Tel est prit qui croyait prendre ... - histoire érotique

- Je ne peux plus me passer de ton sexe Adrien, il me fait tellement de bien, tu sais me faire jouir en seulement trois minutes
- Merci pour ces compliments Lætitia, mais ça me gêne par rapport a ton mari, je te rappelle que je suis le meilleur ami de Mikael
- Je ne l’oublie pas, et il n’est pas question que je le quitte car c’est un très bon mari, je réfléchis seulement comment nous pourrions le joindre a nos ébats
- Quelle drôle d’idée ? ! d’habitude c’est le mari qui cherche à introduire un étranger dans le couple !
- Je suis certaine qu’il existe une solution et elle viendra de toi
- J’ai beau me creuser la cervelle, je ne vois pas d’issue ! remet toi sur le ventre, j’ai envie de ton p’tit cul de salope
- Eh bien la voilà !
- Quoi ‘la voilà ‘ ?
- Nous tenons la solution, tu va le sodomiser !
- Mais je ne suis pas homo !
- Tu m’as bien dit que tu avais eues des expériences ‘bi’, pourquoi Mikael ne le deviendrait pas ? !
- Le hic c’est qu’il ne sait rien de mon passé
- Nous allons organiser une petite soirée tous les trois au cours de laquelle nous ferons des gages ou autres, rien de plus naturel et une bonne façon de concrétiser mon idée
- Que va-tu me faire faire ?
- Je m’occupe de tout…

Ce vendredi soir là il fait chaud sur notre terrasse, les deux hommes en short, torse nus, sont d’excellente humeur, rien ne peut laisser penser qu’Adrien et moi avons fait l’amour la veille, Mikael est un peu surpris de ma tenue mais ça l’excite que j’exhibe mes seins nus sous un corsage opaque, à plusieurs reprises ‘mes deux hommes’ ont put apercevoir mon string rouge sous ma jupette évasée, mon mari prend même un malin plaisir à passer une main directement sur mes fesses devant Adrien qui en ferait bien autant ! mais il respecte nos conventions !
Le rosé frais contribue à détendre l’atmosphère, cependant je veille a ce qu’ils ne dépassent pas ‘la dose prescrite’ car ivres ils ne banderaient plus ! le moment est venus de lancer l’offensive

- Vous avez vu les garçons ? Vos tétons pointent sacrément! C’est moi qui vous fais cet effet ?
- Tu peux te fiche de nous ? si tu baisse un peu les yeux tu remarqueras que les tiens vont crever l’étoffe
- Mais non, tu te trompe chéri
- Tu n’es pas chiche de l’ôter pour nous le prouver
- Chiche ? la présence d’Adrien ne te gêne pas ??
- Il doit en avoir vus d’autres, heureusement pour lui, n’est-ce pas mon copain ?
- Heeeeuuuu, oui j’en ai vus, je ne suis quand même pas puceau !
- Alors ? tu te dégonfle ?
- Tient ! voilà … ils te plaisent mes nichons Adrien ?
- Il faudrait être difficile, ils sont magnifiquement dressés ! j’achète !
- Hola ! doucement c’est ma femme !
- Tu sais ce qu’ont dit ? ‘la femme d’un copain, c’est sacré … faut qu’elle y passe’ !
- Tu savoure simplement avec les yeux sinon …
- Eh ! vous deux, vous n’allez pas vous chamailler pour une paire de miches ?
- Mais non, je plaisante, que propose tu à présent ?
- J’aimerais que tu me fasses l’amour chéri...
- C’est prévu, dés qu’Adrien sera parti
- Dans ces conditions je vous laisse les amoureux
- Il n’est pas question que tu partes déjà, chéri ? … prend moi devant lui, là sur la pelouse …
- Tu deviens lubrique ma pauvre femme ?
- Ce soir je suis très excitée et c’est ta faute, tu m’as passée la main au cul toute la soirée, ton pote n’est pas aveugle ! alors un peu plus ou un peu moins d’obscénités je ne vois pas la différence, ont est bien là tous les trois …
- Il est vrai que j’aimerais bien vous regarder baiser, je ne bougerais pas promis !
- Allez chéri, tu bande ne vas pas contre la volonté de ta queue, regarde, ici c’est un peu dans la pénombre, vient, je commence à me déshabiller ….

Joignant le geste à la parole Lætitia cherche le zip de sa jupe qui tome en corolle autour de ses pieds, en string bleu électrique, un peu humide au bon endroit, cambrée, les mains sur les hanches, les jambes légèrement écartées elle toise les deux hommes qui restent muets devant autant d’assurance en frottant leurs queues recroquevillées dans les slips

- Faites comme moi, ne laissez pas ces pauvres zizi se congestionner davantage, approche mon chéri ou je demande a Adrien de te remplacer !
- Je vais seulement te bouffer le minou
- Je te propose un soixante neuf, ça te va ?
- OK

Devant tant de sollicitation Michael est obligé de céder, il se débarrasse de son short, qui libère le slip tendu comme une toile de tente, l’amant de sa femme l’imite, l’œil en coin les deux mâles comparent la dimension du ‘piquet’ encore dissimulé, Michael s’allonge dans l’herbe rase et attend la venue de Lætitia qui fait glisser son string et sans complexes enjambe le mari qui ne vois pas le clin d’œil qu’elle vient d’adresser a l’amant qui répond d’un signe de tête discret
Elle dégage les couilles et le pénis qui se redresse d’un coup en sortant de sa prison, le gland décalotté est vite avalé, le mari positionne sa femme afin de lui brouter le minou, c’est parti pour un soixante neuf d’enfer, sauf qu’a moment donné il semble a Mikael que sa bite a changé de bouche mais comme la sensation s’est améliorée il ne prend pas le risque de rompre ce charme, la succion est plus ferme , mieux localisée, la langue sait où s’éterniser, il se dit que s’il pouvais ‘s’auto-sucer’ c’est ainsi qu’il agirais, du coup il néglige la chatte pour se concentrer sur ce nouvel enchantement
Tout son corps est arqué, il attend le moment où il va éjaculer, et, vu l’efficacité de la pipe ça ne saurais tarder, soudain sa femme glisse sur la pelouse, dans le même mouvement une jambe passe sur lui, et là, stupeur, il voit une belle paire de couilles se balancer juste au dessus de son visage, il reconnaît la main fine de sa femme qui lui attrape le poignet, par curiosité il se laisse manipuler, ses doigts butent sur un cylindre dur qu’il reconnais aussitôt , c’est une verge ! La verge d’Adrien qui redouble d’ardeur sur sa queue, alors pris par le feu de l’action il ne réfléchit plus, il attire cette bite vers sa bouche, un cri de victoire fuse de la bouche de sa femme

- OUI CHÉRI ! Suce ce membre ! Sucez-vous mes amours d’hommes !

Les pensées et les doutes se bousculent dans son esprit ….’Mes amours d’hommes ????’ Elle et lui sont donc amants ??? Mais la saveur nouvelle et le plaisir qu’il éprouve en suçant cette bite sont plus fort il, aspire le nœud décidé à lui faire cracher son sperme, le sien arrive a grandes giclées dans la gorge d’Adrien qui pousse un grognement de victoire en déglutissant a nombreuses reprises, alors il branle son pote plus énergiquement afin de le faire juter a son tour, il n’appréhende pas car par surprise sa femme lui a déjà fait gouter son propre foutre, il apprécie tant que longtemps après la dernière giclée il traie encore la bite. Mais l’euphorie de la jouissance terminée il leur faut affronter leurs regards…

- Dit moi tout Adrien, tu baise ma femme ?
- Oui Michael mais nous voulions tout te dire
- Oui mon chéri, je voudrais que nous baisions tous les trois ensembles au grand jour
- Alors qu’attendez-vous pour vous accoupler devant moi ?
- Et toi ?
- Ne vous en faites pas pour moi …je veux voir son membre coulisser dans ton con poilu
- Dans quelle position ?
- Simplement, à la missionnaire
- Tu viens Adrien ? faisons plaisir à mon mari

Lætitia s’offre d’une façon impudique, sa chatte craquelée par le milieu incite a l’accouplement, Adrien entièrement nu vient se placer au centre de la fourche, il guide son braquemart où perle une goutte lubrifiante qu’il étale sur son gland avant de le pointer sur les lèvres déjà brillantes de mouille, la femme accuse le coup en couinant lorsqu’il la pénètre d’une seule poussée
Michael resté à l’arrière se délecte du spectacle, il vient même soulever les couilles afin de voir le vagin écartelé par le pieu de chair

- Ne bougez plus, laissez moi me repaitre de vos sexes imbriqués … tu as énormément de poil entre les fesses Adrien, je ne vois pas ton anus …
- En quoi mon trou du cul t’intéresse-t-il ?
- Pour te baiser pardi, tu baise ma femme depuis je ne sais combien de temps, je vais donc te sodomiser, c’est de bonne guerre
- Ne déconne pas Michaël
- Ne te retire pas de la chatte de Lætitia sinon nous ne somment plus copains, relève le cul … encore … ENCORE !! voilà, je vois bien ta cible, ceinture le avec tes jambes et tes bras afin qu’il ne se dérobe pas chérie
- Oui chéri, va-y
- Michael je t’en supplie … NOOOOOOOONNNN AIIIIIIIEEEE !!!!!
- Tu as le cul serré ! je vais faire le passage pour que tu ne souffre moins la prochaine fois !
- La prochaine fois ?
- Eh oui ! la prochaine fois que tu baiseras ma femme je te baiserais, la douleur est passée ? alors je vais te ramoner comme tu le mérite

Bloqué par le couple devenu complice l’homme doit se résoudre à se laisser sodomiser, et finalement participe en allant au devant du membre qui lui bouscule la prostate, Lætitia avec la précision d’un métronome serre autant qu’elle le peut son vagin sur cette queue qui ne fait plus complètement son travail de pénétration
A chaque fois que son mari touche le fond, la queue de son amant sursaute dans sa chatte, elle découvre une nouvelle sensation loin d’être désagréable et lorsqu’elle sent le sperme se déverser en elle un orgasme la foudroie, Michael ne peut ignorer pourquoi ses corps se cambrent par spasmes, la jouissance le rattrape aussi, les trois partenaires hurlent dans un parfait ensemble

Après un rafraichissement bien mérité les rôles sont inter-changés …désormais ils se mélangent sans distinction de sexe