Titre de l'histoire érotique : D'astreinte...
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-10-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : D'astreinte...
Dépucelée a seize ans par le beau Joël chez les parents de Noémie, en leur absence, mais en présence de ma meilleure copine, ma confidente, ma complice de caresses très osées, je ne sais pas comment je me suis trouvée allongée les jambes pendantes sur la table de la cuisine pour être précise, je n’ai pas refusé lorsqu’il a fait glisser ma petite culotte... légère brulure et forte jouissance
J’ai rompu aussitôt car ce Joël n’était pas un exemple de fidélité, partagée entre l’envie de devenir nonne ou … pute !
Finalement je me suis réfugiée derrière mes étude chez mes parents, une fois mon bac reçu avec mention j’ai soufflé un peu, c’est là que j’ai rencontré Franck de deux ans mon ainé, amoureux, prévoyant, je suis heureuse avec lui et chez lui pour fuir la ‘tyrannie’ des parents ! je rigole ils sont super mes vieux, mais je veux être entièrement libre comme je l’ai expliqué à Franck qui partage mes idées
Sexuellement je peux dire qu’il est au top, d’ailleurs ce samedi matin, comme toutes les semaines nous flemmardons au lit, j’aime quand sa main s’aventure par derrière entre mes fesses a la recherche de ma fente encore ensommeillée, je remonte une cuisse afin de lui laisser l’accès à mon petit paradis, lorsqu’il m’a bien doigtée et que son index et son majeur sont bien englués je l’entend humer ma sève, satisfait il se positionne a moitié couché sur moi sa verge connait bien le chemin et me pénètre délicieusement, il me fait l’amour lentement, doucement , généralement nous jouissons dans un ensemble parfait
C’est ce qui vient de se passer, allongés cote à cote nous reprenons nos esprit avant une nouvelle joute amoureuse plus virile cette fois ce qui me fera passer une excellente journée ! ma chatte recrache lentement sa purée, par précaution pour les draps je maintient mes lèvres collées, ce qui n’empêchera pas au foutre de s’échapper quand il enfoncera à nouveau sa queue dans mon ventre tout à l’heure !
Je viens de poser ma main sur sa bite qui reprend lentement de la vigueur, je vais encore y passer d’ici peu ! mais …hélas une sonnerie connue met fin à mes illusions
- MERDE !! putain de téléphone !
- Ne répond pas chéri, restons encore au lit
- Sauf que je suis d’astreinte ce weekend, si je veux garder mon job je dois absolument répondre …. Allo ? oui … vos frigos ne tournent plus ? ah …bon, OK j’arrive au plus vite
- C’est quoi ?
- Les frigos du restaurant de la plage à Royan sont en pannes, si je ne les dépanne pas en urgence c’est la cata pour eux
- Tu reviens aussitôt ?
- Hélas j’ai quarante kilomètres à faire en circulation estivale, et une fois dépanné je dois rester quelques heures sur place pour m’assurer que tout fonctionne bien, ne compte sur moi que ce soir tard
- Aaaaaaahhhhhh zuuuuuutt ! qu’est-ce que je vais faire ? en plus je n’ai pas eue ma deuxième dose d’amour !
- Que veux-tu que je te dise, tu sais ce que nous avons convenus ? chacun sa liberté, fais-toi inviter chez une copine ? ou un copain ? !!
- Ou un copain …évidement bien sûr !
- A ce soir chérie, je te promets une soirée d’enfer !
- Ah bon ? alors à ce soir Franck chéri
Une fois seule il me reste un gout amer d’insatisfaction, sous la douche dès que mes doigts effleurent ma chatte elle semble crier au scandale, il lui manque quelque chose, mon clitoris encore exacerbé renonce à réintégrer son capuchon, me faire inviter dit-il ? où ? par qui ? surtout un samedi … a moins que ? Noémie ?
- Allo Noémie ? c’est Audrey
- Audrey ? quelle surprise, que devient-tu ?
- Boff couci-couça
- Ah … toujours avec Franck ?
- Toujours
- Toi, si tu m’appelle c’est que quelque chose ne va pas
- Si-si-si tout va bien, c'est-à-dire qu’aujourd’hui je suis seule et je me demandais ….
- Si tu pouvais venir me voir ?
- C’est exactement ça !
- Y’a pas de soucis, mes parents ne sont pas là … a part que je ne suis pas seule
- Dans ce cas je ne veux pas te déranger …
- Tu viens, un point c’est tout ! de toute façon tu ‘le’ connais
- Ah ?
- Je ne t’en dis pas plus, arrive vite
Je lui fais confiance, ses amis sont fréquentables alors je ne vais pas me gêner avec elle, et puis elle a le droit d’avoir un petit ami , tant pis pour leur intimité j’ai trop besoin de voir quelqu’un , pas de frais inutile de toilette ,j’ai remis des fringues que Franck n’aime pas, trop court, trop vulgaire que je portais il y a trois ans… j’ai même failli oublier la petite culotte ! cinq minutes plus tard je sonne à sa porte, bizarrement elle met un temps fou à ouvrir
- Excuse moi j’étais occupée !
- Huuummm, rouge, décoiffée, yeux gonflés ne m’en dis pas plus, et tu te ballade avec ‘sa’ chemise ? tu as quelque chose dessous ?
- Je n’ai pas eu le temps de chercher mes fringues, entre vite je n’ai pas de culotte ! allons à la cuisine
- Embrasse-moi au moins !
- Muuuummmm !
J’ai eu un choc étrange lorsque j’ai approché mon nez de cette chemise … le même parfum que portait Joël ? non ……c’n’est pas possible ? elle et lui ?
- Qu’y-a-t-il chérie ?
- Ce parfum …je le reconnaitrais entre mille
- Ahhhh … tu as deviné, c’est bien Joël qui est ici, ça te choque ?
- Boh ? je suis passée à autre chose, c’est du passé pour moi, où est-il ?
- A la salle de bain, il va partir
- Vous baisiez ?
- On ne peut rien te cacher !
- Et … sur cette table ? sur ‘la’ table ? à moins que cette tache ne soit due à un verre renversé ?
- Zut, je comprends ce que tu veux dire, c’est ici que …
- Qu’il m’a dépucelée ! hé oui, que de souvenirs …bon, parlons de toi
- Tu es drôlement sexy dis donc
- Et toi ? tu ne t’es pas encore lavée ?
- Pas eu le temps !
- Je peux toucher ?
- Que ?
- Il va partir dis-tu ? ce matin Franck est parti avant de m’avoir totalement satisfaite, je suis en manque
- Alors touche-moi comme autrefois chérie !!
- Assied toi comme tu étais il y a cinq minutes
- Là, ici, j’étais comme ça au milieu de la table...
- Mmmmuuuuuummmmmmm…la chatte encore ouverte, pleine de sa sauce !
- Ouuuuiiiiiii enfonce tes doigts, écarte les cuisses Audrey je vais t’en faire autant
- Vas-y, j’ai le clito qui me démange …
Ça me ramène a quelques années, je n’avais pas eu l’occasion de goûter au sperme de mon premier amant et me souviens l’avoir regretté… c’est l’occasion ou jamais, je me plie en deux pour venir butiner ma copine qui se laisse aller en arrière, cuisses relevées, impudique, y’a de quoi me rassasier, Joël était généreux en quantité de sperme, Noémie guide ma tête en poussant de petits cris, soudain j’ai tout de suite reconnu les deux mains qui remontent sur mes cuisses… Joël, ça ne peut être que lui, mon slip glisse lentement sur mes fesses …. Exactement comme le jour où j’ai perdu ma virginité, une fois tombé sur mes chevilles il m’en débarrasse complètement, un coup de pied sur mon talon me fait comprendre que je dois m’ouvrir, j’obtempère volontiers, le plat de sa main ouvre mon calice saturé de cyprine, il grogne de satisfaction, aussitôt c’est son souffle brulant et son nez que je sens entre mes fesses, je me plie autant que je peux afin de sentir au mieux sa langue dans ma moule
- Mais que fais-tu Audrey ? tu ne me bouffe plus la chatte ? aaaaaaaaaahhhh ! je comprends mieux ! attendez, je vous laisse le coin de table !
- Assied toi sur la table Audrey, comme il y a trois ans, tu es toujours aussi belle, hhhuuuummmm, tu sens toujours aussi bon
- Lèche-moi….
- Je vous laisse les tourtereaux ?
- Reste, regarde le me baiser Noémie
- Comme le jour de son dépucelage !
Les yeux dans les yeux il tapote ma vulve avec sa queue bandée à l’ extrême, je l’enlace de mes jambes pour l’attirer au plus près de ma chatte, d’un mouvement expert il fend mes lèvres de son gland violacé qui disparait d’un seul coup de rein viril, cette fois ci pas de brulure, rien que du bonheur, j’y réponds par des contractions de mes muscles vaginaux qui provoque une série de réactions énergiques de sa verge dans mon con enfin récompensé , des ondes bienfaitrices montent rapidement jusqu'à l’explosion finale, Joël vient de me faire jouir une deuxième fois en trois ans !
Dans la confusion j’entends ma copine se lamenter pour de nouvelles auréoles qui s’élargissent sur la nappe
- Mais ? c’est quoi ce sang ? ma pauvre nappe ! que va dire ma mère ? je croyais que tu l’avais dépucelée il y a trois ans ?
- J’ai l’impression que j’ai déclenché ses ours ! elle était à cran lorsqu’elle est arrivée ?
- Une furieuse envie de baiser !
- Oui j’ai envie ! baise-moi encore ! fais-moi éclater la moule
- Es-tu vierge du cul ?
- Oouuuuuuuuiiiiiiiii !
- Pose tes jambes sur mes épaules, je vais changer de trou
- NON ! NON ! aaaiiiiiiiieee… tape moi dans l’anus plus fort ! plus loin !
- Quelle chienne ! elle va te vider les couilles ?
- T’inquiète, il t’en restera
Le cul levé comme une chatte en chaleur j’attends qu’il trouve le centre de ma cible plissée de son gland poisseux, mes chairs se distendent sous la poussée, j’appréhende le bocage derrière la tête de son nœud, je pousse comme pour faire mes besoins naturels et ses couilles s’écrasent naturellement sur mes fesses, légère attente pour m’habituer à ce corps étranger et me voilà bel et bien sodomisée, Noémie m’aspire un téton et fait rouler l’autre entre ses doigts, comme si ça ne suffisait pas elle laboure également mon clitoris, Joël commente de mots crus et vulgaires notre comportement entre filles
- Désormais vous serez mes deux salopes, je vous veux une fois par mois sur cette table, je vous baiserais à tour de rôle, compris ?
- Oui Joël chéri, je serais disponible pour toi
- Et toi Audrey ?
- OUI !!! je me débrouillerais pour me libérer
- SALOPES !!
J’ai rompu aussitôt car ce Joël n’était pas un exemple de fidélité, partagée entre l’envie de devenir nonne ou … pute !
Finalement je me suis réfugiée derrière mes étude chez mes parents, une fois mon bac reçu avec mention j’ai soufflé un peu, c’est là que j’ai rencontré Franck de deux ans mon ainé, amoureux, prévoyant, je suis heureuse avec lui et chez lui pour fuir la ‘tyrannie’ des parents ! je rigole ils sont super mes vieux, mais je veux être entièrement libre comme je l’ai expliqué à Franck qui partage mes idées
Sexuellement je peux dire qu’il est au top, d’ailleurs ce samedi matin, comme toutes les semaines nous flemmardons au lit, j’aime quand sa main s’aventure par derrière entre mes fesses a la recherche de ma fente encore ensommeillée, je remonte une cuisse afin de lui laisser l’accès à mon petit paradis, lorsqu’il m’a bien doigtée et que son index et son majeur sont bien englués je l’entend humer ma sève, satisfait il se positionne a moitié couché sur moi sa verge connait bien le chemin et me pénètre délicieusement, il me fait l’amour lentement, doucement , généralement nous jouissons dans un ensemble parfait
C’est ce qui vient de se passer, allongés cote à cote nous reprenons nos esprit avant une nouvelle joute amoureuse plus virile cette fois ce qui me fera passer une excellente journée ! ma chatte recrache lentement sa purée, par précaution pour les draps je maintient mes lèvres collées, ce qui n’empêchera pas au foutre de s’échapper quand il enfoncera à nouveau sa queue dans mon ventre tout à l’heure !
Je viens de poser ma main sur sa bite qui reprend lentement de la vigueur, je vais encore y passer d’ici peu ! mais …hélas une sonnerie connue met fin à mes illusions
- MERDE !! putain de téléphone !
- Ne répond pas chéri, restons encore au lit
- Sauf que je suis d’astreinte ce weekend, si je veux garder mon job je dois absolument répondre …. Allo ? oui … vos frigos ne tournent plus ? ah …bon, OK j’arrive au plus vite
- C’est quoi ?
- Les frigos du restaurant de la plage à Royan sont en pannes, si je ne les dépanne pas en urgence c’est la cata pour eux
- Tu reviens aussitôt ?
- Hélas j’ai quarante kilomètres à faire en circulation estivale, et une fois dépanné je dois rester quelques heures sur place pour m’assurer que tout fonctionne bien, ne compte sur moi que ce soir tard
- Aaaaaaahhhhhh zuuuuuutt ! qu’est-ce que je vais faire ? en plus je n’ai pas eue ma deuxième dose d’amour !
- Que veux-tu que je te dise, tu sais ce que nous avons convenus ? chacun sa liberté, fais-toi inviter chez une copine ? ou un copain ? !!
- Ou un copain …évidement bien sûr !
- A ce soir chérie, je te promets une soirée d’enfer !
- Ah bon ? alors à ce soir Franck chéri
Une fois seule il me reste un gout amer d’insatisfaction, sous la douche dès que mes doigts effleurent ma chatte elle semble crier au scandale, il lui manque quelque chose, mon clitoris encore exacerbé renonce à réintégrer son capuchon, me faire inviter dit-il ? où ? par qui ? surtout un samedi … a moins que ? Noémie ?
- Allo Noémie ? c’est Audrey
- Audrey ? quelle surprise, que devient-tu ?
- Boff couci-couça
- Ah … toujours avec Franck ?
- Toujours
- Toi, si tu m’appelle c’est que quelque chose ne va pas
- Si-si-si tout va bien, c'est-à-dire qu’aujourd’hui je suis seule et je me demandais ….
- Si tu pouvais venir me voir ?
- C’est exactement ça !
- Y’a pas de soucis, mes parents ne sont pas là … a part que je ne suis pas seule
- Dans ce cas je ne veux pas te déranger …
- Tu viens, un point c’est tout ! de toute façon tu ‘le’ connais
- Ah ?
- Je ne t’en dis pas plus, arrive vite
Je lui fais confiance, ses amis sont fréquentables alors je ne vais pas me gêner avec elle, et puis elle a le droit d’avoir un petit ami , tant pis pour leur intimité j’ai trop besoin de voir quelqu’un , pas de frais inutile de toilette ,j’ai remis des fringues que Franck n’aime pas, trop court, trop vulgaire que je portais il y a trois ans… j’ai même failli oublier la petite culotte ! cinq minutes plus tard je sonne à sa porte, bizarrement elle met un temps fou à ouvrir
- Excuse moi j’étais occupée !
- Huuummm, rouge, décoiffée, yeux gonflés ne m’en dis pas plus, et tu te ballade avec ‘sa’ chemise ? tu as quelque chose dessous ?
- Je n’ai pas eu le temps de chercher mes fringues, entre vite je n’ai pas de culotte ! allons à la cuisine
- Embrasse-moi au moins !
- Muuuummmm !
J’ai eu un choc étrange lorsque j’ai approché mon nez de cette chemise … le même parfum que portait Joël ? non ……c’n’est pas possible ? elle et lui ?
- Qu’y-a-t-il chérie ?
- Ce parfum …je le reconnaitrais entre mille
- Ahhhh … tu as deviné, c’est bien Joël qui est ici, ça te choque ?
- Boh ? je suis passée à autre chose, c’est du passé pour moi, où est-il ?
- A la salle de bain, il va partir
- Vous baisiez ?
- On ne peut rien te cacher !
- Et … sur cette table ? sur ‘la’ table ? à moins que cette tache ne soit due à un verre renversé ?
- Zut, je comprends ce que tu veux dire, c’est ici que …
- Qu’il m’a dépucelée ! hé oui, que de souvenirs …bon, parlons de toi
- Tu es drôlement sexy dis donc
- Et toi ? tu ne t’es pas encore lavée ?
- Pas eu le temps !
- Je peux toucher ?
- Que ?
- Il va partir dis-tu ? ce matin Franck est parti avant de m’avoir totalement satisfaite, je suis en manque
- Alors touche-moi comme autrefois chérie !!
- Assied toi comme tu étais il y a cinq minutes
- Là, ici, j’étais comme ça au milieu de la table...
- Mmmmuuuuuummmmmmm…la chatte encore ouverte, pleine de sa sauce !
- Ouuuuiiiiiii enfonce tes doigts, écarte les cuisses Audrey je vais t’en faire autant
- Vas-y, j’ai le clito qui me démange …
Ça me ramène a quelques années, je n’avais pas eu l’occasion de goûter au sperme de mon premier amant et me souviens l’avoir regretté… c’est l’occasion ou jamais, je me plie en deux pour venir butiner ma copine qui se laisse aller en arrière, cuisses relevées, impudique, y’a de quoi me rassasier, Joël était généreux en quantité de sperme, Noémie guide ma tête en poussant de petits cris, soudain j’ai tout de suite reconnu les deux mains qui remontent sur mes cuisses… Joël, ça ne peut être que lui, mon slip glisse lentement sur mes fesses …. Exactement comme le jour où j’ai perdu ma virginité, une fois tombé sur mes chevilles il m’en débarrasse complètement, un coup de pied sur mon talon me fait comprendre que je dois m’ouvrir, j’obtempère volontiers, le plat de sa main ouvre mon calice saturé de cyprine, il grogne de satisfaction, aussitôt c’est son souffle brulant et son nez que je sens entre mes fesses, je me plie autant que je peux afin de sentir au mieux sa langue dans ma moule
- Mais que fais-tu Audrey ? tu ne me bouffe plus la chatte ? aaaaaaaaaahhhh ! je comprends mieux ! attendez, je vous laisse le coin de table !
- Assied toi sur la table Audrey, comme il y a trois ans, tu es toujours aussi belle, hhhuuuummmm, tu sens toujours aussi bon
- Lèche-moi….
- Je vous laisse les tourtereaux ?
- Reste, regarde le me baiser Noémie
- Comme le jour de son dépucelage !
Les yeux dans les yeux il tapote ma vulve avec sa queue bandée à l’ extrême, je l’enlace de mes jambes pour l’attirer au plus près de ma chatte, d’un mouvement expert il fend mes lèvres de son gland violacé qui disparait d’un seul coup de rein viril, cette fois ci pas de brulure, rien que du bonheur, j’y réponds par des contractions de mes muscles vaginaux qui provoque une série de réactions énergiques de sa verge dans mon con enfin récompensé , des ondes bienfaitrices montent rapidement jusqu'à l’explosion finale, Joël vient de me faire jouir une deuxième fois en trois ans !
Dans la confusion j’entends ma copine se lamenter pour de nouvelles auréoles qui s’élargissent sur la nappe
- Mais ? c’est quoi ce sang ? ma pauvre nappe ! que va dire ma mère ? je croyais que tu l’avais dépucelée il y a trois ans ?
- J’ai l’impression que j’ai déclenché ses ours ! elle était à cran lorsqu’elle est arrivée ?
- Une furieuse envie de baiser !
- Oui j’ai envie ! baise-moi encore ! fais-moi éclater la moule
- Es-tu vierge du cul ?
- Oouuuuuuuuiiiiiiiii !
- Pose tes jambes sur mes épaules, je vais changer de trou
- NON ! NON ! aaaiiiiiiiieee… tape moi dans l’anus plus fort ! plus loin !
- Quelle chienne ! elle va te vider les couilles ?
- T’inquiète, il t’en restera
Le cul levé comme une chatte en chaleur j’attends qu’il trouve le centre de ma cible plissée de son gland poisseux, mes chairs se distendent sous la poussée, j’appréhende le bocage derrière la tête de son nœud, je pousse comme pour faire mes besoins naturels et ses couilles s’écrasent naturellement sur mes fesses, légère attente pour m’habituer à ce corps étranger et me voilà bel et bien sodomisée, Noémie m’aspire un téton et fait rouler l’autre entre ses doigts, comme si ça ne suffisait pas elle laboure également mon clitoris, Joël commente de mots crus et vulgaires notre comportement entre filles
- Désormais vous serez mes deux salopes, je vous veux une fois par mois sur cette table, je vous baiserais à tour de rôle, compris ?
- Oui Joël chéri, je serais disponible pour toi
- Et toi Audrey ?
- OUI !!! je me débrouillerais pour me libérer
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