Summer of Love 5
Récit érotique écrit par Mysterious1991 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Summer of Love 5
Nous sommes bien, tous les deux.
J’aime Bérénice.
Hier soir, j’ai senti qu’elle n’était pas dans son assiette. Quelque chose n’allait pas. Elle qui a presque toujours le sourire aux lèvres et des mots d’amour dans la voix… Elle était silencieuse. Son visage était fermé. Je n’aime pas la voir comme ça. Il fallait que je fasse quelque chose.
Est-ce que ça avait un lien avec son petit boulot de nourrice ? Est-ce que les examens à la fac s’approchent à grands pas ? Ou bien est-ce moi qui ai dit quelque chose qu’il ne fallait pas ? Est-ce que j’avais manqué d’attention pour elle ?
Tout à l’heure, ça m’a bouleversé de voir la position que nous avions tous les deux, dans le lit. Nous étions l’un contre l’autre. Quelques millimètres, à peine, nous séparaient. Nous étions, tous les deux, au beau milieu du lit. Mes yeux étaient à moitié ouverts.
J’ai pris le temps d’admirer Bérénice.
J’ai pris le plaisir d’admirer Bérénice.
Qu’elle était belle…
Elle avait les cheveux lâchés.
Elle avait retiré ses lunettes.
Elle était nue… entièrement nue.
Oh…
Qu’elle était belle…
Notre drap la couvrait à moitié à ce moment-là. J’avais un joli aperçu de son corps dénudé. Je ne pouvais pas détourner mes yeux de lui. C’était tout simplement impossible.
Je voyais… ses épaules… la naissance de sa poitrine… ses seins lourds… son ventre.
Rien que de voir tout ça, ça… m’excitait.
J’avais envie de Bérénice.
Comment ça aurait pu en être autrement ?
Impossible !
Qu’elle était belle…
Alors, j’ai soufflé un léger filet d’air sur son visage.
Je ne sais pas ce qui m’a pris.
Qu’elle était belle…
Je n’ai pas pu résister. J’avais envie de profiter de Bérénice tant qu’elle était encore au lit, tout près de moi, tout contre moi. Je voulais jouir de ces instants où elle dormait encore et où elle était insouciante. Légère.
Cependant… elle me donnait envie d’elle.
Oh oui…
Et quand ses yeux se sont ouverts, petits… dans un premier temps… Oh ! Qu’elle était belle !
A présent, je suis en train de m’occuper d’elle.
J’ai deux doigts à présent en elle, qui vont et qui viennent.
Mon pouce dessine des cercles, toujours des petits cercles, sur son bouton de rose.
Je me sers de sa cyprine pour que ça reste agréable.
Je l’embrasse, encore et toujours parce que je ne m’en lasse pas.
Ses cuisses enserrent ma main.
Ainsi, Bérénice aime laisser ma main en étroit contact avec son minou.
Elle gémit.
Elle ne boude pas son plaisir.
Je ne boude pas le mien : celui de lui en donner.
Mes doigts sont en elle. J’aimerais… moi-même… l’être.
Je sens son liquide salé sur mes doigts.
J’aimerais bien… le goûter… avec ma langue.
J’aimerais bien… porter ma bouche à l’entrée de sa porte du plaisir.
Oh oui…
J’en ai envie…
Ce liquide salé, doux et chaud, qui lui coule maintenant entre les cuisses…
Il me tarde de le goûter.
J’ai envie de lécher Bérénice…
Je le veux.
– Écarte les jambes, s'il te plaît, Bérénice…
Elle glousse.
Elle se doute que j'ai envie de la lécher.
Elle, elle aime beaucoup ça.
Elle est très ouverte, sensuellement ET sexuellement parlant.
Elle aime beaucoup que je m'installe entre ses gambettes.
Elle aime que je la regarde avant que je ne ferme les yeux, que je ne soupire et que je dépose un petit bout de langue sur sa vulve.
Elle mouille déjà beaucoup.
Ce n'est que pur plaisir de lui donner du plaisir ainsi.
Elle mouille déjà beaucoup. Ma langue coulisse alors à merveille sur son abricot.
Elle halète.
Elle soupire.
Elle gémit.
– Mon chéri… Mon chéri… Oui… Oui… Oui !
Oh oui, bébé ! Moi aussi, j'aime te faire l'amour.
J'aime te lécher, et je ne m'en lasse pas.
Je t'aime te lécher, et je n'ai pas envie de m'arrêter, en si bon chemin...
– Caresse-toi les seins, Bérénice…
C’est ce que je lui ai dit à un moment donné.
Ses seins sont très sensibles quand on les caresse. Je le sais parce qu’elle me l’a dit, une fois, alors qu’on discutait tous les deux, la tête sur l’oreiller, après un câlin où elle m’avait sucé avec passion et où j’avais joui sur son ventre. Elle prend beaucoup de plaisir quand on se focalise sur ses tétons, sur ses aréoles et juste au-dessus des aréoles.
Du coup, j’ai interrompu le cunnilingus que j’avais commencé à lui faire, le temps d’un instant, et je l’ai regardée dans les yeux. Je le lui ai dit.
Elle a posé les mains sur ses seins, et elle les a empoignés.
Elle les a malaxés, palpés. Elle a pincé ses tétons.
Moi ? J’avais repris le cunni que j’avais commencé.
Je jouissais de pouvoir porter son abricot à ma bouche et je le léchais avec gourmandise.
Son sexe a très bon goût. Un goût de sel. Un goût de mer. Un parfum délicat mais agréable.
Il faut dire que j’aime m’installer confortablement entre ses jambes, la regarder droit dans les yeux, soupirer puis enfin me mettre à la lécher, lentement mais sûrement.
J’a-dore faire des cunnis à Bérénice. Et je sais qu’elle aime beaucoup ça, elle aussi. En général, elle a beaucoup de plaisir quand j’honore son minou.
Elle, elle se caresse les seins.
Elle ondule du bassin.
De temps à autre, elle glisse une main dans mes cheveux comme si elle voulait à la fois me guider et me dire avec ses mains que ça lui plaît que je lui broute le minou.
Elle halète.
– Encore… Encore… Encore !
Je ne sais pas si elle va bientôt jouir.
En tout cas, je veux tout faire pour.
Quant à moi, je sens que ma queue est bien dure.
Je me décide d’écarter les lèvres de Bérénice afin de mieux la lécher. Je distingue très bien son tout petit bouton de rose. J’y porte un fin coup de langue.
Elle crie.
Je la regarde à nouveau.
– Encore… Encore… ENCORE ! S’il te plaît… S’il te…
Je reporte ma langue sur son clito et je la lèche avec passion.
J’aime Bérénice. Et j’aime par-dessus lui donner du plaisir.
– Chéri… Chéri… Mon clitoris… Occupe-toi de mon clitoris… S’il te plaît…
Je la regarde, Bérénice, et je me noie dans ses beaux yeux chocolat.
Je m’écarte un tout petit peu : je vois qu’elle tend les bras et qu’elle les dirige vers son intimité. Et là, du bout des doigts, elle écarte un peu plus ses lèvres.
Et là… je peux distinguer mieux, bien mieux, son tout petit bouton de rose.
– Chéri… Ta langue ! Lèche-moi…
Ni une, ni deux, je replonge mon visage contre son sexe. Et je retrouve ce plaisir que j’ai à la lécher. La lécher… avec am-our.
Bien qu’elle porte un duvet de poils, moi, je les aime bien, ses poils pubiens. Oh.. oui…
Le bout de ma langue virevolte et tourbillonne.
Ma langue est en verve, et s’exprime comme elle le désire, autant qu’elle en a envie, comme bon lui semble.
– Oui… Oui… OUI ! Chéri… OH !
De par ses mouvements de bassin, elle ondule et elle frotte son sexe contre ma bouche.
Son minou a un bon goût. Certes, salé mais un goût délicat et agréable.
Une liqueur d’amour qu’elle ne réserve rien que pour moi.
– Caresse-toi les seins, bébé…
Le temps d’un instant, je jette un coup d’œil en direction de sa poitrine lourde et je vois Bérénice qui se caresse les seins. Elle les empoigne. Elle les malaxe. Elle s’en pince les tétons.
Bérénice est d’une sensualité… Une sensualité qui n’appartient qu’à elle.
– Écarte un peu plus les jambes, chérie, s’il te plaît…
Je sais ce que j’ai en tête, et si je lui ai dit ça, c’est parce que j’ai comme l’impression que ça va lui plaire…
Elle, elle écarte les jambes mais elle me regarde comme si elle me demandait pourquoi j’interrompais ce cunni délicieux que je lui faisais et pourquoi je la privais brièvement de ce plaisir jouissif que je lui donnais.
– Détends-toi, bébé… Ne pense plus à rien… Continue de te caresser les seins, Bérénice.
J’a-dore ses seins. Je me penche doucement et vais à leur hauteur. Je leur donne à chacun un petit baiser.
– Chéri… Chéri…
Elle halète.
– Occupe-toi d’eux un peu, s’il te plaît.
Ce n’est pas ce que j’avais en tête, mais… Puisque tu me le demandes si gentiment, hmmm… je veux bien.
Mon nez effleure l’un des tétons, et, au moment où elle semble s’y attendre le moins… Je donne un petit coup de langue.
Elle crie.
(…)
Tout compte fait… il se pourrait que m’occuper de ses seins pourrait m’aider à lui donner du plaisir, encore du plaisir, toujours plus de plaisir… avant de faire ce que j’ai envie de lui faire...
Je suis toujours couché sur elle, et je me penche de telle sorte que mon visage puisse s’enfouir dans sa poitrine.
Bérénice me demande de m’occuper un peu de ses seins ? Elle n’aura pas besoin de me le dire deux fois ! J’a-dore ses seins, et j’a-dore m’occuper de ces bourgeons d’amour. Oh… oui.
Je ne vais pas me faire prier plus longtemps.
J’enfouis mon visage entre les deux beaux seins de Bérénice.
Je dépose de tout petits baisers dans ce creux. Des baisers délicats… Des baisers mouillés.
Bérénice passe ses bras autour de mon cou. C’est comme si elle me disait que ça lui plaît. C’est comme si elle voulait que je continue.
Après les tout petits baisers, les baisers délicats et les baisers mouillés, ce sont à présent des coups de langue que je donne au creux de ses seins. De tout petits coups de langue. De fins coups de langue… Des coups de langue plus rapides… Des coups de langue plus prononcés.
Tout contre moi, je sens Bérénice qui bouge. Je sens son bassin onduler sous moi et se frotter à moi.
Nous sommes si proches, tous les deux. Ça en est vraiment bouleversant. C’est émouvant. Vraiment.
Je suis si amoureux de Bérénice.
Tous les jours, je pense si fort à elle. Matin, au réveil. Matin, quand elle est à la fac et qu’elle s’est vêtue de sa panoplie de l’étudiante sérieuse et que moi, je suis peut-être en charge d’un groupe de touristes pour une visite guidée. Le midi, il nous arrive de nous retrouver. L’après-midi, quand elle est encore à la fac et que moi, j’ai troqué ma tendue d’amoureux contre celle de guide touristique. Le soir, nous nous retrouvons et nous faisons souvent l’amour.
Nous sommes si amoureux.
Oh… oui.
– Attends, chéri…
? Elle m’a demandé de m’occuper de ses seins, et maintenant, elle dit ça. Mais, pourquoi ?
– Ce n’est pas ce que tu crois, mon amour. Tu les aimes, mes jolis seins lourds, ça, je le sais. Et moi, ça me fait toujours quelque chose de voir que tu les adores. Rassure-toi, mon amour… Je veux que tu t’occupes d’eux et que tu les aimes autant que tu en as envie.
Pendant un court laps de temps, je ne suis plus enfoui entre ses seins. Mais, je suis toujours au-dessus d’elle, et elle est magnifique. Vraiment.
Ce que je vois aussi, l’est, magnifique. Un délicieux spectacle pour les yeux : elle a pris ses seins dans ses mains, et elle les a pressés, l’un contre l’autre.
Je suis émoustillé.
– Tu vois, mon amour ? Ils sont tout à toi… Je suis toute à toi...
Bérénice vient de dire qu’elle est toute à moi ? C’est ce qu’elle a dit ? Qu’elle ne me le redise pas une seconde fois. J’ai saisi ses mots.
Elle est toute à moi !
Et moi, je suis confirmé dans mon idée de lui faire ce quelque chose auquel elle ne s’attend pas...
J’aime Bérénice.
Hier soir, j’ai senti qu’elle n’était pas dans son assiette. Quelque chose n’allait pas. Elle qui a presque toujours le sourire aux lèvres et des mots d’amour dans la voix… Elle était silencieuse. Son visage était fermé. Je n’aime pas la voir comme ça. Il fallait que je fasse quelque chose.
Est-ce que ça avait un lien avec son petit boulot de nourrice ? Est-ce que les examens à la fac s’approchent à grands pas ? Ou bien est-ce moi qui ai dit quelque chose qu’il ne fallait pas ? Est-ce que j’avais manqué d’attention pour elle ?
Tout à l’heure, ça m’a bouleversé de voir la position que nous avions tous les deux, dans le lit. Nous étions l’un contre l’autre. Quelques millimètres, à peine, nous séparaient. Nous étions, tous les deux, au beau milieu du lit. Mes yeux étaient à moitié ouverts.
J’ai pris le temps d’admirer Bérénice.
J’ai pris le plaisir d’admirer Bérénice.
Qu’elle était belle…
Elle avait les cheveux lâchés.
Elle avait retiré ses lunettes.
Elle était nue… entièrement nue.
Oh…
Qu’elle était belle…
Notre drap la couvrait à moitié à ce moment-là. J’avais un joli aperçu de son corps dénudé. Je ne pouvais pas détourner mes yeux de lui. C’était tout simplement impossible.
Je voyais… ses épaules… la naissance de sa poitrine… ses seins lourds… son ventre.
Rien que de voir tout ça, ça… m’excitait.
J’avais envie de Bérénice.
Comment ça aurait pu en être autrement ?
Impossible !
Qu’elle était belle…
Alors, j’ai soufflé un léger filet d’air sur son visage.
Je ne sais pas ce qui m’a pris.
Qu’elle était belle…
Je n’ai pas pu résister. J’avais envie de profiter de Bérénice tant qu’elle était encore au lit, tout près de moi, tout contre moi. Je voulais jouir de ces instants où elle dormait encore et où elle était insouciante. Légère.
Cependant… elle me donnait envie d’elle.
Oh oui…
Et quand ses yeux se sont ouverts, petits… dans un premier temps… Oh ! Qu’elle était belle !
A présent, je suis en train de m’occuper d’elle.
J’ai deux doigts à présent en elle, qui vont et qui viennent.
Mon pouce dessine des cercles, toujours des petits cercles, sur son bouton de rose.
Je me sers de sa cyprine pour que ça reste agréable.
Je l’embrasse, encore et toujours parce que je ne m’en lasse pas.
Ses cuisses enserrent ma main.
Ainsi, Bérénice aime laisser ma main en étroit contact avec son minou.
Elle gémit.
Elle ne boude pas son plaisir.
Je ne boude pas le mien : celui de lui en donner.
Mes doigts sont en elle. J’aimerais… moi-même… l’être.
Je sens son liquide salé sur mes doigts.
J’aimerais bien… le goûter… avec ma langue.
J’aimerais bien… porter ma bouche à l’entrée de sa porte du plaisir.
Oh oui…
J’en ai envie…
Ce liquide salé, doux et chaud, qui lui coule maintenant entre les cuisses…
Il me tarde de le goûter.
J’ai envie de lécher Bérénice…
Je le veux.
– Écarte les jambes, s'il te plaît, Bérénice…
Elle glousse.
Elle se doute que j'ai envie de la lécher.
Elle, elle aime beaucoup ça.
Elle est très ouverte, sensuellement ET sexuellement parlant.
Elle aime beaucoup que je m'installe entre ses gambettes.
Elle aime que je la regarde avant que je ne ferme les yeux, que je ne soupire et que je dépose un petit bout de langue sur sa vulve.
Elle mouille déjà beaucoup.
Ce n'est que pur plaisir de lui donner du plaisir ainsi.
Elle mouille déjà beaucoup. Ma langue coulisse alors à merveille sur son abricot.
Elle halète.
Elle soupire.
Elle gémit.
– Mon chéri… Mon chéri… Oui… Oui… Oui !
Oh oui, bébé ! Moi aussi, j'aime te faire l'amour.
J'aime te lécher, et je ne m'en lasse pas.
Je t'aime te lécher, et je n'ai pas envie de m'arrêter, en si bon chemin...
– Caresse-toi les seins, Bérénice…
C’est ce que je lui ai dit à un moment donné.
Ses seins sont très sensibles quand on les caresse. Je le sais parce qu’elle me l’a dit, une fois, alors qu’on discutait tous les deux, la tête sur l’oreiller, après un câlin où elle m’avait sucé avec passion et où j’avais joui sur son ventre. Elle prend beaucoup de plaisir quand on se focalise sur ses tétons, sur ses aréoles et juste au-dessus des aréoles.
Du coup, j’ai interrompu le cunnilingus que j’avais commencé à lui faire, le temps d’un instant, et je l’ai regardée dans les yeux. Je le lui ai dit.
Elle a posé les mains sur ses seins, et elle les a empoignés.
Elle les a malaxés, palpés. Elle a pincé ses tétons.
Moi ? J’avais repris le cunni que j’avais commencé.
Je jouissais de pouvoir porter son abricot à ma bouche et je le léchais avec gourmandise.
Son sexe a très bon goût. Un goût de sel. Un goût de mer. Un parfum délicat mais agréable.
Il faut dire que j’aime m’installer confortablement entre ses jambes, la regarder droit dans les yeux, soupirer puis enfin me mettre à la lécher, lentement mais sûrement.
J’a-dore faire des cunnis à Bérénice. Et je sais qu’elle aime beaucoup ça, elle aussi. En général, elle a beaucoup de plaisir quand j’honore son minou.
Elle, elle se caresse les seins.
Elle ondule du bassin.
De temps à autre, elle glisse une main dans mes cheveux comme si elle voulait à la fois me guider et me dire avec ses mains que ça lui plaît que je lui broute le minou.
Elle halète.
– Encore… Encore… Encore !
Je ne sais pas si elle va bientôt jouir.
En tout cas, je veux tout faire pour.
Quant à moi, je sens que ma queue est bien dure.
Je me décide d’écarter les lèvres de Bérénice afin de mieux la lécher. Je distingue très bien son tout petit bouton de rose. J’y porte un fin coup de langue.
Elle crie.
Je la regarde à nouveau.
– Encore… Encore… ENCORE ! S’il te plaît… S’il te…
Je reporte ma langue sur son clito et je la lèche avec passion.
J’aime Bérénice. Et j’aime par-dessus lui donner du plaisir.
– Chéri… Chéri… Mon clitoris… Occupe-toi de mon clitoris… S’il te plaît…
Je la regarde, Bérénice, et je me noie dans ses beaux yeux chocolat.
Je m’écarte un tout petit peu : je vois qu’elle tend les bras et qu’elle les dirige vers son intimité. Et là, du bout des doigts, elle écarte un peu plus ses lèvres.
Et là… je peux distinguer mieux, bien mieux, son tout petit bouton de rose.
– Chéri… Ta langue ! Lèche-moi…
Ni une, ni deux, je replonge mon visage contre son sexe. Et je retrouve ce plaisir que j’ai à la lécher. La lécher… avec am-our.
Bien qu’elle porte un duvet de poils, moi, je les aime bien, ses poils pubiens. Oh.. oui…
Le bout de ma langue virevolte et tourbillonne.
Ma langue est en verve, et s’exprime comme elle le désire, autant qu’elle en a envie, comme bon lui semble.
– Oui… Oui… OUI ! Chéri… OH !
De par ses mouvements de bassin, elle ondule et elle frotte son sexe contre ma bouche.
Son minou a un bon goût. Certes, salé mais un goût délicat et agréable.
Une liqueur d’amour qu’elle ne réserve rien que pour moi.
– Caresse-toi les seins, bébé…
Le temps d’un instant, je jette un coup d’œil en direction de sa poitrine lourde et je vois Bérénice qui se caresse les seins. Elle les empoigne. Elle les malaxe. Elle s’en pince les tétons.
Bérénice est d’une sensualité… Une sensualité qui n’appartient qu’à elle.
– Écarte un peu plus les jambes, chérie, s’il te plaît…
Je sais ce que j’ai en tête, et si je lui ai dit ça, c’est parce que j’ai comme l’impression que ça va lui plaire…
Elle, elle écarte les jambes mais elle me regarde comme si elle me demandait pourquoi j’interrompais ce cunni délicieux que je lui faisais et pourquoi je la privais brièvement de ce plaisir jouissif que je lui donnais.
– Détends-toi, bébé… Ne pense plus à rien… Continue de te caresser les seins, Bérénice.
J’a-dore ses seins. Je me penche doucement et vais à leur hauteur. Je leur donne à chacun un petit baiser.
– Chéri… Chéri…
Elle halète.
– Occupe-toi d’eux un peu, s’il te plaît.
Ce n’est pas ce que j’avais en tête, mais… Puisque tu me le demandes si gentiment, hmmm… je veux bien.
Mon nez effleure l’un des tétons, et, au moment où elle semble s’y attendre le moins… Je donne un petit coup de langue.
Elle crie.
(…)
Tout compte fait… il se pourrait que m’occuper de ses seins pourrait m’aider à lui donner du plaisir, encore du plaisir, toujours plus de plaisir… avant de faire ce que j’ai envie de lui faire...
Je suis toujours couché sur elle, et je me penche de telle sorte que mon visage puisse s’enfouir dans sa poitrine.
Bérénice me demande de m’occuper un peu de ses seins ? Elle n’aura pas besoin de me le dire deux fois ! J’a-dore ses seins, et j’a-dore m’occuper de ces bourgeons d’amour. Oh… oui.
Je ne vais pas me faire prier plus longtemps.
J’enfouis mon visage entre les deux beaux seins de Bérénice.
Je dépose de tout petits baisers dans ce creux. Des baisers délicats… Des baisers mouillés.
Bérénice passe ses bras autour de mon cou. C’est comme si elle me disait que ça lui plaît. C’est comme si elle voulait que je continue.
Après les tout petits baisers, les baisers délicats et les baisers mouillés, ce sont à présent des coups de langue que je donne au creux de ses seins. De tout petits coups de langue. De fins coups de langue… Des coups de langue plus rapides… Des coups de langue plus prononcés.
Tout contre moi, je sens Bérénice qui bouge. Je sens son bassin onduler sous moi et se frotter à moi.
Nous sommes si proches, tous les deux. Ça en est vraiment bouleversant. C’est émouvant. Vraiment.
Je suis si amoureux de Bérénice.
Tous les jours, je pense si fort à elle. Matin, au réveil. Matin, quand elle est à la fac et qu’elle s’est vêtue de sa panoplie de l’étudiante sérieuse et que moi, je suis peut-être en charge d’un groupe de touristes pour une visite guidée. Le midi, il nous arrive de nous retrouver. L’après-midi, quand elle est encore à la fac et que moi, j’ai troqué ma tendue d’amoureux contre celle de guide touristique. Le soir, nous nous retrouvons et nous faisons souvent l’amour.
Nous sommes si amoureux.
Oh… oui.
– Attends, chéri…
? Elle m’a demandé de m’occuper de ses seins, et maintenant, elle dit ça. Mais, pourquoi ?
– Ce n’est pas ce que tu crois, mon amour. Tu les aimes, mes jolis seins lourds, ça, je le sais. Et moi, ça me fait toujours quelque chose de voir que tu les adores. Rassure-toi, mon amour… Je veux que tu t’occupes d’eux et que tu les aimes autant que tu en as envie.
Pendant un court laps de temps, je ne suis plus enfoui entre ses seins. Mais, je suis toujours au-dessus d’elle, et elle est magnifique. Vraiment.
Ce que je vois aussi, l’est, magnifique. Un délicieux spectacle pour les yeux : elle a pris ses seins dans ses mains, et elle les a pressés, l’un contre l’autre.
Je suis émoustillé.
– Tu vois, mon amour ? Ils sont tout à toi… Je suis toute à toi...
Bérénice vient de dire qu’elle est toute à moi ? C’est ce qu’elle a dit ? Qu’elle ne me le redise pas une seconde fois. J’ai saisi ses mots.
Elle est toute à moi !
Et moi, je suis confirmé dans mon idée de lui faire ce quelque chose auquel elle ne s’attend pas...
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