Sexe torride devant un heureux voyeur
Récit érotique écrit par Smilee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sexe torride devant un heureux voyeur
Nous fêtons aujourd’hui le Pacs d’Arthur et Marie. A cette occasion ils ont organisé une grande fête dans leur jardin avec tous leurs amis. L’ambiance est excellente. Les filles sont bien habillées. L’alcool coule à flot. C’est moi qui gère la musique donc j’adapte les sons en fonction des goûts des personnes présentes mais toujours dans ce que j’aime. Bref une super soirée.
Nina est vêtue d’un pantalon noir comme je les aime : hyper moulant sur les fesses et limite en patte d’éléphants en bas. Dommage qu’elle porte une grosse culotte qui laisse des marques sur ce postérieur divin. En haut elle porte un haut corail qui met en valeur sa belle poitrine. Elle est merveilleuse. Comme d’habitude de toute façon. Nous nous amusons bien. Nous dansons régulièrement. Je choisis bien évidemment les chansons qui nous permettent de nous coller l’un contre l’autre et de nous chauffer un peu. Cela fonctionne bien pour moi. Et j’espère pour Nina aussi. Je mets aussi des rythmes plus langoureux où nos mains peuvent discrètement se tripoter et nos langues se lier.
Plus la soirée avance, plus tout le monde a un petit coup dans le nez. Mais rien comparé à Marie qui est complètement saoule. Elle en tombe en avant sur une chaise. Sa position fait clairement ressortir les traces d’un string sous sa robe blanche et noire. Tiens je n’aurais jamais pensé qu’elle mettait ce genre de tenues. Cela renforce mon attirance pour cette jeune femme. Elle n’est pas à proprement dit un canon de beauté, mais elle a un charme qui me fait craquer depuis que je la connais. Nina capte mon regard scotché sur les fesses de Marie. Un peu gêné je l’aide à se relever. Elle trébuche de nouveau et me tombe dessus. Une de mes mains se retrouvent coincées sous son corps au niveau de son sein. De manière incontrôlée mes doigts exercent une légère pression dessus et je sens son téton durcir. Je n’avais pas fait attention mais elle n’a pas de soutien-gorge ! Ça y est je bande.
Nina regarde la scène avec un regard plutôt noir. Moi je la regarde avec un air de surprise et d’innocence tandis que mes doigts continuent de caresser ce petit sein ferme discrètement. Marie est morte de rire et arrive enfin à se relever. Elle repart comme si de rien n’était. Nina rentre dans la maison plutôt énervée et elle part dans une chambre. Je la suis et m’approche d’elle. Je veux la prendre dans mes bras mais elle s’extrait en disant :
- Tu crois que je ne t’ai pas vu mater Marie ?
- Mater c’est un bien grand mot.
- Pourtant ton regard semblait bloqué sur son cul
- C’est vrai que j’ai été surpris et que je suis resté bloqué. Tu es vexée ?
- Non mais je n’aime pas trop ça.
- Tu sais mes yeux peuvent se poser sur d’autres femmes, mais toi seul peut allumer mon regard d’une flamme incandescente
- Quel beau parleur !
- Non sincère. Comment pourrais-je vouloir autre chose que ça, lui dis-je en m’avançant vers elle. Que ce visage magnifique qui illumine mes jours, j’ajoute en caressant sa joue. Que ces seins que j’aime tripoter sans modération, je continue en passant mes mains sur son t-shirt au niveau de sa poitrine
- D’ailleurs en parlant de seins tu ne t’es pas gêné pour tripoter ceux de Marie ?
- Elle m’est tombée dessus ! Et ses seins ne sont rien à côté de ses beautés, dis-je en soulevant son t-shirt ainsi que son soutien-gorge
- Arrête ! m’interpelle t’elle plutôt avec véhémence
- Mais ils semblent jaloux alors je me dois de les rassurer dis-je en les caressant doucement
- Quelqu’un pourrait entrer
- Pourtant regarde, ils durcissent ce qui semble dire que ça leur plaît
- Peut-être mais quand même
- Attends, ils ont besoin d’être rassuré apparemment, dis-je en glissant ma langue sur son téton droit lui faisant lâcher un petit soupir
- Arrête me répond-elle avec un ton beaucoup moins autoritaire
- Pas sans consoler le deuxième aussi je continue en léchant son téton gauche.
Je sens que la volonté de me repousser s’estompe petit à petit. Je m’accroupis et continue ma revue de son corps :
- Comment vouloir autre chose que ce ventre qui portera un jour nos enfants. Que ces fesses qui me font tant bander, dis-je en attrapant ses fesses. Et surtout que cette source de vie que je ne me lasse jamais d’embrasser et de visiter, je finis en passant ma main sur son entrejambe par-dessus son pantalon.
- Alors comme ça elles te font bander ? me demande t’elle en se retournant pour mettre ses fesses devant mon visage
- Oh oui, dis-je en posant mes mains dessus tout en me relevant. Et pas qu’un peu, s’ajoute en ouvrant mon pantalon. Regarde si tu ne me crois pas
- Range-moi ça, me dit-elle en se retournant
- Seul toi me mets dans cet état, lui dis-je en attrapant sa main et en la posant sur mon membre gonflé de désir pour elle
- Il faut que nous retournions avec les autres
- Nous allons y aller
Sa main est toujours immobile sur mon pénis. J’attrape son visage et viens déposer mes lèvres contre les siennes. J’ouvre sa bouche avec ma langue et commence alors un baiser langoureux. Je sens que sa main commence à parcourir mon sexe très lentement. Ça y est, elle a craqué. De ma main droite je déboutonne son pantalon et glisse sous sa culotte. Mes doigts arrivent en contact de son vagin. Celui-ci est déjà humide signe que malgré ses protestations cette situation l’excite. Sa main caresse mon sexe de façon de plus en plus active. Je passe donc à l’étape suivante.
Je fais tourner Nina et l’embrasse de nouveau en caressant ses seins. Ses baisers sont suaves. Je descends de nouveau une main dans sa culotte. Elle ondule sous mes caresses. C’est bon elle a totalement lâché. Je baisse alors son pantalon et sa culotte jusqu’à ses pieds. Je lui fais lever un pied pour la libérer de son vêtement. Je lui pose sa jambe libre sur le lit. Je glisse ma main sur son intimité puis m’agenouille devant ce fessier magnifique. Je glisse ma langue sur ses lèvres gorgées de cyprine et commence à gentiment embrasser son vagin. Nina soupire en signe d’approbation. Je continue alors mon cunnilingus tout en venant titiller son clitoris de mes doigts. Ma langue parcourt ses lèvres et entre dans son vagin. Puis je passe dessous pour embrasser son clitoris tout en la doigtant. Toute forme d’opposition l’a quittée. Elle est à point pour que je la prenne.
Mais avant cela je fais le tour tout en la laissant dans cette position et viens lui offrir mon sexe en guise d’apéritif. Nina se penche pour le mettre dans sa bouche. Sa langue glisse habilement sur ma verge pendant que sa bouche enserre mon gland. Elle fait de légers mouvements de bouche puis vient titiller mon gland de sa langue. C’est trop bon. Sa deuxième main vient se glisser sur son vagin grand ouvert vu qu’elle a gardé sa jambe sur le lit. L’instant est magique.
Je regarde mon amour nous faire du bien. J’en profite aussi pour mater ses grosses fesses qui ondulent légèrement sous ses coups de main. J’aperçois alors derrière Nina la porte entrouverte et un visage dans l’entrebâillement. Un des invités est en train de nous mater ! Je me prépare à tout arrêter quand je vois son regard plein d’étoiles rivé sur les fesses de Nina et sur sa masturbation. J’avais remarqué ce jeune homme moins âgé que nous et il m’avait fait pensé à un jeune puceau émerveillé par toutes les femmes et leurs formes. Je ne pense pas qu’il ait eu beaucoup d’expériences sexuelles. Peut-être même est-ce la première fois qu’il voit une femme nue. Alors quelle chance de pouvoir se délecter des courbes d’une véritable déesse. Je décide donc de continuer nos ébats.
Concentré sur la situation j’en ai oublié de faire attention à mon plaisir. Je me ressaisi juste avant le point de non-retour. Je m’extrais de la bouche de Nina et fais le tour pour me retrouver derrière elle. Je soulève légèrement son bassin pour faciliter mon insertion. Je présente mon sexe devant son vagin et le fais naviguer en bordure de cette grotte aux merveilles. Une fois ce contact effectué je pénètre Nina d’un seul coup lui faisant lâcher un cri de surprise. Surfant sur cette réaction active je la prends avec vigueur. Malgré la discrétion qui serait nécessaire Nina est très expressive. La vigueur de mes coups se répercutent sur tous ses bourrelets qui font des vagues dans tous les sens. Le jeune doit en prendre plein les yeux.
Mais voulant lui offrir un spectacle grandiose j’attrape les épaules de Nina pour la cambrer et continue de la pilonner. Dans cette position ses seins pendent sensuellement. Les coups de reins les font bondir et s’entrechoquer. Notre voyeur qui a une vue de trois quarts doit avoir un point de vue extraordinaire. Puis Nina baisse son pied du lit pour le poser au sol. La position doit être plus confortable pour elle. J’agrippe fermement ses hanches et lui soulève le bassin. Nina se met sur la pointe des pieds et je continue encore plus fort. Même si visuellement la position doit être un peu moins excitante, elle me permet de la prendre sans ménagement en la serrant très fort par les hanches. Nina lâche de beaux gémissements de plaisir qui me motivent encore plus. Puis les gémissements se transformant en râles puis en cris. Je la serre par les hanches et donne ce que j’ai. Je ses sens son orgasme monter. Je lâche alors la pression pour que nous finissions dans un orgasme simultané. Celui-ci arrive enfin et nous nous laissons aller à ce plaisir extraordinaire. Je jouis abondamment en elle. Nos spasmes conjugués ne semblent jamais s’arrêter.
Je me retire ensuite et me recule. Nina reste un peu abasourdie dans cette position. Je me retourne et vois l’ombre de notre spectateur partir. Il en a bien profité jusqu’au bout. Du sperme chaud coule de l’entrejambe de Nina et tombe sur sa culotte. Je lui retire sa culotte prisonnière de son pied et essuie son vagin avec puis mon sexe. Je relève Nina et la prends dans mes bras en prenant bien soin de caresser son merveilleux corps sous toutes les coutures. Je l’embrasse amoureusement. Elle a l’haleine fraîche de la femme qui vient d’haleter et d’avoir un puissant orgasme. Puis après ses câlins, Nina se rhabille et nous retournons à la soirée. Je repère notre voyeur qui discute avec un autre garçon. Mis à part lui personne ne semble avoir remarqué notre absence. Tant mieux. Je m’approche du jeune homme et glisse un souvenir dans sa poche de veste : la culotte de Nina remplie de nos fluides. Je crois qu’il se souviendra longtemps de cette soirée….
Nina est vêtue d’un pantalon noir comme je les aime : hyper moulant sur les fesses et limite en patte d’éléphants en bas. Dommage qu’elle porte une grosse culotte qui laisse des marques sur ce postérieur divin. En haut elle porte un haut corail qui met en valeur sa belle poitrine. Elle est merveilleuse. Comme d’habitude de toute façon. Nous nous amusons bien. Nous dansons régulièrement. Je choisis bien évidemment les chansons qui nous permettent de nous coller l’un contre l’autre et de nous chauffer un peu. Cela fonctionne bien pour moi. Et j’espère pour Nina aussi. Je mets aussi des rythmes plus langoureux où nos mains peuvent discrètement se tripoter et nos langues se lier.
Plus la soirée avance, plus tout le monde a un petit coup dans le nez. Mais rien comparé à Marie qui est complètement saoule. Elle en tombe en avant sur une chaise. Sa position fait clairement ressortir les traces d’un string sous sa robe blanche et noire. Tiens je n’aurais jamais pensé qu’elle mettait ce genre de tenues. Cela renforce mon attirance pour cette jeune femme. Elle n’est pas à proprement dit un canon de beauté, mais elle a un charme qui me fait craquer depuis que je la connais. Nina capte mon regard scotché sur les fesses de Marie. Un peu gêné je l’aide à se relever. Elle trébuche de nouveau et me tombe dessus. Une de mes mains se retrouvent coincées sous son corps au niveau de son sein. De manière incontrôlée mes doigts exercent une légère pression dessus et je sens son téton durcir. Je n’avais pas fait attention mais elle n’a pas de soutien-gorge ! Ça y est je bande.
Nina regarde la scène avec un regard plutôt noir. Moi je la regarde avec un air de surprise et d’innocence tandis que mes doigts continuent de caresser ce petit sein ferme discrètement. Marie est morte de rire et arrive enfin à se relever. Elle repart comme si de rien n’était. Nina rentre dans la maison plutôt énervée et elle part dans une chambre. Je la suis et m’approche d’elle. Je veux la prendre dans mes bras mais elle s’extrait en disant :
- Tu crois que je ne t’ai pas vu mater Marie ?
- Mater c’est un bien grand mot.
- Pourtant ton regard semblait bloqué sur son cul
- C’est vrai que j’ai été surpris et que je suis resté bloqué. Tu es vexée ?
- Non mais je n’aime pas trop ça.
- Tu sais mes yeux peuvent se poser sur d’autres femmes, mais toi seul peut allumer mon regard d’une flamme incandescente
- Quel beau parleur !
- Non sincère. Comment pourrais-je vouloir autre chose que ça, lui dis-je en m’avançant vers elle. Que ce visage magnifique qui illumine mes jours, j’ajoute en caressant sa joue. Que ces seins que j’aime tripoter sans modération, je continue en passant mes mains sur son t-shirt au niveau de sa poitrine
- D’ailleurs en parlant de seins tu ne t’es pas gêné pour tripoter ceux de Marie ?
- Elle m’est tombée dessus ! Et ses seins ne sont rien à côté de ses beautés, dis-je en soulevant son t-shirt ainsi que son soutien-gorge
- Arrête ! m’interpelle t’elle plutôt avec véhémence
- Mais ils semblent jaloux alors je me dois de les rassurer dis-je en les caressant doucement
- Quelqu’un pourrait entrer
- Pourtant regarde, ils durcissent ce qui semble dire que ça leur plaît
- Peut-être mais quand même
- Attends, ils ont besoin d’être rassuré apparemment, dis-je en glissant ma langue sur son téton droit lui faisant lâcher un petit soupir
- Arrête me répond-elle avec un ton beaucoup moins autoritaire
- Pas sans consoler le deuxième aussi je continue en léchant son téton gauche.
Je sens que la volonté de me repousser s’estompe petit à petit. Je m’accroupis et continue ma revue de son corps :
- Comment vouloir autre chose que ce ventre qui portera un jour nos enfants. Que ces fesses qui me font tant bander, dis-je en attrapant ses fesses. Et surtout que cette source de vie que je ne me lasse jamais d’embrasser et de visiter, je finis en passant ma main sur son entrejambe par-dessus son pantalon.
- Alors comme ça elles te font bander ? me demande t’elle en se retournant pour mettre ses fesses devant mon visage
- Oh oui, dis-je en posant mes mains dessus tout en me relevant. Et pas qu’un peu, s’ajoute en ouvrant mon pantalon. Regarde si tu ne me crois pas
- Range-moi ça, me dit-elle en se retournant
- Seul toi me mets dans cet état, lui dis-je en attrapant sa main et en la posant sur mon membre gonflé de désir pour elle
- Il faut que nous retournions avec les autres
- Nous allons y aller
Sa main est toujours immobile sur mon pénis. J’attrape son visage et viens déposer mes lèvres contre les siennes. J’ouvre sa bouche avec ma langue et commence alors un baiser langoureux. Je sens que sa main commence à parcourir mon sexe très lentement. Ça y est, elle a craqué. De ma main droite je déboutonne son pantalon et glisse sous sa culotte. Mes doigts arrivent en contact de son vagin. Celui-ci est déjà humide signe que malgré ses protestations cette situation l’excite. Sa main caresse mon sexe de façon de plus en plus active. Je passe donc à l’étape suivante.
Je fais tourner Nina et l’embrasse de nouveau en caressant ses seins. Ses baisers sont suaves. Je descends de nouveau une main dans sa culotte. Elle ondule sous mes caresses. C’est bon elle a totalement lâché. Je baisse alors son pantalon et sa culotte jusqu’à ses pieds. Je lui fais lever un pied pour la libérer de son vêtement. Je lui pose sa jambe libre sur le lit. Je glisse ma main sur son intimité puis m’agenouille devant ce fessier magnifique. Je glisse ma langue sur ses lèvres gorgées de cyprine et commence à gentiment embrasser son vagin. Nina soupire en signe d’approbation. Je continue alors mon cunnilingus tout en venant titiller son clitoris de mes doigts. Ma langue parcourt ses lèvres et entre dans son vagin. Puis je passe dessous pour embrasser son clitoris tout en la doigtant. Toute forme d’opposition l’a quittée. Elle est à point pour que je la prenne.
Mais avant cela je fais le tour tout en la laissant dans cette position et viens lui offrir mon sexe en guise d’apéritif. Nina se penche pour le mettre dans sa bouche. Sa langue glisse habilement sur ma verge pendant que sa bouche enserre mon gland. Elle fait de légers mouvements de bouche puis vient titiller mon gland de sa langue. C’est trop bon. Sa deuxième main vient se glisser sur son vagin grand ouvert vu qu’elle a gardé sa jambe sur le lit. L’instant est magique.
Je regarde mon amour nous faire du bien. J’en profite aussi pour mater ses grosses fesses qui ondulent légèrement sous ses coups de main. J’aperçois alors derrière Nina la porte entrouverte et un visage dans l’entrebâillement. Un des invités est en train de nous mater ! Je me prépare à tout arrêter quand je vois son regard plein d’étoiles rivé sur les fesses de Nina et sur sa masturbation. J’avais remarqué ce jeune homme moins âgé que nous et il m’avait fait pensé à un jeune puceau émerveillé par toutes les femmes et leurs formes. Je ne pense pas qu’il ait eu beaucoup d’expériences sexuelles. Peut-être même est-ce la première fois qu’il voit une femme nue. Alors quelle chance de pouvoir se délecter des courbes d’une véritable déesse. Je décide donc de continuer nos ébats.
Concentré sur la situation j’en ai oublié de faire attention à mon plaisir. Je me ressaisi juste avant le point de non-retour. Je m’extrais de la bouche de Nina et fais le tour pour me retrouver derrière elle. Je soulève légèrement son bassin pour faciliter mon insertion. Je présente mon sexe devant son vagin et le fais naviguer en bordure de cette grotte aux merveilles. Une fois ce contact effectué je pénètre Nina d’un seul coup lui faisant lâcher un cri de surprise. Surfant sur cette réaction active je la prends avec vigueur. Malgré la discrétion qui serait nécessaire Nina est très expressive. La vigueur de mes coups se répercutent sur tous ses bourrelets qui font des vagues dans tous les sens. Le jeune doit en prendre plein les yeux.
Mais voulant lui offrir un spectacle grandiose j’attrape les épaules de Nina pour la cambrer et continue de la pilonner. Dans cette position ses seins pendent sensuellement. Les coups de reins les font bondir et s’entrechoquer. Notre voyeur qui a une vue de trois quarts doit avoir un point de vue extraordinaire. Puis Nina baisse son pied du lit pour le poser au sol. La position doit être plus confortable pour elle. J’agrippe fermement ses hanches et lui soulève le bassin. Nina se met sur la pointe des pieds et je continue encore plus fort. Même si visuellement la position doit être un peu moins excitante, elle me permet de la prendre sans ménagement en la serrant très fort par les hanches. Nina lâche de beaux gémissements de plaisir qui me motivent encore plus. Puis les gémissements se transformant en râles puis en cris. Je la serre par les hanches et donne ce que j’ai. Je ses sens son orgasme monter. Je lâche alors la pression pour que nous finissions dans un orgasme simultané. Celui-ci arrive enfin et nous nous laissons aller à ce plaisir extraordinaire. Je jouis abondamment en elle. Nos spasmes conjugués ne semblent jamais s’arrêter.
Je me retire ensuite et me recule. Nina reste un peu abasourdie dans cette position. Je me retourne et vois l’ombre de notre spectateur partir. Il en a bien profité jusqu’au bout. Du sperme chaud coule de l’entrejambe de Nina et tombe sur sa culotte. Je lui retire sa culotte prisonnière de son pied et essuie son vagin avec puis mon sexe. Je relève Nina et la prends dans mes bras en prenant bien soin de caresser son merveilleux corps sous toutes les coutures. Je l’embrasse amoureusement. Elle a l’haleine fraîche de la femme qui vient d’haleter et d’avoir un puissant orgasme. Puis après ses câlins, Nina se rhabille et nous retournons à la soirée. Je repère notre voyeur qui discute avec un autre garçon. Mis à part lui personne ne semble avoir remarqué notre absence. Tant mieux. Je m’approche du jeune homme et glisse un souvenir dans sa poche de veste : la culotte de Nina remplie de nos fluides. Je crois qu’il se souviendra longtemps de cette soirée….
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