Summer of Love 3
Récit érotique écrit par Mysterious1991 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Summer of Love 3
Dès le réveil, ma «pupuce» mouille pour moi. Délicieusement. La cyprine intime de Bérénice est chaude… agréable.. salée. Délicieuse. J’aime la sentir sur mes doigts. Sur le bout de mes doigts. Et j’aime plus particulièrement le sentir sur ma langue. L’avoir en bouche. Oh oui… ! Je passe le bout de mes doigts, tout doucement, sur l’intimité de ma chérie, et, pendant le même temps, je l’embrasse. Je lui donne un petit baiser, un petit baiser comme elle les aime. Il faut dire que Bérénice est une petite gourmande… Elle aime les petits baisers et les caresses légères. Tout en douceur. Tout en tendresse. Tout en sensualité. Et… pendant que mes doigts flânent tout doucement, lentement sur la vulve de Bérénice, il me semble entendre Bérénice respirer mais plus fort. Je la regarde, et je constate qu’elle est détendue. Elle se laisse faire. Elle ME laisse faire. J’aime laisser glisser mes doigts sur son intimité mouillée. J’aimerais… les introduire en elle… Oh… ! J’en ai envie...
-«Introduis-les en moi… S’il te plaît.»
Bérénice est donc bel et bien éveillée, et d’une voix proche de la supplique, et ce, même si elle a encore du mal à émerger de son sommeil. Néanmoins, elle a une idée de mes intentions alors que ma main passe furtivement mais délicatement sur son sexe et l’effleure. Ses lèvres se sont ouvertes et je l’ai entendu me demander… me supplier de repasser ma main sur son minou et de glisser mes doigts en elle. Elle est déjà si mouillée. Mes doigts n’auraient pas vraiment de difficultés à la pénétrer, mais… Mais, j’ai envie de savourer les premières douceurs de ce réveil. Je veux accorder toute mon attention à Bérénice. Je veux éveiller son corps, TOUT son corps. Elle, toute entière. Mon seul et unique amour est tout contre moi. Nous sommes allongés, collés-serrés et… nous sommes bien. Il n’y a pas que son sexe qui soit chaud. Son corps, tout entier, l’est aussi. Ma main taquine son abricot et joue avec, comme si elle raffolait de la cyprine chaude et salée que secrète mon «étudiante sérieuse préférée», comme si elle jouissait d’être en contact avec elle. Moi… le «petite chat» de Bérénice (comme elle me surnomme). Moi dont elle dit que je suis beau, doux, tendre… sensuel. Moi dont elle dit que je la fais fondre. C’est de moi dont elle a envie. C’est pour elle qu’elle mouille. C’est pour moi que son petit bouton de rose gonflera…
…
J’ai posé une main sur la joue rose pâle de Bérénice, et je ne cesse d’embrasser ma belle parce que je l’aime… Je l’aime, et je la désire. Je suis fou d’elle. Mon désir d’elle est insatiable. L’autre main ? Elle continue de caresser Bérénice. Avec douceur. Avec fougue. Avec… envie et gourmandise. Je place un doigt à l’entrée à l’entrée de son vagin, et je regarde Bérénice, intensément...
Bérénice aime ce genre de réveil. Elle aime que je m’occupe d’elle. Ma main caresse doucement son fourreau d’amour, mouillé. Ce sont des petits cercles. Je sais que Bérénice raffole de cette caresse. Quant à moi, je m’efforce de faire ce qu’elle veut pour l’exciter. Et pour qu’elle mouille plus, encore plus. Bérénice aime les baisers alors que nous n’en sommes encore qu’aux premières douceurs du matin. Bérénice aime les caresses alors qu’elle vient à peine d’ouvrir ses prunelles chocolat. Bérénice aime ces petites attentions que je lui porte. Je me fais doux. Je titille l’entrée de son vagin. Je titille aussi son clitoris. J’éveille son désir. J’éveille son envie. Je le fais de telle sorte qu’elle me supplie, à un moment ou à un autre, de lui donner encore plus de plaisir. Elle sait que j’aime sentir sa mouille sur le bout de mes doigts, et que j’en raffole. Sa cyprine est ma saveur préférée. Elle me permet de faire en sorte que mes caresses soient agréables, et de la préparer à des caresses plus osées. J’aime et j’ai envie de lui donner du plaisir, encore plus de plaisir, toujours plus de plaisir. J’aime l’idée de la faire jouir, dès les premières douceurs du matin.
Nous sommes collés l’un à l’autre. Les minutes défilent, et nous en avons conscience. Pourtant… ça n’a pas la moindre importance parce que nous voulons jouir au maximum de ces moments privilégiés, en toute intimité, dans notre nid d’amour. Personne pour nous déranger.
Bérénice, telle une jeune chatte, se blottit contre moi et presse son corps désormais chaud contre le mien. On dirait qu’elle veut tirer au maximum partie et plaisir de l’étroitesse de notre étreinte. Ma main est restée entre ses jambes, et je continue de la caresser...intimement.
Ma «pupuce» a resserré légèrement ses cuisses, et celles-ci encerclent et pressent ma main de telle sorte que celle-ci soit, plus que jamais, en contact direct, avec sa porte du plaisir mouillée...trempée… salée. Le bout de mes doigts passe doucement, très doucement, délicatement, sur ses nymphes intimes, et les titille. Je les imagine… rouges, gonflées, excitées.
Il me tarde de les écarter… pour pouvoir avoir accès à…
Hmmm...
Bérénice halète. Sa respiration est différente, à présent. Elle semble retenir son souffle. C’est comme si elle appréhendait ce qui va se passer entre nous, ce que je vais lui faire. Moi, je pense qu’elle en a une idée, cette petite coquine… !
Ses cuisses enserrent doucement ma main. Ma main est encerclée, mais doucement. Bérénice a juste emprisonné ma main, et je me rends compte qu’elle se frotte tout contre mes doigts. Dans un sens, ce n’est plus vraiment moi qui la caresse. Elle se sert de mes doigts pour se donner du plaisir.
J’aime l’idée d’être un peu comme l’instrument de son plaisir.
L’étroitesse de notre étreinte est juste… exquise, et c’est excitant pour moi de sentir la cyprine de Bérénice sur mes doigts. En un sens, ça me touche. Ma «pupuce» mouille pour moi. Ca veut dire qu’elle est excitée. Qu’elle a envie de moi. Que je lui donne du plaisir, sans modération.
Ce sont mes petits mouvements circulaires de toute à l’heure qui l’ont excitée, petit à petit. Elle est joliment mouillée, et ça me plaît.
Bérénice m’excite. J’ai envie d’elle.
Ici. Dans ce lit.
Là. Maintenant.
J’insère tout doucement quelques centimètres de mon doigt en elle. Tout doucement. Ce doigt qui, quelques minutes auparavant, n’était placé qu’à l’entrée de son vagin.
Bérénice gémit.
Elle m’embrasse.
Un baiser. Deux baisers. Beaucoup de baisers. Elle recherche mes lèvres, et en raffole. Quant à moi, je ne peux résister à ses lèvres saveur vanille.
J’ai envie d’elle...
Ce que l’on vit là, maintenant, dans notre lit, c’est encore plus palpable que nous avons vécu quand nous habitions encore à plus de quatre cent kilomètres l’un de l’autre, et que donc nous vivions notre relation à distance. Le téléphone rose avait été notre meilleur allié, notre meilleur ami.
Je m’en souviens encore…
On se disait tout et rien. On se racontait nos journées respectives. Je lui parlais de mes recherches d’emploi et que ce n’était pas facile par moments. Je gardais cependant espoir. Ma «pupuce» me donnait la motivation pour, et surtout… surtout, une raison sérieuse supplémentaire de maintenir et d’accentuer mes efforts. Je me souviens que je lui disais que j’avais beau me battre pour moi, je me battais aussi pour elle.
Et aujourd’hui… nous sommes ensemble, dans ce lit, ce premier à lit à nous, et nous en jouissons du mieux que nous pouvons, au maximum. Je veux que Bérénice se sente bien dans notre lit. Qu’elle y vienne, le soir, apaisée, prête à se détendre en ma compagnie.
J’ai allumé une bougie parfumée à la vanille que j’ai achetée, il y a peu parce que je sais que la vanille est son arôme préféré : elle enduit chaque matin son corps de son lait douche à la vanille. Elle utilise un baume à la vanille pour rendre ses lèvres encore plus délicieuses. Elle le fait parce que depuis qu’elle m’a fait découvrir ses lèvres vanillées, j’adore encore plus les embrasser. Elle raffole de la glace à la vanille, et nous avons su en faire bon usage… Une coupe de glace à la vanille pour deux, au restaurant… Un bac de glace à la vanille, à la maison, dans le congélateur... Du sexe-vanille, parfois, dans l’intimité de notre chambre où je dépose un peu de glace sur les parties les plus sensibles de son corps, et ensuite, je m’y plais à la goûter… Hmmm…
En pensant à tout ça, je… j’effectue des petits va et vient, sur quelques centimètres de profondeur, à l’intérieur de son vagin… Bérénice soupire. Bérénice gémit.
Bérénice… aime...
Je sais ce que Bérénice aime, et je m’efforce, dès lors, à la mettre à l’aise du mieux que je peux. Elle a besoin de tout un contexte avant de se donner totalement, corps et âme, à moi.
Ça commence par des yeux amoureux. Des regards où je lui montre et lui témoigne l’amour que j’ai au plus profond de moi et que je ressens pour elle. Je me mets ainsi, moi aussi, à nu.
Une main posée sur sa joue… Un doigt qui va et qui vient, sur sa joue, qui la caresse… Des tout petits baisers sur toute la surface de son visage… Sur son front… Sur ses tempes… Sur ses paupières… Entre son œil et sa bouche… Sur sa joue… Sur sa mâchoire… Sur son menton… Sur… ses lèvres, sur lesquelles je laisse un doigt se promener car il les caresse. A certaines occasions, sa bouche s’ouvre, légèrement, et Bérénice se met à sucer ce doigt, à l’engloutir, de la manière qu’elle aime sucer et engloutir mon…
Je me focalise sur toutes les parties susceptibles de la détendre, de la rendre plus légère, et de la préparer… à des contacts plus… osés, plus… sensuels…
Ses oreilles… Ses délicieuses oreilles, que je m’embrasse… que je lèche… que je… mordille, tout doucement. Ça… lui fait de l’effet, me semble t-il…
Un doigt est en elle, à quelques centimètres de profondeur. Sa porte du plaisir est mouillée, trempée, mais pas encore inondée. Et pourtant… Et pourtant… J’aime déjà ça. Mon doigt va et vient… il va et il vient… Il va et il vient…
Je frotte, doucement, la paume de ma main, sur son fourreau d’amour. Je sais qu’elle apprécie, en général, les frottements de quelque chose sur son intimité. Les draps, quand elle décrète vouloir s’endormir dans le plus simple appareil… De la lingerie, en dentelle, quand elle ressent l’envie et le désir de se faire belle et sexy, pour moi… L’eau, quand elle utilise le pommeau de la douche comme instrument de plaisir lorsqu’elle s’adonne au plaisir solitaire…
Dans la vie de tous les jours, Bérénice garde des enfants et poursuit encore ses études, avec pour objectif d’ouvrir, un jour, sa propre librairie. Dans l’intimité… elle montre un tout autre visage...
-«Introduis-les en moi… S’il te plaît.»
Bérénice est donc bel et bien éveillée, et d’une voix proche de la supplique, et ce, même si elle a encore du mal à émerger de son sommeil. Néanmoins, elle a une idée de mes intentions alors que ma main passe furtivement mais délicatement sur son sexe et l’effleure. Ses lèvres se sont ouvertes et je l’ai entendu me demander… me supplier de repasser ma main sur son minou et de glisser mes doigts en elle. Elle est déjà si mouillée. Mes doigts n’auraient pas vraiment de difficultés à la pénétrer, mais… Mais, j’ai envie de savourer les premières douceurs de ce réveil. Je veux accorder toute mon attention à Bérénice. Je veux éveiller son corps, TOUT son corps. Elle, toute entière. Mon seul et unique amour est tout contre moi. Nous sommes allongés, collés-serrés et… nous sommes bien. Il n’y a pas que son sexe qui soit chaud. Son corps, tout entier, l’est aussi. Ma main taquine son abricot et joue avec, comme si elle raffolait de la cyprine chaude et salée que secrète mon «étudiante sérieuse préférée», comme si elle jouissait d’être en contact avec elle. Moi… le «petite chat» de Bérénice (comme elle me surnomme). Moi dont elle dit que je suis beau, doux, tendre… sensuel. Moi dont elle dit que je la fais fondre. C’est de moi dont elle a envie. C’est pour elle qu’elle mouille. C’est pour moi que son petit bouton de rose gonflera…
…
J’ai posé une main sur la joue rose pâle de Bérénice, et je ne cesse d’embrasser ma belle parce que je l’aime… Je l’aime, et je la désire. Je suis fou d’elle. Mon désir d’elle est insatiable. L’autre main ? Elle continue de caresser Bérénice. Avec douceur. Avec fougue. Avec… envie et gourmandise. Je place un doigt à l’entrée à l’entrée de son vagin, et je regarde Bérénice, intensément...
Bérénice aime ce genre de réveil. Elle aime que je m’occupe d’elle. Ma main caresse doucement son fourreau d’amour, mouillé. Ce sont des petits cercles. Je sais que Bérénice raffole de cette caresse. Quant à moi, je m’efforce de faire ce qu’elle veut pour l’exciter. Et pour qu’elle mouille plus, encore plus. Bérénice aime les baisers alors que nous n’en sommes encore qu’aux premières douceurs du matin. Bérénice aime les caresses alors qu’elle vient à peine d’ouvrir ses prunelles chocolat. Bérénice aime ces petites attentions que je lui porte. Je me fais doux. Je titille l’entrée de son vagin. Je titille aussi son clitoris. J’éveille son désir. J’éveille son envie. Je le fais de telle sorte qu’elle me supplie, à un moment ou à un autre, de lui donner encore plus de plaisir. Elle sait que j’aime sentir sa mouille sur le bout de mes doigts, et que j’en raffole. Sa cyprine est ma saveur préférée. Elle me permet de faire en sorte que mes caresses soient agréables, et de la préparer à des caresses plus osées. J’aime et j’ai envie de lui donner du plaisir, encore plus de plaisir, toujours plus de plaisir. J’aime l’idée de la faire jouir, dès les premières douceurs du matin.
Nous sommes collés l’un à l’autre. Les minutes défilent, et nous en avons conscience. Pourtant… ça n’a pas la moindre importance parce que nous voulons jouir au maximum de ces moments privilégiés, en toute intimité, dans notre nid d’amour. Personne pour nous déranger.
Bérénice, telle une jeune chatte, se blottit contre moi et presse son corps désormais chaud contre le mien. On dirait qu’elle veut tirer au maximum partie et plaisir de l’étroitesse de notre étreinte. Ma main est restée entre ses jambes, et je continue de la caresser...intimement.
Ma «pupuce» a resserré légèrement ses cuisses, et celles-ci encerclent et pressent ma main de telle sorte que celle-ci soit, plus que jamais, en contact direct, avec sa porte du plaisir mouillée...trempée… salée. Le bout de mes doigts passe doucement, très doucement, délicatement, sur ses nymphes intimes, et les titille. Je les imagine… rouges, gonflées, excitées.
Il me tarde de les écarter… pour pouvoir avoir accès à…
Hmmm...
Bérénice halète. Sa respiration est différente, à présent. Elle semble retenir son souffle. C’est comme si elle appréhendait ce qui va se passer entre nous, ce que je vais lui faire. Moi, je pense qu’elle en a une idée, cette petite coquine… !
Ses cuisses enserrent doucement ma main. Ma main est encerclée, mais doucement. Bérénice a juste emprisonné ma main, et je me rends compte qu’elle se frotte tout contre mes doigts. Dans un sens, ce n’est plus vraiment moi qui la caresse. Elle se sert de mes doigts pour se donner du plaisir.
J’aime l’idée d’être un peu comme l’instrument de son plaisir.
L’étroitesse de notre étreinte est juste… exquise, et c’est excitant pour moi de sentir la cyprine de Bérénice sur mes doigts. En un sens, ça me touche. Ma «pupuce» mouille pour moi. Ca veut dire qu’elle est excitée. Qu’elle a envie de moi. Que je lui donne du plaisir, sans modération.
Ce sont mes petits mouvements circulaires de toute à l’heure qui l’ont excitée, petit à petit. Elle est joliment mouillée, et ça me plaît.
Bérénice m’excite. J’ai envie d’elle.
Ici. Dans ce lit.
Là. Maintenant.
J’insère tout doucement quelques centimètres de mon doigt en elle. Tout doucement. Ce doigt qui, quelques minutes auparavant, n’était placé qu’à l’entrée de son vagin.
Bérénice gémit.
Elle m’embrasse.
Un baiser. Deux baisers. Beaucoup de baisers. Elle recherche mes lèvres, et en raffole. Quant à moi, je ne peux résister à ses lèvres saveur vanille.
J’ai envie d’elle...
Ce que l’on vit là, maintenant, dans notre lit, c’est encore plus palpable que nous avons vécu quand nous habitions encore à plus de quatre cent kilomètres l’un de l’autre, et que donc nous vivions notre relation à distance. Le téléphone rose avait été notre meilleur allié, notre meilleur ami.
Je m’en souviens encore…
On se disait tout et rien. On se racontait nos journées respectives. Je lui parlais de mes recherches d’emploi et que ce n’était pas facile par moments. Je gardais cependant espoir. Ma «pupuce» me donnait la motivation pour, et surtout… surtout, une raison sérieuse supplémentaire de maintenir et d’accentuer mes efforts. Je me souviens que je lui disais que j’avais beau me battre pour moi, je me battais aussi pour elle.
Et aujourd’hui… nous sommes ensemble, dans ce lit, ce premier à lit à nous, et nous en jouissons du mieux que nous pouvons, au maximum. Je veux que Bérénice se sente bien dans notre lit. Qu’elle y vienne, le soir, apaisée, prête à se détendre en ma compagnie.
J’ai allumé une bougie parfumée à la vanille que j’ai achetée, il y a peu parce que je sais que la vanille est son arôme préféré : elle enduit chaque matin son corps de son lait douche à la vanille. Elle utilise un baume à la vanille pour rendre ses lèvres encore plus délicieuses. Elle le fait parce que depuis qu’elle m’a fait découvrir ses lèvres vanillées, j’adore encore plus les embrasser. Elle raffole de la glace à la vanille, et nous avons su en faire bon usage… Une coupe de glace à la vanille pour deux, au restaurant… Un bac de glace à la vanille, à la maison, dans le congélateur... Du sexe-vanille, parfois, dans l’intimité de notre chambre où je dépose un peu de glace sur les parties les plus sensibles de son corps, et ensuite, je m’y plais à la goûter… Hmmm…
En pensant à tout ça, je… j’effectue des petits va et vient, sur quelques centimètres de profondeur, à l’intérieur de son vagin… Bérénice soupire. Bérénice gémit.
Bérénice… aime...
Je sais ce que Bérénice aime, et je m’efforce, dès lors, à la mettre à l’aise du mieux que je peux. Elle a besoin de tout un contexte avant de se donner totalement, corps et âme, à moi.
Ça commence par des yeux amoureux. Des regards où je lui montre et lui témoigne l’amour que j’ai au plus profond de moi et que je ressens pour elle. Je me mets ainsi, moi aussi, à nu.
Une main posée sur sa joue… Un doigt qui va et qui vient, sur sa joue, qui la caresse… Des tout petits baisers sur toute la surface de son visage… Sur son front… Sur ses tempes… Sur ses paupières… Entre son œil et sa bouche… Sur sa joue… Sur sa mâchoire… Sur son menton… Sur… ses lèvres, sur lesquelles je laisse un doigt se promener car il les caresse. A certaines occasions, sa bouche s’ouvre, légèrement, et Bérénice se met à sucer ce doigt, à l’engloutir, de la manière qu’elle aime sucer et engloutir mon…
Je me focalise sur toutes les parties susceptibles de la détendre, de la rendre plus légère, et de la préparer… à des contacts plus… osés, plus… sensuels…
Ses oreilles… Ses délicieuses oreilles, que je m’embrasse… que je lèche… que je… mordille, tout doucement. Ça… lui fait de l’effet, me semble t-il…
Un doigt est en elle, à quelques centimètres de profondeur. Sa porte du plaisir est mouillée, trempée, mais pas encore inondée. Et pourtant… Et pourtant… J’aime déjà ça. Mon doigt va et vient… il va et il vient… Il va et il vient…
Je frotte, doucement, la paume de ma main, sur son fourreau d’amour. Je sais qu’elle apprécie, en général, les frottements de quelque chose sur son intimité. Les draps, quand elle décrète vouloir s’endormir dans le plus simple appareil… De la lingerie, en dentelle, quand elle ressent l’envie et le désir de se faire belle et sexy, pour moi… L’eau, quand elle utilise le pommeau de la douche comme instrument de plaisir lorsqu’elle s’adonne au plaisir solitaire…
Dans la vie de tous les jours, Bérénice garde des enfants et poursuit encore ses études, avec pour objectif d’ouvrir, un jour, sa propre librairie. Dans l’intimité… elle montre un tout autre visage...
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