Titre de l'histoire érotique : Alice et la pendaison de crémaillère.

- Par l'auteur HDS Le Matou libertin -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Alice et la pendaison de crémaillère. Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2017 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Alice et la pendaison de crémaillère.
Mon matou chéri.

Comme tu le sais, je viens de déménager pour avoir un logement un peu plus grand que le studio dans lequel je vivais avec mon copain Tony et que tu connais.
Je te l’avais dit avant que tu partes en vacances (lâcheur, tu as choisi d’autres lieux que les Pyrénées atlantique alors que tu aurais pu revenir y passer au moins une semaine).

Depuis le début juillet, nous sommes donc dans un appartement au dernier étage d’un immeuble qui nous permet de voir l’Océan dans le lointain et les montagnes sur notre gauche. Ce qui est génial, c’est la grande terrasse qui me permet de bronzer toute nue sans être épiée par des voisins curieux.

J’ai désormais une vraie chambre avec un grand lit à baldaquin dans lequel je fais plein de coquineries avec mon copain et où je me prélasse le matin dès que Tony est parti au travail.
Dès que toutes nos affaires ont été rangées, j’ai repris mes exhibitions sur le site coquin sur lequel nous nous sommes rencontrés il y a maintenant plus de quatre ans.
Que le temps passe ! J’ai désormais un cadre beaucoup plus agréable qui me permet de diversifier un peu mes « prestations érotico-comiques » que tu connais : J’ai toujours adoré faire le pitre, tu le sais !

Pour remercier Ludo, le copain de Tony qui nous a aidés dans le déménagement, nous étions tombés d’accord pour aller diner dans un cabaret spectacle situé entre Bayonne et Dax : çà s’appelle « Les années boum ».
Après un bon diner pas trop copieux cependant, nous pouvions danser entre les numéros du spectacle. Cela me faisait du bien de danser avec Tony et je voulais en profiter au maximum car nous sortons assez rarement dans ce genre d’établissement et ses absences pour le boulot sont fréquentes (N’en as-tu pas profité grand coquin ?).

Comme Ludo était seul, j’ai dansé un peu avec lui et je dois avouer que si je me sentais bien dans les bras de Tony, Ludo n’était pas sans me faire de l’effet.
Cela s’est confirmé lorsque le D.J. a mis une série de slows après quelques paso-doble. Ludo me tenait fermement dans ses bras et de sa cuisse il cherchait le contact entre les miennes si bien qu’en plus de la chaleur de la salle, j’avais chaud la minette… à sentir son sexe collé contre mon ventre.
Soudain Tony est arrivé derrière moi et nous a enlacé tous les deux. J’étais prise entre ces deux hommes virils.
Nous avons continué à danser ainsi tous les trois.
Au travers du tissu de ma robe courte, je sentais la bite de Tony dans la raie de mes fesses. C’est vrai qu’en dehors de la robe arrivant à mi cuisse et un string des plus réduits, comme d’habitude, je ne portais rien d’autre.

Après le dernier numéro du spectacle, nous sommes rentrés à Bayonne et nous nous sommes retrouvés tous les trois dans ce nouvel appartement. Là j’ai ouvert la bouteille de champagne qui attendait au réfrigérateur. Cela a achevé de nous échauffer les sens. Alors que je passais à côté de Tony pour refaire le service, il s’est levé et m’a enlacé pour m’embrasser. Ce coquin a fait remonter ma robe et découvert mes fesses barrées par le cordon du string. Je tournais le dos à Ludo si bien que je ne l’ai pas vu s’approcher pour plaquer ses mains sur mes fesses et sentir son souffle dans ma raie.

Bientôt ce sont quatre mains qui ont saisi du bas de ma robe et elle est passée par-dessus ma tête, me laissant presque nue, encore perchée sur mes hauts talons, à la merci des deux hommes.
Les tétons de mes seins sont dressés tant je suis excitée à l’idée de ce qui m’attend : Tony vient de me dire tout bas que c’est l’occasion de m’offrir la double pénétration dont je rêve depuis longtemps. Je lui en avais parlé lorsque nous nous sommes retrouvés seuls après avoir fait l’amour à ma copine la factrice et ce soir, cela lui paraissait la nuit propice.

Je suis partante bien évidemment ! Toujours friande d’expériences nouvelles, je vais enfin savoir ce que je ressentirai à être pénétrée en même temps par deux hommes. Pour autant que j’aie pu m’en rendre compte lorsque je dansais avec Ludo, il devait avoir un sexe de bonne taille. J’allais me régaler avec deux hommes virils, dans la pleine possession de leurs moyens de jeunes trentenaires.

Je ne remercierai jamais assez Tony de me laisser libre d’assouvir mes fortes pulsions sexuelles quand j’en ai envie : les seules règles qu’il m’a fixées :
- ne pas accepter d’attache sentimentale,
- rien que du sexe, du sexe protégé,
- et lui raconter mes frasques coquines.
De son côté, il est libre de baiser dans les mêmes conditions et il ne s’en prive pas. C’est d’ailleurs assez curieux de découvrir combien certaines femmes sont prêtes à s’allonger ou faire une gâterie à l’artisan qui viendra superviser des travaux dans leur maison.

Ludo fait glisser mon string les long de mes jambes et le glisse dans sa poche de jean en disant « Souvenir ! ».
Baissé derrière moi, il embrasse de baisers humides mes petites fesses, bien rondes cependant et déjà bronzées par le soleil printanier. Il les écarte doucement et je sens à nouveau son souffle chaud dans ma raie culière. Humm ! Que c’est doux cette caresse !
Pendant ce temps Tony triture doucement les bourgeons de mes seins pour bien m’exciter et les faire saillir encore plus. Quand je suis bien excitée comme ce soir, ils ont facilement le volume d’une cerise. Puis il descend vers la fourche intime et bien débusquer de son capuchon mon bouton d’amour. Mon Matou chéri, je ne te dis pas comment ma chatte est inondée : je ruissèle littéralement.
Puis les deux garçons changent de côté après s’être dévêtus. Tony passe derrière moi et Ludo vient honorer mes petits seins de sa bouche, enduisant les tétons de salive et les faisant rouler avec le bout de sa langue.
Ce coquin sait y faire. Je sens la bite de Tony se glisser entre mes cuisses et chercher l’entrée de ma chatte mais il se contente de se frotter dans mon entrejambes. Tout doucement, ils me guident vers la chambre où le grand lit nous attend.

Tony se couche sur le dos en travers de ce lit que tu connais désormais pour l’avoir découvert il y a quelques jours en vidéo. Il me tend les bras en me disant :
• Mets toi d’abord en 69 au dessus de moi, je vais t’injecter du gel lubrifiant de ton p’titrou ensuite tu te mettras en amazone en me tournant le dos pour que je plante ma bite dans ton anneau plissé.

Aussitôt dit, aussitôt fait ! Dès que la bite de Tony est en moi, je commence les mouvements de bas en haut sut ce bâton noueux puissant et long. Quand je suis bien en place, Tony couche mon dos sur son buste offrant ainsi ma chatte à l’envie de Ludo. En tendant une main pour attraper sa bite, je l’attire vers moi :
• Viens dans ma chatte, baise-moi bien fort.

Il glisse entre mes cuisses en appui sur ses bras. Je guide sa queue pour qu’elle pénètre en moi. Waouh, quel engin, nettement plus gros que celui de Tony mais plus trapu. Heureusement que Tony a choisi mon cul car celle-là, j’aurais eu du mal à la faire entrer même avec du gel, mais comme je suis particulièrement lubrifiée d’excitation, il entre facilement jusqu’à la garde.
Soudain, je sens les poils drus de son pubis contre le mien, totalement dépourvu de pilosité depuis bien longtemps…
Ludo fait quelques mouvements de va-et-vient pour trouver la meilleure position et il s’accorde avec Tony pour aller et venir alternativement dans mes orifices.
Waouh ! Que c’est bon ! Çà n’a rien à voir avec une double pénétration avec un gode !
C’est vraiment le pied de sentir ces deux beaux membres vivre et coulisser en moi.
Pour me maintenir dans cette position, Tony me maintient sur lui, les deux mains posées sur mes seins, faisant rouler les tétons entre ses doigts.
Je suis tellement excitée que je mouille de plus en plus, j’ai même l’impression que je mouille aussi du sphincter !
Que c’est bon aussi de sentir ces deux membres coulisser l’un contre l’autre, tout juste séparés par une mince membrane…

Mes deux amants me baisent longuement, lentement, prenant leur temps pour savourer autant que moi ces instants merveilleux où à trois, nous ne faisons plus qu’un, tendu vers la jouissance ultime qui nous emportera.
Je les soupçonne de retenir leur plaisir au point que je pars seule une première fois dans une jouissance qui me tétanise lorsque j’exprime mon bonheur dans un râle sourd.
Tony et Ludo restent quelques instants immobiles, toujours fichés au plus profond de moi.
Peu à peu je reprends mon souffle.
Puis ils recommencent le coït, beaucoup plus rapide, Ludo sort à chaque fois de ma chatte et me reprend d’une longue poussée qui immanquablement fait sortir à moitié la bite de Tony de mon p’titrou.
Une nouvelle fois, je sens la jouissance monter dans mes entrailles et au moment où Ludo envoie quelques bonnes giclées de sperme au fond de ma chatte, je jouis à mon tour, entrainant Tony qui m’emplit le cul de son sperme. Que c’est bon de sentir ce jaillissement chaud et humide directement au fond de ses orifices. Cela n’a rien à voir avec les rapports protégés que j’impose à mes amants de passage.

Toujours imbriqués l’un dans l’autre, nous retrouvons notre souffle et notre calme. Mes deux jouissances, aussi différente l’une de l’autre, m’ont littéralement déchiré les entrailles d’où partaient des frissons montant jusqu’à ma nuque.

Ludo et Tony m’ont encore fait l’amour une fois chacun dans des positions différentes puis nous nous sommes écroulés entre les draps, Ludo à ma droite, Tony à ma gauche alors que je jouais distraitement avec leur bite flasque, n’en pouvant plus l’un et l’autre alors que j’étais repue de plaisir.

Voila comment nous avons pendu la crémaillère de notre nouvel appartement. Entre le diner-spectacle et la partie de sexe à trois, c’est un souvenir à conserver.

Je t’embrasse tout partout mon beau chat !
Alice.

PS. Je me languis de tes caresses… que j’aime sentir ta barbe frôler la peau douce entre mes cuisses quand tu te prépares pour un cunni comme tu sais si bien les faire….

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Histoire sexe : Une rose rouge
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