Surprenante Sylvia,

- Par l'auteur HDS Sandratvtg -
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Auteur transexuel.
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Récit libertin : Surprenante Sylvia, Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Surprenante Sylvia,
<p>Surprenante Sylvia


Je sonne chez Sylvia avec qui je partage une grande complicité.
Je la vois régulièrement car elle me fait vivre mes fantasmes dans des jeux de rôles captivants.
C’est une voluptueuse brune en déshabillée transparent qui m’ouvre la porte.
J’admire sa luxuriante chevelure jais tombant en cascade sur ses épaules.
Ses yeux bruns en amande et ses lèvres gourmandes donnent à son visage un air volontaire et sensuel.
Sa robe de nuit s’ouvre sur un corset rose qui comprime ses seins généreux.
Un slip brésilien allonge ses jambes gainées de bas fixés par quatre paires de jarretelles qui mettent en valeur ses cuisses fuselées.
Perchée sur ses cuissardes à talons aiguilles, elle me prend la main pour me faire entrer dans son univers.
Après l’échange de quelques mots, elle me demande :
- Décris-moi ton fantasme actuel pour que je puisse répondre à tes attentes.
Je lui confie alors que :
- Je rêve de devenir une fille dotée d’une somptueuse poitrine, d’une croupe à damner un saint, d’un clito ultra sensible et d’avoir une garde robe pleine de lingerie.
- J’aimerai aussi qu’une fascinante dominatrice me prenne avec son gode ceinture ou qu’une belle transsexuelle me fasse l’amour toute la nuit.
- Beau programme, tu me donnes des idées, me dit Sylvia d’un air inspiré.
- A partir de maintenant, je m’adresse à toi au féminin et puisque tu es déjà entièrement épilée, je vais t’aider à t’habiller et à te maquiller.
- Suis-moi dans ma chambre, nous allons choisir tes dessous, me dit-t-elle en me prenant par la taille.
Un peu plus tard, ayant achevé ma métamorphose, elle me met devant la glace pour que je puisse juger du résultat.
- Regarde toi ma belle, tu es prête pour l’amour, me chuchote-t-elle à l’oreille.
Le miroir me renvoie l’image troublante d’une belle de nuit portant tous les symboles de la féminité.
Je porte une perruque blonde bouclée très glamour.
Mes yeux allongés par le maquillage sont mis en valeur par des faux cils.
Un rouge intense souligne mes lèvres pulpeuses et un fond de teint gomme les imperfections de ma peau.
Mes seins siliconés sont contenus dans une guêpière rouge recouverte d’une adorable combinaison en satin de même couleur s’arrêtant à mi-cuisses.
Un slip ouvert encadre ma queue d’un écrin de dentelle et de soie qui met ma croupe en valeur en dévoilant mon œillet.
Sylvia complète mon harnachement de femme fatale en accrochant huit jarretelles affriolantes à mes bas pour maintenir les coutures bien alignées et orne mes cuisses de deux ravissantes jarretières.
Je prends plaisir à caresser les fibres de nylon en contemplant le galbe parfait de mes mollets sublimé par mes escarpins.
Virevoltant devant la glace, j’admire ma silhouette élancée et ma taille sanglée dans mon ensorcelante guêpière qui fait ressortir ma croupe.
Puis, je marche dans la chambre pour sentir la tension de mes bas en frottant mes cuisses l’une contre l’autre pour les entendre crisser.
Lorsque je me déplace dans la pièce, je mets en valeur mes fesses hautes et bien cambrées qui font généralement craquer les femmes.
Sylvia n’y fait pas exception et me dit en les fixant avec insistance :
- Allonge toi sur le lit ma chérie, je suis impatiente d’explorer ta croupe.
Elle me renverse sur le dos et glisse sa main sous ma nuisette en la remontant lentement le long de mes cuisses.
Puis, elle la referme sur mes bourses qu’elle caresse avec douceur.
Ne pouvant lui résister, j’écarte les jambes pour lui faciliter la tâche.
- Je vais te faire craquer ma chérie, me chuchote-t-elle à l’oreille.
En souriant, elle continue à saper ma résistance en sentant durcir ma verge sous ses doigts.
Puis, écartant la fente de mon slip, elle m’enfonce son majeur dans les fesses.
Très expérimentée, elle le recourbe vers le haut en massant avec insistance ma glande d’amour tout en continuant à me masturber d’une main experte.
J’ai très vite une érection spectaculaire.
- Tu mouilles beaucoup ma belle et ton œillet est déjà bien ouvert.
- Attends moi un instant, je vais me changer, me dit-t-elle d’un ton prometteur.
Un moment plus tard, elle réapparaît vêtue d’une longue cape rouge et de bottes assorties.
Elle s’approche de moi en ouvrant sa cape et me dit en souriant:
- Je t’ai réservé cette surprise ma chérie.
Je reste sidérée en découvrant le gode ceinture qui est fixé sur ses hanches.
Semblant sortir de son ventre, un sexe monstrueux se balance lourdement entre ses cuissardes.
Son gland épais se prolonge d’une hampe sur laquelle courent de grosses veines apparentes.
Je n’arrive pas à détacher mon regard de cette queue en latex en doutant fort de pouvoir la prendre dans mes fesses.
- Ce gode atteint presque les trente centimètres. Mais, c’est surtout son diamètre qui va te donner du plaisir, rajoute-t-elle en connaisseuse.
Elle me le montre complaisamment sous tous les angles pendant qu’elle le lubrifie en me décochant des regards brûlants.
Puis, avec une étrange lueur dans les yeux, elle s’avance vers moi.
- Lève toi mon ange et remonte ta combinaison, je veux te prendre debout comme une fille des rues.
A la fois excitée et inquiète, je la retrousse fébrilement sur mon ventre en dévoilant mes jarretières.
Contrôlant mal mon émotion, ma queue jaillit d’un coup par la fente de mon slip ouvert.
Sylvia sourit devant ce spectacle et me plaque contre la cloison de la chambre en m’ouvrant les cuisses avec son genou.
Elle relève mes bourses pour dégager l’accès à ma grotte et pousse le gode dans la fente de mon slip.
Puis, elle s’enfonce doucement en moi sans me quitter des yeux.
Haletante, la poitrine palpitante, je me laisse embrocher sans résister.
Sylvia me cloue maintenant au mur comme un papillon en m’embrassant avec fougue.
Elle accompagne ses coups de reins de puissantes poussées de ses mains sur mes hanches qui m’empalent littéralement sur le pieu.
Peu après, elle entame une irrésistible danse du ventre en le tournant lentement dans mes chairs.
- Tu as un sexe de huit cent grammes dans les fesses ma belle, me dit-t-elle en me violant avec une joie non dissimulée.
Elle continue à se tortiller vicieusement dans mes reins en frottant son clito contre le gode.
Soudé à moi, elle me relève une jambe pour pousser toujours plus loin son énorme dard.
Ne tenant plus en équilibre que sur un talon aiguille, je mets mes bras autour de son cou pour me stabiliser.
L’image que me renvoie le miroir est très excitante.
Je suis debout, une jambe remontée sur sa hanche.
Ma combinaison retroussée sur le haut de ma cuisse, laisse apparaître mes bas et mes jarretelles tendues à craquer.
Fascinée, je vois mon corps tressauter en cadence à chacun de ses coups de reins.
J’ai vraiment l’impression d’être dans la peau d’une fille que l’on prend à la hussarde et que l’on plaque contre un mur pour satisfaire ses pulsions.
Cette vision me fait fondre de plaisir et je remercie Sylvia par la pensée de m’avoir fait vivre ce fantasme.
Me voyant trembler de désir et vaciller sur mes escarpins, elle me dit avec un sourire prometteur :
- Je vais t’achever sur mon lit ma belle.
Elle m’allonge sur le dos et place deux coussins sous mes fesses pour les mettre à la hauteur du pal qui se balance entre ses cuisses.
- Ecarte les jambes et prend tes chevilles en main pour rester ouverte, me dit-t-elle
Debout face à moi, elle contemple ma rosette qui s’ouvre comme une fleur.
J’ai des frissons lorsqu’elle s’approche en tenant d’une main ferme le glaive qu’elle me destine.
Galvanisée par ce spectacle, elle ne peut plus attendre et c’est avec un regard brûlant qu’elle me pénètre avec une lenteur calculée.
Mes sphincters cèdent peu à peu sous la pression du gland démesuré et je laisse échapper un cri lorsqu’il me transperce le ventre.
Elle me possède méthodiquement, profondément avec la régularité d’un métronome.
- Pousse fort ma chérie, m’ordonne-t-elle.
Puis, écartant mes fesses avec ses pouces, elle se laisse tomber de tout son poids.
Je sens alors le pal se ruer dans mes reins.
Le souffle coupé, je referme instinctivement mes mains dessus en essayant en vain de freiner sa course.
- Ce doit être la première fois que tu prends un tel calibre dans les fesses ?
M’interpelle Sylvia
En réponse, je croise mes jambes dans son dos et éperonne sa croupe avec mes talons aiguilles pour qu’elle accélère ses va et vient.
- Puisque tu aimes cela mon ange, je vais déployer tout mon savoir faire, me dit-t-elle.
Collée contre moi, elle trouve facilement mon point G et le pilonne avec une habilité diabolique.
A d’autres moments, elle tourne vicieusement le gode dans mon fourreau pour me faire sentir ses reliefs tourmentés.
Puis, elle roule et ondule du bassin en faisant vivre d’une manière prodigieuse ce pal qui m’enflamme le ventre.
Me voyant perdre mon contrôle, elle me comprime la racine du sexe pour m’empêcher de jouir.
Mais, elle voit à mon souffle court et aux tremblements de ma queue que je ne vais pas pouvoir résister longtemps.
Elle me chuchote à l’oreille :
- C’est le moment ma chérie, donne moi toute ta sève.
Savourant l’instant, j’essaye de prolonger mon plaisir en contractant mes fesses pour retenir la lave que je sens monter dans mes reins.
- N’essaye pas de me résister, m’assure-t-elle en riant.
En effet, pleine de ressource, elle gratte lentement mon frein avec son ongle.
L’effet est indescriptible et j’explose en laissant échapper un râle de délivrance et de plaisir.
Elle plaque alors son bassin contre moi en poussant le gode à fond dans mes entrailles.
Mon sperme trop longtemps contenu éclabousse sa main avec une puissance inhabituelle avant de retomber en longues coulées épaisses sur ma guêpière.
Je reste immobile, toute étourdie de bonheur, les yeux mi clos et en extase en contemplant le mince filet de sève qui s’échappe encore de mon sexe.
Très expérimentée, Sylvia presse mon périnée et ma queue en faisant sortir mes dernières giclées de sperme.
- Tu avais des réserves, me dit-t-elle en voyant ma lingerie recouverte de foutre.
Puis, elle me retire le gode en m’épongeant de son mieux.
- A ton tour de me donner du plaisir, me dit-t-elle.
Très chatte, elle s’allonge sur moi et m’embrasse à pleine bouche en pressant ses seins contre ma poitrine.
Je frotte mes jambes contre les siennes en m’enflammant au contact électrique de ses bas. Mon excitation redouble quand Sylvia serre vicieusement mon gland entre ses cuisses gainées de nylon.
Excitée par ma superbe érection, elle plaque son clito gorgé de sang contre mon sexe turgescent.
Avec l’instinct d’une mante religieuse qui a trouvé sa proie, sa chatte humide et avide de sexe s’ouvre alors sur ma queue en la dévorant avec une rare voracité.
Survoltée, Sylvia se tortille un long moment sur ma verge et finit par jouir en m’inondant de cyprine.
- Je vais te faire découvrir une autre de mes spécialités, me dit-t-elle enfin calmée.
Elle se lève et sort d’un tiroir une poire remplie de lubrifiant.
Avec des gestes précis, elle se penche sur moi et m’enfonce la canule dans les fesses en tapissant ma muqueuse d’un gel hydrophile.
Puis, elle me fait asseoir sur le lit, le dos appuyé contre le mur.
Avec un regard complice, elle ouvre la fente de mon slip et plonge ses cinq doigts dans ma grotte en jouant habilement du poignet pour les faire rentrer.
- Tu es déjà bien ouverte, cela va être facile ma chérie, me dit-t-elle.
Elle localise très vite mon point G qu’elle presse avec la pulpe de ses doigts en m’arrachant des gémissements de bonheur.
Profitant de mon relâchement, elle me soulève avec le bras qui m’embroche en le bloquant contre le matelas pour que je finisse de m’empaler moi-même par le poids de mon corps.
Stupéfaite, je vois son poignet s’enfoncer lentement dans mon ventre.
Elle me fiste de plus belle en léchant mon frein jusqu’à ce que j’éjacule en jets puissants dans sa gorge.
S’étouffant sous la pression de mon sperme qui lui éclabousse les lèvres, elle s’empresse de l’avaler rapidement.
- Je te propose de faire une pause pour que tu puisses te changer, Me dit-t-elle un moment plus tard.
Ayant remarqué mon goût immodéré pour la lingerie, elle me laisse choisir ma nouvelle tenue d’alcôve dans son armoire.
Après une longue période d’hésitation, j’opte pour une charmante nuisette à balconnets en satin noir ornée de fines bretelles roses.
Devant le miroir, je plaque sur mes hanches un porte jarretelles - serre taille de couleur rose qui à l’apparence d’un corset.
J’accroche avec volupté mes bas à résille aux jarretelles et j’enfile comme une seconde peau une longue paire de gants en soie qui recouvrent mes bras en accentuant mon côté glamour.
Je craque également pour une robe bustier en voile transparent ouverte sur le devant qui met ma poitrine en valeur.
Enfin, je change ma perruque bouclée blonde pour une autre coupée au carré de couleur brune pendant que Sylvia me glisse les pieds dans des mules à talons aiguilles.
Elle me laisse m’admirer devant la glace tout en plaçant mes seins dans les balconnets.
Je me trouve à la fois plus sexy et surtout plus provocante que dans la tenue précédente.
Je me sens maintenant dans la peau d’une Messaline prête à vivre tous mes fantasmes
Excitée par la taille de mon sexe, Sylvia vient se coller contre moi et me murmure à l’oreille :
- Surtout ne mets pas de culotte ma chérie, ce serait dommage de cacher une si belle queue.
- N’oublie pas que tu dois me laisser un libre accès à tes fesses, me dit-t-elle d’un ton sibyllin.
La séance d’essayage m’ayant fortement excitée, ma verge se dresse avec insolence en soulevant mon déshabillé transparent.
- Laisses-moi te vider les couilles, me dit-t-elle en utilisant volontairement un langage vulgaire pour augmenter ma libido.
Sans attendre mon avis, elle me pousse sur son lit en retroussant ma lingerie sur mes seins.
Puis, elle m’enfonce son majeur dans les fesses en sortant un vibro de dessous l’oreiller.
Avec précision, elle le pose sur ma verge jusqu’à ce que les vibrations fassent apparaître quelques perles de rosée à la surface de mon gland.
- Tu vois ma chérie, ton clito va bientôt exploser, me dit-t-elle en souriant.
A ces mots, je me rends compte qu’elle me fait vivre mes fantasmes.
Je me sens vraiment femme dans ce déshabillé érotique qui met en valeur mes seins somptueux, ma croupe attirante et mon clito ultra sensible.
De plus, Sylvia se révèle être une prodigieuse maîtresse qui me comble au plus haut point.
- Sais-tu que la jouissance anale est ma spécialité mon ange, me chuchote-t-elle à l’oreille.
Faisant preuve d’une grande expérience, elle retarde mon éjaculation en soulevant le vibro de mon frein dés qu’une goutte de sève s’échappe de mon gland.
Puis, elle le repose très vite pour faire apparaître la suivante.
Quand un instant plus tard son regard brûlant se fixe sur moi et que ses doigts coulissent de plus en vite dans mon fourreau, je sais qu’elle a décidé de me faire exploser.
Je râle de plaisir lorsque s’échappe de ma verge une coulée de sève ininterrompue, due à ses savantes pressions sur ma glande d’amour.
Cette longue éjaculation me donne un bonheur sans égal.
Sans me laisser de repos, elle me bande les yeux en me réservant d’autres surprises.
- Enlève ton déshabillé, me chuchote-t-elle en me pétrissant les fesses.
Totalement aveugle, je me laisse guider vers la pièce voisine où elle m’aide à monter deux marches avant de m’allonger sur une surface ferme.
Je devine qu’il s’agit d’une table médicale quand elle place mes talons aiguilles dans les étriers.
Elle m’écarte les jambes au maximum en me disant
- Laisse toi faire, tu ne le regretteras pas.
Quand elle retire mon bandeau, je reste sidérée en découvrant mon nouvel univers.
Je me trouve dans une petite pièce dont les murs et le plafond son entièrement recouvert de glaces.
Un objet insolite est placé entre mes jambes, mais mon regard est surtout attiré par la tige métallique qui pointe vers moi et sur laquelle est embroché un énorme gode.
- C’est une fucking machine que je vais essayer pour la première fois avec toi, jubile-t-elle.
- Jusqu’à présent, j’utilisais des godes ceinture de toutes tailles pour satisfaire mes clients mais, je me sentais frustrée de ne pouvoir leur faire l’amour.
- Désormais, je peux leur donner des sensations plus fortes en prenant également mon plaisir.
- Tu vas pouvoir me baiser pendant que cette petite merveille t’empalera mieux que moi.
- Elle a plusieurs programmes que je peux modifier à tout moment.
- Notamment, la profondeur des pénétrations, la vitesse et les vibrations de l’engin.
- Je peux aussi l’équiper d’un sexe dont les anneaux s’élargissent progressivement de trois à dix centimètres de diamètre ce qui comble les plus exigeants, me dit-t-elle en me jetant un regard équivoque.
- Je vais utiliser un calibre sept qui me semble parfaitement adapté à ton cas.
- On commence dans un instant ma belle, me susurre-t-elle les yeux brillants d’excitation.
Auparavant, elle m’attache les chevilles et relève ma nuisette pour me passer une sangle sous les seins et une autre sous l’abdomen.
Je suis à la fois excitée et inquiète de me voir immobilisée de la sorte.
- Je t’attache pour t’empêcher de bouger lorsque tu jouiras et éviter que la machine te blesse.
- Mais, on n’en n’est pas encore là, rajoute-t-elle déçue en s’apercevant que je ne bande toujours pas.
- Heureusement, j’ai de quoi te remettre en forme, me dit-t-elle en me caressant les cuisses.
Je la vois sortir d’une armoire un long tube en verre prolongé par un tuyau au bout duquel est fixée une pompe.
Je reconnais un vacum, qui sert à faire le vide d’air dans le cylindre pour gonfler la queue qui est à l’intérieur.
- Avec ça, tu vas bander rapidement, me dit-t-elle.
Elle glisse mon sexe dans le tube en actionnant la pompe.
Je sens ma verge s’étirer et se dilater fortement jusqu’à ce que sa taille atteigne vingt centimètres sur la graduation du verre.
Mais ce qui m’étonne le plus, c’est son épaisseur.
Mon gland gonfle démesurément en s’écrasant sur la paroi pourtant large de l’appareil.
Sylvia contemple d’un air satisfait mon sexe turgescent à travers le verre dépoli.
Puis, elle le sort du tube et glisse très vite un anneau pénien à sa base pour me faire garder mon érection.
- Ton gland épais va me donner du plaisir, me dit-t-elle.
Elle règle ensuite la hauteur de la machine en posant le gode contre ma rosette.
- Je vais commencer par le programme d’initiation, me dit-t-elle rassurante.
Elle appuie sur la télé commande et le pal s’engage de quelques centimètres dans mes fesses.
Sylvia en profite pour l’arroser copieusement de lubrifiant.
Puis, tout en me masturbant habilement, elle me fait découvrir les multiples ressources de l’engin.
Au bout d’un moment, la poussée du gode devient si forte que mes fesses se soulèvent à chaque va et vient
Elle regarde avec fascination cette machine m’empaler sur un rythme soutenu.
S’arrachant à ce spectacle, elle se met à califourchon sur moi en s’enfonçant ma verge jusqu’au ras des fesses.
Insatiable, elle entame de lentes et puissantes bascules du bassin d’avant en arrière qui me mettent dans tous mes états.
Parfois, elle s’arrête et fait tourner lentement sa croupe sur ma queue qui lui sert de pivot.
- Tu aimes ça mon ange me dit-t-elle d’une voix chaude en me voyant trembler de désir.
- Continue, je t’en supplie ne t’arrête pas.
Mes yeux se posent sur les miroirs de la chambre qui reflètent de tous côtés des scènes excitantes.
J’admire les seins et la superbe chute de reins de Sylvia.
Sanglée dans son corset, elle continue à se trémousser sur mon dard avec une rare perversité.
Mon désir monte crescendo quand je vois le gode démultiplié par les miroirs m’embrocher sous tous les angles.
Sylvia me tend alors un vibro en me disant :
- Fais-moi jouir avant que je t’achève.
J’écarte ses lèvres en le posant avec précision sur son clito.
Quelques minutes plus tard, chauffée à blanc, Sylvia perd peu à peu son contrôle.
Soudain, ne pouvant plus résister aux vibrations, elle pousse un cri qui libère sa tension aussitôt suivie de ses gémissements de bonheur.
- Eh bien ma chérie, tu m’as fait prendre mon pied, me dit-t-elle encore oppressée.
Reprenant vite le dessus, elle m’amène à son tour rapidement au bord de l’orgasme.
Elle augmente l’intensité des vibrations en m’enfonçant le gode jusqu’à la garde.
- Maintenant, jouis dans mes fesses ma chérie, me dit-t-elle en entamant une irrésistible danse du ventre.
Ces talents conjugués au rythme infernal de la machine me donnent des sensations prodigieuses.
Je me cambre autant que les sangles me le permettent dans l’attente du fabuleux orgasme que je sens monter en moi.
Survoltée, Sylvia me chevauche sur un rythme effréné en m’écrasant les bourses tant son excitation est grande.
Je suffoque et des râles de plaisir sortent de ma gorge lorsque qu’un orgasme puissant m’envahit en me faisant éclater la tête.
Je suis à la limite de la syncope quand ma sève gicle avec force dans ses reins.
Le corps tendu en arc de cercle, je jouis dans une succession de spasmes qui la désarçonne en partie.
Elle m’embrasse avec fougue en contractant puissamment ses muscles intimes pour finir de me vider.
Puis, stoppant la machine, elle contemple avec fascination le gode qui m’a élargi l’oeillet au diamètre d’une bouteille.
Elle le retire lentement en me laissant l’anneau largement ouvert.
- Il va mettre du temps à se refermer, commente-t-elle suavement
- Comme tu es déjà bien dilatée, j’en prendrai un plus gros la fois prochaine.
- Sois sans crainte, j’utiliserai auparavant un gel antalgique en te laissant t’adapter peu à peu à ce calibre.
- Tu seras alors prête pour que je t’initie au double fist, me dit-t-elle en s’essuyant l’entrejambe trempé par l’orgasme qu’elle vient d’avoir.
Elle rattache mes jarretelles malmenées lors de nos ébats avant de me libérer de mes liens.
- J’ai encore plein de choses à te faire découvrir, me dit-t-elle d’un ton enjôleur.
Puis, à regret, elle m’aide à me relever en me voyant encore toute étourdie de plaisir.
Je me rhabille en gardant sur moi ma voluptueuse lingerie et je la quitte en ne pensant plus qu’à la revoir le plus vite possible.

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