Titou
Récit érotique écrit par FED ERIC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-08-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titou
Je suis né le jour de la st Barthélémy à Paris. Je ne l'ai su que bien plus tard. Dans mon petit village de pêcheurs on ne s'occupait pas de ça. Mes parents m'avaient conçu hors mariage et pour moi, point de baptème le curé appliquant strictement les ordres de l'évéché. Pour tous j'étais Titou. Mon père a disparu en mer quand j'avais 12ans et ma mère a pu subvenir à mes besoins pendant quelques temps en vendant son devant comme elle le disait. Elle a fini dans une rue,daguée pour son maigre butin de fille de joie .Je devais avoir 13ans et j'ai du trouver à me nourrir seul.
A ce moment là le roi avait besoin d'hommes pour ses galères. J'étais grand pour mon âge mais sans papier on a vite vu que j'étais trop jeune. Un officier après m'avoir regardé m'a demandé si je savais faire la soupe. Il était jeune et je n'ai pas hésité. La soupe se limitait pour les gens de la chiourme à un brouet avec un peu de lard et des fèves. J'avais un coin pour préparer le brouet avec un endroit pour me coucher, tout à fait à l' arrière et je passais par des planches au centre mais sous les rameurs pour aller nourrir les gardes à l'avant avec les meilleurs morceaux. Cela me suffisait.
Je passais ensuite par le centre sur une passerelle où sévissait celui qui imposait le rythme au plus fainéants. La plupart étaient nus et j'étais surpris de ce qui pendait entre leur cuisses. Certains avaient des gros boudins et d'autres de maigres saucisses. J'ai été coincé un soir par l'officier qui m'avait donné le poste et là j'ai appris à sucer comme ma mère l'avait fait si souvent. Moi je ne pouvais pas donner mon devant comme elle et j'ai du subir son membre pas aussi gros que certains mais qui m'a fait mal au trou que l'on a en commun nous les hommes et les femmes.
De ce jour ma vie s'est un peu améliorée, ma nourriture aussi. Lui ne sentait pas la rose mais passant souvent sous la chiourme j'étais habitué à l'odeur des galériens. On avait beau être discret deux ou trois ont saisi notre manège et j'ai du sucer des sexes malodorants par obligation. Ils n'auraient pas hésités à me dénoncer comme bougre comme le jeune vicomte .
J'avais appris son titre un jour d'inspection de la galère par l'amiral et son nom. Il lui allait si bien. Joyeuse. Le jour où il est parti vers Paris j'ai pleuré mais il m'avait confié à un autre grand marin cette fois dont je tairais le nom par respect pour lui et car il me l'a demandé.
Quand je dis confié , c'est dans tous les sens du terme et je suis passé dans le lit de ce commandant de galère royale. J'ai pu et même du me laver tous les jours pour le satisfaire pleinement. Un jour ou le vent nous fut contraire, nous fûmes capturés par les barbaresques, la galère coulée . Seuls les officiers et ceux qui n'étaient pas attachés ont survécus. Mon commandant était sauf , moi aussi mais plus chat mouillé que lui. Il a demandé et obtenu que je reste à son service. Ce qui ne l'a pas empéché de passer sur le divan du pacha et de crier comme une femme quand il a été pris comme je l'etais si souvent par la porte de derrière. L'époque était ainsi faite mais lui était un grand seigneur , moi pas. et les serviteurs du pacha ne se gênaient pas avec moi.
La rançon demandée par courrier via l'Espagne fut longue à parvenir et j'ai souvent partagé leurs couches. Au moment d'être libéré il a demandé que je soit libéré aussi. Je n'ai pas compris car de très basse extraction je n'étais rien pour lui sinon un amant. Le temps avait passé et Anne de Joyeuse était devenu Grand amiral de france. Ses goûts n'avaient pas changé. Lors d'un passage à Toulon il a demandé à voir mon commandant . Comme j'étais avec lui, il m'a souri. Toujours aussi receveur de braquemart?
Je fourre et me fait fourrer Monseigneur.
Que dirais tu de m'accompagner à Paris?
Je ne pouvais pas refuser mais aller dans cette villasse qu'on disait puante et grouillante ne me réjouissait pas. Comme on ne dis pas non à un ausi grand personnage nous sommes repartis ensemble dans sa carosse(Aucune faute de ma part pour les futurs lecteurs de mes mémoires, on utilisait le féminin pour ce mot). Tout mantelets (rideaux) baissés j'ai sucé Monseigneur comme il l'appréciait, à fond. Le voyage de retour était long et j'ai eu le plaisir de fourrer aussi ma mentule Dans la porte arrière de Monseigneur. Les cahots de la carosse aidant et les bruits du cuir qui amortissait la caisse ont étouffés ses cris de satisfaction.
Titou par ma foi tu as forci mon ami et tu seras beaucoup apprécié en Paris où les moeurs sont assez relachés. Il faudrait cependant que tu possédes une terre pour user de la savonnette à vilain et être noble ce qui t'éviterais les tracas de nos religieux toujours aussi chasseurs de bougres.
Je verrais cela à Lyon où nous feront une étape pour reposer les équipages. Il y a moult officiers d'état civils qui ont des terres à faire vendre par de vieux nobles sans descendance ou même décédés. Tu pourrais prendre le nom de ta terre . Non connu à la cour personne ne fera de rapprochement. Il te faudra quelques pécunes mais j'y pourvoirais, tu me fourres si bien que par ma foi il en faudrait mourir. J'ai souvent par la suite entendu cette expession.
A Lyon , logé dans un bel hotel particulier par un compagnon de plaisir j'ai du m'occuper de nouveau mais des deux, fourrant et me faisant foutre. Ils parlai en de moi, de terriers.A ce que j'ai comppris il s'agissait de titres de propriété. Un après midi, un de ces officiers chargés des ventes de bien est passé et a parlé avec Monseigneur puis il est reparti.
Demain nous allons visiter deux biens à vendre qui te permettront de prendre le nom de la terre qui va avec.
J'ignorais encore à quel point mes soins particuliers étaient appréciés. Le lendemain , avec quelques hommes armès à cheval, nous sommes allé voir ces deux terres. La première était assez vaste pour que du perron du petit château je ne puisse voir le bout de la propriété. Un ruisseau traversait le terrain derrière et un petit étang était joint d'après le valet de l'officier. Le prix demandé m'a paru exhorbitant mais n'a pas plus étonné Monseigneur de Joyeuse.
Le second, valonné et avec un demeure assez belle à deux tours,entouré d'un fossé abreuvé par un ruisseau , le bien comportait un village et une chapelle, plus grand que le premier, il était cependant moins cher (enfin peu mais pour moi c'était moins) Le prix venait de la proximité d'un monastère d'un ordre assez redouté pour accaparer facilement les biens mal tenus. C'était les seuls à en vouloir mais à un prix bien moindre.
Une fois dans la carosse Monseigneur m'a demandé (il devait vraiment aimer mes traitements) lequel serait à mon goût. J'ai osé dire le premier, la proximité d'un monastère me ragoutant fort peu. Il a approuvé d'autant que le logis était proche du grand chemin entre Lyon et Paris et qu'il pourrait m'y visiter. Le lendemain l'officier est passé avec les actes à signer me donnant pour la première fois du Monsieur. Une fois signé j'ai du me retirer pour rire.Moi, Monsieur! Il me la baillait belle. J'étais propiétaire d'une demeure à Nuelles. Moi Titou!
Si tout n'avait pas été réel j'aurais cru rêver. Monsigneur a bien voulu m'enseigner les bonnes manières mais disant que dans le milieu où j'allais évoluer je ferais foin de tout cela. Un maître d'arme a appris aussi les premières règles de tirer l'épée et un gros bonhomme , l'assiette pour paraître bien à cheval. Et après pas mal de chutes j'ai pu maitriser l'animal suffisamment. Accompagné d'un des gardes de Monseigneur j'ai pus de cette façon le rendre sur "mes terres". J'ai pu les parcourir à loisir , salué par des paysans que je ne connaissaient pas. La visite de la demeure a été longue je ne l'avais pas faites avant mais tout m'a paru sain. Une fille du village s'occupait du ménage et j'ai bien compris qu'elle attendais aussi à me servir.
Au retour, Monseigneur auquel je faisais des remerciements m'a dit qu'il devait me présenter au roi et que ce serait une perte pour lui mais un avancement pour moi. Après le parcours à cheval je n'ai pu que satisfaire Monseigneur de mon sexe que lui jugeait fort beau . J'étais adepte de ce que peu de noble faisaient, je me lavais intégralement tous les jours au petit matin et plus d'une pareclose s'est entrouverte pour me voir dans ma natureté devant le bassin pour les chevaux.
A ce moment là le roi avait besoin d'hommes pour ses galères. J'étais grand pour mon âge mais sans papier on a vite vu que j'étais trop jeune. Un officier après m'avoir regardé m'a demandé si je savais faire la soupe. Il était jeune et je n'ai pas hésité. La soupe se limitait pour les gens de la chiourme à un brouet avec un peu de lard et des fèves. J'avais un coin pour préparer le brouet avec un endroit pour me coucher, tout à fait à l' arrière et je passais par des planches au centre mais sous les rameurs pour aller nourrir les gardes à l'avant avec les meilleurs morceaux. Cela me suffisait.
Je passais ensuite par le centre sur une passerelle où sévissait celui qui imposait le rythme au plus fainéants. La plupart étaient nus et j'étais surpris de ce qui pendait entre leur cuisses. Certains avaient des gros boudins et d'autres de maigres saucisses. J'ai été coincé un soir par l'officier qui m'avait donné le poste et là j'ai appris à sucer comme ma mère l'avait fait si souvent. Moi je ne pouvais pas donner mon devant comme elle et j'ai du subir son membre pas aussi gros que certains mais qui m'a fait mal au trou que l'on a en commun nous les hommes et les femmes.
De ce jour ma vie s'est un peu améliorée, ma nourriture aussi. Lui ne sentait pas la rose mais passant souvent sous la chiourme j'étais habitué à l'odeur des galériens. On avait beau être discret deux ou trois ont saisi notre manège et j'ai du sucer des sexes malodorants par obligation. Ils n'auraient pas hésités à me dénoncer comme bougre comme le jeune vicomte .
J'avais appris son titre un jour d'inspection de la galère par l'amiral et son nom. Il lui allait si bien. Joyeuse. Le jour où il est parti vers Paris j'ai pleuré mais il m'avait confié à un autre grand marin cette fois dont je tairais le nom par respect pour lui et car il me l'a demandé.
Quand je dis confié , c'est dans tous les sens du terme et je suis passé dans le lit de ce commandant de galère royale. J'ai pu et même du me laver tous les jours pour le satisfaire pleinement. Un jour ou le vent nous fut contraire, nous fûmes capturés par les barbaresques, la galère coulée . Seuls les officiers et ceux qui n'étaient pas attachés ont survécus. Mon commandant était sauf , moi aussi mais plus chat mouillé que lui. Il a demandé et obtenu que je reste à son service. Ce qui ne l'a pas empéché de passer sur le divan du pacha et de crier comme une femme quand il a été pris comme je l'etais si souvent par la porte de derrière. L'époque était ainsi faite mais lui était un grand seigneur , moi pas. et les serviteurs du pacha ne se gênaient pas avec moi.
La rançon demandée par courrier via l'Espagne fut longue à parvenir et j'ai souvent partagé leurs couches. Au moment d'être libéré il a demandé que je soit libéré aussi. Je n'ai pas compris car de très basse extraction je n'étais rien pour lui sinon un amant. Le temps avait passé et Anne de Joyeuse était devenu Grand amiral de france. Ses goûts n'avaient pas changé. Lors d'un passage à Toulon il a demandé à voir mon commandant . Comme j'étais avec lui, il m'a souri. Toujours aussi receveur de braquemart?
Je fourre et me fait fourrer Monseigneur.
Que dirais tu de m'accompagner à Paris?
Je ne pouvais pas refuser mais aller dans cette villasse qu'on disait puante et grouillante ne me réjouissait pas. Comme on ne dis pas non à un ausi grand personnage nous sommes repartis ensemble dans sa carosse(Aucune faute de ma part pour les futurs lecteurs de mes mémoires, on utilisait le féminin pour ce mot). Tout mantelets (rideaux) baissés j'ai sucé Monseigneur comme il l'appréciait, à fond. Le voyage de retour était long et j'ai eu le plaisir de fourrer aussi ma mentule Dans la porte arrière de Monseigneur. Les cahots de la carosse aidant et les bruits du cuir qui amortissait la caisse ont étouffés ses cris de satisfaction.
Titou par ma foi tu as forci mon ami et tu seras beaucoup apprécié en Paris où les moeurs sont assez relachés. Il faudrait cependant que tu possédes une terre pour user de la savonnette à vilain et être noble ce qui t'éviterais les tracas de nos religieux toujours aussi chasseurs de bougres.
Je verrais cela à Lyon où nous feront une étape pour reposer les équipages. Il y a moult officiers d'état civils qui ont des terres à faire vendre par de vieux nobles sans descendance ou même décédés. Tu pourrais prendre le nom de ta terre . Non connu à la cour personne ne fera de rapprochement. Il te faudra quelques pécunes mais j'y pourvoirais, tu me fourres si bien que par ma foi il en faudrait mourir. J'ai souvent par la suite entendu cette expession.
A Lyon , logé dans un bel hotel particulier par un compagnon de plaisir j'ai du m'occuper de nouveau mais des deux, fourrant et me faisant foutre. Ils parlai en de moi, de terriers.A ce que j'ai comppris il s'agissait de titres de propriété. Un après midi, un de ces officiers chargés des ventes de bien est passé et a parlé avec Monseigneur puis il est reparti.
Demain nous allons visiter deux biens à vendre qui te permettront de prendre le nom de la terre qui va avec.
J'ignorais encore à quel point mes soins particuliers étaient appréciés. Le lendemain , avec quelques hommes armès à cheval, nous sommes allé voir ces deux terres. La première était assez vaste pour que du perron du petit château je ne puisse voir le bout de la propriété. Un ruisseau traversait le terrain derrière et un petit étang était joint d'après le valet de l'officier. Le prix demandé m'a paru exhorbitant mais n'a pas plus étonné Monseigneur de Joyeuse.
Le second, valonné et avec un demeure assez belle à deux tours,entouré d'un fossé abreuvé par un ruisseau , le bien comportait un village et une chapelle, plus grand que le premier, il était cependant moins cher (enfin peu mais pour moi c'était moins) Le prix venait de la proximité d'un monastère d'un ordre assez redouté pour accaparer facilement les biens mal tenus. C'était les seuls à en vouloir mais à un prix bien moindre.
Une fois dans la carosse Monseigneur m'a demandé (il devait vraiment aimer mes traitements) lequel serait à mon goût. J'ai osé dire le premier, la proximité d'un monastère me ragoutant fort peu. Il a approuvé d'autant que le logis était proche du grand chemin entre Lyon et Paris et qu'il pourrait m'y visiter. Le lendemain l'officier est passé avec les actes à signer me donnant pour la première fois du Monsieur. Une fois signé j'ai du me retirer pour rire.Moi, Monsieur! Il me la baillait belle. J'étais propiétaire d'une demeure à Nuelles. Moi Titou!
Si tout n'avait pas été réel j'aurais cru rêver. Monsigneur a bien voulu m'enseigner les bonnes manières mais disant que dans le milieu où j'allais évoluer je ferais foin de tout cela. Un maître d'arme a appris aussi les premières règles de tirer l'épée et un gros bonhomme , l'assiette pour paraître bien à cheval. Et après pas mal de chutes j'ai pu maitriser l'animal suffisamment. Accompagné d'un des gardes de Monseigneur j'ai pus de cette façon le rendre sur "mes terres". J'ai pu les parcourir à loisir , salué par des paysans que je ne connaissaient pas. La visite de la demeure a été longue je ne l'avais pas faites avant mais tout m'a paru sain. Une fille du village s'occupait du ménage et j'ai bien compris qu'elle attendais aussi à me servir.
Au retour, Monseigneur auquel je faisais des remerciements m'a dit qu'il devait me présenter au roi et que ce serait une perte pour lui mais un avancement pour moi. Après le parcours à cheval je n'ai pu que satisfaire Monseigneur de mon sexe que lui jugeait fort beau . J'étais adepte de ce que peu de noble faisaient, je me lavais intégralement tous les jours au petit matin et plus d'une pareclose s'est entrouverte pour me voir dans ma natureté devant le bassin pour les chevaux.
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