Titre de l'histoire érotique : ça c'est fait sur un malentendu - histoire érotique

- ‘’ Merci pour ce bon moment, j’espère te revoir demain soir, d’ici là je vais réfléchir a ta demande …’’

Voilà le texto que j’ai découvert sur le portable de Paul, mon mari, tandis qu’il était a la douche…évidement numéro caché, impossible d’en connaitre la provenance, il me trompe c’est certain, ‘elle’ va réfléchir a quoi ? Ils vont se mettre ensembles ? je dois absolument découvrir avec qui c’est juré ! demain soir, c’est a dire après son travail, en réfléchissant cela fait plusieurs fois qu’il arrive a la maison avec une heure de retard, un coup c’est la circulation, un coup c’est du travail à finir, je vois rouge

Sept ans de mariage et toute bascule en une seconde, je suis désorientée surtout qu’il avait envisagé de mettre du piment dans notre couple afin de booster notre libido car la routine inévitable s’installe, mais j’y suis farouchement opposée, de toute façon je vais tout faire pour le récupérer, je l’aime trop, c’est un très bon mari, prévenant, bon amant, il sait parfaitement se servir de sa verge et m’amener a la jouissance en cinq minutes, la pouffiasse qui l’accapare va voir de quel bois je me chauffe, je vais prendre ma voiture et aller a la sortie de son entreprise pour le suivre, c’est la meilleure façon de découvrir la vérité

Que s’est-il passé dans sa tête ? je prend soin de moi, je m’habille coquettement, voire très court lorsque nous sortons ensemble et sans culotte a chaque fois que c’est possible, surtout pas dans la famille trop pudique
Il est fier de savoir que des hommes se retournent a notre passage et m’envisagent probablement, ça l’excite c’est certain car a peine rentrés a la maison il me saute a la hussarde sur le premier meuble venu

D’ailleurs je vais aller voir ce qu’il fait habillée ras la moule, sans aucuns sous vêtements, je montrerais a cette conne ma manière de vivre, c’est la première fois que je conduis seule avec la robe remontée si haut, si je me fais contrôler par la police ils vont êtres surpris de découvrir ma toison blonde avant mon permis de conduire !
Dix sept heures je suis a mon poste, je vais le voir arriver je vais le pister en laissant une ou deux voitures entre nous, c’est la campagne pas de risque de se perdre dans la circulation, le voilà, mon cœur bat a tout rompre, je démarre derrière lui, il prend la direction de notre domicile … ce n’est pas pour ce soir ?

Voila la portion de route boisée, ce n’est pas une grande forêt mais de quoi abriter des couples en mal de tranquillité que je connais bien pour y être venue avec Paul… la voiture qui nous séparent met son clignotant pour doubler cela veut dire que mon mari ralentit …la boule dans mon ventre se durcie …soit forte, ne lâche pas maintenant …il tourne dans le chemin ,je vais m’arrêter avant qu’il ne bifurque …il continue … je vois a deux cents mètres une autre voiture garée, je me gare moi aussi pour continuer a pieds a travers bois…
‘Ils’ doivent être par ici, attention aux branches brisées …il me semble entendre des voix, j’avance avec milles précautions, de grands arbres avec de gros tronc rien de tel pour me dissimuler…les paroles ne sont pas encore distinctes mais je ne reconnais pas de voix de femme …encore quelques mètres et je vais tout voir … QUOI ? …je rêve ? ‘ils’ sont bien là dans cette mini clairière, mais ‘ils’ ce sont deux hommes, l’inconnu tire sur la ceinture du pantalon de Paul qui se laisse faire et pour couronner le tout tâte l’entrejambe du mec qui fait de même, les jeans tombent sur les genoux… mon mec est homo ? impossible et pourtant je ne peux que constater qu’il se plie en deux pour sucer l’autre, qu’est-ce qui me retient de foncer sur eux et de les séparer ? pourquoi je ne ressent pas de jalousie ? pourquoi ma chatte s’humidifie-t-elle ainsi ? pourquoi mes tétons vont-ils crever le tissu ? comme c’est étrange a voir deux hommes qui se font des choses …mes cuisses se frottent l’une sur l’autre, mes tétons s’allongent , je dois me rendre a l’évidence, je mate et j’apprécie car la queue que mon mari suce avec délicatesse et gourmandise est tout simplement bien plus grosse que la sienne ! je n’ose pas penser là ou il doit se la prendre …que ressent-il ?
Soudain, mon sixième sens me fait ressentir une présence toute proche, avant que je n’aie eu le temps de me retourner une main se plaque sur ma bouche et l’autre me ceinture

- Chuuuuuut, ne crie surtout pas, je vais retirer ma main … alors comme ça même les nanas se mettent à jouer les voyeuses ?
- Qui est êtes vous ?
- Un mateur comme toi ma belle
- Moi c’est différent, je …je surveille mon mari c’est lui qui est là-bas
- Lequel, celui qui se fait sucer ?
- Non, l’autre, laissez moi regarder à présent …
- Je mate avec toi, j’espère qu’ils vont se sodomiser
- Pas moi ! taisez-vous à la fin !... mais que faites-vous ?
- Madame ne porte pas de culotte ? muuuuuummmmmm, ça te fait de l’effet, tu mouille comme une salope

Tétanisée je ne réponds pas et je ne cherche pas à repousser les doigts insérés adroitement dans ma motte, il me semble ainsi participer a l’action des deux amants, de temps a autre le bienfait de sa savante masturbation me fait fermer les yeux, je me surprends à tendre mon cul afin qu’il accède mieux a ma chatte, il a dût prendre cela comme une supplique car l’air frais arrive sur mes reins a cause de ma robe coincée a ma taille, aussitôt une chose douce et chaude frotte mon entrecuisses, sa verge raide, de taille moyenne s’introduit dans ma chatte et me ramone vigoureusement, je me cramponne a une branche pour suivre l’action , mon mari recrache un paquet de sperme et se redresse enfin

- Alors ? ça t’a plût ?
- Tu deviens bon, veut-tu que je te suce a mon tour ?
- Non merci je dois rentrer pour ne pas éveiller les soupçons de ma femme, que décides-tu pour elle ?
- C’est bon, je viendrais la baiser, elle a l’air d’être bien gaulée
- Je te l’ai dis, beaux seins, belle chatte bien serrée, elle se démène bien sur ma bite, alors sur la tienne ce sera un feu d’artifice
- Je pourrais décharger dedans ?
- Bien sûr, c’est même une condition principale à notre accord, je veux trouver sa moule encore gorgée de ton foutre
- Tu seras servi, t’as vu ce que t’as prit dans la bouche ? !
- Ouais, j’en ai avalé pas mal et j’ai recraché le trop plein

Ainsi c’était pour la ‘bonne cause‘ ? cet homme doit venir a la maison pour me sauter ? et moi qui viens de le faire cocu car l’inconnu vient d’éjaculer au plus profond de mon vagin ! sous ses yeux incrédules je me dégage et lui laisse la queue encore a demi bandée, goutante de foutre pendre entre ses cuisses, je cours vers ma voiture afin d’arriver avant mon mari a la maison
Je n’ai pas eu le temps de passer sous la douche que Paul à peine entré m’appelle

- Valérie ? VALÉRIE ? tu es là ?
- J’arrive, que se passe-t-il ?
- Houlà ! tu as revêtue la ‘tenue de sortie’ ?
- Oui ... j’avais envie de te faire une surprise
- Ça tombe bien je voulais t’en faire une aussi... dis moi, tu n’as rien mis là-dessous ?
- Ben non, comme quand nous sortons ensemble, pourquoi ?
- Je peux toucher ?
- NON !... enfin pas comme ça, pas aussi directement, quelle est ta ‘surprise’ ? tu arrive ‘encore’ en retard, quelle en est la raison cette fois ?
- Si tu veux tout savoir j’avais rendez-vous avec un mec
- Tient donc !
- Comment te dire... approche chérie ce sera plus facile a expliquer si tu es dans mes bras… mmmuuuuummmmmmmm tu sens l’amour ….
- Ne cherche pas à tergiverser, parle !
- Laisse-moi te toucher le minou …tu ne mouille pas comme ça d’habitude, surtout en dehors de nos sorties ? mais … c’est du sperme ?
- Oui
- Tu as un amant ?
- Oui, comme toi !
- Je n’ai pas d’amant ma chérie
- Ne ment pas, je t’aie vu dans le bois avec un type a qui tu faisais une pipe
- Ce type s’appelle Laurent, ton futur amant, la fellation c’était le prix à payer pour qu’il vienne te sauter, si tu as tout vu tu as dût remarquer la grosseur de sa bite ?
- Elle te fait du bien là où je pense ?
- Je ne suis pas fait sodomiser, mais toi ? explique-moi la présence de ce foutre entre tes cuisses ?
- Eh bien oui, je t’ai suivi ce soir après avoir découvert un sms étrange sur ton portable que je surveille depuis tes retards répétés, je te regardais sucer avidement ce mec lorsqu’un homme a surgis derrière moi et m’a adroitement immobilisée il a vite découvert que je ne portais pas de culotte car je voulais faire une surprise a ta ‘maitresse’ héla je me suis gourée, tu avait rencard avec un mec, j’étais tellement subjuguée par ce que tu faisais avec délicatesse a cet homme que je me suis rendue compte trop tard que ce sale profiteur m’enfilais deux doigts, une fois pénétrée impossible de faire marche arrière, c’était irréel je me faisais baiser en te matant
- Salope ! attend j’appelle Adrien… salut, c’est moi, ‘elle’ est partante tu peux venir immédiatement ? ok nous t’attendons… et voilà ! va vite te laver la chatte
- S’il tient à me baiser ce sera la moule pleine de la semence de cet inconnu
- Va dans la chambre, je vais te bander les yeux tu attends à poil sous le drap sans parler, ‘il’ va arriver

Fébrile et excitée je m’allonge en écartant très légèrement les jambes afin que mon minou aux poils souillés et odorant soit à peine visible, mes tétons sont durs et dressés, j’entends mon mari parler, les mots sont confus, puis des pas annoncent leur venue…

- Là voilà, comment là trouves-tu ?
- Elle est encore mieux qu’en photo, tu veux bien tirer sur le drap ?
- Fait-le toi-même, je t’en prie
- D’accord mais avant je vais me déshabiller
- Tu a raison moi aussi

Les bruissements indiquent que des habits quittent les corps, ça m’excitent au plus haut point, bandent-ils ? ma respiration s’accélère et fait monter ma poitrine lorsque l’air frais achève de faire dresser mes bouts, un souffle chaud approche d’un téton avant que des lèvres avides l’absorbe en l’aspirant faisant monter en moi un long frisson, mes cuisses se frottent l’une sur l’autre impatientent de pouvoir s’écarter pour m’offrir totalement a cet inconnu, l’autre sein est recouvert et trituré par une large paume, je ne peux retenir un gémissement sourd

- Doucement ma chérie ‘ça’ va venir, si tu voyais sa grosse trique il est prêt a investir ton ventre, je vais t’embrasser pendant que Laurent va continuer à découvrir tes formes, laisse moi guider ton poignet tu va le découvrir aussi … là resserre tes doigts, ne compte pas faire le tour de son érection il est gros, mais décalotte-le, que dit-tu ? parle plus fort je ne comprends pas …
- C’est excitant de pas voir venir les caresses... je veux faire comme toi dans le bois… le sucer
- Tu entends Adrien ? tourne-toi vers elle
- Tient, fait-toi plaisir, moi je vais visiter plus bas, je tire entièrement le drap …. Boooouuuuh ça sent le cul là-dessous !
- Figure-toi que pendant que je te faisais une pipe dans le bois elle se faisait tirer par un voyeur !
- Je croyais que vous ne pratiquiez pas le trio ?
- Moi non plus !
- Quelle salope ! je vais te monter ce qu’est l’adultère, remonte tes genoux que je mette ma tête entre tes cuisses pour nettoyer ta motte, n’aie pas peur d’avaler un bon morceau de mon zob ! et ne recrache pas une goutte de mon foutre
- Oui monsieur …

Ce sont les seules paroles que j’ai prononcées la grosseur du manche empêche désormais toutes élocutions ! je comprend mieux l’empressement de Paul a téter une telle verge, elle est sublime, a la fois dure et noueuse et tellement soyeuse ! la mâchoire écartelée mes lèvres vont et viennent a une cadence soutenue tandis que mon autre main manipule la paire de testicules velues, un doigt s’égare même sur son œillet poilu, sa langue lippue fend ma toison encore amidonnée d’un foutre anonyme, décalottant au passage mon clito en pleine dilatation, ses doigt ne restent pas inactifs, mes deux trous sont étirés et visités en profondeur, impossible de me concentrer sur ma fellation dans un tel état de plaisir croissant , je le masturbe nerveusement pour qu’il arrive a l’orgasme en même temps que moi

Sous sa verge le canal déférent se contracte annonçant l’arrivée imminente du sperme, le seul fait de savoir que je vais avaler son foutre libère mon propre orgasme, nous bramons en même temps tandis que nos sèves sont échangées, la queue toujours aussi raide se retire de mon palais pour glisser entre mes seins pour y déposer le reste de l’éjaculation

- Presse tes nichons sur mon zob, je vais m’essuyer entre-eux, ensuite tu te retourneras a genoux les mains derrière le dos, ne cherche surtout pas a te dérober a mon gland, où qu’il aille
- Oui monsieur

Nouveau suspense, j’adopte la position indiquée, le buste droit, sa main plaquée sur mes épaules m’oblige à poser ma joue sur le drap, il saisit mes poignet et tire fortement mes bras en arrière, le cul en l’air, je suis offerte et impuissante a son bon vouloir, très vite il promène son nœud entre mes fesses en s’en servant comme un pinceau pour étaler mes sécrétions sur mes deux trous, mon dieu pourvu qu’il ne m’encule pas …et mon œillet qui se détend au frottement du monstre au lieu de se contracter, il ne ment pas , au fond de moi j’ai envie de tester une bonne enculade …
Je suis presque contrariée lorsque le bout s’insère entre mes grandes lèvres, il tire encore plus fort sur mes bras afin que je m’empale moi-même, le manche refoule inexorablement mes chairs, Paul pousse un long soupir d’étonnement, peut être mêlé de jalousie ? j’en pousse un aussi mais c’est un feulement de bien être, de femme impatiente d’être baisée par un bon mâle, j’ondule du cul pour faciliter la pénétration, je veux sentir au plus vite ses couilles sur mon clitoris… c’est chose faite, mon amant commence des va-et-vient tantôt brusques tantôt doux, trop doux ! je repousse brutalement mes fesses en arrière pour lui faire comprendre mon désir d’être prise sauvagement

- Tu en veux ? tu vas en avoir, je te lâche, accroche toi aux draps ça va secouer tes deux trous
- Tu va l’enculer ?
- Elle ne demande que ça, regarde moi cette rondelle frémissante, je la tiens bon par les hanches, elle ne peut pas s’y soustraire
- Après tout ça me faciliteras le passage pour la suite
- Allez-y ne me faites pas languir davantage
- D’abords ta cramouille durant une minute et je change de trou sans prévenir

Ma fente est étirée comme jamais, son nœud est plus gros que je ne l’imaginais, je me retiens de ne pas hurler de plaisir devant mon mari qui commente crument ce qu’il voit

- Quelle chaudasse, je n’ai jamais vu sa rondelle aussi boursouflée, la bague de mousse qui s’est formée sur ta queue recule de plus en plus
- Bientôt je serai bien calé tout au fond de sa matrice, alors je la sodomiserais
- Écoute là gémir
- T’inquiète, elle ne souffre pas ! par contre demain elle sera courbaturée, elle marchera écarté !
- Tu me prendras après ?????