Téléphérique ou tire-fesses ????? - histoire érotique

C’était a la fin de l’été dernier dans les Alpes, l’après midi je revenais d’une randonnée pédestre avec mon copain du moment et quelques personnes, cela faisait un bon moment qu’il me chauffais a l’arrière du groupe , il voulais que nous nous caressions, voire plus , nous avons finis par nous arrêter tandis que le groupe continuait d’avancer, je n’ai pas voulu baisser mon short car j’avais peur de me faire surprendre , alors je l’ai masturbé, étant très excité il a jouis rapidement dans ma main, ce salaud au lieu de m’attendre a remit sa queue dans son short en marchant, le temps de sortir un mouchoir pour m’essuyer je n’entendais plus de voix, j’ai crié, hurlé seul l’échos me répondait, j’ai marché, marché sans trouver le bon chemin, le soir commençait à tomber
Soudain j’ai vus une cabine de téléphérique qui passait à proximité, j’ai couru pour trouver la station car je me doutais vu l’heure tardive que les trajets allaient cesser
Finalement je suis arrivée au guichet, évidemment celui-ci était clos, trois hommes en tenue de travail attendaient sur le quai d’embarquement devant une cabine vide, ils m’ont vue, ils ont envoyé le plus jeune, environ mon âge, vingt ans, vers moi
- C’est fermé mademoiselle !
- Mon dieu comment vais-je redescendre ?
- Par le chemin pardi !
- Mais je vais arriver à la nuit ! je vais encore me perdre !
- Ça c’est vrai … attendez … hé les gars ? ont peut embarquer mademoiselle ?

Ils se sont concertés en rigolant en douce tout en me dévisageant avec tellement d’insistance que je me suis sentie nue, je suis pourtant en short mini et large de jambière pour ne pas être irritée pendant la marche, mon haut est moulant certes pourtant je ne trouve pas ma tenue spécialement érotique, ils finissent par lâcher …..

- D’accord, elle vient mais à ses risques et périls nous n’avons pas le droit d’embarquer d’étrangers au service lors du dernier voyage de contrôle
- Qu’en dites-vous mademoiselle ?
- Je ne chercherais pas d’ennuis croyez moi, emmener moi je vous en supplie, je vous dédommagerais en ‘nature ‘

A leur airs stupéfait je me suis rendue compte que je venais de prononcer un mot qui m’a échappé, je voulais dire ‘ en liquide ‘ …ce qui revient au même …dés lors une étrange sensation m’a envahie, je vais me retrouver seule a trois cent mètres du plancher des vaches avec trois gaillard a la mine tannée par la montagne, et s’ils voulaient me violer ? Ce serait inutile de résister, autant ne pas prendre le risque qu’ils me frappent, je me laisserais faire, après tout tant pis pour mon copain il n’avait qu’a m’attendre, j’étais perdue dans des pensées idiotes et mes glandes vaginales commençaient à pleurer, ce qui allait humidifier un peu plus le triangle en coton de mon slip

- Soit, venez nous partons de suite

Dés le départ j’étais rassurée, les hommes se sont désintéressés de moi, ils étaient attentifs au bon état des câbles et des poulies, je me suis mise à admirer le paysage a travers le plexiglas, soudain, accrochées à la paroi rocheuse ce que je croyais être de chèvres ont attiré mon attention, je me suis agenouillée sur le banc et un bras pour absorber les vibrations j’ai posé ma tête au plus prés du plexiglas, émerveillée par le spectacle sans me soucier de ma position provocante, le cul tendu en arrière

- REGARDEZ !!! des chèvres sur la montagne !

Ils se sont esclaffés en se tapant sur les cuisses,

- Des chèvres ?? Je reconnais là une vraie parisienne ! Ce sont des bouquetins ma belle !
- Ha... ?comment les reconnait ont ?
- Je vais vous montrer …

Le plus vieux est venus a mon coté pratiquement dans la même position, il a passé un bras autour de ma taille sa tête contre la mienne, en me montrant du doigt les animaux, sa proximité m’a rendue toute chose

- Tu vois … je me permets de te tutoyer ? il y a là trois femelles et un mâle
- Le mâle c’est celui qui a de longues cornes ?
- Tout a fait, il a du bol cet animal, il a trois femelles pour lui tout seul !
- Le contraire peut arriver ?
- Quoi donc ? trois mâles pour une femelle ?

Dans mon dos un autre homme s’est appuyé sur mes fesses pour regarder lui aussi ‘ le paysage’

- Bien sûr, regarde un peu plus haut il y a trois jeunes mâles pour une ‘étagne’, c’est le nom de la femelle du bouquetin, c’est auquel va la saillir le premier !
- Ils vont se battre ?
- Hé oui, c’est comme ça chez les animaux, chez les hommes c’est différent, s’il y a trois hommes pour une femme ils finissent toujours par s’entendre et trouver une solution…

Ces mot résonnent dans ma tête tandis que la pression d’une main s’exerce sur mon cul, elle glisse vers mon entrejambes, des doigts essaient de forcer le passage d’une jambière , malgré la largeur de celle-ci ils progressent difficilement, alors l’homme change de tactique ,il me semble reconnaitre une belle érection sur mon cul, la main qui entoure ma taille se fait plus caressante, les doigts se contractent sur ma chair a intervalles réguliers comme pour demander mon consentement a progresser, plus personne ne parle, l’atmosphère est électrique, il n’y a plus que le ronronnement de la cabine qui roule sous les câbles
Je ne rêve pas, mon short glisse sur mes fesses entrainant par la même occasion ma petite culotte, dans le même temps mon haut est relevé, les deux plus âgés s’affairent à me déshabiller partiellement, malgré l’entrave de mon short baissé a mis cuisse une main s’infiltre entre mes lobes fessiers, un clic et l’agrafe de mon soutien-gorge saute, des doigts extirpent un sein du bonnet, que fait le jeune ? … il est là de l’autre coté, sa main cherche mon poignet, je le laisse l’entrainer, mes doigts se referment sur une verge tendue de taille moyenne
D’autres doigts cherchent l’ouverture de ma vulve, il a raison, trois hommes avec une seule femme trouvent toujours la solution …les doigts peinent a s’introduire dans mon vagin, l’homme peste contre l’entrave de mon short qui limite ses caresses, de ma propre initiative je fais glisser mon vêtement et, soulevant un genou après l’autre je m’en débarrasse, cette fois les cuisses bien séparées laissent mes parties intimes accessibles, un grognement d’approbation et des frôlements, sans doutes des vêtements qu’ont ôtent ! Je croule sous une avalanche de caresses, des doigts qui s’insinuent dans mes orifices, des dents mordillent mes tétons
Je suis en eau lorsqu’un gland mafflu pèse sur mes lèvres vaginales qui laissent pénétrer l’intrus jusqu’aux testicules, je suis totalement ouverte, pénétrée on ne peut plus, le premier homme me manipule afin que je tourne la tête, un autre gland est a portée de bouche, je l’avale sans rechigner, voilà la solution trouvée ! Je me fais baiser, peloter, je suce et je branle ! Je suis aux anges ….les coups de reins font tanguer la cabine, l’homme qui me baise s’acharne afin de jouir rapidement pour solidairement laisser sa place car je l’entends dire ‘ dépêchez vous si vous voulez tous la baiser avant l’arrivée au terminal ’

- RHHAAAAAAA ça y est ! Je décharge dans son con ! Qui veut ma place ?
- Va y petit c’est ton baptême de la montagne ! je lui mettrais dans l’anus si ça glisse trop !
- Attendez, je vais changer de position j’ai mal aux genoux !
- Venez vous assoir sur les miens mademoiselle, ce sera plus confortable
- Impeccable, ainsi je peux continuer à me faire sucer !

Assise confortablement et empalée sur la jeune queue, une odeur de fornication plane dans l’habitacle, le sperme du premier est refoulé de ma chatte sous les coups de bitte du second, je suis ivre de baise, mes seins sautent en cadence, mon palais est envahi par une queue soyeuse, mon premier amant s’essuie la bitte consciencieusement avant de la remettre dans son pantalon et s’assied pour nous mater
Le jeune excité hurle et lâche trop rapidement sa purée abondante dans ma matrice désormais béante, mon entrecuisse est tapissé de rejets gluants, je descends des genoux un peu hagarde, sans me laisser le temps de respirer le dernier à me passer dessus se retire de ma bouche et me courbe en deux sur le banc pour me prendre en levrette, ses couilles frappent mon vagin, ses cuisses claquent sur mes fesses, des doigts triturent mon clito, je finis par jouir sans discontinuer

- Dépêche toi de gicler ont arrive !!!!
- Hoooo quelle merde … hhhhhhhaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ça y est …. JE DECHARGE !!!!

J’apprécie les jets puissants qui frappent mon utérus, la queue se retire me laissant un énorme vide, mais quel pied ! Le téléphérique ralenti, c’est la panique, je cherche mes vêtements, une sorte de mayonnaise blanche infâme tapisse mon ventre et mes poils, je me vois obligée de m’éponger la chatte et l’entrecuisse avec mon slip, résultat il est trempé je ne peux décemment remettre ça sur ma chatte, du coup je ne remets que mon short, le slip en boule au creux de ma main, sur le quai une surprise m’attend, mon copain est là ….il a une réflexion qui m’exaspère …..

- HAAAAA !!! Pupuce te voilà ! finalement tu as pris le téléphérique ?
- Non ducon, j’ai pris le tire-fesses ! tien, c’est un souvenir !

Je lui jette mon slip amidonné de sperme au visage, incrédule il le renifle en ouvrant de grands yeux effarés

- Tu … tu … tu ??????
- Je me suis faite baisée par trois mecs et c’était bien bon ! adieu !
- Mademoiselle ?? vous revenez demain à la même heure ????????