Je peux être son grand père !

- Par l'auteur HDS Claude -
Récit érotique écrit par Claude [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Je peux être son grand père ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Je peux être son grand père !
Claude, 1m73, 70kg, sportif et une barbe très courte. Je suis retraité depuis 6 mois, marié depuis 36 ans avec ma femme Alice 53 ans.
Sexuellement ma vie a été un long fleuve tranquille. Cet été nous sommes partie en juillet, 3 semaines au sables d'olonne comme depuis de nombreuses années. On a loué au bout du remblai au 2 eme étage d'un immeuble et nos amis lui 53 ans, elle 49 ans au 4 eme étage comme d'habitude. Nous sommes amis depuis 15 ans et habitons tous les 4 en île de France. Arrivant le dimanche en fin de matinée, nos amis étaient là avec leur fille Jennifer presque 20 ans. Surprise, car elle ne venait plus depuis 3 ans. Une superbe fille 1m70,68 kg, 100c, décoloré en blonde, et surtout un cul magnifique très rebondi. Les kilos en trop bien réparti la rendaient plus qu'appétissante. On se fait la bise et bizarrement Jennifer me colle de très prés pour me la faire. On prend l'apéro, Jenni assise en face de moi, jupe courte, haut largement échancré, et là discrètement croise et décroise les jambes me laissant voir son string noir. Je n'y crois pas et me dis que c'est le hasard. On se retrouve l'après midi à la plage, seins nus bien tourné vers moi, regard droit dans les yeux, réajustement du maillot de bain avec vue imprenable sur son vagin, j'ai lutté comme un fou pour ne pas bander. Le lundi idem, ma femme étant toujours avec moi, difficile d'aller plus loin. Malgré tout je me posais beaucoup de questions pour en conclure que c'était qu'une petite allumeuse qui s'amusait.
Le mardi matin coup de sonnette. C'était Jenni qui allant faire des courses, demande s'il nous faut quelque chose. Ma femme n'ayant pas envie de les faire, je pars avec Jenni. Elle prend la voiture de ses parents Assise au volant sa jupe était tellement relevée qu'on voyait toute ses cuisses, elle avait un string blanc, pas de sous tif et un haut ouvert de 2 boutons qui me laissait voir la moitié de ses seins. Malgré mon âge j'étais tétanisé osant à peine mater et parlant de banalité. Presque arrivé à Leclerc elle m’a demandé si elle était moche, j'ai balbutié "tu es superbe", "alors je suis trop grosse" "non, je te trouve magnifique, tu es bien en chair ce qui plais au homme"" c'est vrai tu aimes mes seins, tu aimes mes fesses" "qui n'en aurait pas envie" "en tout cas tu n'est pas très pressant alors que ma culotte est trempée, tu ne veux pas voir". Nous étions arrivé au parking souterrain de Leclerc où elle c'est garé le plus loin possible des autres voitures. Elle a pris toute les initiatives, ma roulé une pelle, ouvert son corsage pour que je puisse la peloter à pleine main, je lui ai sucé ses seins pendant que ma main fouillait sa chatte, qui était inondée comme annoncé (elle répétait en boucle : je suis ta chienne, je suis ta chienne), mes doigts sur son clito et enfoncé dans son vagin a eu pour effet de la faire jouir à ma grande surprise presque immédiatement. Là, une voiture vient se garer à coté de nous. Je la rajuste comme je peux, lui propose de faire les courses et de continuer au retour. Cela ce fit presto, n'oubliant pas d'acheter 3 courgettes dont une grosse qui devait faire 25*6 "tu aimes les courgettes" "pas spécialement, pourquoi ?"
"Je crois que celles là tu vas les aimer" "arrête tu me fais mouiller"" mouille bien tu en auras besoin"
A la sortie j'ai pris le volant et on est parti sur un petit chemin en terre de campagne après olonne sur mer. En route on a peut parlé mais elle avait une main dans mon pantalon et moi entre ses entrecuisse .Dés que l'on a été arrêté je lui est dit " enlève le haut et ton string, mais doucement" aussitôt dit aussitôt fait on s’est embrassé comme des bêtes, je tripotais ses seins et son vagin puis j'ai pris la courgette moyenne et lui ai forcé le vagin avec : elle haletait " je suis ta chienne je veux être ta pute, je veux que tu fasses de moi une salope" Quel langage chez une fille à papa bcbg ! J'ai retiré le légume, pour rentrer ma verge qui n'en pouvait plus. Son vagin était déjà bien ouvert et trempé, c'est rentré tout seul.
"Va y laboure moi, je veux être ta chienne" "tu vas être plus que ça, ma salope et ma pute" "oui je veux être la pire des salopes" "tu seras un trou à bite" "ah oui" "tu seras une vide couilles" "oui, oui" "tes trous seront dilatés" " oui fait le" "je veux que tu me traites comme la pire des traînées "tu seras un sac à foutres, la plus grosse salope de Paris, je vais t'exhiber partout "" oui, oui, hein, hein, …"
Le dialogue la rendait de plus en plus déchaînée sur ma bite, heureusement pour moi, car j'étais au bord de l'explosion, elle est partie dans un orgasme énorme et moi j'ai tout lâché au fond de sa chatte.
J'ai vite repris mes esprits sorti la grosse courgette, l'ai présenté à l'entrée de son vagin et je l'ai glissé doucement mais fermement dedans " tu vas me faire mal, ma chatte est complètement dilatée" " ne t'en fait pas , décontracte toi"" ah j'ai la chatte complètement remplie quelle sensation" j'ai continué à la branler alors qu'elle avait presque tout le légume dans la chatte, puis je l'ai retournée et de l'autre main je lui ai rentré la petite courgette dans le cul. Son trou était un peu étroit mais avec de la patience, tout est rentré et je l'ai branlé ainsi jusqu'à l'explosion. A ma grande surprise je rebandais et je l'ai enculée aussi sec pour lui massacrer sa rondelle et j'ai tout lâché sans m'occuper d’elle." Tu m’as vraiment traitée comme une pute, mais j'aime ça, fais de moi ta chienne."
Sur le chemin du retour, nous avons inventé une histoire pour justifier le temps passé pour de simples courses. Puis elle n'a pas arrêté de me demander " tu vas faire vraiment de moi ta chienne ?" " Oui la pire des salopes" " tu me feras prendre par des groupes d'hommes ?" "oui tu ne le regretteras pas, un peu de patience, je vais être ton maître et toi mon esclave , mais il faut m'obéir sans discussion" " oui je ferais tout pour toi"" pour commencer tu vas entièrement te raser la chatte, j'ai horreur des poils et ne te lave pas en rentrant je veux sentir ta mouille et mon sperme ce soir dans ta chatte" "arrange toi pour te libérer ce soir tout sera comme tu le veux en plus je mouille encore et je voudrais que tu recommences déjà !"
On était arrivé je l'ai embrassé, traité de belle salope et donné rendez vous pour le soir, devant la prévenir par sms.
J'étais toujours abasourdi et me demandait comment j'allais pouvoir faire, ne connaissant rien au monde du libertinage, ni de l'échangisme, ni de l'exhibe…
Dans mon prochain récit, je vous raconterai la suite et pourquoi elle m’a choisi moi.

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