Surprise – Soubrette Chat
Récit érotique écrit par Léon687 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-05-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Surprise – Soubrette Chat
J’ai fait la connaissance de Véronique lors d’une soirée BDSM, c’était une jeune femme qui débutait dans le milieu. Nous avons sympathisé et après plusieurs rencontres et séances, elle m’avait demandé si on pouvait au niveau au-dessus, une relation D/S.
J’ai accepté et elle est devenue ma soumise.
Il faut dire qu’elle m’avait tout de suite tapé dans l’œil. Un joli corps bien fait, un visage magnifique avec des yeux verts qui me rappelait les pierres de jade et les cheveux rouge vif (à l’époque).
Un jour au travail, j’ai reçu un sms de sa part :
V – dit, on se voit toujours ce soir ?
L – oui, pourquoi il y a un problème ?
V – non, mais j’aimerais réaliser un fantasme ce soir et te faire la surprise, si tu es d’accord.
L – fais-toi plaisir, chaton.
(Son petit surnom car elle est dingue de chat ce qui lui a tout de suite plu)
V – oh merci, je vous adore Monsieur <3
(Elle était déjà dans son rôle de soumise à ce moment)
La journée passa sans trop que je pense à cette surprise. Je quittais mon poste et à peine installé au volant le téléphone sonna, c’était Véro :
L – Oui, mon petit chat ?
V – Monsieur, ma surprise est prête. Je suis chez vous en attendant votre retour bien sagement.
L – Parfait, j’arrive bientôt.
V – j’ai hâte que vous voyez ça.
L – a tout de suite.
Je raccrochais et pris la route jusqu’à mon petit nid douillet ou m’attendait donc ma soumise et sa surprise. J’essayais de savoir ce qu’elle pouvait m’avoir préparé pendant que l’ascenseur montait jusqu’à mon étage. J’arrivais devant la porte et j’entendis des bruits de talons sur le carrelage, j’esquissais un sourire.
Elle ouvrit la porte et je fus surpris par ce que je vis. Ma belle soumise s’était déguisée en soubrette chat.
Le petit tablier blanc sur l’uniforme noir, la coiffe assortis couplé aux oreilles de chat noir, des bas noirs et de petits escarpins, son collier autour du cou, les lèvres orné d’un rouge à lèvres violet qui allait de pair avec sa nouvelle couleur de cheveux.
V – bonsoir Monsieur, bon retour chez vous.
L – bonsoir, c’est ça la surprise je suppose ?
V – oui, ça vous plait ? dit-elle en tournant sur elle-même, me dévoilant ainsi qu’une queue de chat était fixé sous le jupon et elle leva sa jupe pour me dévoiler le porte-jarretelle noir qui tenait ses bas et le string qui lui rentrait dans les fesses
L – oui, beaucoup tu es ravissante.
V – merci, je suis ravi que cela vous plaise.
Je rentrais dans l’appartement et elle ferma la porte avant de venir m’enlever ma veste.
V – désirez-vous un rafraichissement, monsieur ?
L – oui, je te laisse choisir pour moi
V – bien Monsieur.
Je partais en direction du salon pour m’installer sur le canapé et quelques minutes s’écoulèrent avant d’entendre à nouveau le bruit des talons de Véro sur le carrelage.
Elle tenait un plateau avec un verre de whisky, s’approcha de moi et se plaçant dos à moi, elle déposa le verre sur la table ce qui me permit de contempler son petit cul qui me donna déjà envie de lui sauter dessus.
Quelque chose me fit tiquer, je saisis ces fesses a pleine main, lui faisant échapper un cri du surprise et rapprocha deux doigts de son petit trou, ne sentant aucune résistance… elle n’avait pas mis son rosebud alors que cela faisait partie des règles que nous avions posés.
V un souci, Monsieur ?
L – non.
V – avez-vous encore besoin de moi
L – je vais d’abord boire ce avant de décider
V – bien Monsieur, en faisant une petite révérence.
Elle repartit, j’en profitais pour la reluquer un peu, elle se déhanchait un peu, exprès pour me chauffer la coquine.
Je sirotais mon verre lorsqu’elle revint dans le salon avec un plumeau et commença à faire la poussière.
Je la laissais faire son petit manège, ce qui semblait l’amuser à son petit sourire narquois qu’elle me jetait par moment pour capter mes réactions.
Je venais de finir mon verre et le reposais sur la table
L – Véronique, viens ici !
V – oui, Monsieur. Que puis-je pour vous ?
L – va me chercher la mallette dans la chambre
V – LA mallette ?
L – c’est ça. Allez, sois une gentille fille
V – euh, bien monsieur
Elle revint avec la dite mallette et la posa sur la table, je venais me placer juste derrière elle, posant mes mains sur ses hanches
L – tu te demandes pourquoi je t’ai fait chercher cela
V – oui car je ne pense pas avoir fait de faute aujourd’hui
L – hélas si
V – toutes mes excuses…
L – silence. Ouvres la mallette et son ton collier et la laisse.
Véro s’exécuta et se tourna vers moi, me fixant du regard
L – à genoux et baisse les yeux.
V – bien monsieur
S’exécutant, elle garda ces mains à hauteur comme une offrande. Je pris le contenu de ces mains et lui présenta le collier ouvert, elle vint se placer contre et je fermis ce dernier, puis fixa la laisse.
L – tu n’as pas obéi aux règles, voilà ton erreur
V – mais, monsieur...
Une gifle tomba, elle releva les yeux lorsque je tirais la laisse vers moi
L – pas d’excuses.
V – bien, monsieur
L – tu sais ce que tu as oublié ?
V – non, je ne vois pas monsieur.
L – ton rosebud, tu dois pourtant le porter des qu’on est ensemble.
V – en effet, je n’ai aucune excuse
L – en effet, je vais devoir remédier à cet oubli.
V – pardon monsieur
L – tu me supplieras assez, crois-moi.
Je vis pour la première fois de la peur dans ces yeux, mais néanmoins elle me montrait qu’elle acceptait la sanction.
L – allez, grimpe sur la table et à quatre patte.
V – à vos ordres, monsieur.
Lorsqu’elle fut placer, je lui fis prendre en bouche la laisse et alla vers ces fesses. Je relevais sa jupe et descendis la culotte jusqu’aux genoux, la queue de chat suivi juste après.
Je me mis à caresser et palper ce petit cul que j’allais martyriser.
L – tu vas compter les coups, pour cette série il y en a 10.
V – *bien monsieur*
Première claque
V – *Un*
Seconde claque sur l’autre fesse
V – *Deux*
Je continuais en alternant les fesses à chaque fois
V – *Dix*
Je repris la laisse et la fit descendre de la table pour la mettre au sol, je lui plaquais la tête au sol, elle tendit les bras et écarta les jambes tout en se cambrant d’avantage.
L – seconde série, vingt coups cette fois, lui annonçais-je tout en m’emparant du martinet
V – bien, monsieur
Elle compta à nouveau, j’augmentais la force des coups au bout du dixième.
Les derniers furent plus éprouvante car elle poussa des petits cris et respirait plus fort.
V – Vingt, ah !
L – allez debout, fainéante.
Véro se releva tant bien que mal, les fesses rougis par les coups et garda la tête baissée pendant que je reprenais la laisse en main.
L – j’espère que tu as compris.
V – oh oui, monsieur.
L – bien, maintenant enlève ta tenue
V –à vos ordres.
Elle défit le tablier, qui tomba au sol, puis dégrafa la tenue dans le dos et la laisse tomber, libérant ainsi sa poitrine et je constatais avec plaisir qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge.
J’empoignais le sein droit et jouais avec, la faisant pointer. Je fis de même avec l’autre et pinça les tétons, ce qui la fit crier. Je relâchais ma prise et parcourait les seins à nouveau avant de recommencer mais cette fois je les ai mordillé à tour de rôle.
J’ai répété ça deux fois avant de m’écarter et de la contempler, j’étais excité de la voir ainsi, ça devait surement se voir mais je n’en avais pas finis avec elle.
Je pris les entraves dans la mallette et lui fixa aux chevilla avant de lui mettre un bâillon boule mais percée (elle n’aime guère ce genre de modèle car elle se met assez vite à saliver et elle déteste ca)
Reprenant la laisse en main je la tirai vers la table et la poussa dos contre elle
L – ne bouge pas
Je partis chercher la mallette et pris au passage les cordes. De retour près de Véro, je lui liais les poignets, la retournai et la fit se pencher en avant.
Je fis le tour de la table pour fixer la corde et l’empêcher de se relever, puis je m’attaquais à ces chevilles que je reliais aux pieds de la table.
Elle tenta de bouger mais se résigna rapidement. Je pris le paddle et lui re-claqua ces fesses déjà bien rouge (Véro marque très vite), chaque impact lui faisait lâché un petit cri étouffé à moitié par le bâillon
Elle se tortilla pour tenter de me faire mal viser mais cela ne marchait pas comme elle l’aurait souhaité, lui asseignant des coups plus forts en guise de représailles
Elle hurla la seconde fois.
Je lâchais le paddle et recula pour la contempler en l’entendant reprendre son souffle et ces esprits, le tout avec un jolie filet de salive dégoulinant du bâillon
Je la libérais de sa position et lui plaça les cordes en main avant de l’amener sur le canapé et de récupérer la corde puis l’immobiliser les mains entre les jambes.
Ce fut au tour de mes deux martinets en cuir de gouter à son corps, mais ce fut son dos qui fut la cible cette fois, j’alternais chaque côté, utilisant les deux, changeant la vitesse constamment ainsi que la puissance de mes coups
Elle ondulait en rythme et poussa des cris de surprise, douleurs de plus en plus souvent
Après long traitement son dos devenait couleur écrevisse et elle hurla le safeword de toutes ces forces.
Je cessais mes « caresses » et me rapprochais d’elle.
Je défie le cordage et lui libéra les mains, puis lui ôta le bâillon
Véro du reprendre son souffle avant de réussir a articler un « merci, monsieur » pendant que je finissais de la libérer de ces entraves.
L viens-la, en tirant sur la laisse
V – oui, monsieur
Je l’emmenais dans la chambre et la fit monter sur le lit
Elle se plaça sur le dos et je viens me mettre sur elle avant de l’embrasser a pleine bouche, elle répondit a mon baiser avec passion.
Pendant que je me déshabillais, elle commença à se caresser en repensant a notre séance car elle se mordait la lèvre
V – oh monsieur, je vous en prie je veux vous sentir en moi
L – sois patiente
V – pitié, je n’en peux plus
Je n’eus aucun mal à entrer, elle était à point. Je commençais un va et vient intense qui arracha cette fois des cris de plaisir à Véro
Tellement exciter par ce que c’était passé, elle jouit rapidement, se jetant sur moi et me plantant ces ongles dans la peau lorsqu’elle a joui.
V – pardon, monsieur je ne vous ai pas attendu, mais je ne pouvais pas me retenir.
L – dans ce cas, tu vas me finir toi-même
V – avec plaisir
Nous échangeâmes nos places et Véro me pris en bouche et me prodigua une fellation comme je les aime, je sentais le plaisir monté, elle me branla plus vite sentant que j’arrivais, je lui plaquais ma bite au fond de la gorge et lui envoya tout mon jus au fond de la gorge
Elle eut un mouvement de recul stoppé par ma main et se contenta de prendre en bouche mon sperme
Je me retirais et elle ouvra grand la bouche en tirant la langue pour constater qu’elle avait la bouche pleine. Elle avala et repris ma bite en bouche pour la nettoyer
Je m’adossais au lit et elle vint se blottir contre moi
V – encore désolé monsieur et merci pour cette superbe punition
L – tu as été parfaite
V – Merci
Après une bonne douche, nous passâmes le reste de la soirée tranquillement elle dans mes bras en repensant chacun a ce bon moment.
J’ai accepté et elle est devenue ma soumise.
Il faut dire qu’elle m’avait tout de suite tapé dans l’œil. Un joli corps bien fait, un visage magnifique avec des yeux verts qui me rappelait les pierres de jade et les cheveux rouge vif (à l’époque).
Un jour au travail, j’ai reçu un sms de sa part :
V – dit, on se voit toujours ce soir ?
L – oui, pourquoi il y a un problème ?
V – non, mais j’aimerais réaliser un fantasme ce soir et te faire la surprise, si tu es d’accord.
L – fais-toi plaisir, chaton.
(Son petit surnom car elle est dingue de chat ce qui lui a tout de suite plu)
V – oh merci, je vous adore Monsieur <3
(Elle était déjà dans son rôle de soumise à ce moment)
La journée passa sans trop que je pense à cette surprise. Je quittais mon poste et à peine installé au volant le téléphone sonna, c’était Véro :
L – Oui, mon petit chat ?
V – Monsieur, ma surprise est prête. Je suis chez vous en attendant votre retour bien sagement.
L – Parfait, j’arrive bientôt.
V – j’ai hâte que vous voyez ça.
L – a tout de suite.
Je raccrochais et pris la route jusqu’à mon petit nid douillet ou m’attendait donc ma soumise et sa surprise. J’essayais de savoir ce qu’elle pouvait m’avoir préparé pendant que l’ascenseur montait jusqu’à mon étage. J’arrivais devant la porte et j’entendis des bruits de talons sur le carrelage, j’esquissais un sourire.
Elle ouvrit la porte et je fus surpris par ce que je vis. Ma belle soumise s’était déguisée en soubrette chat.
Le petit tablier blanc sur l’uniforme noir, la coiffe assortis couplé aux oreilles de chat noir, des bas noirs et de petits escarpins, son collier autour du cou, les lèvres orné d’un rouge à lèvres violet qui allait de pair avec sa nouvelle couleur de cheveux.
V – bonsoir Monsieur, bon retour chez vous.
L – bonsoir, c’est ça la surprise je suppose ?
V – oui, ça vous plait ? dit-elle en tournant sur elle-même, me dévoilant ainsi qu’une queue de chat était fixé sous le jupon et elle leva sa jupe pour me dévoiler le porte-jarretelle noir qui tenait ses bas et le string qui lui rentrait dans les fesses
L – oui, beaucoup tu es ravissante.
V – merci, je suis ravi que cela vous plaise.
Je rentrais dans l’appartement et elle ferma la porte avant de venir m’enlever ma veste.
V – désirez-vous un rafraichissement, monsieur ?
L – oui, je te laisse choisir pour moi
V – bien Monsieur.
Je partais en direction du salon pour m’installer sur le canapé et quelques minutes s’écoulèrent avant d’entendre à nouveau le bruit des talons de Véro sur le carrelage.
Elle tenait un plateau avec un verre de whisky, s’approcha de moi et se plaçant dos à moi, elle déposa le verre sur la table ce qui me permit de contempler son petit cul qui me donna déjà envie de lui sauter dessus.
Quelque chose me fit tiquer, je saisis ces fesses a pleine main, lui faisant échapper un cri du surprise et rapprocha deux doigts de son petit trou, ne sentant aucune résistance… elle n’avait pas mis son rosebud alors que cela faisait partie des règles que nous avions posés.
V un souci, Monsieur ?
L – non.
V – avez-vous encore besoin de moi
L – je vais d’abord boire ce avant de décider
V – bien Monsieur, en faisant une petite révérence.
Elle repartit, j’en profitais pour la reluquer un peu, elle se déhanchait un peu, exprès pour me chauffer la coquine.
Je sirotais mon verre lorsqu’elle revint dans le salon avec un plumeau et commença à faire la poussière.
Je la laissais faire son petit manège, ce qui semblait l’amuser à son petit sourire narquois qu’elle me jetait par moment pour capter mes réactions.
Je venais de finir mon verre et le reposais sur la table
L – Véronique, viens ici !
V – oui, Monsieur. Que puis-je pour vous ?
L – va me chercher la mallette dans la chambre
V – LA mallette ?
L – c’est ça. Allez, sois une gentille fille
V – euh, bien monsieur
Elle revint avec la dite mallette et la posa sur la table, je venais me placer juste derrière elle, posant mes mains sur ses hanches
L – tu te demandes pourquoi je t’ai fait chercher cela
V – oui car je ne pense pas avoir fait de faute aujourd’hui
L – hélas si
V – toutes mes excuses…
L – silence. Ouvres la mallette et son ton collier et la laisse.
Véro s’exécuta et se tourna vers moi, me fixant du regard
L – à genoux et baisse les yeux.
V – bien monsieur
S’exécutant, elle garda ces mains à hauteur comme une offrande. Je pris le contenu de ces mains et lui présenta le collier ouvert, elle vint se placer contre et je fermis ce dernier, puis fixa la laisse.
L – tu n’as pas obéi aux règles, voilà ton erreur
V – mais, monsieur...
Une gifle tomba, elle releva les yeux lorsque je tirais la laisse vers moi
L – pas d’excuses.
V – bien, monsieur
L – tu sais ce que tu as oublié ?
V – non, je ne vois pas monsieur.
L – ton rosebud, tu dois pourtant le porter des qu’on est ensemble.
V – en effet, je n’ai aucune excuse
L – en effet, je vais devoir remédier à cet oubli.
V – pardon monsieur
L – tu me supplieras assez, crois-moi.
Je vis pour la première fois de la peur dans ces yeux, mais néanmoins elle me montrait qu’elle acceptait la sanction.
L – allez, grimpe sur la table et à quatre patte.
V – à vos ordres, monsieur.
Lorsqu’elle fut placer, je lui fis prendre en bouche la laisse et alla vers ces fesses. Je relevais sa jupe et descendis la culotte jusqu’aux genoux, la queue de chat suivi juste après.
Je me mis à caresser et palper ce petit cul que j’allais martyriser.
L – tu vas compter les coups, pour cette série il y en a 10.
V – *bien monsieur*
Première claque
V – *Un*
Seconde claque sur l’autre fesse
V – *Deux*
Je continuais en alternant les fesses à chaque fois
V – *Dix*
Je repris la laisse et la fit descendre de la table pour la mettre au sol, je lui plaquais la tête au sol, elle tendit les bras et écarta les jambes tout en se cambrant d’avantage.
L – seconde série, vingt coups cette fois, lui annonçais-je tout en m’emparant du martinet
V – bien, monsieur
Elle compta à nouveau, j’augmentais la force des coups au bout du dixième.
Les derniers furent plus éprouvante car elle poussa des petits cris et respirait plus fort.
V – Vingt, ah !
L – allez debout, fainéante.
Véro se releva tant bien que mal, les fesses rougis par les coups et garda la tête baissée pendant que je reprenais la laisse en main.
L – j’espère que tu as compris.
V – oh oui, monsieur.
L – bien, maintenant enlève ta tenue
V –à vos ordres.
Elle défit le tablier, qui tomba au sol, puis dégrafa la tenue dans le dos et la laisse tomber, libérant ainsi sa poitrine et je constatais avec plaisir qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge.
J’empoignais le sein droit et jouais avec, la faisant pointer. Je fis de même avec l’autre et pinça les tétons, ce qui la fit crier. Je relâchais ma prise et parcourait les seins à nouveau avant de recommencer mais cette fois je les ai mordillé à tour de rôle.
J’ai répété ça deux fois avant de m’écarter et de la contempler, j’étais excité de la voir ainsi, ça devait surement se voir mais je n’en avais pas finis avec elle.
Je pris les entraves dans la mallette et lui fixa aux chevilla avant de lui mettre un bâillon boule mais percée (elle n’aime guère ce genre de modèle car elle se met assez vite à saliver et elle déteste ca)
Reprenant la laisse en main je la tirai vers la table et la poussa dos contre elle
L – ne bouge pas
Je partis chercher la mallette et pris au passage les cordes. De retour près de Véro, je lui liais les poignets, la retournai et la fit se pencher en avant.
Je fis le tour de la table pour fixer la corde et l’empêcher de se relever, puis je m’attaquais à ces chevilles que je reliais aux pieds de la table.
Elle tenta de bouger mais se résigna rapidement. Je pris le paddle et lui re-claqua ces fesses déjà bien rouge (Véro marque très vite), chaque impact lui faisait lâché un petit cri étouffé à moitié par le bâillon
Elle se tortilla pour tenter de me faire mal viser mais cela ne marchait pas comme elle l’aurait souhaité, lui asseignant des coups plus forts en guise de représailles
Elle hurla la seconde fois.
Je lâchais le paddle et recula pour la contempler en l’entendant reprendre son souffle et ces esprits, le tout avec un jolie filet de salive dégoulinant du bâillon
Je la libérais de sa position et lui plaça les cordes en main avant de l’amener sur le canapé et de récupérer la corde puis l’immobiliser les mains entre les jambes.
Ce fut au tour de mes deux martinets en cuir de gouter à son corps, mais ce fut son dos qui fut la cible cette fois, j’alternais chaque côté, utilisant les deux, changeant la vitesse constamment ainsi que la puissance de mes coups
Elle ondulait en rythme et poussa des cris de surprise, douleurs de plus en plus souvent
Après long traitement son dos devenait couleur écrevisse et elle hurla le safeword de toutes ces forces.
Je cessais mes « caresses » et me rapprochais d’elle.
Je défie le cordage et lui libéra les mains, puis lui ôta le bâillon
Véro du reprendre son souffle avant de réussir a articler un « merci, monsieur » pendant que je finissais de la libérer de ces entraves.
L viens-la, en tirant sur la laisse
V – oui, monsieur
Je l’emmenais dans la chambre et la fit monter sur le lit
Elle se plaça sur le dos et je viens me mettre sur elle avant de l’embrasser a pleine bouche, elle répondit a mon baiser avec passion.
Pendant que je me déshabillais, elle commença à se caresser en repensant a notre séance car elle se mordait la lèvre
V – oh monsieur, je vous en prie je veux vous sentir en moi
L – sois patiente
V – pitié, je n’en peux plus
Je n’eus aucun mal à entrer, elle était à point. Je commençais un va et vient intense qui arracha cette fois des cris de plaisir à Véro
Tellement exciter par ce que c’était passé, elle jouit rapidement, se jetant sur moi et me plantant ces ongles dans la peau lorsqu’elle a joui.
V – pardon, monsieur je ne vous ai pas attendu, mais je ne pouvais pas me retenir.
L – dans ce cas, tu vas me finir toi-même
V – avec plaisir
Nous échangeâmes nos places et Véro me pris en bouche et me prodigua une fellation comme je les aime, je sentais le plaisir monté, elle me branla plus vite sentant que j’arrivais, je lui plaquais ma bite au fond de la gorge et lui envoya tout mon jus au fond de la gorge
Elle eut un mouvement de recul stoppé par ma main et se contenta de prendre en bouche mon sperme
Je me retirais et elle ouvra grand la bouche en tirant la langue pour constater qu’elle avait la bouche pleine. Elle avala et repris ma bite en bouche pour la nettoyer
Je m’adossais au lit et elle vint se blottir contre moi
V – encore désolé monsieur et merci pour cette superbe punition
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V – Merci
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