Titre de l'histoire érotique : La partie de squash

- Par l'auteur HDS Alexia731 -
Récit érotique écrit par Alexia731 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : La partie de squash Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : La partie de squash
Comme tous les mardis, tu es en retard. Je ne crois pas que ton travail t’empêche de quitter à l’heure, je crois plutôt que tu aimes me faire attendre, c’est une façon à toi de me faire savoir que c’est toi qui décide du moment où j’aurais le plaisir de te voir. C’est dans ta nature, tu aimes diriger et le faire savoir, c’est une des raisons pour laquelle j’apprécie ta compagnie.
J’ai confirmé à l’accueil la réservation de notre terrain préféré, je suis allée au vestiaire me changer et je t’attends patiemment à l’entrée du terrain. Je regarde autour de moi, il n’y a pas grand-chose pour patienter, les affiches fixées au mur, je les ai déjà toutes lues, évidemment avec ton habitude de me faire attendre.
Je regarde deux hommes d’une trentaine d’années qui jouent dans le terrain voisin, ils ont un bon niveau, ce serait intéressant de partager quelques balles avec eux, surtout le plus jeune, il est plutôt mignon. Je me laisse aller à ma rêverie en m’imaginant avec lui. J’ai le droit d’imaginer tant que je veux, du moment que je ne fais rien allant dans le sens de la concrétisation, pour cette partie, toi seul décide.

Tu arrives avec plus d’un quart d’heure de retard, toujours le sourire aux lèvres, sans même daigner t’excuser pour l’attente que tu m’as imposée. Je ne te le fais pas remarquer, je sais que tu détestes les reproches, tu m’embrasses furtivement et m’ouvres la porte du terrain me faisant signe de passer. Je franchis donc la porte devant toi, appréciant la galanterie de ton geste même si je sais qu’il n’est pas désintéressé, tu en as certainement profité pour reluquer mon postérieur.
C’est aussi un peu de ma faute, je devais me douter que je t’exciterais en mettant la tenue que tu préfères : mon petit débardeur rose très moulant avec un décolleté qui laisse entrevoir le haut de ma poitrine quand je me penche en avant et pour le bas, ma jupe blanche s’arrêtant juste en dessous des fesses, celle que tu as choisie pour moi lors de nos derniers achats.

Nous commençons la partie tranquillement pour nous échauffer, l’échange de balle se fait facilement, puis tu corses un peu le niveau. Tu cherches à me faire faire le plus de fente avant, je souris, je sais que dans cette position lorsque tu es derrière moi, tu peux voir le bas de mes fesses. Juste pour te contrarier, je tente tout pour parvenir à rattraper tes balles sans dévoiler mon anatomie.
Je manque la balle, je me retourne vers toi, tu me regardes le visage radieux. « Joli en noir ! ». Tu as réussit à voir la couleur de mon string, tu es satisfait, même si tu perds la partie tu auras gagné quelques points. C’est un bonus que nous avons ajouté aux règles du jeu, je le perds à chaque fois, décidemment tu es très fort à ce jeu là, je me demande si tu ne t’exerces pas avec tes secrétaires…
Nous continuons notre partie, je gagne quelques balles, je te provoque quelque peu, je sais que tu es mauvais joueur surtout contre une femme. Tu commences à t’agacer, à chaque fois que tu passes près de moi dans le jeu, tu en profites pour me caresser les fesses. L’effet attendu n’a pas manqué, je suis déconcentrée et je perds les autres balles. Je m’indigne : « C’est de la triche, tu n’as pas le droit ! ». Tu me réponds avec un petit sourire narquois : « Ce n’est pas interdit par le règlement chérie, serais-tu mauvaise joueuse ? Et puis tu sais qu’avec toi j’ai tous les droits ».
Nous finissons la partie, tu l’as comme d’habitude encore gagnée, je m’incline encore une fois. Nous nous embrassons longuement, tu en profites pour caresser ma poitrine à travers le fin tissu de mon débardeur. Nous nous arrêtons, il est temps de nous changer avant d’aller dîner dans notre restaurant préféré.
Nous descendons aux vestiaires, je te laisse devant celui des hommes et me dirige vers celui des femmes. J’entre et commence à sortir les affaires de mon sac, j’entends la douche couler, tu es déjà dessous, tu seras certainement, une fois de plus, prêt avant moi. Il faudrait que je me dépêche, même si tu m’as fait attendre tout à l’heure, il vaut mieux que j’évite de faire de même. Je sais que tu détestes patienter et que si je t’impose un temps d’attente, je risque de le regretter une fois rentrée.

J’entre sous la douche profitant de l’eau chaude sur mon corps, j’adore cet instant après avoir fait du sport. Je me savonne puis laisse l’eau me rincer, je ferme les yeux pour récupérer un peu de notre partie. Après plusieurs minutes, je reviens à la réalité. Tu dois certainement être prêt à sortir de ton vestiaire, je décide donc d’abandonner la douche et de me sécher pour finir de me préparer.
Une fois sèche, je sors de la partie douche pour retrouver mes affaires dans la partie vestiaire. Je sursaute en te voyant. Tu es assis à côté de mon sac, tu me regardes les yeux brillants, satisfait de ma surprise. Je m’indigne : « Tu aurais pu attendre dans le couloir, j’en ai pour cinq minutes ! ». Tu ne réponds pas.

Je m’approche de toi pour accéder à mes affaires et ainsi finir de me préparer. Soudain, tu m’attrapes les poignets et me plaque face au mur avec fermeté, maintenant mes poignets au dessus de ma tête d’une seule main. Je proteste : « Ah non ! Pas ici, je ferais ce que tu veux ce soir après le restaurant, mais pas maintenant. ».

Pour seule réponse tu me claques les fesses avec ta main de libre. Je n’ai pas le choix, tu as décidé de jouer avec moi ici, et c’est comme ça. Je me soumets à ta volonté, de toute façon tu sais toujours obtenir ce que tu veux, mais parfois tu m’exaspères, ce n’est vraiment ni le lieu, ni le moment.
Tu me forces à me cambrer d’avantage et me caresses les fesses tout en écartant un peu plus mes jambes. Tu te diriges vers ma chatte, tu la découvre mouillée comme à chaque fois que tu commences à me prendre quelque part, tu branles doucement mon bouton d’amour et m’enfonces un doigt. Tu fais quelques allers-retours rapides et y ajoute un deuxième pour les lubrifier de ma mouille, avant de les placer sur mon anus.
Ca y est, tu as réussi à réveiller la chienne qui dort en moi, j’avance mon postérieur vers toi pour t’inciter à les enfoncer, tu ne te fais pas prier. Tu me pénètre de tes doigts et, les fait bouger au fond de moi puis, sans plus de préparation, tu les remplaces par ton sexe bien dure.
J’aime me sentir remplie, tu le sais et commence à me pilonner l’arrière train violement tout en malaxant ma poitrine de tes deux mains. Je sens maintenant tes attributs buter contre mes fesses, tu accélères le mouvement. Subitement, tu m’enfonces deux doigts dans la chatte, je suis prise de partout, décidemment tu sais comment me combler. Après plusieurs minutes de ce traitement, je n’en peux plus, je veux jouir mais tu me l’interdit : « Non petite chienne, tu attendras que j’ai déversé mon foutre en toi, les chiennes sont toujours servis après les maîtres, c’est dans l’ordre des choses. »
Je n’en peux plus, tes paroles m’excites encore plus, heureusement tu ne tardes pas à venir, je sens que tu te déverses dans mes entrailles et je jouie à ta suite. Tu me libères de ton emprise, et me présente ta queue qui commence à ramollir. Je sais ce que tu veux, je m’agenouille devant toi et la prend en bouche, je la nettoie parfaitement avalant gourmandement le liquide de ta jouissance. Enfin, tu la remets dans ton pantalon pour me laisser finir de me préparer : « Allons dépêches toi un peu, si nous arrivons en retard au restaurant, je te laisserais expliquer en détail au serveur la raison de ce retard ».
Tu as ton petit regard pervers que j’aime tant, je te réponds par un sourire m’empressant de m’habiller et de me maquiller.

Enfin tous deux prêts, nous sortons du complexe pour rejoindre ta voiture. Tu démarres le moteur, me regarde en me faisant un petit clin d’œil.
La soirée a bien commencée, elle promet d’être longue et riche en action. Je souris déjà ravie de ce qui nous attend, nous partons vers le restaurant, la tête pleine d’idées perverses. Je suis certaine que tu en as plus que moi, ton imagination est toujours débordante, je te regarde afin de percer tes pensées mais n’y parviens pas, tu restes concentré sur la route. Tant pis, la fin de soirée me le dira.

Les avis des lecteurs

Quel talent !
L. Volante



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