Titre de l'histoire érotique : Chaussures à son pied...

- Par l'auteur HDS Le Matou libertin -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Chaussures à son pied... Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-04-2017 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Titre de l'histoire érotique : Chaussures à son pied...
(Cette histoire m’a été inspirée par une amie facebookienne qui, venue de Province à Paris, avait fait une razzia dans les boutiques lors de soldes de janvier).



Après les folies des Fêtes de fin d’année au cours desquelles j’avais quelque peu abusé de la bonne chair et du champagne, j’étais restée à Paris pour quelques jours et profiter des soldes afin de renouveler un peu ma garde robe pourtant déjà bien garnie et acheter quelques paires de chaussures chez des grands spécialistes que l’on ne trouve pas en province. Je m’étais organisée en faisant quelques repérages pour savoir ce que j’achèterais…

Le premier jour, je me suis rendue sur les grands boulevards pour trouver des petites tenues pas chères (enfin, quand même quelques dizaines d’euros chacune) pour tous les jours… Ce n’est pas parce qu’on travaille à la maison devant son ordinateur qu’il ne faut pas être à son avantage… on ne sait jamais quelle visite on va avoir…

Après des essayages rapides en cabine, dès mon retour à l’hôtel, j’ai essayé longuement ces nouvelles tenues, des robes, des ensembles jupe et chemisier ou sweatshirt en réfléchissant aux chaussures que je pourrais assortir ou acheter dès le lendemain.

Après une nuit plutôt agitée dans un club de l’avenue Foch, je n’étais guère encline à me lever de bonne heure aussi est-ce en début d’après midi que j’ai commencé à écumer les chausseurs du secteur des Champs Elysées… mais finalement je ne trouvais rien de particulièrement intéressant…
Il est vrai que je cherchais des choses bien précises… mais totalement différentes de ce qui m’était proposé. Finalement, j’ai hélé un taxi qui m’a déposé rue du Faubourg Saint Honoré où je savais trouver un chausseur réputé pour ses produits… et l’ambiance feutrée et luxueuse de ses boutiques…

Dès l’entrée, j’ai été accueilli par un bel homme qui m’a demandé quel genre de chaussures je cherchais. Grand et les épaules larges, je crois plutôt qu’il était là pour assurer la sécurité mais, comme toutes les vendeuses étaient déjà occupées avec des clientes, il s’est servi d’un interphone en disant :
• Tatiana, venez, nous avons besoin de vous en renfort.

Avec un nom pareil, je m’attendais à voir arriver une blonde slave avec des cheveux noués en tresses… mais c’est une noire sculpturale qui s’est présentée… Aussi grande que moi, c'est-à-dire près du mètre quatre vingt, elle avait de longs cheveux ondulés avec des reflets roux noués en queue de cheval… et un regard de biche accentué par un maquillage discret…

J’ai pensé en moi-même que c’était vraiment une belle plante… Mais ce qui m’a attiré ce sont ses lèvres pulpeuses, très légèrement négroïdes et une somptueuse poitrine moulée dans un caraco de couleur mordorée qui laissait apercevoir discrètement l’amorce de la vallée séparant les seins. La taille prise dans une large ceinture de cuir souple s’évasait ensuite sur des hanches larges comme pour les souligner. Une jupe de lainage, assez courte et des bottines à petits talons complétaient sa tenue. D’ailleurs toutes les vendeuses étaient habillées très élégamment… Normal dans ce quartier.

J’ai expliqué à Tatiana ce que je cherchais et peu de temps après, elle est revenue de la réserve les bras chargés de cartons aux formes multiples… La première série d’essayage a porté principalement sur des chaussures à talons hauts et fins, très découpées puis je suis passée aux chaussures sans talon ou presque… avec ma stature, j’aime aussi porter des chaussures plus confortables.

La suite des essayages a été consacrée aux bottes… Je cherchais une paire chaude qui s’arrêterait sous le genou pour la fin de l’hiver et une autre, disons plus sexy, genre cuissardes qui gainerait mes longues jambes pour ne laisser qu’une bande étroite de peau nue sous une courte jupe ou un short…

Tout au long de ces essayages, j’ai bavardé avec Tatiana comme si c’était une amie de toujours… échangeant force confidences et anecdotes diverses… Quand elle s’asseyait face à moi sur le marchepied, il lui arrivait de se pencher plus qu’il ne fallait et je sentais son parfum épicé monter jusqu’à mes narines et mon regard plongeait entre ses seins, elle faisait crisser ses bas en ouvrant et refermant ses cuisses rondes… et je n’étais pas insensible à ses jeux de séduction… Etant sur la même longueur d’ondes, j’ouvrais largement mes jambes lorsqu’il s’agissait d’enfiler une paire de chaussures.

Selon mon habitude, je ne portais ni string, ni culotte, au point que je sentais ma vulve s’humidifier d’envie… et Tatiana ne pouvait ignorer que j’étais nue à cet endroit… complètement nue, puisqu’il y a bien longtemps que je n’ai plus de toison pubienne ! Je pensais en moi-même que j’étais décidément une fieffée coquine… Après une soirée passée en club échangiste où pendant plus d’une heure je m’étais retrouvée prise en sandwich entre la femme avec qui j’étais en 6 9 sur le podium central alors que l’homme me sodomisait à longs traits au point de me faire délirer de bonheur, voila que j’avais à nouveau envie d’une étreinte saphique… mais comment faire ??? Je pense que Tatiana avait été allumée par mon manège car lorsque je suis passée à la caisse, elle a proposé de livrer mes achats à l’hôtel…

C’est vrai que j’avais frappé fort ! Deux paires de bottes, une paire de ballerines et trois paires d’escarpins, cela faisait beaucoup… Aïe mon compte en banque !!!

Vers 20 heures, nous nous sommes retrouvées au bar de cet hôtel proche de la gare Montparnasse où je descends chaque fois que je séjourne quelques jours à Paris pour les rendez vous professionnels avec mon éditeur ou pour des séances de dédicaces dans cette librairie du Chemin Vert que beaucoup connaissent.

Pour être plus à l’aise, nous sommes montées dans ma chambre où j’avais fait livrer un petit encas et une demi-bouteille de champagne pendant que nous bavardions au bar… Je savais comment la soirée allait se terminer car dès que nous sommes entrées dans l’ascenseur, nous nous sommes enlacées et Tatiana a pris ma bouche dans un baiser lascif, nous livrant à une joute buccale jusqu’à en perdre le souffle. Et cela s’est poursuivi dans la chambre. J’avais tellement envie de cette fille que je ne sais plus qui a fait la conquête de l’autre…

Nos pubis collés l’un contre l’autre, les bras passés autour des reins, nous nous sommes mises à onduler de hanches, nous frottant l’une contre l’autre… Pendant que Tatiana faisait passer mon sweatshirt par dessus ma tête, j’ai dénoué les cordons de son caraco qui a glissé jusqu’au sol, découvrant son opulente poitrine emprisonnée dans un soutien gorge de couleur ivoire. Nos jupes courtes n’ont pas tardé à glisser à leur tour pour se retrouver sur le tapis…

Nous étions désormais presque nues, Tatiana portait, assorti au soutien gorge, un serre taille qui maintenait ses bas clairs et un string vraiment très réduit qui masquait sa toison pubienne. De mon côté, j’étais aussi en sous-vêtements de couleur turquoise qui allaient bien à mon teint de fille rousse… car depuis mon retour à l’hôtel, j’avais eu le temps d’enfiler un shorty… Mes bas tenaient seuls sur mes cuisses, retenus par une bande de dentelle élastiquée. Je ne me lassais pas de caresser les hanches et la poitrine de Tatiana qui en faisait autant avec la mienne…

Bientôt nous avons pu comparer nos seins nus… Ceux de Tatiana étaient effectivement de belle taille, très fermes et pointus avec des tétons quelque peu proéminents que je me suis empressée d’aller titiller de ma bouche. J’avais sous mes lèvres et dans mes narines ce parfum épicé que j’avais déjà remarqué dans le magasin… Là, il est un peu plus marqué, avec un mélange subtil de sueur qui me faisait frémir…

Ma compagne de jeux n’est pas en reste… Elle se laisse glisser à mes pieds, soudain je sens son souffle chaud dans ma fourche intime… Elle souffle de plus en plus fort puis descends mon shorty de dentelle qui rejoint le reste de nos vêtements…
Elle continue de souffler ainsi quelques temps avant de poser ses lèvres et d’aspirer mon clitoris et de le faire rouler entre ses lèvres…
Je défaille tant cette caresse est forte et sensuelle… Je suis de plus en plus humide et j’en veux plus encore… Je relève Tatiana et je la pousse doucement vers le lit où je la couche en travers, ses pieds encore posés sur le tapis…

C’est à mon tour d’aller chercher dans sa fourche intime que je découvre en faisant glisser le string. Une toison disciplinée en ticket de métro, très drue et un peu rêche domine le capuchon du bourgeon que je m’empresse de débusquer du bout d’une langue inquisitrice…
Oh ce parfum suave et épicé à la fois… J’emplis mes narines et m’en délecte… Je lèche quelques temps cette fente qui s’humidifie de plus en plus, suintant d’un nectar que je cueille du bout de la langue pendant que Tatiana m’encourage :
• Ooohhh Ouiii ! C’est booon, continuuueee !
• Ne t’inquiète pas, belle fille des Iles, je vais t’en donner du plaisir !

A ce stade, je dois avouer, et je pense que vous l’avez compris, que je suis totalement bisexuelle… Au cours d’une soirée coquine, je peux aussi bien commencer par me livrer à un ou deux hommes en même temps ou à un couple comme je l’ai fait la veille et finir en goûtant la douceur d’une fille avec laquelle je partage mes caresses…
A trente cinq ans passés, je ne compte plus les amants d’une soirée ou d’un weekend, quant aux filles j’ai partagé mes étreintes avec tous les genres, plus âgées ou plus jeunes que moi comme ce soir… Des blanches, des métisses arabes ou asiatiques mais jamais encore une noire pure race comme Tatiana… Originaire de Martinique m’a-t’elle dit, elle a vécu jusqu’à présent en Guyane d’où elle est arrivée en Métropole pour achever ses études de marketing. C’est à ce moment que je me relève pour aller chercher un de mes jouets sexuels qui m’accompagne en voyage, un beau gode vibrant couleur chair, fortement veiné avec un gland mafflu qui tourne quand on actionne le mécanisme…
• Regarde ce que j’ai pour toi !
• Ooohhh Ooouuuiii ! J’ai envie de l’avoir en moi !

Je m’amuse quelques temps à faire coulisser le gland factice entre les lèvres intimes de Tatiana puis, lentement j’introduis ce membre de latex au plus profond de son sexe avant de mettre en route le mécanisme vibrant…
• Ooouuuiii ! Baise-moi ! C’est si bon !

Je ne me fais pas prier pour faire aller et venir le gode dans le sexe de Tatiana… qui exprime son plaisir et sa jouissance de plus en plus ouvertement et finalement, dans un grand cri libérateur, un spasme l’emporte… dans une série de mouvements désordonnés. Pour retrouver un peu de calme, nous nous allongeons, enlacées sur le lit…
Ce ne sont qu’embrassades, caresses légères, mains dans les cheveux dénoués qui s’étalent autour de notre tête…
L’instant divin où l’on savoure le plaisir qui a déferlé… Je n’ai pas joui, et alors !!! J’ai pris beaucoup de plaisir à en donner à Tatiana et je pense que la soirée n’est pas terminée… car nous évoquons notre vie amoureuse, non pas au plan des sentiments, mais plus au niveau sexuel…

C’est ainsi que j’évoque la période où j’étais en Fac de lettres… Je n’étais plus une oie blanche depuis longtemps, mais c’est au cours de ces années que j’ai découvert la pluralité, passant d’une étreinte virile à la douceur des bras d’une fille, aux relations multiples au cours de la même soirée où plusieurs garçons me baisaient à la file…
Tatiana n’a pas connu cela bien qu’elle ait commencé de très bonne heure avec les garçons puisqu’elle avoue avoir perdu son pucelage à 13 ans avec le frère d’une de ses copines… quelques peu plus âgé qu’elle…
Selon elle, pour les filles de sa race, c’était normal de perdre sa virginité de bonne heure car elles ont la puberté précoce !
Les relations avec les garçons se limitèrent à quelques coups de temps à autre car elle voulait étudier et ne pensait pas à s’amuser…
Elle n’avait découvert l’amour saphique que tout récemment et tout comme moi, elle appréciait la douceur de ces étreintes de filles…
Les caresses échangées et toutes ces confidences nous ont passablement échauffé les sens et nous recommençons des échanges plus intimes…

Tatiana me dit apprécier ma petite poitrine (des bonnets B bien galbés) en disant que le sienne la gène parfois, surtout quand des garçons la dévisagent puis laissent glisser leur regard vers ses seins opulents… Ses lèvres agacent mes tétons puis descendent jusqu’au nombril puis, plus bas encore, elles vont ouvrir les nymphes qui cachent mon bourgeon d’amour… Tatiana se met en 69 au dessus de moi et entreprend de lécher consciencieusement mon sexe qui coule de plus en plus…
Elle fait coulisser un doigt puis deux dans le vagin qui s’ouvre… Puis elle saisit le gode qui était resté sur les draps…
• A toi maintenant, je vais te faire crier de plaisir !
• Oui, j’ai envie de cette bite factice au plus profond de moi, vas-y, fais moi l’amour !

Il ne me faut pas longtemps pour que Tatiana m’emmène au septième ciel tant je suis excitée… En plus pendant tout le temps où elle me prenait, j’avais la vision de son sexe qui palpitait au dessus de mon visage si bien qu’au moment où la jouissance a déferlé en moi, je plaquai ma bouche sur cette bouche intime pour étouffer mes cris de plaisir…

Voila comment un après midi de shopping s’est terminé par une soirée de baise lesbienne…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
April 27, 2017. Joliment écrit et donnant une envie de me caresser, c'est ainsi que John La Semelle a vécu ce récit.

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c'est très excitant



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : Chaussures à son pied...
Histoire sexe : Une rose rouge
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