Talons aiguilles et pluie dorée
Récit érotique écrit par Gourmande64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-07-2009 dans la catégorie Dominants et dominés
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Talons aiguilles et pluie dorée
Une soirée de fantasmes et de moments brûlants avec R.
Nous avons fait déjà beaucoup de choses, beaucoup de plaisir. Nous avons bu beaucoup de champagne. Nous parlons. Je sens que cette première partie de soirée nous a surtout permis de prendre possession l'un de l'autre, spontanément, violemment. La suite de la soirée va être beaucoup plus travaillée.
J'ai apporté des accessoires dont nous avons beaucoup parlé avant de nous voir. Nous avons élaboré ce qui va se passer. Je l'ai pensé, fantasmé, désiré. C'est très nouveau pour moi mais je pénètre avidement dans ce jeu, comme aspirée par des résonnances dans mon imaginaire et par sa façon à lui de vivre les choses.
J'ai envie d'aller prendre une douche et de me préparer, de me mettre dans mon personnage. Nous continuons un peu à parler. Et il me dit : "Va vite te changer".
Je vais à la salle de bains, je prends une douche, je me détends. J'entends des bruits dans la pièce à côté. Je suis curieuse et excitée, autant physiquement qu'intellectuellement. Il y a des choses dont j'ai envie et j'y pense, seule. Je m'habille. J'enfile mon bustier tout en chaînes reliées par des bandes de vinyle. Je chausse mes souliers, talons aiguilles, lanières, boucles, cuir vernis brillant comme le vinyle. Je me regarde dans le miroir. Cela m'amuse et m'excite en même temps. Plus de bruit dans la pièce à côté.
Je sors.
Il est allongé sur une couverture, sur un petit matelas. Il a tout prévu. Il m'attend et me regarde venir.
Il bande déjà.
Je m'avance. Je suis à côté de ses hanches. Je passe lentement mon pied par dessus son ventre en frôlant son sexe avec le cuir de mon soulier. J'écarte mes jambes. J'emprisonne chacun de ses poignets dans l'espace étroit entre le talon et la sole.
Je suis au dessus de lui. Je regarde ses yeux sur mon sexe recouvert de vinyle et sur les chaînes qui entourent mon buste et effleurent ma poitrine, la pointe de mes seins.
Je fais glisser doucement mon string, ne relâchant qu'un court instant l'emprise autour de ses poignets, durant lequel il voit mes cuisses s'écarter et mes lèvres humides et rouges apparaître. Il bande de plus en plus.
Je saisis la cravache. Elle a deux extrémités parfaites pour ce jeu. Une dure que je tiens dans ma main, avec un embout métallique, qui sera mon côté. Une souple prolongée d'une petite lanière de cuir, qui sera son côté.
Bien au dessus de lui, je caresse son corps avec la cravache, je descends de son torse vers son sexe. Je fais cingler le cuir sur ses hanches. Il bouge à peine.
Je plie légèrement les genoux, pour qu'il me voit bien, qu'il voit bien ce qui lui est défendu. Je tiens toujours fermement la cravache. Je passe le bout en cuir sur ses lèvres, légèrement. Puis je lui enlève ce plaisir. Et je commence à me masturber avec mon côté de la cravache, passant l'extrémité métallique, douce, tiédie par mes mains sur la pointe de mon clitoris, écartant mes lèvres pour prendre plus de plaisir et pour qu'il voit mieux ce qu'il n'a pas encore le droit de toucher. Il voudrait y mettre la bouche. Je me masturbe longuement avec cet accessoire en cuir et en métal, au dessus de lui. Je me cambre. Il me regarde. Je prends beaucoup de plaisir.
J'enlève l'emprise des talons. Je saisis ses poignets dans mes mains et m'agenouille au dessus de lui. Je remonte ses bras et attache ses poignets bien en haut au dessus de sa tête. Pendant que je mets ses mains totalement hors de portée de mon corps et du sien, je me penche un peu au dessus de lui et il pourrait presque me lécher. Ses bras sont bloqués. Je descends pour attacher ses jambes, écartées l'une de l'autre. Il ne voit pas bien ce que je fais. En remontant, j'approche ma bouche de son sexe, je respire doucement, un souffle brûlant, mes lèvres sont à un millimètre. Pas encore. Je me relève.
Il ne peut plus bouger du tout .
Je soulève un pied et le dirige vers son ventre. Je le caresse comme ça. Le soulier descend, la pointe se pose sur son sexe qui bouge sous l'excitation. Je reste dans cette position. J'abaisse le talon, qui frôle puis appuie de plus en plus sur ses boules et descend vers son anus. Je m'assieds doucement, sans que mon pied bouge. J'écarte ses fesses et je continue à exciter son anus avec le talon du soulier. Je cingle ses hanches en même temps avec la cravache. Je retourne la cravache et enlève mon pied. Je le pénètre doucement avec mon côté de la cravache. S'il bouge, par surprise ou par plaisir, je le fouette à nouveau. Tout en faisant cela, je place mon autre main sur son sexe, je l'emprisonne, sans le masturber. Ce qui le rend fou d'excitation. Alors j'arrête.
Je sais ce qu'il attend. Il l'a mérité.
Je m'agenouille au dessus de son ventre, caressant son visage avec la cravache. Je frôle son sexe avec ma chatte très humide et ça le fait bander encore plus fort. Il se soulève. Je ferme les yeux. Je pense à tout ce champagne que nous avons bu. Je pense à mon excitation et je ressens ce désir accumulé.
Je me laisse aller au dessus de son sexe et un filet chaud coule sur lui, doucement. Je savoure cette sensation et je pense à celle qu'il doit ressentir aussi. J'ai toujours les yeux fermés. Je m'avance vers sa bouche, très lentement. Je l'autorise à me lécher. Il me dévore. J'adore ça. Je me laisse encore aller un peu. Je sens ces gouttes qui viennent à la rencontre de ses lèvres, de sa langue et qu'il boit avidement.
Nous avons fait déjà beaucoup de choses, beaucoup de plaisir. Nous avons bu beaucoup de champagne. Nous parlons. Je sens que cette première partie de soirée nous a surtout permis de prendre possession l'un de l'autre, spontanément, violemment. La suite de la soirée va être beaucoup plus travaillée.
J'ai apporté des accessoires dont nous avons beaucoup parlé avant de nous voir. Nous avons élaboré ce qui va se passer. Je l'ai pensé, fantasmé, désiré. C'est très nouveau pour moi mais je pénètre avidement dans ce jeu, comme aspirée par des résonnances dans mon imaginaire et par sa façon à lui de vivre les choses.
J'ai envie d'aller prendre une douche et de me préparer, de me mettre dans mon personnage. Nous continuons un peu à parler. Et il me dit : "Va vite te changer".
Je vais à la salle de bains, je prends une douche, je me détends. J'entends des bruits dans la pièce à côté. Je suis curieuse et excitée, autant physiquement qu'intellectuellement. Il y a des choses dont j'ai envie et j'y pense, seule. Je m'habille. J'enfile mon bustier tout en chaînes reliées par des bandes de vinyle. Je chausse mes souliers, talons aiguilles, lanières, boucles, cuir vernis brillant comme le vinyle. Je me regarde dans le miroir. Cela m'amuse et m'excite en même temps. Plus de bruit dans la pièce à côté.
Je sors.
Il est allongé sur une couverture, sur un petit matelas. Il a tout prévu. Il m'attend et me regarde venir.
Il bande déjà.
Je m'avance. Je suis à côté de ses hanches. Je passe lentement mon pied par dessus son ventre en frôlant son sexe avec le cuir de mon soulier. J'écarte mes jambes. J'emprisonne chacun de ses poignets dans l'espace étroit entre le talon et la sole.
Je suis au dessus de lui. Je regarde ses yeux sur mon sexe recouvert de vinyle et sur les chaînes qui entourent mon buste et effleurent ma poitrine, la pointe de mes seins.
Je fais glisser doucement mon string, ne relâchant qu'un court instant l'emprise autour de ses poignets, durant lequel il voit mes cuisses s'écarter et mes lèvres humides et rouges apparaître. Il bande de plus en plus.
Je saisis la cravache. Elle a deux extrémités parfaites pour ce jeu. Une dure que je tiens dans ma main, avec un embout métallique, qui sera mon côté. Une souple prolongée d'une petite lanière de cuir, qui sera son côté.
Bien au dessus de lui, je caresse son corps avec la cravache, je descends de son torse vers son sexe. Je fais cingler le cuir sur ses hanches. Il bouge à peine.
Je plie légèrement les genoux, pour qu'il me voit bien, qu'il voit bien ce qui lui est défendu. Je tiens toujours fermement la cravache. Je passe le bout en cuir sur ses lèvres, légèrement. Puis je lui enlève ce plaisir. Et je commence à me masturber avec mon côté de la cravache, passant l'extrémité métallique, douce, tiédie par mes mains sur la pointe de mon clitoris, écartant mes lèvres pour prendre plus de plaisir et pour qu'il voit mieux ce qu'il n'a pas encore le droit de toucher. Il voudrait y mettre la bouche. Je me masturbe longuement avec cet accessoire en cuir et en métal, au dessus de lui. Je me cambre. Il me regarde. Je prends beaucoup de plaisir.
J'enlève l'emprise des talons. Je saisis ses poignets dans mes mains et m'agenouille au dessus de lui. Je remonte ses bras et attache ses poignets bien en haut au dessus de sa tête. Pendant que je mets ses mains totalement hors de portée de mon corps et du sien, je me penche un peu au dessus de lui et il pourrait presque me lécher. Ses bras sont bloqués. Je descends pour attacher ses jambes, écartées l'une de l'autre. Il ne voit pas bien ce que je fais. En remontant, j'approche ma bouche de son sexe, je respire doucement, un souffle brûlant, mes lèvres sont à un millimètre. Pas encore. Je me relève.
Il ne peut plus bouger du tout .
Je soulève un pied et le dirige vers son ventre. Je le caresse comme ça. Le soulier descend, la pointe se pose sur son sexe qui bouge sous l'excitation. Je reste dans cette position. J'abaisse le talon, qui frôle puis appuie de plus en plus sur ses boules et descend vers son anus. Je m'assieds doucement, sans que mon pied bouge. J'écarte ses fesses et je continue à exciter son anus avec le talon du soulier. Je cingle ses hanches en même temps avec la cravache. Je retourne la cravache et enlève mon pied. Je le pénètre doucement avec mon côté de la cravache. S'il bouge, par surprise ou par plaisir, je le fouette à nouveau. Tout en faisant cela, je place mon autre main sur son sexe, je l'emprisonne, sans le masturber. Ce qui le rend fou d'excitation. Alors j'arrête.
Je sais ce qu'il attend. Il l'a mérité.
Je m'agenouille au dessus de son ventre, caressant son visage avec la cravache. Je frôle son sexe avec ma chatte très humide et ça le fait bander encore plus fort. Il se soulève. Je ferme les yeux. Je pense à tout ce champagne que nous avons bu. Je pense à mon excitation et je ressens ce désir accumulé.
Je me laisse aller au dessus de son sexe et un filet chaud coule sur lui, doucement. Je savoure cette sensation et je pense à celle qu'il doit ressentir aussi. J'ai toujours les yeux fermés. Je m'avance vers sa bouche, très lentement. Je l'autorise à me lécher. Il me dévore. J'adore ça. Je me laisse encore aller un peu. Je sens ces gouttes qui viennent à la rencontre de ses lèvres, de sa langue et qu'il boit avidement.
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