Emma, agent immobilier. #1

- Par l'auteur HDS Olive-verte -
Auteur femme.
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Récit libertin : Emma, agent immobilier. #1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Emma, agent immobilier. #1
Emma avait mis de côté sa vie sentimentale pour mener de front sa carrière. A tout juste trente ans, cette jeune femme travaillait d’arrache-pied dans l’immobilier. Et se donnant corps et âme dans son travail, elle avait bien du mal à faire de nouvelles rencontres, vu son planning extrêmement chargé. Elle aurait bien aimé, de temps à autre, lors de ses longues soirées de solitude, être en présence d’une personne avec qui elle aurait pu partager ses fantasmes, mais ce n’était pas forcément évident. Il y avait bien ce stagiaire, mais il avait quitté la boite il y a déjà deux mois de ça. Et pourtant, Emma n’avait de cesse de repenser à leur première rencontre, en se touchant, la nuit seule dans son lit.

Gabriel, de son prénom, était un beau jeune homme, la vingtaine flamboyante, et se pliant en quatre pour satisfaire son patron. Un soir, il était resté tard, pour terminer un dossier sur lequel il travaillait. Emma aussi, était là, assise à son bureau. Un couple avec de gros mayens, comptait sur elle pour leur trouver l’appartement de leur rêve, en plein coeur de Paris. Et elle savait que cette vente pourrait lui rapporter gros. Alors elle se donnait à cent pour cent, quitte à passer une partie de la nuit au bureau.

Vers dix heures du soir, ses pensées divaguaient. Sûrement à cause de l’épuisement. Mais surtout au manque sexuel qu’elle vivait déjà depuis quelques temps. Se pensant seule, elle entreprit de se toucher, là, au milieu de son bureau, afin de satisfaire son envie. Vêtue d’un tailleur, elle ne tarda pas à remonter sa jupe le long de ses fines cuisses pour laisser sa main saluer son clitoris comme il se devait. Son autre main, elle, palpait avec vigueur l’un de ses seins, qu’elle avait au préalable fait sortir de son chemisier. Emma adorait se masturber au bureau, elle se sentait cochonne. Et l’idée que l’on puisse la surprendre n’avait pour effet que d’amplifier l’orgasme qu’elle s’offrait. Ce n’était d’ailleurs pas la première fois qu’elle se retrouvait ainsi, culotte baissée au milieu de son bureau. Non, elle avait pris l’habitude de le faire pendant sa pause déjeuner, quelques fois par semaine, après avoir demandé à ce qu’on ne la dérange pas. Et elle avait même fini par s’équiper pour l’occasion, cachant un gode au fond d’un tiroir. D’ailleurs ce soir là, après s’être caressée longuement le clitoris, elle décida qu’il était temps d’offrir à son vagin, un peu de réconfort. Alors, la main encore pleine de cyprine, elle ouvrit ce fameux tiroir pour en sortir son gode fétiche.

Celui-ci était monté sur une ventouse pour le stabiliser. Pleine d’entrain, elle le colla alors sur son bureau, monta sur ce dernier et s’empala presque d’un coup sur cette tige, pour se baiser comme elle le méritait. De ses mains, elle avait fini par ôter son chemiser et son soutif afin de libérer sa poitrine opulente et pincer ses tétons. Parfois, elle se laissait même aller et se donnait quelques petits surnoms bien sentis avant de fermer les yeux en s’imaginant quelques mâles, la mattant, le dard dressé.

Ce qu’Emma ignorait, c’est que ce soir-là, son fantasme allait devenir réalité … En effet, Gabriel, surpris par les gémissements provenant du bureau d’Emma, était venu voir si tout allait bien. Et c’était manifestement, bien le cas. Il observait alors longuement, la jeune femme qui, dos à lui, s’empalait inlassablement sur le gode lui semblant énorme, en répétant qu’elle était une petite chienne qui aimait les queues. Il n’en fallut pas plus à Gabriel pour être pris d’une érection sans précédent. Ne pouvant freiner son envie, il entreprit alors de se branler, devant la porte, l’air de rien, en regardant Emma se baiser vigoureusement. Son sexe entre les mains, il se branlait frénétiquement, espérant pouvoir être un jour, à la place de cette queue de plastique. Et plus Emma gémissait, plus il se sentait venir.

Seulement, lorsque la jeune femme se retourna, et poussa un petit cri de surprise, il ne se démonta pas et la somma de descendre du bureau.
- Montre moi, si tu es vraiment une petite chienne. Suce moi, déclara t-il d’un ton autoritaire qu’il ne se connaissait pas. L’envie avait pris le pas sur tout et Emma, la chatte dégoulinante, s’avançait vers lui, à quatre pattes, prête à en découdre avec cette véritable bite qui s’offrait à elle. Rapidement, elle la saisit entre ses lèvres et commença alors à en suçoter le gland, histoire de faire monter d’un cran l’excitation du stagiaire en le frustrant un peu. Elle le suçotait, faisait glisser sa langue contre sans jamais le quitter des yeux. Et elle reçut l’effet attendu puisque Gabriel finit par appuyer sur l’arrière de son crâne pour que son sexe tendu s’enfonce plus amplement dans la bouche de notre petite cochonne.
- Suce, j’ai dit.
Emma ne se fit pas prier plus longtemps, et avala presque ce sexe tendu, lui offrant au passage, quelques gorges profondes bien senties. Malheureusement pour elle, Gabriel finit par juter, au fond de sa gorge. Et une fois vidé, il n’était pas prêt de rebander comme ça avant le lendemain. Emma accepta son sort, et repris alors sa place sur son gode, tandis que Gabriel se décida à rentrer chez lui.

Ils prirent par la suite, l’habitude de se croiser, le soir, dans les couloirs du bureau. Mais rien n’alla plus loin que du sexe oral. Car, même si Gabriel maitrisait avec brio l’art de faire un cunni, il n’en restait pas moins très mal membré. Et Emma, habituée au gros calibre de ses godes, ne pouvait se résoudre à se faire fourrer par une si petite queue.

Il la poussait sur le bureau de patron, puis lui baisait la bouche violemment, en lui mettant un doigt dans son petit orifice, de temps à autre. Et Emma n’était pas contre. Bien au contraire, elle avait toujours adoré l’anal. Alors ce doigt dans le cul lui donnait un petit avant-goût de ce qu’elle se ferait par la suite, à l’aide son gode, lorsque, comme toujours, Gabriel l’abandonnerait après avoir juté dans sa bouche ou entre ses seins.

Mais voilà, Gabriel était parti et il fallait à présent, se trouver autre chose - et de mieux! - à se mettre sous la dent.

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