ne voit guère qu’un espace derrière les stands. Je prends la main de ma maitresse, et la tenant par la taille, l’emmène entre ces deux engins. Elle passe la première, et elle s’accroupit ni une ni deux ! Ma queue est extraite du pantalon et engloutit par une bouche divine. Je dois rêver, je vais hélas me réveiller. C’est trop bon, trop doux. Elle aspire, lèche, branle d’une main alors que ses joues se creusent sous la succion. Je malaxe ses jolis nichons, pince et torture les tétons. Quelques minutes de ce traitement me font doucement m’approcher de ce point de non-retour que je retarde au maximum… Un souffle derrière moi, je tourne la tête pour découvrir un jeune qui me dit :
- Laisses une place pour ma bite, tu pourras la prendre par derrière pendant que je boucherai .!!
Si Madame est d’accord, moi je veux bien … !
Je pose ma main sur la nuque de la dame et enfonce ma queue en même temps que j’accélère le rythme, pour finir par lui envoyer une magnifique giclée de sperme que la goulue avale avec des ronronnements.
Je lui souris et lui montre la queue qui l’attend, mon invité a déjà sorti son zob pour en offrir à la ménagère. Je me glisse derrière elle, elle attrape la bite du marchand de rapes à fromage et c’est reparti !
La gourmande pompe avec délice ce nouveau sucre d’orge. Moi, je caresse ses fesses, remonte la jupe par-dessus le dos. Sa raie sépare ses deux somptueuses fesses. Quelle croupe ! Quel cul royal ! Je veux y mettre la langue. Je la relève, elle est penchée en avant pour poursuivre sa fellation. Accroupi, je peux saisir ces deux globes et les séparer. Ma langue se noie dans toute cette humidité brulante, je la lèche, titille cette rondelle brune, descend manger ce minou trempé. Elle est trop bonne cette femme. Je me repais de ce suc, elle semble beaucoup aimer mon petit jeu de langue et ce n’est pas bien difficile de l’amener une nouvelle fois au plaisir. Passons aux choses sérieuses. Mon jean tombe à mes genoux, ma queue est là, devant sa chatte et je m’enfonce dans un fourreau incandescent. Je la lime avec ardeur, je me fous des têtes qui passent et jettent quelquefois un regard vite détourné ! Et j’explose de bonheur dans une crispation monstrueuse !
Après avoir repris mes esprits, je remballe le matériel et admire la fellation que madame donne à ce puceau. A nouveau concentrée, elle parvient à amener le jeune à envoyerr sa sauce.
La jupe rabattue, je lui demande sa culotte en souvenir. Un grand sourire et je peux emmener ce trophée plein d’Elle.
Le jeunot me prend à part pour me …remercier et me dire que « cette salope vient me faire bander toutes les semaines. Cette fois, je me suis rattrapé ! »
Elle s’éloigne, tout la-bas, son cul ondule, nu sous sa jellaba.
Toutes ces dames se pressent pour acheter, pour se laisser tenter. Et moi je me presse pour essayer de tenter…
Aujourd’hui, c’est le cas et je repère tout de suite une femme mature que je connais bien. Elle habite notre cité. Elle s’appelle Samia, une dame ronde et appétissante. Je la suis toute la matinée allant d’une boutique à une autre. Dans la foule, je profite l’occasion pour mettre une main contre le cul. Le contact est chaud et ne se dérobe pas. Deux jolis seins qui sont là, cachés…. Comment y mettre le nez ? comment y mettre la main ? Comment visiter ce joli corps qui ne demande qu’à vibrer ? J’en suis là de mes questions et pensées quand je sens une main passer sur la bosse de mon pantalon. Ya Zabi !… Et mon regard rencontre un sourire ravageur. Madame ne s’embarrasse pas de fioritures. Droit au but ! Elle me fait un clin d’œil pour la suivre. Ma main a saisi la taille et s’égare bien vite un peu plus bas en caressant le haut d’une fesse réceptive. Oh la la… Même si je tiens maintenant les fesses à pleines mains. J’espère qu’elle va pas me planter au beau milieu de la ville..
Je jette des regards circulaires pour dégotter l’endroit ou je pourrais conclure avec la dame et ne voit guère qu’un espace derrière les stands. Je prends la main de ma maitresse, et la tenant par la taille, l’emmène entre ces deux engins. Elle passe la première, et elle s’accroupit ni une ni deux ! Ma queue est extraite du pantalon et engloutit par une bouche divine. Je dois rêver, je vais hélas me réveiller. C’est trop bon, trop doux. Elle aspire, lèche, branle d’une main alors que ses joues se creusent sous la succion. Je malaxe ses jolis nichons, pince et torture les tétons. Quelques minutes de ce traitement me font doucement m’approcher de ce point de non-retour que je retarde au maximum… Un souffle derrière moi, je tourne la tête pour découvrir un jeune qui me dit :
- Laisses une place pour ma bite, tu pourras la prendre par derrière pendant que je boucherai .!!
Si Madame est d’accord, moi je veux bien … !
Je pose ma main sur la nuque de la dame et enfonce ma queue en même temps que j’accélère le rythme, pour finir par lui envoyer une magnifique giclée de sperme que la goulue avale avec des ronronnements.
Je lui souris et lui montre la queue qui l’attend, mon invité a déjà sorti son zob pour en offrir à la ménagère. Je me glisse derrière elle, elle attrape la bite du marchand de rapes à fromage et c’est reparti !
La gourmande pompe avec délice ce nouveau sucre d’orge. Moi, je caresse ses fesses, remonte la jupe par-dessus le dos. Sa raie sépare ses deux somptueuses fesses. Quelle croupe ! Quel cul royal ! Je veux y mettre la langue. Je la relève, elle est penchée en avant pour poursuivre sa fellation. Accroupi, je peux saisir ces deux globes et les séparer. Ma langue se noie dans toute cette humidité brulante, je la lèche, titille cette rondelle brune, descend manger ce minou trempé. Elle est trop bonne cette femme. Je me repais de ce suc, elle semble beaucoup aimer mon petit jeu de langue et ce n’est pas bien difficile de l’amener une nouvelle fois au plaisir. Passons aux choses sérieuses. Mon jean tombe à mes genoux, ma queue est là, devant sa chatte et je m’enfonce dans un fourreau incandescent. Je la lime avec ardeur, je me fous des têtes qui passent et jettent quelquefois un regard vite détourné ! Et j’explose de bonheur dans une crispation monstrueuse !
Après avoir repris mes esprits, je remballe le matériel et admire la fellation que madame donne à ce puceau. A nouveau concentrée, elle parvient à amener le jeune à envoyerr sa sauce.
La jupe rabattue, je lui demande sa culotte en souvenir. Un grand sourire et je peux emmener ce trophée plein d’Elle.
Le jeunot me prend à part pour me …remercier et me dire que « cette salope vient me faire bander toutes les semaines. Cette fois, je me suis rattrapé ! »
Elle s’éloigne, tout la-bas, son cul ondule, nu sous sa jellaba.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Hmm elle a vraiment de la chance..
une bonne salope j adore
ma femme s'appelle aziza divine pour baiser
waw on dirait que c ma femme samia