Shopping à Amman
Récit érotique écrit par Florence27 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-02-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Shopping à Amman
J'ai lu une nouvelle : "Un scénario d'enfer" dans laquelle j'avais trouvé une grande source d'inspiration pour des jeux solitaires que je ne trouvais pas suffisants pour satisfaire mon clitoris, qui en redemandait encore.
J'ai donc décidé de téléphoner à mon amie S. pour savoir si elle était libre pour aller faire du shopping avec moi, qu'en suite nous pourrions passer une soirée entre filles; nos maris étant partis ensemble en Arabie Saoudite pour leurs affaires.
S. est américaine, très libérée et nous avons eu déjà des relations "intimes" ensemble.
Comme nous devions faire des courses, elle pour s'acheter une, nouvelle robe du soir et moi un manteau car maintenant les nuits sont fraîches, (Amman est à plus de 750 mètres d'altitude).
Elle est venue me prendre à l'hôtel où nous habitons pendant notre séjour.
L'anglais de son chauffeur étant assez médiocre nous pouvions parler sans retenue.
Je lui ai donc raconté ce que j'avais lu et ce je que j'avais été obligée de faire ensuite. Précisant que mon clitoris, bien que m'ayant permis d'avoir au moins deux orgasmes, n'était pas satisfait pour autant…
- Je comprends la raison de ton appel, il y a deux jours que je suis obligée de me satisfaire seule, c'est frustrant.
Nos courses terminées, après de nombreux essayages, elle avait trouvé la robe qui lui convenait pour la soirée à l'ambassade des USA, à laquelle mon mari et moi étions aussi conviés et il se disait que le Roi et son adorable épouse feraient une apparition. J'aime beaucoup la Princesse Rania, avec son délicieux accent suisse, quand elle parle français.
S. était impatiente de rentrer chez elle pour essayer, plus confortablement que dans une cabine, son nouvel achat.
Chose faite, nous sommes quand même allées prendre prendre un verre dans un des endroits, branchés, de la ville. L'atmosphère commençait à y être "électrique", la jeunesse dorée de Jordanie est très libérée!
Ayant salué quelques connaissances de nos relations, parfois pas très sages, nous sommes rentées chez S.
Elle habite une adorable maison, au sommet de l'une des nombreuses collines de la ville, de sa terrasse la vue sur Amman est superbe!
Donc, installées sur la dite terrasse, je lui ai demandé d'aller passer sa nouvelle robe. Elle est revenue splendide mais je trouvais que son string et son soutien gorge étaient trop voyants.
- Mais "dear" tu vas y remédier et m'enlever ce qui est de trop!!!
Il ne fallait pas que je me fasse prier.
Doucement j'ai remonté la robe pour arriver à son string que j'ai fait descendre pour le lui ôter. Sa petite chatte blonde m'est apparue dans toute sa splendeur et je sentais ma fente s'humidifier à mesure.
Elle me dit :
- Ne salissons pas ma robe, Florence, je vais l'enlever ainsi que mon soutien gorge.
Elle était nue devant moi et je sentais ma cyprine couler de ma fente.
Debout, devant moi, sa toison blonde était un appel au viol.
Je décidais de faire comme elle et fût nue en quelques secondes.
Des gouttes commençaient à inonder ma fente.
S. vint vers moi et j'ai commencé à sucer sa touffe blonde, j'avais envie d'insérer ma langue dans ses lèvres.
- Viens, Florence, suces moi bien, fait durcir mon clito j'en ai besoin. Elle n'a pas eu à me prier longtemps. Le goût de sa mouille était délectable!!!
Elle me prit les mains pour me conduire dans sa chambre, sur son lit en me disant :
- Maintenant nous allons nous lécher mutuellement, la quelle aura le premier orgasme ?
Si tôt dit si tôt fait; nous nous sommes enlacées sur son lit, ses baisers étaient divins. Ses lèvres parcouraient mon corps de haut en bas et de bas en haut, ma main s'activait dans ses lèvres, intimes, je sentais son clitoris durcir et son souffle devenir plus érotique. Elle ne tardât à jouir d'abondance!!!
Elle avait introduit un doigt dans ma fente, lequel massait mon clito avec constance; je me sentais de plus en plus mouillée!!!
A ce moment là elle a décidé de remplacer son doigt par sa langue, ce fût encore plus divin!!!
Tout mon jus d'amour coulait dans sa bouche tandis que sa langue excitait mon clito qui n'en pouvait mais….
Nous nous sommes endormies, enlacées l'une dans l'autre.
Ce fût une nuit superbe, pas la première, ni la dernière avec elle. Nous sommes convenues de raconter, à nos maris respectifs, ce que nous avions fait, étant certaines, l'une et l'autre, que cela les exciterait et qu"ils nous feraient l'amour avec encore plus de passion.
RETOUR DE M. ET R.
Nos maris sont rentrés d'Arabie après leurs affaires dans ce charmant pays! Ils se sont, sûrement, remontés le moral avec force whiskys – J'ai rarement connu un pays où, dans une certaine société il coulait autant à flots – cependant ces quelques jours avaient du être sexuellement frustrants; à moi que l'hôtesse de l'avion mon mari, fût une de ses préférées ? Il me le dira peut être, mais aime garder un jardin secret, il a raison, moi aussi.
S. et moi sommes donc allées attendre le Falcon à l'aéroport pour remonter le moral, (au moins sexuel) , de nos deux chéris.
Bronzés, détendus assez gais, dès que nous avons été installés dans les profondes banquettes de leur voiture américaine M. dit, tout en se servant un verre:
- Alors les filles, vous ne vous êtes pas senties trop seules pendant ces quelques jours ?
- J'y ai lu une nouvelle : "Scénario d'enfer" tout à fait délicieuse, nous vous raconterons, si vous êtes sages !!! Et avons fait du shopping pour nous habiller en vue de la réception à l'ambassade américaine, (merci vos cartes de crédit).
M. et R. commençaient à comprendre que se dût être assez croustillant! Nos amis nous ont déposés à notre hôtel et nous avons convenu de nous retrouver, dans notre suite, pour le dîner après qu'ils seraient passés chez eux déposer les bagages et se changer. Nos maris étaient un peu fatigués par le voyage depuis Najran, à la frontière du Yemen, mais avaient hâte que nous leur racontions nos frasques.
Rendez-vous fût pris pour 20h.
Après un bain, que je n'ai pas voulu aller troubler, malgré mon envie, M. s'est changé dans une tenue décontracté, jeans et polo. Pour ma part j'avais décidé d'en faire autant et avais passé sur mon corps, nu comme un bébé, la tunique que j'ai utilisée pour mon profile sur HDS.
A 20h R. et S. sont arrivés. Elle n'avait soufflé mot, pas plus que moi, de notre soirée entre filles et de ses raisons et ces messieurs étaient impatients d'en connaître le détail.
M. a servi à boire et installés dans de profond canapé nous avons commencé à parler de tout et de rien dans une ambiance de lumières savamment intimes.
- M., mon chéri, fais monter un dîner avec du champagne, après vous saurez tout, mais l'avenir dira où cela nous conduira ? Ma phrase était volontairement énigmatique!!!
Le dîner fût très gai, à la fin j'ai commencé à raconter comment un après midi j'avais lu cette nouvelle en précisant que, si nous ne connaissions pas, nous aurions pu faire de même, à la différence près que, contrairement à Bianca, je ne compte plus mes expériences féminines.
R. commençait à se tortiller dans son fauteuil; S. à relever, un peu trop haut, sa jupe écossaise, pourtant assez courtes, laissant voir sa jolie peau au-dessus de ses bas, tenus par des jarretelles, mais j'étais sure qu'à part le porte jarretelles elle ne portait aucun autre sous-vêtement !
Quant à moi, allez regarder la photo, citée plus haut, pour être édifiés.
J'ai donc décidé de leur traduire "scénario d'enfer", afin de ne rien omettre, je me suis installée en tailleur, dans un canapé, mon laptop sur les genoux, M. à mes cotés; R. et S. en face de nous.
Dans cette posture ma petite touffe était encore plus visible puisque ma tunique était remontée en haut de mes cuisses.
J'ai commencé à faire une traduction, aussi fidèle du texte dans sa forme et dans son esprit. Cet exercice ne me posait pas de problème, mais avait l'inconvénient de commencer à produire sur moi le même effet qu'à ma première lecture. Donc, tout en lisant, il me fût impossible d'empêcher ma main de se porter sur ma fente pour commencer à me caresser.
S. riait sous cape tandis que je voyais gonfler les braguettes de ces messieurs au fur et à mesure du récit !!!
S. a commencé à défaire la braguette de son mari, tout en remontant encore plus sa jupe afin de bien nous montrer les poils mousseux de sa petite chatte blonde dont la fente commençait à luire de son intimité….,
Elle a sorti le sexe de son mari de sa gangue, lequel ne demandait qu'à se dresser fièrement avec un gland turgescent, bien visible, comme beaucoup d'américains R. est circoncis, pour des raisons d'hygiène et non pas religieuse. S. avait pris la hampe en main et d'un pouce négligent en caressait le gland en s'attardant sur le méat.
Pour ma part je me sentais de plus en plus humide et avais hâte de terminer mon récit pour m'occuper de M. qui commençait à exploser dans un jeans un peu trop serré pour son état !!!
La jupe de S. était maintenant remontée à sa taille, laissant voir le charmant porte jarretteles qu'elle portait ainsi que son buisson que l'on aurait dit tout droit sorti d'une douchière car de son autre main elle le tartinait de la cyprine qui ne cessait de couler de sa fontaine d'amour.
A la fin du récit il fallait que je libère M. de ses tensions, je lui ai ôté lentement ce jeans peu adéquat à la situation, son caleçon, dont l'imprimé évoque les papiers cadeaux de Noël, avait sur moi le plus bel effet. Il était pour moi l'offrande de sa bite, de ses couilles, de son sexe tout entier que j'avais envie, dont j'avais besoin qu'ils emplissent ma bouche et que son dard vienne s'enfoncer dans fa fente gluante de miel pour y mêler sa "gelée".
Nous étions maintenant nus, tous les quatre, sur l'épaisse moquette de notre suite, les moquettes des hôtels de luxe sont très confortables, même si un peu râpeuses, mais cela peut ajouter un certain piquant aux ébats.
S. avait en bouche son mari pour le faire durcir encore plus, dans la mesure ou cela était possible, ce dont je doutais.
Quant à moi j'avais décalotté le gland de Michel, (puisque je ne masque pas mon prénom pourquoi masquer le sien, il est mon mari depuis que j'ai 25 ans et cela depuis plus de 30 ans – aux mathématiciens de calculer mon age – je raconterai un jour dans ce journal comment je l'ai rencontré et pourquoi il est mon second véritable "Amour".) et y passais surtout à sa base le bout de ma langue, caresse qu'il aime entre toutes !!!
Mais je n'en pouvais plus, il fallait que je le sente au plus profond de moi, que je sache que j'allais lui donner du plaisir avec ma fente ruisselante !!!
Il en était sans doute de même d pou R. et S. mais chacun était dans sa galaxie.
Michel m'a couché sur le dos et de son gland est venu frotter mon clitoris, la cyprine était de plus abondante….. Il fallait que je le sente en moi.
J'ai inversé les positions, lui allongé sur le dos, moi le chevauchant, prenant son membre en main je l'ai pris dans mes lèvres en m'enfonçant le plus possible, comme une cavalière chevauchant un étalon.
Il a joui presque tout de suite et j'en étais heureuse !!!
Allongés l'un contre l'autre je savourais ce moment merveilleux où récupérant mes sens, ma respiration, mes cris de plaisir, je me relaxais en goûtant l'immense plaisir, que j'éprouve toujours à sentir le sperme couler de ma fente, dans cet état de plénitude et d'abandon qui suit l'acte sexuel.
S. était arrivée au même résultat que moi, elle vint vers moi et me dit :
- (Traduction) "Florence amour, j'aimerais tellement te sucer maintenant pendant que ta fente coule de sperme et que tu fasses de même" ?
Je ne pouvais lui refuser un tel régal, d'autant plus que cela allait lui permettre de goûter au sperme de Michel et moi à celui de R. sans que nous ayons de rapports bucaux avec eux.
Cette sublime soirée s'est terminée vers minuit, ni eux ni nous n'étant très fatigués nous avons décidé d'aller en boite, boite très branchée de la jeune société jordanienne.
J'y ai rencontré une jeune palestinienne d'une trentaine d'année, proche de la Reine, elle-même palestinienne. Elle est officier dans la garde Bédouine du Roi, devant son parfait français, dont j'étais surprise, elle me dit :
- Mais Florence, j'ai terminé mes études militaires en Bretagne à l'Ecole de Saint – Cyr Coëtquidan !!!
J'ai donc décidé de téléphoner à mon amie S. pour savoir si elle était libre pour aller faire du shopping avec moi, qu'en suite nous pourrions passer une soirée entre filles; nos maris étant partis ensemble en Arabie Saoudite pour leurs affaires.
S. est américaine, très libérée et nous avons eu déjà des relations "intimes" ensemble.
Comme nous devions faire des courses, elle pour s'acheter une, nouvelle robe du soir et moi un manteau car maintenant les nuits sont fraîches, (Amman est à plus de 750 mètres d'altitude).
Elle est venue me prendre à l'hôtel où nous habitons pendant notre séjour.
L'anglais de son chauffeur étant assez médiocre nous pouvions parler sans retenue.
Je lui ai donc raconté ce que j'avais lu et ce je que j'avais été obligée de faire ensuite. Précisant que mon clitoris, bien que m'ayant permis d'avoir au moins deux orgasmes, n'était pas satisfait pour autant…
- Je comprends la raison de ton appel, il y a deux jours que je suis obligée de me satisfaire seule, c'est frustrant.
Nos courses terminées, après de nombreux essayages, elle avait trouvé la robe qui lui convenait pour la soirée à l'ambassade des USA, à laquelle mon mari et moi étions aussi conviés et il se disait que le Roi et son adorable épouse feraient une apparition. J'aime beaucoup la Princesse Rania, avec son délicieux accent suisse, quand elle parle français.
S. était impatiente de rentrer chez elle pour essayer, plus confortablement que dans une cabine, son nouvel achat.
Chose faite, nous sommes quand même allées prendre prendre un verre dans un des endroits, branchés, de la ville. L'atmosphère commençait à y être "électrique", la jeunesse dorée de Jordanie est très libérée!
Ayant salué quelques connaissances de nos relations, parfois pas très sages, nous sommes rentées chez S.
Elle habite une adorable maison, au sommet de l'une des nombreuses collines de la ville, de sa terrasse la vue sur Amman est superbe!
Donc, installées sur la dite terrasse, je lui ai demandé d'aller passer sa nouvelle robe. Elle est revenue splendide mais je trouvais que son string et son soutien gorge étaient trop voyants.
- Mais "dear" tu vas y remédier et m'enlever ce qui est de trop!!!
Il ne fallait pas que je me fasse prier.
Doucement j'ai remonté la robe pour arriver à son string que j'ai fait descendre pour le lui ôter. Sa petite chatte blonde m'est apparue dans toute sa splendeur et je sentais ma fente s'humidifier à mesure.
Elle me dit :
- Ne salissons pas ma robe, Florence, je vais l'enlever ainsi que mon soutien gorge.
Elle était nue devant moi et je sentais ma cyprine couler de ma fente.
Debout, devant moi, sa toison blonde était un appel au viol.
Je décidais de faire comme elle et fût nue en quelques secondes.
Des gouttes commençaient à inonder ma fente.
S. vint vers moi et j'ai commencé à sucer sa touffe blonde, j'avais envie d'insérer ma langue dans ses lèvres.
- Viens, Florence, suces moi bien, fait durcir mon clito j'en ai besoin. Elle n'a pas eu à me prier longtemps. Le goût de sa mouille était délectable!!!
Elle me prit les mains pour me conduire dans sa chambre, sur son lit en me disant :
- Maintenant nous allons nous lécher mutuellement, la quelle aura le premier orgasme ?
Si tôt dit si tôt fait; nous nous sommes enlacées sur son lit, ses baisers étaient divins. Ses lèvres parcouraient mon corps de haut en bas et de bas en haut, ma main s'activait dans ses lèvres, intimes, je sentais son clitoris durcir et son souffle devenir plus érotique. Elle ne tardât à jouir d'abondance!!!
Elle avait introduit un doigt dans ma fente, lequel massait mon clito avec constance; je me sentais de plus en plus mouillée!!!
A ce moment là elle a décidé de remplacer son doigt par sa langue, ce fût encore plus divin!!!
Tout mon jus d'amour coulait dans sa bouche tandis que sa langue excitait mon clito qui n'en pouvait mais….
Nous nous sommes endormies, enlacées l'une dans l'autre.
Ce fût une nuit superbe, pas la première, ni la dernière avec elle. Nous sommes convenues de raconter, à nos maris respectifs, ce que nous avions fait, étant certaines, l'une et l'autre, que cela les exciterait et qu"ils nous feraient l'amour avec encore plus de passion.
RETOUR DE M. ET R.
Nos maris sont rentrés d'Arabie après leurs affaires dans ce charmant pays! Ils se sont, sûrement, remontés le moral avec force whiskys – J'ai rarement connu un pays où, dans une certaine société il coulait autant à flots – cependant ces quelques jours avaient du être sexuellement frustrants; à moi que l'hôtesse de l'avion mon mari, fût une de ses préférées ? Il me le dira peut être, mais aime garder un jardin secret, il a raison, moi aussi.
S. et moi sommes donc allées attendre le Falcon à l'aéroport pour remonter le moral, (au moins sexuel) , de nos deux chéris.
Bronzés, détendus assez gais, dès que nous avons été installés dans les profondes banquettes de leur voiture américaine M. dit, tout en se servant un verre:
- Alors les filles, vous ne vous êtes pas senties trop seules pendant ces quelques jours ?
- J'y ai lu une nouvelle : "Scénario d'enfer" tout à fait délicieuse, nous vous raconterons, si vous êtes sages !!! Et avons fait du shopping pour nous habiller en vue de la réception à l'ambassade américaine, (merci vos cartes de crédit).
M. et R. commençaient à comprendre que se dût être assez croustillant! Nos amis nous ont déposés à notre hôtel et nous avons convenu de nous retrouver, dans notre suite, pour le dîner après qu'ils seraient passés chez eux déposer les bagages et se changer. Nos maris étaient un peu fatigués par le voyage depuis Najran, à la frontière du Yemen, mais avaient hâte que nous leur racontions nos frasques.
Rendez-vous fût pris pour 20h.
Après un bain, que je n'ai pas voulu aller troubler, malgré mon envie, M. s'est changé dans une tenue décontracté, jeans et polo. Pour ma part j'avais décidé d'en faire autant et avais passé sur mon corps, nu comme un bébé, la tunique que j'ai utilisée pour mon profile sur HDS.
A 20h R. et S. sont arrivés. Elle n'avait soufflé mot, pas plus que moi, de notre soirée entre filles et de ses raisons et ces messieurs étaient impatients d'en connaître le détail.
M. a servi à boire et installés dans de profond canapé nous avons commencé à parler de tout et de rien dans une ambiance de lumières savamment intimes.
- M., mon chéri, fais monter un dîner avec du champagne, après vous saurez tout, mais l'avenir dira où cela nous conduira ? Ma phrase était volontairement énigmatique!!!
Le dîner fût très gai, à la fin j'ai commencé à raconter comment un après midi j'avais lu cette nouvelle en précisant que, si nous ne connaissions pas, nous aurions pu faire de même, à la différence près que, contrairement à Bianca, je ne compte plus mes expériences féminines.
R. commençait à se tortiller dans son fauteuil; S. à relever, un peu trop haut, sa jupe écossaise, pourtant assez courtes, laissant voir sa jolie peau au-dessus de ses bas, tenus par des jarretelles, mais j'étais sure qu'à part le porte jarretelles elle ne portait aucun autre sous-vêtement !
Quant à moi, allez regarder la photo, citée plus haut, pour être édifiés.
J'ai donc décidé de leur traduire "scénario d'enfer", afin de ne rien omettre, je me suis installée en tailleur, dans un canapé, mon laptop sur les genoux, M. à mes cotés; R. et S. en face de nous.
Dans cette posture ma petite touffe était encore plus visible puisque ma tunique était remontée en haut de mes cuisses.
J'ai commencé à faire une traduction, aussi fidèle du texte dans sa forme et dans son esprit. Cet exercice ne me posait pas de problème, mais avait l'inconvénient de commencer à produire sur moi le même effet qu'à ma première lecture. Donc, tout en lisant, il me fût impossible d'empêcher ma main de se porter sur ma fente pour commencer à me caresser.
S. riait sous cape tandis que je voyais gonfler les braguettes de ces messieurs au fur et à mesure du récit !!!
S. a commencé à défaire la braguette de son mari, tout en remontant encore plus sa jupe afin de bien nous montrer les poils mousseux de sa petite chatte blonde dont la fente commençait à luire de son intimité….,
Elle a sorti le sexe de son mari de sa gangue, lequel ne demandait qu'à se dresser fièrement avec un gland turgescent, bien visible, comme beaucoup d'américains R. est circoncis, pour des raisons d'hygiène et non pas religieuse. S. avait pris la hampe en main et d'un pouce négligent en caressait le gland en s'attardant sur le méat.
Pour ma part je me sentais de plus en plus humide et avais hâte de terminer mon récit pour m'occuper de M. qui commençait à exploser dans un jeans un peu trop serré pour son état !!!
La jupe de S. était maintenant remontée à sa taille, laissant voir le charmant porte jarretteles qu'elle portait ainsi que son buisson que l'on aurait dit tout droit sorti d'une douchière car de son autre main elle le tartinait de la cyprine qui ne cessait de couler de sa fontaine d'amour.
A la fin du récit il fallait que je libère M. de ses tensions, je lui ai ôté lentement ce jeans peu adéquat à la situation, son caleçon, dont l'imprimé évoque les papiers cadeaux de Noël, avait sur moi le plus bel effet. Il était pour moi l'offrande de sa bite, de ses couilles, de son sexe tout entier que j'avais envie, dont j'avais besoin qu'ils emplissent ma bouche et que son dard vienne s'enfoncer dans fa fente gluante de miel pour y mêler sa "gelée".
Nous étions maintenant nus, tous les quatre, sur l'épaisse moquette de notre suite, les moquettes des hôtels de luxe sont très confortables, même si un peu râpeuses, mais cela peut ajouter un certain piquant aux ébats.
S. avait en bouche son mari pour le faire durcir encore plus, dans la mesure ou cela était possible, ce dont je doutais.
Quant à moi j'avais décalotté le gland de Michel, (puisque je ne masque pas mon prénom pourquoi masquer le sien, il est mon mari depuis que j'ai 25 ans et cela depuis plus de 30 ans – aux mathématiciens de calculer mon age – je raconterai un jour dans ce journal comment je l'ai rencontré et pourquoi il est mon second véritable "Amour".) et y passais surtout à sa base le bout de ma langue, caresse qu'il aime entre toutes !!!
Mais je n'en pouvais plus, il fallait que je le sente au plus profond de moi, que je sache que j'allais lui donner du plaisir avec ma fente ruisselante !!!
Il en était sans doute de même d pou R. et S. mais chacun était dans sa galaxie.
Michel m'a couché sur le dos et de son gland est venu frotter mon clitoris, la cyprine était de plus abondante….. Il fallait que je le sente en moi.
J'ai inversé les positions, lui allongé sur le dos, moi le chevauchant, prenant son membre en main je l'ai pris dans mes lèvres en m'enfonçant le plus possible, comme une cavalière chevauchant un étalon.
Il a joui presque tout de suite et j'en étais heureuse !!!
Allongés l'un contre l'autre je savourais ce moment merveilleux où récupérant mes sens, ma respiration, mes cris de plaisir, je me relaxais en goûtant l'immense plaisir, que j'éprouve toujours à sentir le sperme couler de ma fente, dans cet état de plénitude et d'abandon qui suit l'acte sexuel.
S. était arrivée au même résultat que moi, elle vint vers moi et me dit :
- (Traduction) "Florence amour, j'aimerais tellement te sucer maintenant pendant que ta fente coule de sperme et que tu fasses de même" ?
Je ne pouvais lui refuser un tel régal, d'autant plus que cela allait lui permettre de goûter au sperme de Michel et moi à celui de R. sans que nous ayons de rapports bucaux avec eux.
Cette sublime soirée s'est terminée vers minuit, ni eux ni nous n'étant très fatigués nous avons décidé d'aller en boite, boite très branchée de la jeune société jordanienne.
J'y ai rencontré une jeune palestinienne d'une trentaine d'année, proche de la Reine, elle-même palestinienne. Elle est officier dans la garde Bédouine du Roi, devant son parfait français, dont j'étais surprise, elle me dit :
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