Monsieur 6 - histoire érotique

Monsieur 6

Gilles, pendant cette journée seul, réfléchit à tout ce que Jacques lui avait annoncé la veille au soir. Jacques lui a simplement dit que le lendemain matin Marie l’emmènerait au salon de beauté pour une que lui aussi soit épilé intégralement sexe et raie des fesses. Si Gilles acceptait d’y aller cela voudra dire qu’il sera intégré au cercle fermé et en sera avec Omar le mâle sexuel de ce cercle. En contrepartie, Gilles pourra baiser sa femme, lorsqu’ils seront chez eux, à la seule condition que Marie porte un bracelet rouge en cuir. Ce bracelet Marie le mettra sur ordre de Monsieur à n’importe quel moment et ce sur une durée variable. A Gilles de faire attention à ne pas déroger cette consigne sinon Marie sera punie.
L’épisode précédent, Gilles s’est fait épiler et donc a accepté l’offre de Jacques. Il se remémore les 3 dernières semaines, en fait depuis l’envie de Marie d’être soumise à un maitre et son état d’excitation permanent. Il arriva, comme convenu à 20 heures chez Jacques. La gouvernante guida Gilles jusqu’à un petit salon. En entrant, jacques l’invita à s’asseoir à côté de lui. Aline était là, à genoux, nue et en position de soumise
-Aline, va embrasser Gilles
Aline s’empressa de se lever, de s’assoir sur les genoux de Gilles et lui et de tendre ses lèvres aux lèvres de Gilles. Les deux en harmonie ouvrirent leur buche et les langues se mélangeaient. Les mains de Gilles ne restèrent pas inactives. Il caressait ses seins, ses fesses et remontait à l’intérieur des cuisses écartées pour titiller sa chatte. Aline appréciait ces attouchements et on dirait qu’elle commençait à mouiller.
-assez rigolé maintenant, reprends ta place et ne bouge plus.
Jacques expliqua une nouvelle fois ce qu’il attendait de Gilles. Il lui demandait simplement d’être une queue disponible aux personnes présentes lors de soirées privatives et sexuelles, comme Omar l’était déjà. Gilles lui confirma qu’il acceptait de faire partie de ce cercle, à condition qu’il puisse enfin faire l’amour à sa femme, cela lui manquait trop. Jacques le lui confirma, avec comme restriction de ne le faire que lorsque Marie aurait ce bracelet rouge au poignet.
Pendant le temps des questions-réponses, Jacques prit une télécommande et une vidéo apparaissait sur un grand écran en face d’eux. On y voyait une femme nue, de dos, les mains liées et tendues au-dessus de sa tête par une corde, ses jambes étaient maintenues écartées par une barre fixée aux chevilles. On distinguait des marques rouges dans son dos et fesses. Gilles eut du mal à reconnaitre sa femme, les cheveux étant coupés presque à ras. Devant son air de stupéfaction, jacques se sentit dans l’obligation de lui dire ;
-j’avais demandé à Marie de me donner un signe d’appartenance qu’elle voulait avoir. Elle m’a parlé d’anneaux aux tétons, je lui ai suggéré d’avoir la même coupe de cheveux qu’Aline. Elle m’a dit qu’elle n’était pas encore prête pour avoir un crâne lisse. Je lui ai suggéré cette coupe comme compromis et elle a acceptée. Je l’autoriserai de porter une perruque quand elle ne sera pas avec moi si elle veut.
Gilles n’en revenait pas. C’est vrai que c’était excitant de voir Aline. Et de voir ces deux femmes, il y a une certaine ressemblance, taille fine, petits seins pratiquement la même taille, un beau petit cul et maintenant cette coupe. Après avoir demandé à Gilles s’il avait réponse à ses questions, Jacques s’excusa et dit à Gilles de rester au salon et que lui allait rejoindre Marie. Aline se leva également et suivit Jacques. Gilles avait toujours Marie sur écran et il eut la surprise de voir maintenant jacques aux côtés de Marie. Il fit tourner Marie pour qu’elle soit face à la caméra. Il demanda à Marie d’ouvrir sa bouche et lui cracha dans celle-ci. Marie avala son crachat. On l’entendait dire à Marie qu’il ne voulait pas qu’elle jouisse, sinon elle sera punie. Aline devait l’embrasser et les deux femmes se sont roulées une pelle enflammée. Marie aimait ce contact doux des lèvres et langues d’une femme. Qui l’eut cru, marie ayant toujours dit à Gilles qu’elle ne pourrait pas embrasser une femme ni de la lécher. Aline ne put s’empêcher de caresser la poitrine de Marie qui elle commençait à gémir. Aline retira sa main pour ne plus faire vibrer le corps de Marie qui était au bord de la jouissance. Jacques l’a remarqué et en vicieux s’est mis à caresser le clito gonflé de désir de Marie. Gilles en regardant cette scène et connaissant Marie, se demandait combien de temps Marie allait tenir avant de jouir. Elle résista et Jacques en la félicitant interrompit sa caresse. Il informa sa chienne que Gilles voyait la scène sur écran.
-Marie, tu vas pouvoir te reposer un peu avant de recevoir ton collier signe de fin du premier cycle. Dès que tu auras ton collier au cou, tu m’appelleras « Maitre ». Ce collier tu devras le porter obligatoirement lors de nos rencontres, mais rien ne t’empêche de le porter en permanence.
Jacques détacha Marie et quitta la pièce suivie de ses deux chiennes. Il les envoya dans la chambre, elles devaient se laver, purger leur trou du cul, se maquiller, mettre leur talon-aiguille et se mettre en position d’attente jusqu’à elles soient cherchées. Jacques chercha Gilles au salon et l’invita à passer à table. Grande salle à manger avec une immense table en verre. Cinq couples allant de la quarantaine à la soixantaine années, ainsi que Omar étaient déjà présents. Gilles reconnut trois couples dont un plus intimement. Les femmes portaient des tenues très sexy et de bon goût. Jacques présenta Gilles et leur informa que Gilles sera, comme Omar l’était déjà, à leur disposition pour leur besoin de sexe aux femmes et également aux hommes faisant partie du cercle. Il leur précisa que Gilles était le mari de sa nouvelle chienne. Tout ce groupe prit place autour d’une grande table en verre suivant un plan de table précis. Pendant que la gouvernante fit le service des entrées, Jacques s’absenta et revint avec ses deux soumises. Il prit place en bout de table, ses deux chiennes à côté de part et d’autre, à genoux dans la position obligatoire, càd jambes écartées et mains derrière la tête faisant mettre en avant leur poitrine. Gilles se retrouva au milieu, la femme d’en face avait relevé sa jupe et avait écarté ses cuisses. De plus, elle faisait du pied à Gilles. Avec la table en verre, on voyait tout ce qui se passait en-dessous. Gilles ne put qu’admirer les cuisses et le string de cette femme. Bien entendu, la discussion était beaucoup porté sur le sexe, mais Gilles a pu au fil de ce repas en apprendre un peu plus sur ces couples, leur activité professionnelle, leur adresse principale et secondaire et leur pratique sexuelle. Il apprit également que le salon ou travaillait Aline appartenait à Jacques. Par la même occasion, Marie apprit que Gilles allait servir de queue pour ces couples. D’un geste, Maitre envoya Marie sous la table pour qu’elle lèche la chatte de la femme qui se trouvait en face Gilles, ce que fit Marie sans discuter. A la fin du repas, Jacques invita tout ce petit monde à s’installer dans la salle du Maitre. Il arriva ensuite tenant Aline en laisse, Marie 1 mètre derrière eux. Les deux chiennes se mirent à genou aux côtés de leur Maitre.
-Marie, depuis que tu es en dressage tu as droit à nous satisfaire dans deux de tes orifices, ta bouche et ton trou du cul. Maintenant, je vais te mettre ton collier que tu attends avec impatience et j’investirai ta chatte. Chatte qui réclame une queue depuis quelques temps et ainsi tu connaitras la jouissance grâce à ce troisième orifice. Tu es ma chienne et je veux que cette chienne soit toujours en chaleur. Tous tes orifices seront mis à ma disposition et ce sans discussion. As- tu une dernière question avant la mise de ton collier ?
-non Monsieur, je suis à vous et ferai ce qui bon vous semble et m’efforcerai à ne pas vous décevoir.

Sur ce, Jacques mit le collier de chienne à Marie et lui demanda de s’installer sur le dos, sur ce meuble décrit lors d’un épisode précédent. Omar l’attacha et lui banda les yeux. Jacques, par un geste, envoya Aline pour déshabiller Gilles et Omar. Pendant ce temps, Jacques dit à Marie
-Marie je vais enfin te baiser et je veux que tu te mémorises ma queue qui te fera jouir entre toutes les queues qui te prendront.
-oui Maitre
Les couples, dans un beau mélange, se caressaient. Des hommes se faisaient sucer, une femme embrassait un homme et triturait les tétons. Bref, on sentait le plaisir, l’excitation dans cette pièce. Omar et Gilles, debout et nus se tenaient près de Marie et son Maitre et se faisaient branler par Aline. Jacques pénétra Marie pour la première fois dans sa chatte mouillée et la pistonnai lentement, rapidement. Il faisait languir Marie en entrant et sortant jusqu’au moment où Marie commençait à remuer comme elle pouvait et gémir de plaisir. On voyait bien que Marie cherchait à avoir la queue de son Maitre au plus profond et qu’il accélère la cadence. Jacques comprit la demande de sa chienne et accéléra son mouvement de va et vient. Marie jouit. Son Maitre se retira, présenta sa grosse queue à la bouche de Marie. Elle aspira cette queue et la pompa au plus profond de sa gorge. Jacques d’un signe de main invita Gilles à baiser enfin sa femme. Gilles se fit pas prier et prit possession de la chatte de sa femme et la baisa enfin. Il éjacula relativement rapidement étant tellement excité. Maitre éjacula dans la bouche de Marie, Marie ayant eu le sperme de ses deux hommes, son mari et son Maitre, dans son corps. Omar prit le relais dans la chatte de Marie et elle jouit une nouvelle fois. Aline dut nettoyer la queue de Gilles et la remettre en érection. Gilles devait être à la disposition de ses amis du cercle, ce qui fut fait. Les autres hommes du cercle purent profiter de la chatte de Marie. Un des hommes voulait enculer Aline. Aline remplaça Marie sur ce meuble et c’est sur le ventre qu’elle s’installa. Elle fut attachée et fut enculée par ceux qui le voulaient. Marie se mit à genou dans la position réglementaire. La soirée se termina ainsi, Gilles ayant baisé, léché des chattes. Un couple a emmené Gilles chez eux pour finir la nuit à trois. Jacques a dit à Gilles avant qu’ils ne partent qu’l gardait Marie pendant les deux prochains jours et qu’il devait prévenir l’employeur de son absence du lundi.
Fin du premier dressage de Marie qui est depuis la chienne en chaleur de son Maitre.