une langue bien pendue...

- Par l'auteur HDS Lèchebottes -
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Récit libertin : une langue bien pendue... Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
une langue bien pendue...
Mes lèvres collées sur son sexe depuis maintenant 20 minutes et la vision de sa vulve
bien ouverte ne me faisait pas oublier la position humiliante dans laquelle je me
trouvais pour la troisième fois cette semaine.
A genoux, les mains menottées dans le dos et nu face à Catherine assise sur le rebord
du fauteuil feuilletant négligemment le magasine télé, je fouillais avec application
son intimité, derrière moi j’entendais le générique de début de NCIS qu’elle savait
que j’appréciais particulièrement.

Comment en étais je arrivé là ?

Elle avait découvert sur l’ordinateur de la maison quelques sites pour adultes que je
consultais régulièrement et qui ne laissait aucun doutes possible sur mes gouts
prononcés pour la soumission. Elle avait donc décidé de tirer profit de la situation
pour avoir son mari à ses pieds aussi souvent qu’elle le désirait et sachant que j’y
trouvais moi aussi mon bonheur elle n’hésita pas longtemps avant de devenir une femme
des plus exigeantes avec moi. C’est ainsi que, assise devant l’écran de l’ordinateur
elle m’appela pour avoir des explications à propos de ses connections douteuses,
explications que je ne su lui donner hésitant longuement entre la plaisanterie
douteuse et le mensonge flagrant ce qui l’avait mise de colère et avait ordonnée un
cunnilingus:
«Puisque tu aime ça, mets toi a genoux devant moi et lèche ma chatte! Et tu as intérêt
de me faire moi jouir, sinon c’est la punition assurée : la fessée et au coin! »
C’est donc le derrière rouge écarlate, le pantalon et le slip en bas des cuisses
qu’elle m’envoya au coin.


Un coup de feu ! Visiblement Gibbs avait du fil à retordre j’aurais aimé, sans mes
menottes et sans être pris entre ses jambes pouvoir me retourner , car j’entendais la
voix de son assistante (tout aussi jolie d’ailleurs), inlassablement je poursuivais
mon lèche minou , ses cuisses à présent remontées sur les accoudoirs, elle feignait
toujours l’indifférence, je ressentais parfois pourtant quelques tressaillements de sa
part .
Je repartais dans mes pensées et me souvint de la lente évolution de nos relations,
les fessées et les punitions se multipliaient , le cunnilingus obligatoire se
généralisait et le 69 forcé s’intensifiait. Il n’était pas rare maintenant qu’elle
m’attache dans le lit conjugal et qu’elle « oublie » de me détacher durant la nuit,
profitant de moi à loisir. Sur le plan relationnel je perdais aussi confiance en moi,
il arrivait alors que j’étais dans la même position qu’aujourd’hui, qu’elle discute au
téléphone avec des amis et qu’après avoir dit que je n’étais pas là glisse des jeux de
mots vaseux du style
« C’est vrai qu’il a la langue bien pendue ! » ; « il ferait mieux de tourner 7 fois
la langue dans sa bouche », ou encore « je ne sais pas où il a encore été fourrer son
nez !
Le énième whisky emplissait le verre de Gibbs, manifestement on approchait du
dénouement , je n’avais pas démérité, me semblait il, et d’ailleurs malgré son
détachement je sentais Catherine au bord de l’explosion, son sexe était plus humide
qu’Abbeville en automne , quelques soupirs lui échappaient à présent. Ses cuisses se
refermaient sur mes deux oreilles et le frottement de ses bas m’excitaient au plus
haut point.
Dans le même temps ses pieds redescendaient peu à peu vers mon bas ventre pour entamer
une masturbation rugueuse, c’était à présent son nouveau dada.
Peu après j’entendis la musique de fin du téléfilm ,Catherine sans un mot se releva,
contempla ma verge tendue et humide, (j’étais si excité que mon sexe coulait) esquissa
un sourire entendu et me dit:
« je vais me coucher mon chéri, quant à toi tu garde les menottes, tu serras quitte de
faire des bêtises cette nuit et je te mettrai quelque chose sur les fesses sinon tu
vas salir les draps tellement tu mouille! »
Je la suivi penaud, honteux et la verge bien droite jusqu’à la chambre à coucher pour
la voir ouvrir son tiroir d’où elle en sorti une de ses culotte en dentelle qu‘elle
me fit mettre d‘autorité avec un «dépêche toi d’enfiler ça !» puis je la regardai se
déshabiller et se glisser sous les draps frais du lit. J’étais debout attendant
patiemment ses ordres car je savais par expérience que je ne devais en aucun cas
prendre l’initiative de me coucher sans sa permission. Elle me contempla un instant
l’air satisfaite puis m’indiqua que je pouvais me coucher, me fit un baiser et coupa
la lumière me laissant seul avec mes pensées.
Dans le noir je repensais encore à sa prise de pouvoir, lorsque honteux j’avais reçu
la fessée suite à un cunnilingus interrompu par une de mes question stupide , elle
m’avais tirer sans ménagement par l’oreille et voyant que je tentais désespérément de
la suivre en remontant mon pantalon elle m’avait mis une tape sur une fesse en
ajoutant:
« Tu reste cul nu, tu ne mérite pas d’être habillé devant moi, c‘est ta punition!»
C’est ainsi que 15 mn plus tard ma femme commença mon éducation car elle profita
rapidement de la situation pour mettre les choses au point avec moi ce qui fut quand
j’y pense particulièrement claire. M’appelant sur un ton faussement mielleux , elle
m’ordonna de la rejoindre:
« Met toi nu et viens te mettre à genou devant moi, j’ai deux ou trois choses à
mettre au point avec toi mon chéri »J’ôtais rapidement mes affaires et ne mis que
quelques secondes pour lui obéir!
« Bien, pour commencer et avant toutes choses tu te remet entre mes jambes c’est là
que tu es le mieux, sort ta langue et applique toi cette foi si, et ne t‘avise pas de
parler» Je m’installai donc entre ses cuisses ouvertes, et repris consciencieusement
mon travaille de lèche minou. Je la sentie se détendre lentement sous mes coups de
langue, elle inspira profondément avant de m‘expliquer mes nouvelles directives:
« Dorénavant, tu devras m’obéir sans discuter, tu vivras entièrement nu ou tu porteras
la tenue que je voudrai bien te donner et sans discuter! J’exigerai de jouir souvent
et tu t’y appliqueras attentivement en m’appelant Madame » Elle tapota sur ma tète:
« Applique toi! »

À suivre

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