St Valentin ratée

- Par l'auteur HDS Pasham35 -
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Récit libertin : St Valentin ratée Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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St Valentin ratée
Nous étions le 14 février quand Julien rentra chez ses parents. Il avait passé la soirée chez sa copine, Margaux. Ils avaient passés un bon moment mais il était parti quand les parents de la jeune fille étaient rentrés de leur soirée au restaurant. Julien était un homme de 20 ans qui était étudiant en école d’ingénieur et habitait toujours chez ses parents. Il serait plus exacte de dire qu’il habitait chez son père. Ce dernier avait divorcé de sa mère et s’était remis en couple avec une femme de 10 ans sa cadette. Stéphanie allait avoir 40 ans. Elle était relativement jolie, avec un corps tout en rondeur mais très sensuel. S’il s’entendait bien avec elle, il fantasmait surtout sur elle. Il était arrivé plusieurs fois au jeune homme de se masturber en pensant à sa belle-mère.

Ce soir de la St Valentin, Julien rentrait donc chez son père. Il était 23h30 et il ne pensait pas trouver quelqu’un dans le salon. Il y découvrit pourtant Stéphanie, assise à la table de la salle à manger, au milieu d’une lumière tamisée, en train de boire une flûte de Champagne.

- Bonsoir Stéphanie.
- Bonsoir, répondit-elle d’une petite voix.
- Mon père n’est pas là ?
- Non, ton enfoiré de père m’a laissée tomber. Il avait promis de se libérer pour la soirée. Mais il a appelé tout à l’heure pour m’avertir qu’il devait passer la nuit au boulot pour une urgence. Encore !
Julien approuva. En effet, il trouvait que son père était souvent absent et savait que cela pesait parfois à Stéphanie.
- Désolé, compatissait le jeune homme.
Il aperçu la bouteille de Champagne au 3/4 vide sur la table. Elle avait noyé sa peine dans l’alcool.
- Je vais aller me coucher.
- Non, s’il te plaît Julien. Reste, je n’ai pas envie d’être seule. Pas ce soir. Tiens-moi compagnie.
- D’accord, accepta un peu à contre cœur Julien en prenant une chaise à côté de sa belle-mère.
Pendant qu’elle expliquait tantôt sa peine, tantôt sa colère envers son père il l’observait.
Elle avait mis une belle robe noire très décolletée qui mettait en valeur sa belle poitrine. Il pouvait apercevoir la dentelle rouge de son soutien-gorge dépasser. La robe remontait à mi-cuisse et laissait apercevoir ces belles jambes gainées de nylon noir. Ses cheveux noirs retombaient le long de son visage. Ses lèvres pulpeuses parées de rouge étaient pour Julien un fruit défendu.
Ses pensées s’envolèrent vers des contrées perverses. Son sexe commença à se gonfler et à créer une bosse dans son pantalon.
Durant la discussion, la main de Stéphanie vint se poser sur la cuisse de Julien :
- Tu es le seul homme sympa de cette maison, dit-elle un peu déprimée. Je vois bien que t’occupe mieux de Margaux.
Elle vit alors la bosse dans le pantalon de son beau-fils. Elle s’arrêta de parler, étonnée. Puis elle repris :
- C’est moi qui te fait ça ?
- Oui, pardon. C’est que je te trouve particulièrement jolie ce soir, bredouilla-t-il.
- Ne t’excuse pas, c’est naturel. Et puis c’est flatteur pour moi, ajouta-t-elle en retrouvant le sourire.
- Je vais te laisser, dit Julien en se levant, c’est préférable.
Il commença à s’éloigner quand Stéphanie lui dit.
- Non, ne part pas. Je ne voudrais pas te laisser dans cet état. C’est un peu de ma faute, ajouta-t-elle avec espièglerie.
Comme le jeune homme ne disait rien, elle ajouta directement :
- Et j’avais prévu de m’enfiler une queue ce soir. Il n’avait qu’a être là, le salaud.
Julien était tiraillé, il ne savait pas quoi faire. D’un côté, il ne voulait pas tromper Margaux qu’il aimait sincèrement mais de l’autre faire l’amour à sa belle-mère sur laquelle il avait longtemps fantasmé était une occasion qui ne se reproduirait pas. Il était également un peu honteux de profiter de la situation car elle avait assurément trop bu, ce qui lui enlevait toute inhibition.
- Tu vas te coucher ou tu viens me baiser ? demanda Stéphanie, impatiente.
Julien hésitait, réfléchit encore un peu puis s’approcha de sa belle-mère qui était toujours assise.
Elle défit le pantalon du jeune homme et sorti son sexe. Il était d’une taille dans la moyenne, et si elle ne dit rien elle fût un peu déçue. En effet, son père était particulièrement bien monté, et elle aimait se sentir remplie par son chibre. Le principal est qu’il s’en serve bien pensa-t-elle finalement.

Elle commença une lente fellation, s’appliquant à sucer le gland à son extrémité tout en faisant des va-et-vient avec sa main. Elle lui caressa les couilles, les lécha, les goba avec tant de voracité que cela arracha une grimace de douleur au jeune homme. La frontière entre douleur et plaisir peut être fine.
Au bout de plusieurs minutes de fellation, Stéphanie s’enfonça dans sa chaise, releva sa jambe gauche pour la poser sur table. Elle retroussa sa robe :
- Viens me bouffer la chatte ! ordonna-t-elle en écartant son string rouge en dentelle pour libérer son abricot juteux.
Le jeune homme n’en revenait pas. Son cœur bondissait dans sa poitrine. Et lui semblait que sa queue allait exploser devant le spectacle que lui offrait Stéphanie. La vue de son sexe luisant, de ses jambes gaînées de bas et du porte jarretelle qui les tenait le rendait fou.
Il s’agenouilla devant sa belle-mère et vint lécher sa chatte toute lisse avec avidité. Il lécha son clitoris, le fit tourner autour de sa langue. Il goba une à une ses lèvres gonflées puis lécha sa fente humide. Il introduisit sa langue à l’entrée de son vagin et se régala de son jus puis titilla son clitoris avec son index qu’il avait humidifié avec sa mouille. Il retourna ensuite aspirer son petit bouton avec sa bouche et introduisit un doigt, puis deux, dans sa chatte et entama de lents va-et-vient. Stéphanie respirait fort, le plaisir montait en elle. Pendant que son beau-fils la léchait, elle passait sa main dans sa chevelure. Il s’appliqua longuement à donner des coups de langues sur son clitoris.
- Tu es très doué, dit-elle d’une voix un peu essoufflée pour féliciter le jeune homme.
Elle se leva, demanda au jeune homme de ne pas bouger et parti dans sa chambre. Elle revint vite et tendit un plug anal en métal, avec en son extrémité un cœur rouge étincelant, ainsi qu’une tube de lubrifiant.
- Met-le moi dans le cul, ordonna-t-elle en s’accoudant sur la table et en relevant sa robe jusqu’à la taille.
Julien eu une vue magnifique sur ses jambes habillées de bas, son porte-jarretelle et son string rouge au milieu de ses fesses. Il n’arrivait plus à bouger.
Lorsqu’elle le rabroua gentiment, il s’accroupit derrière elle et fit glisser tout doucement le fin sous-vêtement le long de ses jambes, savourant chaque instant. N’ayant jamais pratiqué l’anal, il se laissa guider par sa belle-mère.
Il appliqua du gel sur son anus puis introduisit un doigt, fit des mouvements en profondeur puis circulaires. Il ajouta un deuxième doigt. Enfin, il recouvrit le plug de gel puis l’introduisit doucement dans le cul de Stéphanie. Tout doucement, et sans difficulté le plug fût inséré. Sans doute que ce cul était habitué à ce genre de traitement se dit-il.
Un joli cœur se trouvait maintenant à la place du petit trou de sa belle-mère.
- Baise-moi maintenant.
Il prit sa queue en main et l’introduisit dans la chatte dégoulinante de Stéphanie qui poussa un gémissement de plaisir en sentant cette hampe de chair coulisser en elle.
Julien s’activa doucement puis varia le rythme de ses aller-retour. Il relava la jambe gauche de sa partenaire pour la poser sur le table puis continua ses mouvements de bassin. Au bout d’un moment, Stéphanie voulut changer de position et s’allongea sur le dos sur la table, jambes toutes écartées. Le jeune homme se délecta encore un peu de cette vulve juteuse puis réintroduisit son sexe dans celui de sa belle-mère. En lui tenant les cuisses, il donnait maintenant de puissants coups de bassin qui lui arrachaient des râles de plaisir. Julien se mit à caresser le clitoris gonflé de plaisir qui lui faisait face. Cette attention fît rapidement jouir Stéphanie, qui se sachant seuls, laissa fortement exprimer son plaisir. Quand elle eut repris ses esprits, elle dit à Julien :
- Tu m’as bien labouré la chatte mon chéri, merci. Maintenant, j’aimerai que tu m’encules.
En disant, cela, elle se releva et fît glisser sa robe à ses pieds. Elle libéra ensuite ses seins volumineux de leur emprise de tissus. Elle se mit enfin à quatre pattes sur le tapis du salon, se cambrant pour bien relever ses fesses.
Julien était partagé entre excitation et hésitation. Il n’avait jamais eu de rapport anal avec Margaux. Il se décida finalement à ôter le plug et retravailla l’anus de sa partenaire pour le dilater un peu plus. Devant son hésitation, la femme le rassura :
- Je suis prête, tu peux y mettre ta queue.
Julien obéit et vint plaquer son gland lubrifié sur le petit trou de sa belle-mère. Il poussa doucement et introduisit son sexe par petit bout. Quand il fût entièrement rentré, il le ressorti et recommença. Il entama ainsi des va-et-vient. Il éprouva un fort plaisir à sentir sa queue serrée dans ce cul. Se sentant plus confiant, ses mouvements gagnaient en amplitude et en force.
Stéphanie exprimait son plaisir par des « Haaaa ». Elle adorait se faire remplir le cul et avait éprouvé ses plus puissants orgasmes par là.
Julien, enhardit, se laissa aller à parler librement :
- Tu aimes que je te défonces le cul ?
- Ho oui, mon chéri, j’adore. Défonce le cul de ta salope de belle-mère !
Julien se releva et proposa à Stéphanie de s’allonger sur le canapé. Elle releva ses jambes sur ses épaules et le jeune homme repris où il en était resté. Il introduit son sexe dans le cul de sa partenaire, puis le ressorti complètement. Il admira l’anus bien dilaté, brillant. Il remit sa queue puis la ressortit à nouveau. Il reprit ses aller-retour. Chacun savourait les sensations qui les envahissaient. Que le sexe est bon !
Stéphanie entreprit de changer de position et proposa à Julien de s’allonger sur le canapé. Elle le chevaucha et attrapa sa hampe de chair qu’elle guida vers son petit trou. Elle replia les jambes et sentit le membre bien raide s’introduire en elle. Elle guida alors le rythme. Julien admirait les seins de sa belle-mère bouger à chaque à-coup. Ses tétons, assez gros, étaient dressés de plaisir. Il avait envi de les lécher, de les mordiller mais ne pouvait pas dans cette position. Il se contenta de les caresser, les pincer. Stéphanie ronronna de plaisir.
Sa belle-mère étant assez cabrée en arrière, Julien avait également une belle vue sur la vulve humide. Il entrepris de la caresser puis parvint à introduire un doigt dans sa chatte trempée.
Le jeune homme grimaçait. Il sentait qu’il n’était pas loin de jouir. Il se retint, essaya de réorienter ses pensées sur autre chose que l’instant présent pour tenter de faire baisser un peu son excitation et durer un peu plus longtemps.
Un énième mouvement de ce chibre dans son cul déclencha un deuxième orgasme à Stéphanie. Elle poussa de forts gémissements de plaisir. Julien sentit le sphincter de sa partenaire se contracter et enserrer son sexe. La sensation était divine.
Alors qu’il pensait qu’il allait pouvoir jouir à son tour, sa belle-mère lui ordonna :
- Ne jouit pas dans mon cul. Je veux goûter ton sperme.
Le jeune homme n’en revenait pas. Il réalisait tous ses fantasmes aujourd’hui. Margaux se refusait aussi à le faire jouir dans sa bouche, trouvant cela répugnant.
Julien se retrouva debout devant Stéphanie qui était agenouillée devant lui. Elle pris en main son chibre et entama de le masturber. Le jeune homme, au bord de l’explosion, ne fût pas long à jouir. Branlant la queue devant son visage, avec la langue sortie, elle était prête à recevoir son foutre. Julien lâcha un premier râle de plaisir et expulsa de puissants jets de sperme. Stéphanie en reçu dans les cheveux, le front, la joue et les derniers tombèrent sur la langue. Si Julien avait une queue plus petite que celle de son père, il partageait pourtant avec lui une éjaculation très abondante. Stéphanie se délecta de ce foutre dans sa bouche, s’appliqua à bien récupérer chaque goûte qui sortait encore de cette queue.
A cet instant, la porte d’entrée s’ouvrit et voyant de la lumière le père de Julien dit :
- Ma chérie, tu vas être contente, j’ai finalement pu me libérer !
Son regard stupéfait se posa finalement sur son fils, debout, le sexe encore à moitié en érection se trouvant tout près du visage de sa femme recouvert de sperme.
- Mais c’est quoi ce bordel ! cria-t-il.

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