Surprise par mon mari...
Récit érotique écrit par Marie Salope [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2013 dans la catégorie Plus on est
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Couleur du fond :
Surprise par mon mari...
Entrée :
Je rentre du taf, fatiguée d’avoir couru de réunion en réunion. J’ai hâte d’enlever mes talons, de prendre une douche délassante. Je passe la porte et appelle « Chéri ». Je l’entends crier depuis la chambre « Ferme les yeux, ne les ouvre pas, si tu les ouvres, je te punis. ». Je souris, amusée. Depuis quelques temps nous explorons de nouveaux espaces de jeux sexuels, les fessées en font partie, à mon grand bonheur. Je ferme les yeux. Je l’entends s’affairer dans la chambre puis il me rejoint. « Bonjour mon amour, j’espère que tu as passé une bonne journée, je t’ai préparé une surprise. » Il m’embrasse tendrement, comme d’habitude. Nous sommes mariés depuis 9 ans. Tout en me parlant, il me déshabille petit à petit, mon chemisier, bouton par bouton, ma jupe qui glisse à terre, mes talons puis mes bas, ma culotte et mon bustier pour finir. Je suis nue, dans l’entrée, je garde les yeux fermés. Il me parle amoureusement, me caresse, m’embrasse… l’excitation monte. Puis il me demande d’aller à la salle de bain. « Il faut te préparer ». Curieuse, j’avance, guidée par mon homme qui prend grand soin de m’éviter les obstacles, toujours les yeux fermés insiste-t-il. Oui mon amour. Les yeux fermés…
Salle de bain :
Assise sur une chaise (ce doit être une chaise du salon, je reconnais le tissu au toucher) je me laisse faire. Il me coiffe, lentement, fais attention à ne pas tirer mes cheveux (j’ai des cheveux blonds vénitiens, jusqu’au milieu du dos, il en est fou), puis il me fait des couettes. Placées haut, juste au dessus des oreilles. Je m’en étonne. « Des couettes !? » « Tu verras ma chérie, tu vas comprendre, dans pas longtemps ». Puis il me bande les yeux. Un bandage très serré. Il me demande de monter dans la baignoire et de m’installer à quatre pattes. J’obéis, de plus en plus étonnée. Il me laisse là et sort de la pièce. Des pas et l’eau se met à couler… je suis mouillée depuis les doigts de pieds jusqu’à la nuque. L’eau s’arrête. Bruits. Je ne comprends pas, j’écoute, j’attends. Je demande. Silence. Puis l’eau coule à nouveau, tant mieux j’ai un peu froid comme ça à attendre mouillée. L’eau coule sur mon dos, un jet tiède, agréable. Puis je sens une main glisser entre mes fesses, un doigt s’enfoncer dans mon rectum, un doigt qui m’écarte et m’assoupli, toujours le jet d’eau tiède qui sort du tuyau et le doigt se retire, immédiatement remplacé par un tuyau, je comprends vite que c’est le tuyau de douche, que la pomme a été dévissée… le tuyau et l’eau tiède. Je me remplis, mon ventre se gonfle… la voix de mon mari « détends-toi mon amour ». Une main me masse le ventre et je me détends. Le lavement dure de longues minutes… puis vient le temps où l’odeur du gel douche se répand, on me lave, on me fait mousser, on me rince, on me redresse, on me sèche…
Bureau :
Cette pièce un peu sombre lui sert peu, mais il l’a aménagée comme un havre de paix, son havre de paix, un fauteuil et un bureau, celui de son père, une vielle chaîne hifi, ses disques, ses livres, une banquette lit qui ne sert jamais. Il m’installe en travers du lit, à quatre pattes encore (il adore cette position, moi aussi), il me caresse, me cajole, me dit combien je suis belle, bandante, qu’il a de la chance de m’avoir à lui, qu’il fait des jaloux… il se met devant moi et me demande de le prendre en bouche, je m’exécute, ravie de ces débuts prometteurs.
Pendant que je le suce avec application, il me caresse la tête, je sens mes couettes bouger et me caresser mes bras, il me complimente « j’adore ta façon de me pomper, une vraie petite pute, une pro, oui mon amour continue… » et j’accélère le mouvement… et au moment où, je le connais bien, je sais qu’il ne lui reste que quelques secondes avant de jouir, j’entends un bruit derrière moi. Surprise, j’essaye de me retourner en abandonnant mon travail en cours… Sans que j’ai le temps de réagir, il m’attrape par les couettes (je comprends !) et enfonce sa queue si profondément au fond de ma gorge que je ne peux plus bouger. Dans le même mouvement je me sens empalée sauvagement par un objet froid et dur, énorme. J’essaye de crier, la panique est là, mais il me baise la bouche si fort que je ne peux rien faire, il me pilonne et me remplit en violentes giclées, j’ai du mal à respirer, à avaler, la bouche toujours plaquée contre lui, maintenue fermement par les cheveux, ses mains autour des couettes, comme agrippées à des poignées. Ses couilles vidées, sa bite se ramollie. Il me continue à me parler tendrement, mon amour, ma chérie… pendant que des va et vient me labourent la chatte. J’essaye de deviner qui peut être là à me baiser avec un gode géant… je ne réfléchis pas longtemps, l’émotion est si forte que mon esprit ne fonctionne plus normalement, je me laisse aller et me concentre sur la queue de mon mari qui, au chaud dans ma bouche, commence à reprendre vie. Il m’encourage « oui, fais-moi bander, bien dur que je te baise à nouveau » soumise à sa volonté, je joue avec ma langue et il faut peu de temps pour qu’il bande comme un cerf à nouveau. L’homme derrière moi (ou la femme ?) me défonce consciencieusement, me ramone à fond, le gode s’active puis s’enfonce si profondément que je hoquète. Il (elle ?) se cale derrière moi sa cuisse entre mes jambes, bloque le gode en place, se penche et me caresse, attrape mes seins, les palpe, les évalue, joue avec mes tétons, les pince, les tord, les pince très fort, mes gémissements augmentent… Mon mari « ne lui fait pas mal ». L’homme (maintenant j’en suis sûre : j’ai senti les poils de ses bras, de son torse dans mon dos) se redresse, toujours la cuisse entre mes jambes, toujours bien baisée par le gode, il me malaxe les fesses, en silence, m’envoie quelques bonnes claques, mon mari continue tranquillement à me baiser la bouche, m’impose son rythme en me maintenant fermement par les cheveux, et lui demande, tellement poli (on dirait qu’il lui demande de lui passer le sel !) « Tu veux bien t’occuper de l’autre ? Vas-y, occupe-t-en. » Un mouvement, il enlève sa cuisse, le gode bouge un peu, il fait quelques pas, bruits, il se rapproche à nouveau. Il attrape mes fesses, une dans chaque main, et sa langue vient me lécher le petit trou bien propre, bien préparé pour ce qui va suivre… il fourre sa langue dans mon cul, me doigte vigoureusement, il m’écarte, détend mon trou serré, de temps en temps, il repousse fort le gode dans mon vagin, à chaque fois je sursaute, je crie, cri étouffé par la verge de mon mari qui me remplit la bouche qui me tringle en de longs mouvements, une machine ! L’autre s’active dans mon fondement, ses doigts, sa langue s’enfoncent encore et encore j’ai envie qu’il en finisse, je fatigue, mes bras tremblent sous la tension… J’en arrive à espérer qu’il m’encule le plus vite possible. Que ce soit fini. Mon état d’excitation est dément mais je ne jouis pas, le stress surement. L’homme me claque le cul. Mon mari me félicite « tu es formidable mon amour, formidable, tu me fais bander, tu es à moi… » et à l’autre « vas-y maintenant elle est prête, n’est-ce pas chérie ? » J’acquiesce comme je peux, hochant à peine la tête « Hummmmhummm »… L’homme ne parle toujours pas, je n’entendrai pas le son de sa voix, je ne saurai jamais qui était là… Il grogne, rit, gémit mais ne parle pas. Ses doigts toujours en moi, il s’excite, me fesse, me caresse, me pince, ses doigts toujours en moi, dans mon cul maintenant bien ouvert. Prêt. Il retire enfin ses doigts, replace le gode au fond de ma chatte, et me plante un autre gode dans le cul, enfin, je crois que c’est un gode mais il le place le plus profondément possible et le met en marche, position rapide, un vibro donc. Me voici embrochée de toute part, bouche vagin et anus. Il bloque le gode et le vibro en place avec sa cuisse et je l’entends s’astiquer le manche en haletant, il tape sa queue sur mes fesses, et recommence à se branler. Mon mari annonce, victorieux « on y va, ensemble ? » Grognement de l’autre. Et l’amour de ma vie s’agrippe encore plus fort à mes cheveux il jouit, décharge encore dans ma bouche pendant que je sens l’autre gicler dans mon dos, sur mes fesses, son sperme dégouline sur mes cuisses… Quand ils ont fini, je reste là tremblante, j’entends l’autre partir, il se rhabille, la porte claque, pendant ce temps mon mari me caresse la tête, le corps, étale la jute de l’autre sur moi, pince un téton en passant, il arrête le vibro, le retire, enlève le gode, s’allonge à coté de moi, me prends dans ses bras, me cajole, me félicite « tu es merveilleuse, la meilleure, tu dépasses tous mes rêves, je t’aime mon cœur, mon tendre amour, ma femme… » Je me détends enfin et je suis immédiatement submergée par un orgasme sans fin, mes larmes coulent, je ris, je pleure, je respire, je ressens, je sens l’odeur de mon mari sur mes lèvres… Mon homme.
Je rentre du taf, fatiguée d’avoir couru de réunion en réunion. J’ai hâte d’enlever mes talons, de prendre une douche délassante. Je passe la porte et appelle « Chéri ». Je l’entends crier depuis la chambre « Ferme les yeux, ne les ouvre pas, si tu les ouvres, je te punis. ». Je souris, amusée. Depuis quelques temps nous explorons de nouveaux espaces de jeux sexuels, les fessées en font partie, à mon grand bonheur. Je ferme les yeux. Je l’entends s’affairer dans la chambre puis il me rejoint. « Bonjour mon amour, j’espère que tu as passé une bonne journée, je t’ai préparé une surprise. » Il m’embrasse tendrement, comme d’habitude. Nous sommes mariés depuis 9 ans. Tout en me parlant, il me déshabille petit à petit, mon chemisier, bouton par bouton, ma jupe qui glisse à terre, mes talons puis mes bas, ma culotte et mon bustier pour finir. Je suis nue, dans l’entrée, je garde les yeux fermés. Il me parle amoureusement, me caresse, m’embrasse… l’excitation monte. Puis il me demande d’aller à la salle de bain. « Il faut te préparer ». Curieuse, j’avance, guidée par mon homme qui prend grand soin de m’éviter les obstacles, toujours les yeux fermés insiste-t-il. Oui mon amour. Les yeux fermés…
Salle de bain :
Assise sur une chaise (ce doit être une chaise du salon, je reconnais le tissu au toucher) je me laisse faire. Il me coiffe, lentement, fais attention à ne pas tirer mes cheveux (j’ai des cheveux blonds vénitiens, jusqu’au milieu du dos, il en est fou), puis il me fait des couettes. Placées haut, juste au dessus des oreilles. Je m’en étonne. « Des couettes !? » « Tu verras ma chérie, tu vas comprendre, dans pas longtemps ». Puis il me bande les yeux. Un bandage très serré. Il me demande de monter dans la baignoire et de m’installer à quatre pattes. J’obéis, de plus en plus étonnée. Il me laisse là et sort de la pièce. Des pas et l’eau se met à couler… je suis mouillée depuis les doigts de pieds jusqu’à la nuque. L’eau s’arrête. Bruits. Je ne comprends pas, j’écoute, j’attends. Je demande. Silence. Puis l’eau coule à nouveau, tant mieux j’ai un peu froid comme ça à attendre mouillée. L’eau coule sur mon dos, un jet tiède, agréable. Puis je sens une main glisser entre mes fesses, un doigt s’enfoncer dans mon rectum, un doigt qui m’écarte et m’assoupli, toujours le jet d’eau tiède qui sort du tuyau et le doigt se retire, immédiatement remplacé par un tuyau, je comprends vite que c’est le tuyau de douche, que la pomme a été dévissée… le tuyau et l’eau tiède. Je me remplis, mon ventre se gonfle… la voix de mon mari « détends-toi mon amour ». Une main me masse le ventre et je me détends. Le lavement dure de longues minutes… puis vient le temps où l’odeur du gel douche se répand, on me lave, on me fait mousser, on me rince, on me redresse, on me sèche…
Bureau :
Cette pièce un peu sombre lui sert peu, mais il l’a aménagée comme un havre de paix, son havre de paix, un fauteuil et un bureau, celui de son père, une vielle chaîne hifi, ses disques, ses livres, une banquette lit qui ne sert jamais. Il m’installe en travers du lit, à quatre pattes encore (il adore cette position, moi aussi), il me caresse, me cajole, me dit combien je suis belle, bandante, qu’il a de la chance de m’avoir à lui, qu’il fait des jaloux… il se met devant moi et me demande de le prendre en bouche, je m’exécute, ravie de ces débuts prometteurs.
Pendant que je le suce avec application, il me caresse la tête, je sens mes couettes bouger et me caresser mes bras, il me complimente « j’adore ta façon de me pomper, une vraie petite pute, une pro, oui mon amour continue… » et j’accélère le mouvement… et au moment où, je le connais bien, je sais qu’il ne lui reste que quelques secondes avant de jouir, j’entends un bruit derrière moi. Surprise, j’essaye de me retourner en abandonnant mon travail en cours… Sans que j’ai le temps de réagir, il m’attrape par les couettes (je comprends !) et enfonce sa queue si profondément au fond de ma gorge que je ne peux plus bouger. Dans le même mouvement je me sens empalée sauvagement par un objet froid et dur, énorme. J’essaye de crier, la panique est là, mais il me baise la bouche si fort que je ne peux rien faire, il me pilonne et me remplit en violentes giclées, j’ai du mal à respirer, à avaler, la bouche toujours plaquée contre lui, maintenue fermement par les cheveux, ses mains autour des couettes, comme agrippées à des poignées. Ses couilles vidées, sa bite se ramollie. Il me continue à me parler tendrement, mon amour, ma chérie… pendant que des va et vient me labourent la chatte. J’essaye de deviner qui peut être là à me baiser avec un gode géant… je ne réfléchis pas longtemps, l’émotion est si forte que mon esprit ne fonctionne plus normalement, je me laisse aller et me concentre sur la queue de mon mari qui, au chaud dans ma bouche, commence à reprendre vie. Il m’encourage « oui, fais-moi bander, bien dur que je te baise à nouveau » soumise à sa volonté, je joue avec ma langue et il faut peu de temps pour qu’il bande comme un cerf à nouveau. L’homme derrière moi (ou la femme ?) me défonce consciencieusement, me ramone à fond, le gode s’active puis s’enfonce si profondément que je hoquète. Il (elle ?) se cale derrière moi sa cuisse entre mes jambes, bloque le gode en place, se penche et me caresse, attrape mes seins, les palpe, les évalue, joue avec mes tétons, les pince, les tord, les pince très fort, mes gémissements augmentent… Mon mari « ne lui fait pas mal ». L’homme (maintenant j’en suis sûre : j’ai senti les poils de ses bras, de son torse dans mon dos) se redresse, toujours la cuisse entre mes jambes, toujours bien baisée par le gode, il me malaxe les fesses, en silence, m’envoie quelques bonnes claques, mon mari continue tranquillement à me baiser la bouche, m’impose son rythme en me maintenant fermement par les cheveux, et lui demande, tellement poli (on dirait qu’il lui demande de lui passer le sel !) « Tu veux bien t’occuper de l’autre ? Vas-y, occupe-t-en. » Un mouvement, il enlève sa cuisse, le gode bouge un peu, il fait quelques pas, bruits, il se rapproche à nouveau. Il attrape mes fesses, une dans chaque main, et sa langue vient me lécher le petit trou bien propre, bien préparé pour ce qui va suivre… il fourre sa langue dans mon cul, me doigte vigoureusement, il m’écarte, détend mon trou serré, de temps en temps, il repousse fort le gode dans mon vagin, à chaque fois je sursaute, je crie, cri étouffé par la verge de mon mari qui me remplit la bouche qui me tringle en de longs mouvements, une machine ! L’autre s’active dans mon fondement, ses doigts, sa langue s’enfoncent encore et encore j’ai envie qu’il en finisse, je fatigue, mes bras tremblent sous la tension… J’en arrive à espérer qu’il m’encule le plus vite possible. Que ce soit fini. Mon état d’excitation est dément mais je ne jouis pas, le stress surement. L’homme me claque le cul. Mon mari me félicite « tu es formidable mon amour, formidable, tu me fais bander, tu es à moi… » et à l’autre « vas-y maintenant elle est prête, n’est-ce pas chérie ? » J’acquiesce comme je peux, hochant à peine la tête « Hummmmhummm »… L’homme ne parle toujours pas, je n’entendrai pas le son de sa voix, je ne saurai jamais qui était là… Il grogne, rit, gémit mais ne parle pas. Ses doigts toujours en moi, il s’excite, me fesse, me caresse, me pince, ses doigts toujours en moi, dans mon cul maintenant bien ouvert. Prêt. Il retire enfin ses doigts, replace le gode au fond de ma chatte, et me plante un autre gode dans le cul, enfin, je crois que c’est un gode mais il le place le plus profondément possible et le met en marche, position rapide, un vibro donc. Me voici embrochée de toute part, bouche vagin et anus. Il bloque le gode et le vibro en place avec sa cuisse et je l’entends s’astiquer le manche en haletant, il tape sa queue sur mes fesses, et recommence à se branler. Mon mari annonce, victorieux « on y va, ensemble ? » Grognement de l’autre. Et l’amour de ma vie s’agrippe encore plus fort à mes cheveux il jouit, décharge encore dans ma bouche pendant que je sens l’autre gicler dans mon dos, sur mes fesses, son sperme dégouline sur mes cuisses… Quand ils ont fini, je reste là tremblante, j’entends l’autre partir, il se rhabille, la porte claque, pendant ce temps mon mari me caresse la tête, le corps, étale la jute de l’autre sur moi, pince un téton en passant, il arrête le vibro, le retire, enlève le gode, s’allonge à coté de moi, me prends dans ses bras, me cajole, me félicite « tu es merveilleuse, la meilleure, tu dépasses tous mes rêves, je t’aime mon cœur, mon tendre amour, ma femme… » Je me détends enfin et je suis immédiatement submergée par un orgasme sans fin, mes larmes coulent, je ris, je pleure, je respire, je ressens, je sens l’odeur de mon mari sur mes lèvres… Mon homme.
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