L'équipe XIII - histoire érotique

La journée passa vite, en fait l'absence d'activité était assez pénible car ce jour là je n'eu que deux cours qui se résumèrent à des sessions de questions/réponses/révisions et cela ne m'apporta quasi rien pour ne pas dire rien du tout. Même la bibliothèque était déserte... Je rentrais donc de bonne heure à l'appartement pour le trouver vide, un regard de chaque côté, dans les deux chambres, autant la mienne était rangée autant c'était le foutoir dans celle de David et il avait même oublié pas mal de vêtements qui s'empilaient dans un coin. je décidais de les prendre et de les mettre dans mon sacs ainsi je rentrerai à la maison avec et ils pourront être lavés là. Je secouais ma tête et me mis au travail, non pas sans m'être mis à poil et avoir enfilé le T shirt de David que j'avais trouvé dans la pile, il sentait un peu son odeur, je flottais dedans mais cela me fis sourire et pendant deux heures je bossais comme un fou jusqu'à ce que le téléphone me sorti de l'anatomie équine pour me ramener sur terre. c'était, nous parlâmes ainsi une bonne demi heure et je ne sais comment il le savait mais ce coquin essaya d'amener la conversation sur Steves mais je parvins a éluder les questions et noyer le poisson, même si je savais que Rick n'était pas stupide et se doutait de quelque chose. Il fini enfin par me demander si je venais à l'entrainement ou plutôt la relaxation du lendemain. Ce que j'acceptais je n'avais rien à faire et le jour suivant serait celui de mon retour en famille. Bien sur il nous fallait un chauffeur et il me dit que Daniel pourrait nous conduire. J'acceptais donc avec joie. Le lendemain fut sur le plan scolaire inintéressant... révisions sans valeur... Le soir même au bassin nous étions cinq, Moi et Rick compris, avec Daniel Emilien et Marian. Ce que nous avons fait barboter dans l'eau quelques longueurs quelques passes, quelques tirs rien de sérieux... notre doyen fini par nous proposer d'arrêter de profiter du spa du bassin. Je croyais cette partie fermée et inaccessible à cette heure du soir. Elle était bien fermée mais pas inaccessible... il ne leur fallut que quelques minutes pour rallumer un des sauna et une vingtaine de plus pour qu'il soit à température. Tout cela resta bien amical et chaste, notre nudité ne nous passa aux folâtreries et une grosse heure plus tard, j'étais de retour à l'appartement. Samedi, le lendemain, le prof avait bien tenu parole, il y avait un registre à l'entrée de l'auditoire et il pris les noms de chacun de nous... ne se privant même pas de conclure à la fin de l'enregistrement que les absents avaient toujours tort... (et le 'saligaud' si je puis me permettre tint sa parole...... à l'orale de fin d'année). Enfin moi j'avais évité cela.

C'est donc le lendemain, dimanche que j'arrivais à la maison. Bises à maman, ma soeur, vint le père de David, son petit frère et enfin mon grand blond. Bisous chaste pour tous sur la bise. Premier soir sur place depuis des semaines, des mois. Repas familial, je peux comprendre que la complicité et vraiment née entre ma mère et le père de David, ils s'entendent bien et pour une famille recomposée on se défends pas trop mal. L'ambiance est agréable, calme, on discute une partie de la soirée enfin plus entre les ados et nous qu'avec les parents ces deux là sont collés à la télé en train de mâter un film de romance... Mais cela nous fait plaisir d'après David c'est la première qu'il voit son père heureux ainsi aussi longtemps et Marc, son petit frère confirme. Ma soeur me dit pareil pour maman, il faut dire que David et moi ne les voyons pas alors que nos cadets eux vivent 24/24, 7/7 avec eux. il est 10 heures et les plus jeunes filent au lit, non pas qu'il y aie école le lundi, ce sont les congés de Noël mais c'est ainsi... David et moi pouvons rester, nous nous joignons donc aux parents et entre le film nous discutons un peu. Vint alors notre tour de gagner nos chambres. La maison est immense, une de ces vieilles bâtisses de maitre du début du vingtième siècle 3 niveaux, les parents occupent le premier et nous les enfant au second mais séparés... David et moi d'un côté les autres de l'autre.... chacun sa chambre, seule les salles de bains sont partagée et donc David et moi avons la même. Cela ne me gêne nullement et c'est ainsi. La première semaine se résume à du petit déjeuner, bonjour, révisions, rapide lunch à midi, révision, repas du soir et un peu de blabla avant le lit... Bref nous bossons dur pour réussir nos études alors que les jeunes bin eux ils s'amusent toute la journée... Cela aussi nous permet d'éviter les courses de Noël et tout le tralala... on s'accorde juste un moment pour le réveillon et zappons même la sortie du jour de Noël. Tout cela à un prix notre sociabilité en prend un coup et nous sommes sur les nerfs, lui comme moi. Je manque même de m'engueuler avec Marc.. mais ca passe...

Chaque matin je peux le voir dans la salle de bain, il ne fait montre d'aucune pudeur, si moi je porte un short, lui est nu, ses bourses bien plaines pendent bas, son sexe est souvent gorgé mais flaccide, purée qu'il est beau... que j'ai envie de le toucher de nouveau mais je n'ose pas. Chaque matin alors qu'il se brosse les dents il caresse ses couilles lentement, ce n'est pas un geste calculé, volontaire, plutôt un acte inconscient et naturel. Cela me plait. Moi je l'observe en silence restant sur les toilettes un peu plus longtemps, oui elle sont dans la salle de bain, ce n'est pas top, un peu en retrait mais de là on peux voir le meuble de la double vasque et dans le miroir son image. Sait il que je le regarde ou ignore-t-il cela, il n'en laisse rien paraitre. Le premier samedi est là, sixième jour sur place... David entre dans la salle de bain, cette fois ce n'est plus un membre flaccide qui pendouille entre ses jambe mais une barre bien levée que je vois dans le miroir non seulement levée mais gorgée de sang au point que le prépuce à glissé en arrière exposant son gland tout entier. Je n'ai droit qu'un "bonjour" à moitié grogné... je ne peux pas laisser faire... C'est trop pour moi je devine aisément sa gêne, sa peine, son manque... et même si j'ignore les miens, ils sont là aussi. Je regarde avec décir, passion, tendresse, compassion... Je fini par me lever et me dirige vers lui qui continue de se rincer la bouche. Je me presse contre lui, je ne dis rien, mes lèvres son sur son épaules droite, un bisou qui n'en fini pas, mes narines se dilatent alors que j'hume sa fragrance, qu'elle s'insinue à nouveau en moi et me fait sourire, me fait me sentir bien. Je ne dis rien.. il ne dit rien. Doucement, lentement mes mains glissent sur ses hanches, mes doigts finissent par s'aventurer dans sa toison, par couvrir son sexe, par courir dessus. Il ne dit toujours rien mais il r"pond à mes sollicitations et fini par se retourner, je suis accroupis devant lui mes lèvres ont fini de glisser de son épaule sur son torse, sur ses abdominaux et maintenant dans le plus grand silence mon visage se presse contre son sexé bandé, contre toison pubienne, contre ses bourses... Seule ma respiration, mes longues inspirations brisent le silence de la pièce. Que c'est bon, cette chaleur qui irradie mon visage, ses parfums qui emplissent mes narines... des bisous se posent, ma langue glisse, mes lèvres se pincent, s'enroulent. J'embrasse, je lèche, je retiens et je suçote des ses bourses, de ses testicules à son chibre, sa hampe, son gland. Bon dieu qu'est ce que c'est bon le sexe de son mec... Nous n'changeons aucun mot, aucun regard, seule sa main se mêle à mes cheveux les caressant, les ébouriffants lentement. Combien de temps me laisse-t-il faire ainsi ? Cinq, dix, quinze minutes ou moins? Je n'en sais rien, il n'en sait rien et on s'en fiche... Tout au plus pousse-t-il des grognements qu'il tente de refreiner. Un plus profond plus guttural s'échappe quand même quand j'aspire son gland au fond de ma gorge et que mes lèvres pincent la base de sa verge. Le plaisir partagé et là, intense puissant, je ne veux que son bien... il fini par se raidir, par pousser sur ses pieds et dans une série de grognement à peine étouffé il éructe son plaisir, sa verge pulse, sa queue se tend, s'arque boute et de long jet de son ambroisie s'écrasent au fond de ma bouche, dans ma gorge, me faisant déglutir avec délectation alors que je bois sa semence qui s'échappe avec force en de long jet, nombreux, il ne s'était surement pas branlé depuis, ses testicules étaient pleines et la je l'aide a les drainer pour notre plus grand plaisir. Le flot se tari mais je continue à téter tel un nourrisson affamé. Ce n'est que quelques minutes après que je laisse un sexe encore bandé glisser, tout luisant de salive, à l'air libre. Il ne dit toujours rien mais sa main s'offre a moi et je la prend, il m'aide à me relever et sans un mot il m'enlace avec force, me coupant presque la respiration et ses lèvres me couvre le visage avant de se verrouiller sur les miennes, cherchant, réclamant et conquérant un baiser profond. Les minutes s'écoulent et il me pousse sous la douche, pas un mot mais des caresses, en silence nous nous lavons mutuellement. C'est chaste et amical au début, passionné quand nos mains se referme sur le sexe de l'autre, se pressant l'un contre l'autre nos sexe s'aligne tant bien que mal du a notre différence de taille. Il se force vers le bas et nous nous masturbons ensemble main sur main jointe autour de nos verges... Je ne peux pas résister longtemps et d'une main libre il m'attire dans un baiser profond alors que j'atteins mon non retour et que je jouis contre son sexe, contre son bas ventre. C'est toujours en silence qu'il me soutient le temps que je récupère, il me laisse alors faire quand je m'agenouille et lape sa verge, la nettoie de ma langue et lui offre une seconde fellation. Cette fois ses mains soutiennent ma tête, si il me laisse principalement libre de temps à autre il pousse son bassin en avant et doucement, avec tendresse et passion il fait des va et vient de son sexe dans ma bouche poussant son gland plus loin le forçant dans ma gorge. Mais toujours après quelques poussées il me laisse libre et cette second fellation prend son temps, se savoure entre nous jusqu'a l'ultime instant où je bois à nouveau ce jus de mâle, ce petit lait. Pas un mot, juste de long baisers avant de nous sécher mutuellement, il quitte la pièce pour sa chambre sans un mot, moi de même mais nos regards se sont croisés et dedans la glace était brisée, le lien renoués plus fort encore, j'étais à lui comme lui à moi même si cela je ne le réalisais pas encore totalement.

La journée se passa à merveilles, la tension était retombée, nous étions plus sereins et nous héritâmes même d'une remarque le soir au repas comme quoi nous avions changé, étions plus réactifs et attentionnés envers les autre ce jour là. En effet, il n'y avait pas eut le moindre grognements ou récrimination, nous eûmes un peu de mal à répondre mais cela passa. Plus tard lorsque nous allâmes nous coucher j'étais dans la salle de bain à me brosser les dents, portant juste un short quand David entra, comme toujours dans la tenue d'Adam qui lui allait si bien. Il en dit pas un mot mais vint se plaquer contre mon dos, je pouvais sentir son sexe flaccide mais gonfle qui se frotter le long de la raie de mes fesses au travers de la mince étoffe qui cerclait mon bassin. Tout en roulant très lentement du bassin il déposait bisous et petits mordillement sur mes épaules sur les clavicules et dans mon cou. Une main se posa sur mon entrejambe et au travers du tissus il me caressa le sexe, tirant çà et là sur mes testicules, sur ma hampe, repoussant mon prépuce en arrière. J'eu des plus grands maux à finir de me brosser les dents sous un tel traitement mais j'y parvins et à ce moment là de ces pouces se coinçant dans mes shorts ils les poussa vers le bas et les fit tomber à mes pieds, murmurant à mon oreille "Tu n'en auras plus besoin. Jamais" il insista sur ce dernier mot et je n'allais pas le décevoir, désormais je dormirai nu chaque nuit. Sans vraiment m'en rendre compte il avait amené avec lui un petit pot de ce qui se révéla être un gel lubrifiant, je le sentis peu aprés qu'il aie commencer à ma caresser les fesses de ses mains, glissant ses pouces le long de ma raie, titillant ma rondelle de leur extrémités. C'est un index enduit de ce gel qui fini par se présenter et par forcer mes sphincters, tout en sombrant en moi, sa main libre repoussait mon prépuce en arrière jusqu'à le tendre au maximum quand son doigt tout entier fut en moi. Il se joua de moi ainsi quelques courtes minutes, me masturbant, me doigtant sans merci tout en m'embrassant sur les épaules, la nuque, le cou. Je ne pus résister plus et mon corps se cabra alors que je gémissait bruyamment, ma semence jaillit et s'écrasa un peu dans la vasque, beaucoup contre le miroir. ses doigts se refermèrent autour de mon gland alors que j'éculais encore. Je ne compris juste après pourquoi il avait fait cela... usant de mon sperme en supplément du gel il enduit son sexe de ce mélange et fini par glisser son gland gorgé de sans le long de ma raie, poussant et titillant ma rondelle, ne me laissant guère de répit il la força a s'ouvrir de nouveau mais cette fois l'invasion était bien plus massive que son index et majeur réunis. Je gémissait d'un mélange de douleur et de plaisir. poussant centimètre après centimètre, reculant un peu de temps à autre pour mieux revenir à la charge son sexe gonflait de désir se lova en moi, trouva sa place, la réclama sans merci, écartant mes anneaux, étirant mes parois de chair. Lorsque son dard fut enfoncé en moi jusque la garde, il reposa son menton sur mon épaule et dans le miroir me sourit. Lentement il se retira puis se cabra et me pénétra de nouveau. Une, deux, trois, quatre, cinq et bien d'autres fois encore, à chaque mouvement de pénétration il était un peu plus rapide, il construisait son rythme. De longue et délicieuses minutes il me pris ainsi, avec fougue, passion et désir. Il ondulait, il roulait du bassin, tantôt lentement en douceur, tantôt en puissance. Mon corps devint un écrin pour sa verge, un fourreau pour son sabre. Il fini par me retourner, mes jambe levée contre son torse, mes pieds au delà de ses épaules, il pilonnait mon fondement sans relâche, cherchant à prendre le maximum de plaisir mais aussi a m'en donner encore plus. La position n'était pas des plus confortable mais le plaisir de son sexe glissant en moi submergeait cet inconfort. Ses mains finirent par agripper mes flancs, mes hanches , il pilonner sans relâche, sa jouissance si proche et jetant sa tête en arrière, ce grand blond, cet Apollon musclé éructa son plaisir, son orgasme alors que son foutre, sa semence chaude jaillissait en moi au plus profond de moi.

David respirait comme une locomotive vapeur sous pleine pression, ses yeux grand ouvert, ses lèvres se plaquèrent au miennes dans un baiser long, profond et fougueux. C'est avec une aise déconcertante qu'il me souleva du meuble et me porta dans sa chambre, m'allongeant sur le lit... Sa queue trouva de nouveau le chemin de mon anus, de mon petit orifice qu'elle envahit, il y plongea ce phallus admirable de nouveau et me fit ainsi l'amour pour une seconde fois, moi sur le dos lui allonge puis à genoux, il me retourna même, me prenant façon levrette, finissant par me pousser dans le matelas, reposant tout son poids sur moi en de violent coups de bélier. Mon homme, mon quasi frère se répandit en moi pour la seconde fois cette nuit là et me poussa ainsi à mon second orgasme, tapissant de ma propre semence les draps de son lit. Mais ni lui ni moi ne prêtèrent attention à cela. Nous étions trop bien. Il ne se retira pas de moi mais nous fit rouler sur le côté, refermant ses bras musclés autour de mon torse, il me tenait contre lui et je dois avouer, j'étais aux anges, là où je voulait être, avec lui. C'est ainsi que nous trouvâmes le sommeil, l'un contre l'autre en cuillère.

Au petit matin, au réveil, un sourire large comme une banane illumina mon visage lorsque je réalisai où j'étais et que ces bras puissants m'enlaçaient encore de la manière la plus possessive et romantique possible. Nous n'avons pas parlé de cela, pas un mot mais durant cette seconde semaine de blocus chaque matin nous nous lavions mutuellement et je buvais à la source ce nectar chaud et soyeux, chaque soir, il inondait mes entrailles à deux ou trois reprises de sa semence... Nous ne nous sommes jamais inquiétés d'être entendu ou découvert... Chaque soir, mes shorts de nuit restaient dans le tiroir de la commode, chaque matin je défaisais et refaisais mon lit comme si j'y avais passé la nuit. Chaque journée nous bossions comme des fous et la pression le stress nous l'évacuions à notre manière, celle de fougueux amants. La semaine passa sans même s'en rendre compte et lors du premier jour des examens alors que David et moi abordions les épreuves détendus et confiants, nous pouvions voir le poids et la pression du stress s'afficher sur les "faces de zombies" de nos camarades étudiants... Nous avons continué ainsi chaque soir et matin de ces deux semaines d'épreuves et d'examens, pour notre plus grand bien.

Le mercredi midi de la seconde semaine était là, ma dernière épreuve venait de s'achever, j'étais maintenant en congé pour les 10 jours à venir quant à David il lui restait un examen du jeudi et encore un le vendredi, de la il partait avec une bonne partie de sa classe en vacances de neige, moi je restais là, enfin je rentrais à la maison... Je ne fus guère surpris du message reçu à peine sorti de l'auditoire, Rick me demandait si je pouvais passer chez lui, ce que j'acceptais à la condition d'être rentré à quatre heure, sans lui dire pourquoi, je n'allais pas lui dire que je voulais être à l'appartement au retour de David. Je n'en reviens toujours à quelle vitesse une fois entré chez Rick nous nous sommes retrouvés nu sur son lit en position de soixante neuf à nous sucer mutuellement, surement le stress de ses examens qu'ils devait lui aussi évacuer... Et ce n'est qu'une fois le ventre étancher de la semence de l'autre que nous discutâmes de notre blocus, des exams mais aussi des congés à venir. Nus comme des vers nous discutions tous dans le canapé autour d'un grand verre de jus de fruits. il ne partait non plus au ski, certains de l'équipent partaient d'autres restaient et il n'y avait pas d'entrainement de prévus. Bref morne programme en vue, chacun retournait dans sa famille ou partait au ski en des endroits différents. Seuls David et Steves qui étaient dans la même faculté et même année, classe partaient ensemble avec la faculté qui chaque année organisait un voyage d'une semaine dans les alpes... ski pour certains, beuveries pour d'autres... Bref la discussion me fit du bien et c'est le coeur léger que je rentrais à l'appartement. Mon apollon blond avait recu deux résultat de ses tests de la semaine précédente et non seulement il avait de meilleures notes que l'année précédente mais en plus il se classait parmi les cinq premiers pour ces deux matières. Cette nuit là il me pris à trois reprises, deux fois sur le canapé du salon et une dans son lit. quant à moi je bu son ambroisie avec délectation au réveil sous les couvertures puis sous la douche. C'est ainsi que tout serein et les bourses bien drainées qu'il se rendis à son examen. Je vis alors que j'avais un message sur mon téléphone.. Steves!!!! il me demandait de passer chez lui maintenant.... qu'allais je faire ??? Que devais je faire ???