Souvenirs de vacances et plus... 1
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2018 dans la catégorie Pour la première fois
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Souvenirs de vacances et plus... 1
Ces quatre récits mêlent les souvenirs de deux jeunes gens que j’ai rencontrés il y a de nombreuses années. Ils m’ont raconté tout cela… mais quelle est la part de fiction et de réalité ?
Les divers épisodes se déroulent sur plusieurs années dans les Alpilles et en région parisienne et raconte les aventures coquines d’une sœur et de son frère…
Souvenirs de vacances.
Cette année encore la famille, oncles, tantes, cousins et cousines, était rassemblée pour passer la dernière semaine avant la rentrée dans le mas familial à côté de Sisteron. En comptant Mamie Camille, nous étions quinze, les trois couples de parents, un oncle divorcé et les sept cousins et cousines.
A l’époque, nous étions tous de grands adolescents et nous formions une joyeuse bande. Nous profitions soit de la piscine creusée à l’arrière du bâtiment où nous étions parfois rejoints par d’autres ados également en vacances ou résidents permanents.
Nous faisions aussi de longues ballades à vélo dans la région pour aller rendre visite aux uns et aux autres.
Ce jour là, je ne me sentais pas trop bien (un coup de chaleur pris la veille peut-être) et j’étais restée à la maison. Les oncles et tantes étaient partis à Aix avec les cousins et cousines et j’étais seule avec ma grand’mère qui faisait la sieste dans sa chambre à l’étage.
J’étais allongée sur une couverture à l’ombre des platanes et je lisais un roman tout en ayant un walkman sur les oreilles. Soudain, je distinguai vaguement des pas sur le gravier. En me retournant, je découvris mon oncle Patrick (le divorcé) qui me contemplait à quelques mètres. En dehors d’un teeshirt et d’un short ultra court sans string, je ne portais rien d’autre. Lui, il était torse nu en bermuda. Je voyais d’une manière distincte qu’il bandait fort. Il devait fantasmer sur moi depuis un certain temps mais n’étant pas prude, cela ne me choquait pas…
Il s’est approché et m’a demandé ce que je lisais. Puis il s’est agenouillé en me disant combien j’étais belle. Bref il m’a fait la cour mais à ce moment-là, je ne voyais pas de mal… J’étais plutôt flattée.
A l’époque, j’étais une fille élancée et mince aux hanches étroites, au teint mat et aux cheveux noirs coupés très courts avec de petits seins à peine marqués tant et si bien que de dos on me prenait parfois pour un garçon.
Patrick a alors passé une main dans mes cheveux pour les ébouriffer et a posé l’autre sur un des mes seins. Sous ce contact de mâle, je me suis comme tétanisée. Toute jeune, les plaisir de Lesbos m’avaient attirée. Initiée dans ma seizième année par la sœur ainée (22 ans) d’une copine de lycée, j’avais ensuite multiplié les aventures avec les filles de notre bahut. A quelques mois de mes 18 ans, je n’avais jamais eu de relation ni même de flirt avec un garçon.
Patrick m’a dit de me détendre car il ne me voulait pas de mal, bien au contraire. En posant ses lèvres sur les miennes, il a ajouté :
- J’ai envie de te faire l’amour.
Ai-je eu tort d’accepter son baiser profond et de ne pas le repousser ? Toujours est t’il que ce jour là, j’ai perdu ce qui me restait de virginité.
Il a remonté mon teeshirt pour mettre à nu mes petits seins dont il a agacé les tétons en les pinçant doucement. Cette caresse me faisait déjà bien mouiller lorsque je triturais mes bourgeons. Puis il l’a ôté complètement. Par l’échancrure de mon short, il a glissé une main jusqu’à ma chatte en faisant courir un doigt entre mes lèvres suintantes.
De son autre main, il a pris ma main droite pour venir la poser sur sa bite sortie du bermuda. Je n’avais jamais touché un sexe d’homme mais, en plus des photos vues dans des magazines, je possédais déjà deux godes bien imités.
Tout cela commençait à bien nous échauffer. Lorsque Patrick fit descendre mon mini short après s’être mis entièrement nu, je n’opposais plus qu’une résistance de pure forme.
Il m’a allongée sur la couverture et s’est glissé entre mes cuisses pour venir manger mon bouton d’amour et lécher la cyprine qui s’écoulait de mon sexe. Humm ! Que c’était bon… Pour la première fois, ce n’était pas une langue de femme qui léchait ma vulve…
Il a couvert son sexe d’un préservatif et a présenté sa verge à l’entrée de ma grotte. Il a poussé doucement, attentif à mes réactions lorsqu’il est arrivé à l’hymen car je venais de lui avouer que c’était la première fois…
Malgré la douleur de la défloration il a été très doux et, restant immobile en moi, il m’a habituée à sa présence avant d’entamer le va-et-vient.
Dans mes relations saphiques, j’avais déjà eu un doigt ou des godes fins dans ma chatte. Peut être est ce grâce à cela que la douleur n’a pas été trop vive ?
Puis Patrick a commencé à me faire l’amour, allant et venant doucement en moi, faisant monter son plaisir mais aussi attentif au mien. Je n’avais plus aucune crainte et je me sentais bien, laissant la jouissance m’envahir.
Quand mon oncle est arrivé à la jouissance, je sentis dans ma chatte la pulsion des puissants jets de sperme emprisonnés par le préservatif. Il a fait encore quelques mouvements et c’est là qu’à mon tour j’ai jouis en me mordant les lèvres : Je n’étais plus vierge…
Nous sommes restés enlacés quelques instants, Patrick m’embrassant dans le cou, sur la bouche dans des baisers profonds et sensuels, puis, en se dégageant, il est venu embrasser mes deux tétons. Le frère de ma mère venait de faire de moi une femme à part entière et je l’en remerciai…
A 36 ans, marié puis divorcé, il a l’expérience des femmes ce qui est un secret pour personnes vu le nombre d’ « amies » qu’il a présenté à la famille.
Il a su être doux ce qui m’a donné beaucoup de plaisir.
Nus tous les deux nous allons piquer une tête dans la piscine puis nous nous séparons pour éviter tout problème au retour des adultes ou des cousins.
A partir de cette époque, suivant mon humeur, j’ai accepté de baiser aussi bien avec des garçons qu’avec des filles. J’étais devenue totalement bisexuelle.
Les divers épisodes se déroulent sur plusieurs années dans les Alpilles et en région parisienne et raconte les aventures coquines d’une sœur et de son frère…
Souvenirs de vacances.
Cette année encore la famille, oncles, tantes, cousins et cousines, était rassemblée pour passer la dernière semaine avant la rentrée dans le mas familial à côté de Sisteron. En comptant Mamie Camille, nous étions quinze, les trois couples de parents, un oncle divorcé et les sept cousins et cousines.
A l’époque, nous étions tous de grands adolescents et nous formions une joyeuse bande. Nous profitions soit de la piscine creusée à l’arrière du bâtiment où nous étions parfois rejoints par d’autres ados également en vacances ou résidents permanents.
Nous faisions aussi de longues ballades à vélo dans la région pour aller rendre visite aux uns et aux autres.
Ce jour là, je ne me sentais pas trop bien (un coup de chaleur pris la veille peut-être) et j’étais restée à la maison. Les oncles et tantes étaient partis à Aix avec les cousins et cousines et j’étais seule avec ma grand’mère qui faisait la sieste dans sa chambre à l’étage.
J’étais allongée sur une couverture à l’ombre des platanes et je lisais un roman tout en ayant un walkman sur les oreilles. Soudain, je distinguai vaguement des pas sur le gravier. En me retournant, je découvris mon oncle Patrick (le divorcé) qui me contemplait à quelques mètres. En dehors d’un teeshirt et d’un short ultra court sans string, je ne portais rien d’autre. Lui, il était torse nu en bermuda. Je voyais d’une manière distincte qu’il bandait fort. Il devait fantasmer sur moi depuis un certain temps mais n’étant pas prude, cela ne me choquait pas…
Il s’est approché et m’a demandé ce que je lisais. Puis il s’est agenouillé en me disant combien j’étais belle. Bref il m’a fait la cour mais à ce moment-là, je ne voyais pas de mal… J’étais plutôt flattée.
A l’époque, j’étais une fille élancée et mince aux hanches étroites, au teint mat et aux cheveux noirs coupés très courts avec de petits seins à peine marqués tant et si bien que de dos on me prenait parfois pour un garçon.
Patrick a alors passé une main dans mes cheveux pour les ébouriffer et a posé l’autre sur un des mes seins. Sous ce contact de mâle, je me suis comme tétanisée. Toute jeune, les plaisir de Lesbos m’avaient attirée. Initiée dans ma seizième année par la sœur ainée (22 ans) d’une copine de lycée, j’avais ensuite multiplié les aventures avec les filles de notre bahut. A quelques mois de mes 18 ans, je n’avais jamais eu de relation ni même de flirt avec un garçon.
Patrick m’a dit de me détendre car il ne me voulait pas de mal, bien au contraire. En posant ses lèvres sur les miennes, il a ajouté :
- J’ai envie de te faire l’amour.
Ai-je eu tort d’accepter son baiser profond et de ne pas le repousser ? Toujours est t’il que ce jour là, j’ai perdu ce qui me restait de virginité.
Il a remonté mon teeshirt pour mettre à nu mes petits seins dont il a agacé les tétons en les pinçant doucement. Cette caresse me faisait déjà bien mouiller lorsque je triturais mes bourgeons. Puis il l’a ôté complètement. Par l’échancrure de mon short, il a glissé une main jusqu’à ma chatte en faisant courir un doigt entre mes lèvres suintantes.
De son autre main, il a pris ma main droite pour venir la poser sur sa bite sortie du bermuda. Je n’avais jamais touché un sexe d’homme mais, en plus des photos vues dans des magazines, je possédais déjà deux godes bien imités.
Tout cela commençait à bien nous échauffer. Lorsque Patrick fit descendre mon mini short après s’être mis entièrement nu, je n’opposais plus qu’une résistance de pure forme.
Il m’a allongée sur la couverture et s’est glissé entre mes cuisses pour venir manger mon bouton d’amour et lécher la cyprine qui s’écoulait de mon sexe. Humm ! Que c’était bon… Pour la première fois, ce n’était pas une langue de femme qui léchait ma vulve…
Il a couvert son sexe d’un préservatif et a présenté sa verge à l’entrée de ma grotte. Il a poussé doucement, attentif à mes réactions lorsqu’il est arrivé à l’hymen car je venais de lui avouer que c’était la première fois…
Malgré la douleur de la défloration il a été très doux et, restant immobile en moi, il m’a habituée à sa présence avant d’entamer le va-et-vient.
Dans mes relations saphiques, j’avais déjà eu un doigt ou des godes fins dans ma chatte. Peut être est ce grâce à cela que la douleur n’a pas été trop vive ?
Puis Patrick a commencé à me faire l’amour, allant et venant doucement en moi, faisant monter son plaisir mais aussi attentif au mien. Je n’avais plus aucune crainte et je me sentais bien, laissant la jouissance m’envahir.
Quand mon oncle est arrivé à la jouissance, je sentis dans ma chatte la pulsion des puissants jets de sperme emprisonnés par le préservatif. Il a fait encore quelques mouvements et c’est là qu’à mon tour j’ai jouis en me mordant les lèvres : Je n’étais plus vierge…
Nous sommes restés enlacés quelques instants, Patrick m’embrassant dans le cou, sur la bouche dans des baisers profonds et sensuels, puis, en se dégageant, il est venu embrasser mes deux tétons. Le frère de ma mère venait de faire de moi une femme à part entière et je l’en remerciai…
A 36 ans, marié puis divorcé, il a l’expérience des femmes ce qui est un secret pour personnes vu le nombre d’ « amies » qu’il a présenté à la famille.
Il a su être doux ce qui m’a donné beaucoup de plaisir.
Nus tous les deux nous allons piquer une tête dans la piscine puis nous nous séparons pour éviter tout problème au retour des adultes ou des cousins.
A partir de cette époque, suivant mon humeur, j’ai accepté de baiser aussi bien avec des garçons qu’avec des filles. J’étais devenue totalement bisexuelle.
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