Sonia 2 - histoire érotique

Le soir du dernier jour de mes vacances au Camping du Soleil, j'étais seul à la plage, contemplant pensif le soleil couchant. J'avais passé de très bonnes vacances dans ce camping, et j'étais un peu triste à l'idée de partir le lendemain matin. J'avais en effet passé de très bons moments avec trois filles, Laura une fille d'origine magrhébine avec qui j'avais couché dés le premier jour de mon arrivée au camping, Sonia une belle allemande que je m'étais tapée en guise de petit déjeuner, et Léa, avec qui j'avais couché la veille même du dernier jour.

Si je savais que Léa et Laura étaient toutes les deux parties (Laura étant partie 3 jours après mon arrivée, et Léa le matin même), je savais aussi que j'aurai sans doute l'occasion de les revoir, étant donné qu'elles n'habitaient pas loin de chez moi, et que j'avais leur numéro. Pour Sonia en revanche, je n'avais pas son numéro, et je ne l'avais toujours pas revue depuis la dernière fois. Après avoir dit aurevoir à Léa, j'avais passé toute la journée à chercher la belle allemande, en vain. Un tantinet déprimé, j'étais donc venu sur la plage, boire une bouteille d'alcool en regardant le soleil se coucher, tandis que les touristes désertaient la plage, me laissant seul avec ma bouteille.

J'étais là depuis une heure environ, lorsque j'entendis de derrière moi une voix avec un bel accent allemand me dire :

"L'alcool c'est pas bien."

Je me retournai et découvris Sonia. Elle était vêtue d'un T-shirt noir, qui moulait à la perfection son corps de rêve, et qui faisait ressortir sa belle peau blanche, ainsi que ses yeux bleux magnifiques. Ses cheveux blonds, brillaient d'un bel éclat sous le soleil couchant achevant ainsi de la rendre plus sublime que d'ordinaire.

Je dissimulais ma joie, et lui répondis avec un sourrire provocant :

"C'est vrai, il paraît que ça pousse les mecs à baiser violemment de jeunes filles innocentes..."

Sonia sourit, s'assit à côté de moi, me prit la bouteille des mains, but une gorgée puis me dit avec un aire provocateur :

"J'ai pas à avoir peur, je suis pas une jeunne fille innocente... Et puis je saurais parfaitement te gérer..."

Je souris, mais intérieurement je commençais à bouillir de désir. Nous étions seuls sur la plage, et je savais pertinement que nous ne prolongerions pas ce petit jeu de provocation éternellement, et que dans quelques secondes nous nous sauterions dessus.

"La dernière fois, c'est plutôt moi qui t'ai gérée, dis je de plus en plus provocant."

"C'est vrai reconnut elle, mais peut être que je suis venue là pour prendre ma revanche..."

"T'es bien insolente toi ! Ricannai je, je vais être obligé de t'enseigner l'humilité..."

"C'est ce qu'on va voir... me rétorqua t elle."

A ces mots, n'y tenant plus, Sonia et moi nous jetâmes l'un sur l'autre. Nous roulâmes dans le sable, l'un sur l'autre, tout en nous embrassant furieusement. Je la plaquai sur le sable, puis lui embrasai sensuellement le cou, la faisant trembler de plaisir. Après quoi, j'entrepris de lui masser les seins, la faisant cette fois haleter de plaisir. Je revins sur sa bouche, et l'embrassa langoureusement, elle m'enserra avec ses bras et ses jambes, m'attirant plus encore contre elle. Nous restâmes ainsi de longues minutes, collés l'un à l'autre, nous embrassant passionément.

Puis, nous roulâmes à nouveau, et cette fois ce fut Sonia qui se retrouva au dessus. Elle me retira mon T-shirt et l'air froid du soir me fit frissonner, Sonia m'embrassa tendrement, puis quitta ma bouche me mordilla le menton, m'embrassa le cou, et me lécha le l'oreille, et revint sur mon cou, avant de descendre sur mon torse, m'embrassant consciencieusement les pectoraux, avant de descendre encore, et de me lécher les abdos. J'étais alors dans un état indescriptible, je tremblai comme une feuille, je respirais très fort, et malgré l'air froid du soir, j'avais incroyablement chaud. Bien décidé à lui rendre la pareille, je la renversai, et lui retirai son T-shirt, révélant un bikin bleu clair. Après quoi, je lui embrassai le cou, puis descendis sur son buste, et lui embrassai le décolleté, avant de descendre sur son bassin. C'était maintenant au tour de Sonia de trembler et de haleter de plaisir.

Quelque peu lassé des préliminaires, je lui retirai son pantalon, voulus en faire de même avec le mien, mais Sonia qui elle semblait aimer faire traîner les préliminaires m'arrêta. Elle se redressa, me renversa et revint m'embrasser langoureusement. Après quoi elle reprit l'exploration de mon corps avec sa bouche, avant de me retirer mon pantalon, et de glisser sa main dans mon caleçon. Un sourire coquin aux lèvres, Sonia entreprit de me branler vigoureusement, me faisant haleter de plaisir. Cette branlette eut le don de me rendre sauvage, et je renversai Sonia, avec la ferme intention de la baiser, cette fois ci. Toutefois la belle blonde désirait toujours continuer ce petit jeu qui me rendait fou, et me renversa à son tour. Nous roulâmes ainsi l'un sur l'autre, et cette fois ci, ce fut Sonia qui finit par avoir le dessus. Résigné à lui laisser les commandes pour l'instant, je me redressai et m'assis et lui embraissai le décolleté, avant de remonter sur son cou, et sa bouche. Après quoi, Sonia m'embrassa le cou, me mordit l'épaule, redescendit sur mon torse avant de revenir sur ma bouche, m'embrassant plus sauvagement que jamais, tandis que je la caressais. Nous restâmes ainsi de longues minutes, elle assise sur moi, moi assis sur le sable, nous couvrant l'un l'autre de baisers et de caresses de plus en plus chauds, tandis que le soleil disparaissait, et que le soir laissait place à la nuit. Nos baisers et caresses étaient tellement "hot" que je me demandais comment nous faisions pour ne pas craquer et commencer à baiser. Le désir me donnait tellement chaud que j'étais surpris de ne pas prendre feu, et je bandais tellement fort que j'avais l'impression d'avoir un bout de bois dans le caleçon. Quant à Sonia, les joues rougies par le désir, les yeux brillant d'envie, le soufle court, il était évident qu'elle était en proie à un très grand désir et qu'elle ne tarderait pas à craquer et à mettre un terme à ces préliminaires interminables.

Voyant qu'elle n'en faisait rien, je décidais d'en finir moi même avec les préliminaires, et je lui dénouai le lacet de son bikini. Je voulus lui retirer complètement son maillot de bain, mais pour ma plus grande frustration, elle m'arrêta. Avant que je n'eus le temps de protéster, elle se leva et partit en courant vers la mer, plongea dans l'eau et disparut. Elle émergea un peu plus loin et me cria :

"Allez viens !"

Il faisait nuit maintenant, l'eau devait probablement être froide, et en temps normal je n'aurais pas été très enthousiaste à l'idée de me baigner de nuit. Mais là, avec cette belle sirène allemande qui me demandait de la rejoindre dans l'eau, comment rester sur la plage ?

Sans plus tergiverser, je courus à mon tour vers la mer plongeai dans l'eau et nageai vers Sonia. Celle ci ne m'attendit pas, et vint vers moi,plongeant sous l'eau, et en ressortant juste devant moi. Je l'attrapai et l'attirai contre moi, et nous nous enlassâmes puis nous nous embrassâmes, d'abord doucement, puis sauvagement, le désir revenant de plus belle, plus insuportable que jamais. Cette fois, plus question de faire trainer les préliminaires, Sonia et moi nous dénudâmes aussitôt, jetant nos maillots de bain sur la plage. Après quoi Sonia se hissa sur moi, enroula ses jambes autour de ma taille et ses bras autour de mon cou, et s'empala sur moi. Elle se mit ensuite à onduler du bassin, d'abord lentement, puis rapidement, gémissant doucement tandis que je tremblai de plaisir. Toujours tremblant de plaisir, je l''embrassai fiévreusement, avant de descendre le long de son cou, puis de son buste, avant d'arriver à ses seins. J'enfouis ma tête au milieu de sa poitrine, embrassant et léchant frénétiquement ses seins, la faisant haleter de plaisir. Je revins sur sa bouche, et l'embrassa passionément, après quoi, elle accéléra encore ses mouvements de bassin, me faisant carrément crier de plaisir. Je l'attrapai et la serrai contre moi, puis je lui donnai des coups de reins la faisant gémir, elle se libéra de mon étreinte, et nous nous donnâmes mutuellement de puissants coups de reins, faisant s'agiter l'eau tout autour de nous, faisant dangereusement monter le plaisir en nous. Nous restâmes ainsi à nous baiser mutuellement sous le clair de lune durant un long moment, nous faisant l'amour de plus en plus sauvagement, nous embrassant chaque partie du corps que nous pouvions atteindre . A chacun de mes coups de rein, Sonia poussait un gémissement, et à chacun des siens, des étoiles se mettaient à danser devant mes yeux. A chaque fois que Sonia m'embrassait, ma peau s'enflamait à l'endroit où sa bouche m'avait touché. Entre deux coups de reins, elle me léchait également l'oreille et descendait le long de mon cou jusqu'à l'épaule traçant un sillon brûlant sur ma peau. Lorsque nous ne nous embrassions pas, nous faisions l'amour en nous regardant droit dans les yeux, nous délectant des grimaces de plaisir que chacun faisait. Nous continuâmes à nous faire l'amour ainsi, jusqu'à ce que nous fûmes trop fatigués pour continuer. Le souffle court, tremblants de plaisir et pourtant pas encore rassasiés, nous retournâmes au bord de l'eau, afin de poursuivre nos ébats de façon moins sportive.

Arrivés au bord de l'eau, je plaquai Sonia à terre, je vins sur elle, et lui embrassai le cou et les seins. Après quoi je la pénétrai et la baisai en missionaire, lui donnant des coups de rein d'abord lents, puis de plus en plus rapides la faisant crier de plaisir. Encouragé par ses cris, j'augmentai encore la cadence, tandis que le plaisir rendait Sonia plus sauvage que jamais, elle me griffa le dos, me mordit l'épaule et me cria de la baiser plus rapidement encore. Bien décidé à la satisfaire, j'accélérais encore et encore, atteignant un rythme si rapide que Sonia semblait sur le point de perdre connaissaisance, tant le plaisir que je lui infligeais était grand. Décidée à rendre les choses plus délicieuses encore, Sonia mit ses jambes sur mes épaules. Dans cette position, je pouvais la baiser plus fort et plus loin que jamais. Après quelque minutes passées à la baiser dans cette position, Sonia poussa un grand cri qui m'indiqua qu'elle avait eu un orgasme. Sonia s'écroula sur le sable, ivre de plaisir.

Très de fier de la façon dont je l'avais sautée, je lui dis pour la taquiner :

"Je t'avais prévenu que te baiserais sauvagement jeune innocente, t'as pas voulu me croire !"

A ces mots, elle se redressa me renversa. Surpris je tentai de la renverser, mais elle me tint cloué au sol.

"Et moi je t'avais dit que je saurais te gérer, me dit elle goguenarde".

Fière d'elle, elle s'empala sur mon sexe encore parfaitement raide, et entama une délicieuse et sauvage chevauchée. Elle commença par faire des vas et viens lents, puis à mesure qu'elle prenait confiance, elle accéléra le rythme de ses attaques, me faisant défaillir de plaisir. Les cheveux trempés et collés derrière elle dégagaient son beau visage, rougi par le plaisir, et mettant en valeur ses yeux bleus brillant de désir et d'excitation. Ses seins lourds se balançaient au rythme de ses vas et viens, tandis qu'elle gémissait tout son plaisir de me baiser ainsi. Je tentais à deux ou trois reprises de reprendre le dessus, mais à chaque fois Sonia me repoussa, me maintenant au sol en me tenant les mains. Je finis donc par capituler. Alors totalement maîtresse de la situation, Sonia ralentit le rythme de ses vas et viens, et m'embrassa sur la bouche tendrement. Elle descendit le long de mon cou et s'attarda sur mon torse, traçant avec sa langue un sillon brûlant entre mes pectoraux. Après quoi, je me redressai et lui embrassai ses seins, puis les léchai, la faisant frémir de plaisir. Ensuite, Sonia me jeta à nouveau sur le sable, et reprit ses vas et viens accélérant encore le rythme de ses attaques, jusqu'à atteindre un rythme fou m'entraînant aux portes de la jouissance. J'étais dans un état indescriptible, chacun des coups de reins de Sonia m'arrachaient un râle de plaisir, et faisaient danser des étoiles devant mes yeux, tandis qu'elle gémissait et me griffait le torse pour me stimuler. Dans ces conditions, je ne pus tenir très longtemps, et je finis par avoir un puissant orgasme en même temps qu'elle, poussant un grand cri au moment où je me vidais.

Exténués par ce bain de minuit très mouvementé, Sonia et moi rentrâmes dans mon mobil-home et dormîmes à point fermés jusqu'au matin.

Le lendemain matin, Sonia m'accompagna à la gare, où je devais prendre le train qui me raménerait chez moi. Nous nous dîmes aurevoir après avoir échangé nos numéros portables respectifs. Elle me promit que l'on se reverrait bientôt, m'affirmant que l'année prochaine elle viendrait étudier dans une fac française et que par conséquent nous pourrions sans doute nous revoir.

Après lui avoir dit aurevoir, je montai dans le train, un peu triste de quitter le "Camping du Soleil". J'y avais en effet passé d'excellentes vacances, surtout grâce aux belles jeunes filles qui m'avaient tenu compagnie penant ce séjour...

Nous n'étions qu'à la fin juin, et je savais donc qu'il me restait encore deux longs mois de vacances. J'avais cependant la désagréable impression que le reste de mes vacances ne seraient pas aussi riches en expérience érotique que ces dix jours passés au Camping du Soleil. Je me trompais lourdement...

En efffet alors que j'étais dans le train qui me ramenait chez moi, je reçus un SMS de Laure ma meilleure ami. Celle ci me proposait de partir une semaine avec elle et trois de ses amies dans le sud. Vous vous en doutez bien, ces vacances passées avec quatre jeunes filles sexy furent aussi érotiques que le début de mes vacances. Je vous raconterai prochainement...