Secrétaire 2/3 - histoire érotique

Encore une fois, je me lève pour aller au boulot. Je sais que je vais me prendre une heure de bouchons pour faire 30 km. Que c’est chiant ce boulot, que c’est ennuyeux d’aller bosser, je ne sais pas pourquoi je reste.
Si en fait, je sais pourquoi je reste, c’est uniquement car l’ambiance, les gens sont cools, marrants, on s’éclate tous très bien.
Je fais partie d’une petite équipe de 7 personnes, cinq mecs et deux filles qui sont bien intégrées, et qui assument cet environnement plein de testostérone, elles ont du répondant !
J’aime bien parler avec Emelyne, elle vient de Suisse, un léger accent se fait ressentir lorsqu’elle parle. Elle est super sympa, ancienne prof là bas, toujours la pêche, le sourire, partante pour tout, prête à rendre service. Et puis il faut l’avouer, Emelyne est plutôt mignonne, super bien fringuée tout le temps, elle a des formes, mais juste bien foutue.
Chemisiers, pantalons classes, jean un peu moulant, chaussures, bottes ou bottines à la mode, bref, toujours un réel bonheur que d’être avec elle, partager des moments de détente, de travail etc.

Aujourd’hui justement, tout le monde mange alors que je cours à droite à gauche. 14h00, je vais dans la partie cuisine pour me réchauffer mon petit plat, elle me rejoint car elle n’a pas mangé non plus.
«Je peux me joindre à toi ?» me lance-t-elle
«Evidemment, tiens prends un siège».
Elle est en jean bleu foncé serré qui met en valeur son joli petit cul, un petit chemisier noir avec un joli décolleté et un gilet gris qui épouse sa poitrine généreuse. Elle porte aux pieds des petites bottines grises pointues simples et jolies.

Dès qu’elle me tourne le dos au bar de notre petit coin cuisine, je la détaille des pieds à la tête. Je n’ai qu’une crainte, c’est qu’elle se retourne lorsque je la regarde.
Je crois même que lorsqu’elle me parle, je passe de ses yeux à ses seins, je n’arrête pas, mais enfin, elle sait qu’elle à une poitrine généreuse et la met en valeur, donc je ne pense pas qu’elle s’offusque de cela.

«J’ai plein de tri de dossier à faire et à mettre à jour cet après midi, ça va être super long»
«Tu veux que je t’aide Emelyne ? J’ai du boulot, mais bon ça peut attendre, et si ça te permet d’avancer plus vite sur ces trucs chiants».... Et oui, pourquoi pas passer l’après midi tranquillement avec elle tous les deux dans un bureau... Il y a plus nul comme après midi.
On termine de manger, je m’occupe de la vaisselle, elle range les assiettes et verres dans le meuble bas, elle se baisse juste devant moi, je remarque un magnifique petit string en dentelle noire, partant dans sa raie. Magnifique !! j’espère qu’elle va avoir de nombreux dossiers à aller chercher tout en bas de l’armoire. Je remarque un bout de tissus qui se trouve sous son string et qui fait le tour de sa taille. Encore deux ou trois rangement de couverts tout en bas, et oui, il n’y a pas de doute, elle a un porte jarretelles sous son string, elle tourne la tête, je suis découvert.... Elle ne dit rien.
L’après-midi se déroule dans une atmosphère de tension palpable, très agréable, mais sans que rien ne se passe.

Quelques jours après, je suis au travail un peu plus tôt que d’habitude, je n’ai qu’une hâte c’est de la voir, voir comment elle est habillée, ce qu’elle a mit, ce qu’elle laisse suggérer. Je la vois se garer au loin, et sortir de la voiture. blouson en cuir noir, petit haut classe avec un joli décolleté, un pantalon serré noir et une paire de bottines à talon. Bref, je vais «baver» toute la journée ....
Elle me fait une petite bise appuyée sur la joue... je sens que notre petit «instant» ensemble il y a quelques jours lui a aussi fait plaisir. Elle doit encore faire du tri dans les projets anciens et plus récents.
«Il faut qu’on se trouve un peu de temps tous les deux solos pour finir ce tri» me lance-t-elle.
«Je suis dispo toute la journée, les autres doivent partir voir des clients, on aura accès à tous les dossiers lorsqu’ils seront partis. On attend une heure ?»
«OK ça me va, on sera plus tranquille comme ça !»
Tout le monde part à droite à gauche, je reste seule avec elle. Je l’observe, elle se retourne et me regarde droit dans les yeux avec un joli sourire.
«Enfin seuls !» me lance-t-elle. On va pouvoir commencer
«Terminer de ranger les dossiers c’est ça ?».....
«Entre autre oui, et plus si affinité comme on dit»...

Hein, que vient-elle de dire ? Elle me fait marcher là ou c’est du sérieux ?? je ne sais pas.
«Alors tu viens ou quoi !! Profitons-en pour avancer rapidement tant que personne n’est présent».
Je vais dans le bureau, je la trouve accroupie, laissant entrevoir bien évidemment un magnifique string mauve, elle reste accroupie, et me jette un coup d’oeil, elle sait que je la regarde, elle ne dit rien et me fait signe de m’approcher.
Elle se relève faisant mine d’aller chercher un dossier en haut de l’armoire.
«Tu peux m’aider, j’ai un problème de taille»
Je m’approche en la collant et je sens qu’elle se frotte à moi, elle est juste contre mon torse et ne bouge pas. Je respire son parfum envoutant, sa nuque, elle penche la tête, je l’embrasse doucement dans le cou, elle bascule son bras en arrière pour prendre ma tête. C’est parti, elle me veut, je la veux, bref, on est sur la même longueur d’onde. Je passe ma main sur son ventre. Un long baisé agréable, doux, langoureux. Elle se retourne, je la prends par la taille et l’embrasse….. du bruit, quelqu’un rentre, on arrête net, c’est un client qui vient nous rendre visite. Dommage je perds une belle opportunité
« Emelyne, on terminera cette réunion plus tard ! »
« Mais j’y compte bien Henri, pas de problème ».

Jour suivant, elle a des réunions importantes, je le vois tout de suite, car habillée, super classe, sexy… Robe banche laissant deviner ses hanches, escarpins vernis rouges à talons aiguilles avec un petit collier rouge également. J’adore, j’imagine que tout le monde se retourne lorsqu’elle passe.
« Ce soir il y a un film à 22h00 un peu chiant, mais on sera tout seul vraisemblablement dans la salle, ça te tente Henri ? »
« Bien évidemment, je me libère et je viens, tu as encore des dossiers à ranger aujourd’hui, car je suis prêt si tu le souhaites… »
« Oui, mais non, je dois réellement donné un petit coup de boost à tout cela, et ce n’est pas avec toi autour que cela va beaucoup avancer ».

Fin de journée, on prend chacun notre voiture à 5 minutes d’intervalle afin que personne ne se doute de quoi que soit. On se retrouve dans une petite rue non loin de la salle de cinéma afin de se trouver un restaurant sympa et attendre 22h00 la séance. Elle prend ma main on marche tranquillement dans la rue et je regarde les passants me dévisager et la regarder des pieds à la tête. Tous les mecs se retournent, je souris niaisement mais je suis content.
Aller une petite salade et il sera l’heure pour le cinéma et ce film dont personne n’a entendu parlé, mais au moins on sera tout seul.
« On prend les sièges du milieu Emelyne ? »
« Non, plutôt dans le coin tout en haut à gauche, on sera plus à l’aise »
On s’installe, les pubs et les extraits commencent. Je sens sa main sur ma cuisse et doucement me caresser le sexe. Elle sent qu’il se durcit et grossit, je la regarde, elle me sourit. La lumière s’éteint, nous sommes dans le noir, le film commence. Elle se met à genoux et me dégrafe le pantalon, descend la fermeture éclaire, mon phallus jaillit grandissant encore, elle le touche, le caresse, puis elle penche la tête pour enfourner mon pieux dans sa bouche chaude et humide. Elle me lèche, elle me suce, nous sommes seuls ou presque dans la salle, une personne est toute seule au centre de la pièce concentré sur le film. C’est bon, elle va me faire jouir rapidement si cela continue.
« Vas-y Henri, à toi de me faire la même chose ».
Elle s’assied sur le fauteuil, remonte sa robe un peu et écarte ses jambes l’une au sol, l’autre sur le dossier du fauteuil de la rangé devant, sa chaussure dépassant un peu. Je m’exécute et plonge ma tête et ma langue dans son intimité. Quel bonheur, sa main prend ma tête et l’appuie doucement contre son sexe. Je plonge un doigt dans sa chatte, puis un second, elle pousse de petits cris…
« Je veux te prendre tout de suite Emelyne » 
« Vas-y, baise moi, prend moi par derrière, ce sera plus facile »
On commence à bouger dans tous les sens, et faire un peu de bruit, l’unique spectateur se retourne un peu et doit se poser des questions… Emelyne me regarde…
« Ça va pas le faire avec lui… pas grave, moi, j’ai eu ce que je voulais, je m’occupe de toi… »
Elle replonge à quatre pattes et me branle en me suçant, elle accélère le rythme, je sens que ça monte.
« Ça vient, ça monte…. »
Elle plonge alors sa bouche sur ma queue…. j’explose en elle…. Quel bonheur.