Sexe rapide lors d'une randonnée - histoire érotique

En cette belle journée de Printemps nous partons faire une petite randonnée dans une forêt environnante. Nous partons avec le pique-nique dans le sac et l'ambition de profiter des merveilleux paysages que nous offrent la nature. Nous marchons toute la matinée et trouvons un beau coin pour manger. Nina se plaint de la chaleur et surtout du sentiment d’étouffement provoqué par la compression de son soutien-gorge. Je lui propose alors :
- Enlève-le tu seras plus à l’aise
- Pas question
- Pourquoi pas ?
- Tu imagines si quelqu’un le voit !
- Et alors. Qu’est-ce que tu risques. La plupart ne le verront même pas
- Et s’ils le voient ?
- Ils se diront que tu as de beaux seins et que j’ai de la chance
- Et si ça les choque
- Eh bien ils tourneront la tête. Tu es une femme libre non ?

Nina hésite longuement. Je lui propose alors de le faire et de la prendre en photo pour lui montrer le résultat. Elle retire son soutien-gorge sans dévoiler ses seins. Dommage. Malgré sa réticence la situation doit l’exciter car ses tétons sont drôlement pointus. Je prends la photo. Je taches de jouer avec les ombres pour que cela ne se voit pas trop. Mais ses tétons se voient quoiqu’il arrive. Je lui montre les photos et en les voyant elle veut remettre son soutien-gorge. Je tente de la convaincre de ne pas le faire en lui décrivant toute l’excitation qu’elle provoque en moi. Vérifiant qu’il n’y a personne autour je glisse ma main sous son débardeur et caresse son sein tout en l’embrassant. Après quelques caresses et baisers je sens qu’elle se relâche. C’est gagné !

Nous repartons marcher dans la fraîcheur de la forêt. Nous croisons plusieurs personnes mais aucun regard dédaigneux bien au contraire. Sur le chemin il y a une tour. Nous montons sur le sommet. La vue sur la nature est époustouflante. Nous profitons de cet instant de tranquillité. Je me cale derrière Nina et la prends dans mes bras. Je passe mes mains autour de son cou et comme par hasard elles finissent à hauteur de sa poitrine. Mes mains effleurent ses seins par-dessus son haut. Je les sens durcir sous ce furtif passage. L’instant est magique. Je me recule un peu et passe une main sur son dos puis je reprends le même chemin sous son débardeur. Arrivé à son épaule je glisse sur le devant et attrape son sein ferme. Nina se retourne en rigolant, passe ses bras autour de mon cou et m’embrasse. Je lui rends ses baisers tout en soulevant son t-shirt et en caressant son ventre. Elle gigote de chatouilles et me dit :
- Arrête quelqu’un pourrait nous voir
- Ce n’est pas ma faute si tu es si attirante
- Flatteur !
- Non juste réaliste lui dis en montant mes mains sur ses seins tout en soulevant le haut
- Arrête je te dis ! m’apostrophe t’elle en couvrant ses seins
- N’écoute pas ta tête mais ton corps
- Comment ça ?
- Regarde ce que cri ton corps, je lui souffle à l’oreille en glissant ma main dans son legging et sa culotte. Tu vois ton corps dit l’inverse
- Peut-être mais…

Nina s’interrompt alors que je glisse un doigt en elle. C’est si humide que je rentre d’un coup. Je la trifouille de l’intérieur alors qu’elle a le souffle court. Puis je l’embrasse tout en remontant sur son clitoris. Elle mord ma lèvre pour ne pas crier son plaisir. Je la masturbe un peu jusqu’à ce que je sente que toute volonté d’opposition s’est éteinte. Ce moment (rapidement) atteint je la retourne contre le créneau de la tour. Je baisse son pantalon et sa culotte. Elle se retrouve les fesses à l’air entièrement à ma merci. Mais elle ne semble pas s’en plaindre. Je sors mon sexe de mon pantalon, le branle un peu pour le lubrifier (ce qui ne prend vraiment pas longtemps) et le dirige vers ses fesses. Je lui écarte les cuisses et pénètre son yoni ruisselant. Elle lâche un cri de surprise et met une main sur sa bouche pour étouffer ses bruits. J’attrape ses larges hanches et donne de fortes impulsions pour que nous atteignons rapidement l’extase. Autant la situation m’excite fortement, autant je n'ai pas envie d’être surpris. En moins de deux minutes Nina jouit. Malgré sa main en bâillon elle lâche des gémissements qui pourraient attirer des randonneurs. Je me dépêche alors de finir. Je me concentre sur ses grosses fesses qui font des vagues pour m’aider à atteindre l’orgasme. Ça marche et j’éjacule en elle dans de derniers soubresauts.

Une fois fini je m’extraie de ce cocon chaleureux. Nina reste penchée sur la pierre, les cuisses écartées et les fesses à l’air. Du sperme coule de son vagin sur ses cuisses et par terre. Je lui donne une petite claque sur les fesses pour la réveiller. Elle se rhabille sans trop faire attention au fait qu’elle a du sperme sur les cuisses et dans sa culotte. Elle plane totalement après ce coup rapide. Elle qui ne voulait même pas enlever son soutien-gorge je crois qu’elle vient de vivre le meilleur orgasme de sa vie. Cela me permettra peut-être de la libérer un peu sexuellement et d’envisager de nouvelles pratiques et jeux….