Initiation à la domination - 3

- Par l'auteur HDS H57 -
Récit érotique écrit par H57 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Initiation à la domination - 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Initiation à la domination - 3
Nous allons enfin passer aux choses sérieuses, nous discutons de nos limites respectives, nos disponibilités.
Elle est en vacances encore une semaine après les fêtes, parfait il me reste quelques jours à poser. Je lui dis de bloquer du 3 au 6 janvier et d’attendre mes directives.
En la raccompagnant à sa voiture j’en ai profité pour prendre l’immatriculation de sa voiture, travaillant dans le milieu auto, je me procure, grâce à l’immat, l’adresse du propriétaire de la voiture.
Je commande sur un sex shop en ligne, toute sorte de jouets, accessoires et lui les fait adresser en plusieurs fois. (gode, plug, menottes, martinet, bougies aux huiles essentielles,….)
En parallèle je bloque une chambre d’hôtel le premier soir près de chez elle, et à Liège les deux derniers jours.
Le réveillon arrive à grand pas, je lui promets de ne pas la mettre aux défis le 24 et 25 pour qu’elle profite en famille pour être prête en ce début d’année.

Noël est passé, elle me dit être heureuse, et pressé de passer à la nouvelle année, entre les fêtes je lui donne quelques petits défis, surtout par principe, car de mon côté la seule qui compte est notre city trip.

Nouvel an, soirée bien arrosée, à minuit j’envoie un message préparé à l’avance « bonne année ma chère soumise, demain nous le fêterons dignement, profites bien d’ici là, car demain tu seras à mon entière disposition, je te veux à l’endroit que je t’indiquerais d’ici quelques heure vêtue de talons, bas couture noirs, shorty, la robe que achetée lors de notre escapade, prépare un sac de voyage avec le nécessaire de toilette, maquillage, un jeans, un haut, bonne soirée, et bien évidemment tous ce que tu as reçu par courrier ces derniers temps, bonne année »
La soirée finit, je reste chez mes amis car trop éméché, je me réveille à 13h, hé merde, il me reste 4 heures pour rentrer chez moi, préparer des affaires, prendre une bonne douche et faire les deux heures de route, ça va être tendu.
15h30, douché, sac de voyage à la main, habillé je ferme la porte, monte dans ma voiture et lui envoie le nom de l’hôtel, lui d’aller faire l’enregistrement et de m’indiquer le numéro de chambre puis me met enfin en route.
Je regarde mon portable, un message vocal, c’est Magalie qui me dit avoir pris une dernière liberté, annuler l’hôtel, ses parents étant partis nous avions donc la maison à notre entière disposition, changement de plan, je n’apprécie pas le fait qu’elle prenne ce genre de liberté, mais je dois avouer que je préfère avoir la maison qu’une chambre d’hôtel pour assouvir mes désirs.
J’arrive devant un portail en fer forgé, s’ouvrant automatiquement, je conduis sur l’allée de gravier qui mène à une maison de maître isolée sur un terrain que j’imagine très grand et arboré.
Je descends de mon véhicule, m’approche de l’entrée, je vois un petit mot sur la sonnette « je vous attends dans ma chambre, 1er étage, première porte à gauche »
J’entre, un hall d’entrée avec de très joli meuble donnant sur un escalier en marbre, la porte en bois massif claque derrière moi, pas de doute elle m’a entendu, entre les graviers et la porte. Je décide donc de faire le tour du rez de chaussée avant de monter, un grand salon avec une cheminée dont le feu est déjà en route, une cuisine immense, très moderne et bien éclairée, un garage, un cellier, un bureau, une salle aménagée en salle de sport…. Je vais monter, je monte cet imposant escalier, 1ère à gauche, la porte est ouverte. Elle est assise sur une chaise en rotin, les yeux baissés, tout rouge, en passant la porte elle se lève pour venir m’embrasser, mon seul réflexe est de défaire ma cravate et de la jeter au sol.
- Ramasse là et met la sur tes yeux, noue la
Son visage est rouge, ses yeux plein de larmes
- Pourquoi tu pleures, tu veux arrêter, tu as peur ?
- Non Mr, je voulais vous embrasser et m’offrir à vous
- Je n’ai pas du tout apprécié ton changement de programme, encore moins le ton tout enjoué et fier sur lequel tu me l’as dit, tu vas donc être punie pour ça, noue la, met toi à genoux devant le lit, bras sur la tête et menton relevé, tu ne dis plus mot et obéis, tu n’as le droit de parler que si je pose une question. Est-ce clair ??
- Oui Mr, je comprends votre réaction, je suis désolée et prête à accepter vos punitions
Ce qu’elle ne sait pas, c’est que je ne l’écoute pas, je suis parti en direction de cette porte ouverte au fond la pièce, une salle de bain attenante à sa chambre, de retour dans la chambre, je découvre une autre pièce, un dressing …. Parfait, je fouillerais la dedans plus tard.
Je retourne dans la chambre, m’assois sur le fauteuil, et l’observe.
Elle est délicieuse, cette ligne corporelle harmonieuse, je m’aperçois que ses bras ont du mal à rester en place, ses genoux aussi, j’en profite elle essaye discrètement de bouger.
Je décide de la faire patienter, je descends, fume une clope. En rentrant je passe par la cuisine, ouvre le frigo prend une bouteille d’eau, un bol, et sac de glaçons.
Lorsque je remonte, elle n’a pas bougé mais je vois que ses bras faiblissent.
- Approches-toi de moi à 4 pattes vient à mes pieds lorsqu’elle est entre mes jambes je me redresser et l’effleures avec mon doigt, de son genoux jusqu’à ses cheveux, elle a eu un léger sursaut lors du premier contact, j’empoigne ses cheveux, qu’elle a attachée tirés en arrière rapproche fermement son visage du mien, et tout douceur vient, du bout de ma langue dessiner ses lèvres. Elle reste stoïque, se laisse faire, sans bouger, sans dire un mot, sans un bruit.
Je vois au travers de la robe ses seins globuleux dont les tétons sont déjà érigés, j’en profite pour caresser tout le bras du dos de main ce qui a pour effet de lui filer la chair de poule
- Tu pointes déjà ?!
- Oui Mr
- Tu mouilles déjà ?
- ….ou…. je ne sais pas trop Mr
- Tu mouilles, oui ou non ??
- …
L’absence de réponse m’oblige à aller vérifier, je plonge alors ma main en dessous de la robe et pose ma paume au niveau de l’entrejambe, tu parles qu’elle mouille, le shorty est déjà tout souillé. J’apporte alors mes doigts tout humide a sa bouche, force l’ouverture et y introduis les doigts afin qu’elle goûte à son intimité.
- T’es déjà trempé ma coquine, dit moi qu’est ce qui te fait tant d’effet …
- Je ne sais pas Mr.
- Tu t’es fait du bien aujourd’hui ?
- Ce matin après la douche Mr
- Ok, tu as soif ?
- Oui mr
Je verse un peu d’eau dans le bol, tient bien ses cheveux et lui apport le visage vers le bol.
- Sors la langue, et bois à ta soif.
J’en profite pour frotter son dos, malaxer ses fesses, les fessées. Recommence en lui faisant compter, je m’arrête à dix, je remonte sa robe pour vérifier et je vois deux beaux globes tout rouges
Je la relève, l’emmène vers le lit, la fait s’allonger, lui fait ouvrir la bouche, et vient lécher ses lèvres, sa langue et y laisse un peu de salive. Je lui enlève la cravate que j’accroche à chaque poignet et à un barreau du lit.
Je remonte sa robe jusqu’à la taille, et dépose deux glaçons a sa taille, de façons à ce que lors de la décongélation toute l’eau glisse sous le shorty et aille droit vers sa chatte, qui elle, après vérification est en feu.
Elle se contracte lorsque je dépose les glaçons, et se détend après quelques secondes.
- Maintenant on va jouer ma coquine tu as envie ?
- Plus que jamais putain
Un claque s’abat sur sa cuisse
- Un peu de respect, re-formule ta réponse
- Oui Mr, faites de moi votre passe-temps, je suis votre putain
- Je préfère ça, tu es prête pour passer 4 jours pendant lesquelles ta seule préoccupation sera de m’obéir ? Tes désirs, tes limites n’ont pas évolués
- Oui Mr, je serai à votre disposition totale dans les limites définies
- Tu te rappelles du safeword, tout est clair dans ton esprit ?
- Oui Mr
- Très bien, les glaçons ont fondus, je vais vérifier l’état de ta chatte, tout en disant ca, deux doigts plongent dans son shorty et s’insinue directement au fond de sa chatte, j’essaye d’apporter un maximum d’eau froide avec, elle frémit, j’en est la chair de poule, entre la chaleur de sa chatte et le froid des glaçons fondus.
- T’es bien chaude ma coquine
- Je s….
Une grande claque s’abat a moitié sur sa chatte, a moitié sur sa cuisse
- Je t’ai demandé de parler ??
Je récupère sa cyprine et lui tartine la bouche m’appliquant à en laisser sur ses lèvres.
Je lui libère les mains, lui rebande les yeux et la remet à genoux devant le fauteuil, en prenant soin d’y déposer un linge récupérer dans son dressing afin de ne pas blesser ses genoux, je me mets assis, déboutonne le pantalon, ouvre la braguette
Je lui fais approcher se tête :
- Fais-moi jouir avec ta bouche, ne te sers de rien d’autre, et applique toi je ne veux d’un vulgaire pipe, on va jouer à un jeu, je vais nous prendre en photos, en vidéos, il t’est certifié que ces images resteront privées, tu as 5 secondes pour manifester ton désaccord car nous n’en avons jamais parlé.
Pour seule réaction, un coup de langue partant de mes couilles jusqu'à mon gland, parfait, je récupère le portable dans ma poche, prend quelques photos, bite dans sa bouche, langue sortie en train de jouer avec le gland…
Je me branle pendant qu’elle joue avec mes boules, léchées, gobées, elle s’y prend bien, je lui serre les cheveux et décide de diriger cette pipe, j’introduis mon membre dans sa bouche, elle a compris elle se laisse faire, je fais des allers-retours avec sa tête, plus ou moins rapide de plus en plus profonds, je lui enfonce maintenant complètement ma bite, la bloque une ou deux secondes au fond, ressort délicatement, la bifle, m’essuie la bite pleine de salive sur sa joue, ses lèvres et recommence.
Je prends mon temps, mais je veux jouir, j’accélère le rythme, je lui baise littéralement la bouche, je change de position, je me lèvé, l’asseoit sur le fauteuil, la fait basculé pour que sa tête pende sur le côté, elle devine la suite, penche bien sa tête et ouvre grand la bouche.
Je lui défonce littéralement la bouche, et d’un grand coup, me vide dans sa bouche, ça débord, sa lui coule maintenant en dessous du bandeau. Son visage est recouvert de sperme.
Je la remets en position, lui fait nettoyer ma bite et me rhabille.
Je lui débande les yeux, j’aperçois à ce moment, cette jeune femme d’une beauté inouïe recouverte de sperme, le maquillage coulant, mais les yeux satisfaits et rempli de bonheur.
- Va te refaire une beauté, enlève ta robe et rejoins moi en bas
Je récupère ma cravate que j’inspecte, pas de trace, je la passe autour de mon col.
Je cherche son sac dans lequel elle a dû mettre les accessoires que je lui ai offert, le trouve dans le dressing, je récupère l’oeuf et sors fumer une clope pour me remettre les idées en place.
Il est 18h30, je prends place dans le salon devant la cheminée, j’entends après 5 minutes les talons dans l’escalier, d’instinct elle vient se remettre à genoux devant moi, lui caresse les cheveux, et la félicite
- C’est bien ma coquine, tu prends de bons réflexes, va nous préparer un apéro, d’ici une heure on a rendez-vous.
Sa démarche avec son shorty qui met en valeur ses fesses, et les bas qui agrandissent ses jambes et font rebondir encore plus ses fesses me font un effet indéniable.
Lorsqu’elle revient, je regarde ses seins qui basculent au rythme de sa démarche, les bas mettent en valeur ses jambes d’une longueur et d’une douceur divine.
Deux verres dans une main, une bouteille dans l’autre, un St Joseph 2004, ils ont vraiment bon goût, j’adhère.
Elle nous serre et reprend place
- Viens sur mes genoux ma coquine
Nous nous réservons un verre, elle se love contre moi, je la caresse de bas en haut, n’oublies aucune partie de son corps, nous profitons de la chaleur accueillante de la cheminée, je touche sa chatte très humide à travers le fin tissu du shorty, qui, le pauvre, est inondé depuis maintenant plus de 2h.
- Va enfiler ta robe, apprête toi je te sors je t’attends ici
Elle remonte, je me place derrière et vois son cul rebondir à chaque marche, elle amplifie le mouvement et me regarde avec un sourire coquin.
J’ajuste ma cravate, remet ma veste de costume, mon manteau sur le bras, je vais mettre la voiture en route pour que le chauffage soit efficace dès que l’on monte dans la voiture, et revient l’attendre au bas des escaliers.
Elle sort de la chambre, et descends gracieusement les escaliers, sourire aux lèvres, elle profite de mon calme pour se pendre à mon coup et tenter de m’embrasser.
Je la repousse délicatement, lui tend le bras et nous sortons.
Arrivés dans la voiture je sens un regard inquiet
- Tu as une question Mag’ ?
- Tu nous emmène nous ?
- On va manger, j’ai réservé une table au restaurant dans une ville voisine pour garder ton anonymat comme convenu, nous rentrerons ensuite à la maison
- Très bien, je sens très bien et très en sécurité avec toi, j’ai une confiance aveugle, je suis prête à m’offrir entièrement à toi Mr.
Nous arrivons après une demi-heure de route, pendant laquelle je lui ai demandé de jouer avec sa chatte, et ses cuisses. Arrêté je récupère Mag’ chaude comme la braise, les joues rouges, la chatte dégoulinante de désir, je lui fais signe de m’occuper de moi.
Apres quelques minutes d’application je suis prêt à exploser. Je l’averti, et lui dit de faire attention à ne pas tacher sa robe, ni mon pantalon.
Elle se relève, en remettant sa robe et en me regardant, passant sa langue sur sa lèvre supérieure, coquine, je fouille dans la poche de ma veste où j’ai glissé l’œuf, le lui tend, et lui intime de le mettre, je prends de suite la télécommande et teste vicieusement le fonctionnement de celui-ci.
Nous nous dirigeons vers l’entrée du restaurant, bras dessus, bras dessous, ma main dans ma poche active la télécommande une fois la porte du restaurant ouverte.
Le serveur nous installe, elle se trémousse et lui sourit bêtement.
Je prends un malin plaisir à la voir se tortiller et retenir sa jouissance. Lorsque je m’aperçois qu’elle réussit à canaliser son plaisir je coupe l’œuf.
Nous prenons l’apéritif, au moment de commander l’entrée, j’attends qu’elle s’adresse au serveur, et active l’œuf, son regard change, elle devient rouge, je souris.
Je le laisse en route le temps que l’entrée arrive.
Une fois l’entrée fini, je lui intime l’ordre d’aller aux toilettes, retirer l’œuf, de le nettoyer, de retirer son shorty et de me les rendre.
Elle part 2 minutes, le serveur en profite pour me demander si tout va bien, je lui souris et lui explique qu’elle a trop fêté la nouvelle année et qu’on a joué les prolongations avec un clin d’œil, il s’en va tout sourire.
A son retour, comme convenu elle me tend sous la table l’œuf emballé dans son shorty, je les prends, enlève l’œuf et pose le shorty sur la table, elle ne sait plus où se mettre, lorsque l’on nous sert le repas, je le fais discrètement et maladroitement tomber, elle sur jette littéralement dessus avant que le serveur le fasse, le serveur a eu pour reflexe de se baisser, et a désormais une vue plongeante sur sa robe très échancrée et ses seins nus. Elle croise son regard en se relevant il est tout émoustillé, il a bien vu que ce n’était pas la serviette qui était tombée.
Nous finissons notre repas, le vin fait son effet, elle m’avoue être un peu pompette.
Je règle l’addition, laisse un joli pourboire au serveur qui était, comme par hasard, très avenant et venait souvent à notre rencontre voir si tout allait bien.
Sur le chemin du parking, j’intime à Mag de lever sa robe pour dévoiler ses fesses.
Dans la voiture, je lui ordonne de l’enlever entièrement :
- Désormais tu n’en n’aura plus besoin, lorsque nous arriverons à la maison,tu rentrera à 4 pattes et resteras à mes pieds comme une bonne chienne, si tu es sage tu seras baisée et souillée, ensuite nous dormirons, car demain une grosse journée nous attend.
De retour chez elle, je gare la voiture, lui ouvre la porte et la dirige vers l’entrée, directement elle se jette à 4 pattes :
- Nous allons aller dans la chambre, dépêche-toi et grimpes, ne te relève pas !
Elle monte tant bien que mal, marche après marche les escaliers froid, chaque marche est accompagnée d’une fessée ou d’une claque sur la cuisse, elle grogne, ses fesses chauffent, je l’admire.
Arrivés en haut, je la guide vers la chambre, le fait monter sur le lit, l’allonge.
- Depuis le début tu est relativement sage, je vais te faire honneur, par contre tu jouiras seulement lorsque je t’y autoriserai.
Je lui défais son soutien-gorge, ses seins sont pointés, je les mordille, et les étires, elle couine de douleur, je baisse ma tête vers son entre jambe, j’entame alors un cuni très long, tout y passe, son clito, sa chatte je mordille, lèche, chaque centimètre carré de son intimité, y enserre de temps a autre un ou deux doigts, j’en profites pour jouer avec ses seins, je les enserres plus ou moins fort, étire les tétons, la douleur et le plaisir sont alors mêlés.
Je sens le désir monté, ma tête est alors enserrée entre deux superbes jambes gainées de leur bas soyeux.
Je stoppe tout, je la sens frustrée, je remonte, l’embrasse a pleine bouche, ma salive et sa cyprine se mélange avec sa salive, tout en l’embrassant, je m’insère d’un coup de tout mon long dans sa grotte qui est trempée et d’une chaleur exquise.
Apres quelques minutes de ramonage en règle je la retourne, la met à 4 pattes, elle se courbe directement, elle est experte apparemment, j’ai une vue imprenable sur une croupe majestueuse qui donne sur son petit trou tout plissé, et sur sa chatte baveuse, s’en est presque indécent, je m’en vais lécher sa raie cuillère en descendant sur sa chatte, prolongeant la caresse jusqu’au clitoris, je recommence deux-trois allers-retours.
Je m’enfonce ensuite d’un violent et long coup dans sa chatte, lui arrachant un cri de plaisir.
Tout en faisant des allers-retours je claque ses fesses, et les caresse alternativement, mes caresses se font insistantes du côté de son petit trou, je sens sa réticence, étant vierge, au fur et à mesure je lui fais l’amour tendrement et profondément, mes caresses sont douces, et je sens son anus se relâcher, elle prend confiance, je mets de la salive sur mes doigts et vais frotter sur ce trou, et tout en lui caressant je lui dis :
- Jouis coquine, lâches toi
La voilà, en transe, elle crie, hurle de plaisir, elle arrive, ses bras ne la tiennent plus, elle s’effondre, m’offrant encore plus sa croupe, nous jouissons en même temps, j’inonde sa chatte, elle coule à n'en plus finir, je sors, et lui présente ma bite pour un nettoyage expert.
Elle s’applique je vois ses eux qui trahissent le plaisir pris mais aussi l’épuisement.
Après une bonne douche, nous entamons une bonne nuit de sommeil.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Merci pour cette histoire qui est exactement ce dont je rêve

Histoire Erotique
Je retrouve l'ambiance des jeux SM que j'aime pratiquer. Je lirais à coup sûr la suite.
J'aimerais échanger mon expérience du SM avec l'auteur.



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