Titre de l'histoire érotique : Framboise à la plage
Récit érotique écrit par Chriscoquin35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-08-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Framboise à la plage
La suite des aventures de Framboise.
Ce récit a été rédigé à "2 mains" avec une amie libertine qui se reconnaîtra.
Framboise se réveilla doucement ce dimanche. Elle sentit Marc bouger à ses côtés et se lova contre lui, en petite cuillère. "Avez-vous bien dormi Marc ?" "non, pas très bien". "Pouvez-vous me dire pourquoi ? Avez-vous des soucis ? . "Non, c'est juste que que vous ne m'avez pas assez fatigué hier". "est-ce un reproche ?" "non, mon adorée, j'ai bien compris que vous aviez du travail". "je vous promets qu'aujourd'hui je vais vous en donner autant que vous le souhaitez, pour me faire pardonner". "Vous n'avez pas à vous faire pardonner ma mie, mais, comme vous pouvez le constater, puisque vous êtes imbriquée en moi, j'en ai très envie". Framboise le chevaucha un instant, faisant jouer son sexe sur son son clitoris, tandis qu'il caressait ses seins. l'effet fut immédiat et elle s'empala sur le sexe brandi. Ce fut bref mais intense, comme à chaque fois qu'il éprouvaient une irrésistible envie l'un de l'autre. "je vous laisse prendre un peu de repos". Elle quitta la chambre en fermant doucement la porte. Déjà, il dormait. Elle enfila une robe et partit chez le boulanger acheter du pain frais et un assortiment de viennoiseries. A son retour dans l'appartement, elle écouta à travers la porte de leur chambre... A sa respiration lente, elle comprit qu'il dormait encore. Elle prépara un café et passa dans la salle de bains où où elle entra dans cette douche à l'italienne, idéale pour leurs nombreux ébats... Elle ne faisait plus le compte de ces désirs qui les avaient fait se prendre l'un l'autre à même le carrelage, Marc passant le pommeau de la douche sur le sexe de framboise, jusqu'à ce qu'elle demande "pitié"... Elle décida de lui proposer un pique-nique sur la plage du petit bois de Saint amant, sur l'Ile de Ré. Pendant qu'elle consultait ses mails, Marc émergea enfin de la chambre, ses cheveux mi-longs et fournis en bataille, l'oeil un peu hagard, ce qui amusa framboise. "mon beau lion a t'il récupéré en partie de sa mauvaise nuit ? de toute évidence, un café vous fera le plus grand bien" Marc la regarda poser le couvert et accepta, de bonne grâce, pour une fois, de se laisser servir... "oui un peu, ma lionne d'alcôve... Venez sur mes genoux et donnez-moi la becquée". Framboise s'exécuta avec plaisir. Elle adorait prendre soin de lui... Entre eux, c'était devenu un jeu de le faire tour à tour. Elle enleva sa robe et s'assit nue sur lui. Ce petit déjeuner fut l'occasion de jouer à un jeu de bouches dont ils raffolaient. "quel est le programme aujourd'hui, faites-moi une jolie proposition" framboise fit mine de réfléchir "pique-nique sur la plage, où nous niquerons. Nous prendrons un grand plaid que nous glisserons sous nos serviettes de bain".
"hummm, que voilà un programme, je saute sous la douche" Framboise avait préparé un pique-nique léger, la veille au soir, pendant que son amant-ami était dans la salle de bain et elle mit une bouteille de rosé dans un bootle cooler, afin qu'il reste bien frais. Elle mit le repas léger dans la glacière.
Le voyage se passa dans la bonne humeur et l'insouciance. Ils avaient pris la voiture de Framboise et elle conduisait d'une main. L'autre était posée sur la cuisse de Marc. Ses doigts aux ongles vernis d'un joli rose fuchsia glissaient doucement sur la cuisse de son amant à travers le tissu de son bermuda. Après leurs jeux pendant le petit déjeuner, Framboise avait renfilé sa robe restant nue en dessous. Le tissus léger était remonté haut sur ses cuisses et elle sentait l'air doux caresser son sexe lisse, doux et encore humide de leurs dernières frasques. Il se garèrent non loin de la petite plage que framboise connaissait bien. Ils prirent leurs affaires et longèrent un sentier arboré. La belle portait aux pieds une paire de sandales plates à fine semelle. Bientôt l'océan apparut s'offrant à leurs yeux admiratifs. La petite plage était déserte et ils déplièrent un grand plaid sur le sable en bordure du petit bois. Les deux amants s'installèrent sur leurs draps de bain et passèrent de longues minutes à regarder les reflets du soleil sur les vagues animées de l'océan. Framboise saisit les pans de sa robe et la fit passer par-dessus tête. Elle n'était plus vêtue que de la fine chaîne en or brillant à sa cheville. Elle attrapa dans son sac en osier son petit bas de maillot de bain qu'elle enfila. Framboise aimait bien bronzer seins nus mais préférait garder un triangle de peau claire au niveau de son sexe et de ses fesses. C'était une manière pour elle de garder cette zone à l'usage exclusif de son amant, son "jardin convivial" comme elle aimait à le décrire. Elle était allongée sur le dos, appuyée sur ses coudes et Marc commença à l'enduire de crème solaire. Tout doucement ses mains glissèrent sur chaque centimètre de sa peau. Partant des chevilles, ses mains remontèrent sur les jambes puis les cuisses. Tout en étalant bien la crème, les doigts glissèrent à la lisière du maillot de bain et cela fit frémir Framboise. Les mains remontèrent sur le ventre que Marc massa longuement. Ses mains avancèrent de chaque côté des seins puis passèrent entre ceux-ci et remontèrent vers le cou. Il insista sur la nuque, les épaules et les bras. Framboise vibrait et laissait échapper parfois de petits gémissements. Tout en continuant à la masser, Marc approcha sa bouche celle de la belle qui avait fermé les yeux pour profiter des caresses tout en écoutant le murmure de l'océan. Ses lèvres se posèrent doucement et sa langue pointue glissa dans la bouche de Framboise, en en forçant délicatement l'entrée. Il sentit sa langue venir à son devant et elles commencèrent un doux ballet sensuel. La main de Framboise se posa sur l'entrejambe de l'homme et elle toucha son membre déjà dur coincé dans son maillot. Elle jeta un regard circulaire tout en libérant le sexe impétueux qu'elle aimait tant. Marc était à genoux devant la belle toujours accoudée. Ses doigts s'enroulèrent sur la queue, l'attira à elle et sa langue glissa sur le gland, puis sur la hampe et la bouche gourmande goba les bourses chacune leur tour. Marc était un peu inquiet qu'un promeneur ne les surprenne mais la caresse était si douce.
Soudain, la réverbération du soleil sur un objet qui sortait du bois l'interpela. "Framboise, on nous observe depuis le bois"
"j'ai oublié de vous avertir que cet endroit est très prisé des voyeurs et réputé pour cela, j'ai une idée, on va s'amuser et joindre l'utile à l'agréable".
Marc partit dans un fou rire
"Ma chère, vous êtes décidément très coquine et quelque peu vénale, mais j'adore".
Framboise se releva et regarda dans la direction indiquée par Marc. Elle fixa l'homme et lui fit signe d'approcher. Il ne se fit pas prier et les salua.
"vous connaissez la règle ? vous savez qu'il faut payer pour voir et encore plus pour participer"
"oui".
"C'est un plaisir qui se paye cher, très cher"
"mais encore belle dame ?"
"50 euros pour voir, le double pour le reste".
L'homme sortit la somme de la poche de son pantalon qu'il baissa aussitôt. Les amants reprirent leurs caresses et baisers. Il ne fallut pas longtemps à Framboise pour devenir fontaine, sous les caresses de son amant. L'homme "astiquait" son manche avec énergie et le spectacle qui lui était offert le fit jouir et éjaculer en un long râle de plaisir.
"Eh bien dites donc vous en aviez sacrément envie pour venir aussi vite" lui dit framboise dans un joli sourire. Elle renchérit :
"pour le prix que vous avez payé vous avez le droit de rester encore et je veux vous voir bander à nouveau car cela m'excite"
Marc souhaitait maintenant jouir à son tour, excité par la situation. Il s'allongea sur le grand plaid et attira Framboise à lui. Elle s'agenouilla sur lui et saisit du bout des doigts la queue tendue qu'elle guida vers son vagin trempé. Elle fit glisser le gland sur toute la longueur de sa fente puis sur son clitoris, tout en interpellant le beau voyeur
"quel est votre prénom?"
"Vincent, pour vous servir belle dame et vous donner du plaisir"
"à part mater, qu'aimes-tu?"
"j'adore sodomiser une belle croupe" Framboise sentait monter son désir et celui de Marc. Elle lui glissa à l'oreille :
"titillez mon point G, je veux que cet homme me voie couler de plus près" "vos désirs sont des ordres ma belle". Le résultat ne se fit pas attendre. Vincent glissa son visage dans l'entre-jambe de Framboise et il but la cyprine de la belle avec avidité et délectation. Framboise lui demanda de la sodomiser et Marc pénétra son vagin. Il savait combien elle aimait se faire prendre par devant et par derrière. Vincent, titillait la pointe des seins de Framboise qui se mit à gémir. Les longs cris qu'elle poussait excitaient les deux hommes et, dans le sous-bois, les nombreux voyeurs ne perdaient rien du spectacle. Ils quittaient un à un leur cachette et s'approchaient, sexe tendu. Framboise jouit dans un long et dernier cri, ceux de Marc et Vincent y firent un long écho.
Les deux hommes se retirèrent du corps brûlant, laissant Framboise pantelante, savourant les ondes de plaisir engendrées par le sublime orgasme qui venait de la terrasser.
Marc sortit du sac de plage une bande de soie qu'il avait amenée et il noua les mains de Framboise dans son dos. Il sortit également un masque en tissu et le plaça sur les yeux de la belle. Il fit alors signe à la meute d'hommes d'approcher en les invitant à garder le silence. Lentement une dizaine d'hommes de tous âges s'approcha. Marc dit à Framboise de se mettre à genou et de se caresser. Les hommes se placèrent en arc de cercle et commencèrent à se masturber en regardant le spectacle très excitant de cette jolie femme fouillant sa chatte trempée de ses longs doigts agiles. Marc invita un premier à avancer et il présenta sa queue devant les lèvres de Framboise qui les entrouvrit pour l'avaler. La belle devait penser qu'il s'agissait du sexe de son amant et elle le suça avec gourmandise. La séance dura un bon moment et tous les membres tendus reçurent le même traitement divin. Tous les hommes continuaient de se branler et un premier éjacula sur la poitrine de Framboise qui frémit en recevant ce chaud nectar sur ses seins. Tous suivirent et se répandirent sur le cou, le visage et la bouche de la belle qui reçut une véritable douche de foutre.
Elle prit alors conscience de la situation et réclama un massage collectif. Ces mains qui se posaient sur elle réveillèrent un instinct bestial et elle se transforma en tigresse, râlant de plaisir, offerte à ces hommes avec une belle impudeur. Marc voulut lui enlever le bandeau... "n'en faites rien mon adoré... Je ne veux pas voir ces hommes, je veux juste qu'ils me touchent encore et encore" Marc sortit la caméra qu'il avait glissé dans le grand sac de plage de Framboise et il immortalisa la scène. Ce serait un plaisir de revoir ce film dans l'intimité de leur chambre.
Le massage dura longtemps car ces hommes n'étaient pas rassasiés de ce corps chaud qu'ils rêvaient tous de prendre et posséder mais il n'en était pas question et Marc était vigilant et veillait au grain. Au bout d'un moment il leur fit signe de partir et bientôt ils disparurent dans le petit bois, se mettant en quête d'une nouvelle "proie" pour assouvir leurs pulsions.
Marc fut étonné de découvrir que dans cette groupe se trouvait une très jeune femme qui n'avait pas bougé au départ des hommes et qui devait être là depuis le début. Marc lui fit signe d'approcher et lui saisit la main pour la guider vers le ventre de Framboise. Elle se laissa faire et sa main se posa délicatement au niveau du nombril et demeura immobile.
Framboise tressaillit lorsqu'elle sentit ce contact nouveau et doux sur sa peau.
Framboise n'avait jamais été caressée par une femme. Elle eut un mouvement de recul mais Marc vint derrière elle, l'empêchant de bouger. Elle ferma les yeux et laissa sa partenaire inattendue la caresser, l'embrasser. Peu à peu, elle se sentit plus détendue et se laissa faire, étonnée de prendre tant de plaisir à ce jeu. Elle eut une très forte envie de caresser la jeune femme à son tour. Cette dernière avait une peau délicieusement douce et délicatement parfumée. Marc ne ratait pas une miette du spectacle.
Marc vint se positionner derrière la jeune femme et déboutonna délicatement son chemisier libérant deux tout petits seins qui mettaient en valeur les tétons pointus qui commençaient à grandir. Il prit les mains de Framboise et les posa sur les seins. Elle sentait la chaleur dans ses paumes tels deux oiseaux doux. Marc, toujours derrière la jeune femme, remonta sa jupe dégageant grandement ses cuisses fuselées.
Tout en lui embrassant la nuque, Marc posa ses mains sur celles de Framboise toujours immobiles et leur imprima un mouvement circulaire dans une très douce caresse. La main de la jeune femme glissa entre les cuisses de Framboise qui ne put retenir un tressaillement de plaisir lorsque les doigts fins glissèrent sur sa fente pour remonter vers son bouton. Sous l'effet de la caresse de Framboise les tétons s'étaient érigés et paraissaient encore plus gros. La jeune femme avait maintenant glissé deux doigts dans le vagin de Framboise et la branla vigoureusement. Marc sentit que Framboise était prête et il prit une de ses deux mains pour la guider vers le sexe de la jeune femme. Elle se laissa faire et bientôt elle sentit glisser entre ses doigts la mouille de la jeune femme.
Marc s'allongea et la jeune femme vint s'assoir sur lui afin qu'il la pénètre. L'homme invita framboise â venir laper le sexe de la jeune femme pendant qu'il la prenait. Docilement elle s'exécuta et vint poser sa langue sur le clitoris gonflé pendant que la verge de Marc pilonnait le sexe ouvert et trempé. Parfois la queue quittait le doux fourreau et Framboises l'accueillait dans sa bouche mélangeant sa salive aux sucs intimes de la jeune femme. Bientôt celle-ci fut terrassée par un orgasme violent et Marc continua encore quelques instants à la limer avant de sortir de son vagin pour éjaculer dans la bouche de Framboise qui le but avec délectation et gourmandise.
En quittant la plage, Framboise demanda à Marc de prendre le volant. Cette journée l'avait éreintée et elle s'endormit pendant le trajet du retour. Elle se réveilla en arrivant à la maison
- "merci mon adorable amant pour cette délicieuse journée".
Ce récit a été rédigé à "2 mains" avec une amie libertine qui se reconnaîtra.
Framboise se réveilla doucement ce dimanche. Elle sentit Marc bouger à ses côtés et se lova contre lui, en petite cuillère. "Avez-vous bien dormi Marc ?" "non, pas très bien". "Pouvez-vous me dire pourquoi ? Avez-vous des soucis ? . "Non, c'est juste que que vous ne m'avez pas assez fatigué hier". "est-ce un reproche ?" "non, mon adorée, j'ai bien compris que vous aviez du travail". "je vous promets qu'aujourd'hui je vais vous en donner autant que vous le souhaitez, pour me faire pardonner". "Vous n'avez pas à vous faire pardonner ma mie, mais, comme vous pouvez le constater, puisque vous êtes imbriquée en moi, j'en ai très envie". Framboise le chevaucha un instant, faisant jouer son sexe sur son son clitoris, tandis qu'il caressait ses seins. l'effet fut immédiat et elle s'empala sur le sexe brandi. Ce fut bref mais intense, comme à chaque fois qu'il éprouvaient une irrésistible envie l'un de l'autre. "je vous laisse prendre un peu de repos". Elle quitta la chambre en fermant doucement la porte. Déjà, il dormait. Elle enfila une robe et partit chez le boulanger acheter du pain frais et un assortiment de viennoiseries. A son retour dans l'appartement, elle écouta à travers la porte de leur chambre... A sa respiration lente, elle comprit qu'il dormait encore. Elle prépara un café et passa dans la salle de bains où où elle entra dans cette douche à l'italienne, idéale pour leurs nombreux ébats... Elle ne faisait plus le compte de ces désirs qui les avaient fait se prendre l'un l'autre à même le carrelage, Marc passant le pommeau de la douche sur le sexe de framboise, jusqu'à ce qu'elle demande "pitié"... Elle décida de lui proposer un pique-nique sur la plage du petit bois de Saint amant, sur l'Ile de Ré. Pendant qu'elle consultait ses mails, Marc émergea enfin de la chambre, ses cheveux mi-longs et fournis en bataille, l'oeil un peu hagard, ce qui amusa framboise. "mon beau lion a t'il récupéré en partie de sa mauvaise nuit ? de toute évidence, un café vous fera le plus grand bien" Marc la regarda poser le couvert et accepta, de bonne grâce, pour une fois, de se laisser servir... "oui un peu, ma lionne d'alcôve... Venez sur mes genoux et donnez-moi la becquée". Framboise s'exécuta avec plaisir. Elle adorait prendre soin de lui... Entre eux, c'était devenu un jeu de le faire tour à tour. Elle enleva sa robe et s'assit nue sur lui. Ce petit déjeuner fut l'occasion de jouer à un jeu de bouches dont ils raffolaient. "quel est le programme aujourd'hui, faites-moi une jolie proposition" framboise fit mine de réfléchir "pique-nique sur la plage, où nous niquerons. Nous prendrons un grand plaid que nous glisserons sous nos serviettes de bain".
"hummm, que voilà un programme, je saute sous la douche" Framboise avait préparé un pique-nique léger, la veille au soir, pendant que son amant-ami était dans la salle de bain et elle mit une bouteille de rosé dans un bootle cooler, afin qu'il reste bien frais. Elle mit le repas léger dans la glacière.
Le voyage se passa dans la bonne humeur et l'insouciance. Ils avaient pris la voiture de Framboise et elle conduisait d'une main. L'autre était posée sur la cuisse de Marc. Ses doigts aux ongles vernis d'un joli rose fuchsia glissaient doucement sur la cuisse de son amant à travers le tissu de son bermuda. Après leurs jeux pendant le petit déjeuner, Framboise avait renfilé sa robe restant nue en dessous. Le tissus léger était remonté haut sur ses cuisses et elle sentait l'air doux caresser son sexe lisse, doux et encore humide de leurs dernières frasques. Il se garèrent non loin de la petite plage que framboise connaissait bien. Ils prirent leurs affaires et longèrent un sentier arboré. La belle portait aux pieds une paire de sandales plates à fine semelle. Bientôt l'océan apparut s'offrant à leurs yeux admiratifs. La petite plage était déserte et ils déplièrent un grand plaid sur le sable en bordure du petit bois. Les deux amants s'installèrent sur leurs draps de bain et passèrent de longues minutes à regarder les reflets du soleil sur les vagues animées de l'océan. Framboise saisit les pans de sa robe et la fit passer par-dessus tête. Elle n'était plus vêtue que de la fine chaîne en or brillant à sa cheville. Elle attrapa dans son sac en osier son petit bas de maillot de bain qu'elle enfila. Framboise aimait bien bronzer seins nus mais préférait garder un triangle de peau claire au niveau de son sexe et de ses fesses. C'était une manière pour elle de garder cette zone à l'usage exclusif de son amant, son "jardin convivial" comme elle aimait à le décrire. Elle était allongée sur le dos, appuyée sur ses coudes et Marc commença à l'enduire de crème solaire. Tout doucement ses mains glissèrent sur chaque centimètre de sa peau. Partant des chevilles, ses mains remontèrent sur les jambes puis les cuisses. Tout en étalant bien la crème, les doigts glissèrent à la lisière du maillot de bain et cela fit frémir Framboise. Les mains remontèrent sur le ventre que Marc massa longuement. Ses mains avancèrent de chaque côté des seins puis passèrent entre ceux-ci et remontèrent vers le cou. Il insista sur la nuque, les épaules et les bras. Framboise vibrait et laissait échapper parfois de petits gémissements. Tout en continuant à la masser, Marc approcha sa bouche celle de la belle qui avait fermé les yeux pour profiter des caresses tout en écoutant le murmure de l'océan. Ses lèvres se posèrent doucement et sa langue pointue glissa dans la bouche de Framboise, en en forçant délicatement l'entrée. Il sentit sa langue venir à son devant et elles commencèrent un doux ballet sensuel. La main de Framboise se posa sur l'entrejambe de l'homme et elle toucha son membre déjà dur coincé dans son maillot. Elle jeta un regard circulaire tout en libérant le sexe impétueux qu'elle aimait tant. Marc était à genoux devant la belle toujours accoudée. Ses doigts s'enroulèrent sur la queue, l'attira à elle et sa langue glissa sur le gland, puis sur la hampe et la bouche gourmande goba les bourses chacune leur tour. Marc était un peu inquiet qu'un promeneur ne les surprenne mais la caresse était si douce.
Soudain, la réverbération du soleil sur un objet qui sortait du bois l'interpela. "Framboise, on nous observe depuis le bois"
"j'ai oublié de vous avertir que cet endroit est très prisé des voyeurs et réputé pour cela, j'ai une idée, on va s'amuser et joindre l'utile à l'agréable".
Marc partit dans un fou rire
"Ma chère, vous êtes décidément très coquine et quelque peu vénale, mais j'adore".
Framboise se releva et regarda dans la direction indiquée par Marc. Elle fixa l'homme et lui fit signe d'approcher. Il ne se fit pas prier et les salua.
"vous connaissez la règle ? vous savez qu'il faut payer pour voir et encore plus pour participer"
"oui".
"C'est un plaisir qui se paye cher, très cher"
"mais encore belle dame ?"
"50 euros pour voir, le double pour le reste".
L'homme sortit la somme de la poche de son pantalon qu'il baissa aussitôt. Les amants reprirent leurs caresses et baisers. Il ne fallut pas longtemps à Framboise pour devenir fontaine, sous les caresses de son amant. L'homme "astiquait" son manche avec énergie et le spectacle qui lui était offert le fit jouir et éjaculer en un long râle de plaisir.
"Eh bien dites donc vous en aviez sacrément envie pour venir aussi vite" lui dit framboise dans un joli sourire. Elle renchérit :
"pour le prix que vous avez payé vous avez le droit de rester encore et je veux vous voir bander à nouveau car cela m'excite"
Marc souhaitait maintenant jouir à son tour, excité par la situation. Il s'allongea sur le grand plaid et attira Framboise à lui. Elle s'agenouilla sur lui et saisit du bout des doigts la queue tendue qu'elle guida vers son vagin trempé. Elle fit glisser le gland sur toute la longueur de sa fente puis sur son clitoris, tout en interpellant le beau voyeur
"quel est votre prénom?"
"Vincent, pour vous servir belle dame et vous donner du plaisir"
"à part mater, qu'aimes-tu?"
"j'adore sodomiser une belle croupe" Framboise sentait monter son désir et celui de Marc. Elle lui glissa à l'oreille :
"titillez mon point G, je veux que cet homme me voie couler de plus près" "vos désirs sont des ordres ma belle". Le résultat ne se fit pas attendre. Vincent glissa son visage dans l'entre-jambe de Framboise et il but la cyprine de la belle avec avidité et délectation. Framboise lui demanda de la sodomiser et Marc pénétra son vagin. Il savait combien elle aimait se faire prendre par devant et par derrière. Vincent, titillait la pointe des seins de Framboise qui se mit à gémir. Les longs cris qu'elle poussait excitaient les deux hommes et, dans le sous-bois, les nombreux voyeurs ne perdaient rien du spectacle. Ils quittaient un à un leur cachette et s'approchaient, sexe tendu. Framboise jouit dans un long et dernier cri, ceux de Marc et Vincent y firent un long écho.
Les deux hommes se retirèrent du corps brûlant, laissant Framboise pantelante, savourant les ondes de plaisir engendrées par le sublime orgasme qui venait de la terrasser.
Marc sortit du sac de plage une bande de soie qu'il avait amenée et il noua les mains de Framboise dans son dos. Il sortit également un masque en tissu et le plaça sur les yeux de la belle. Il fit alors signe à la meute d'hommes d'approcher en les invitant à garder le silence. Lentement une dizaine d'hommes de tous âges s'approcha. Marc dit à Framboise de se mettre à genou et de se caresser. Les hommes se placèrent en arc de cercle et commencèrent à se masturber en regardant le spectacle très excitant de cette jolie femme fouillant sa chatte trempée de ses longs doigts agiles. Marc invita un premier à avancer et il présenta sa queue devant les lèvres de Framboise qui les entrouvrit pour l'avaler. La belle devait penser qu'il s'agissait du sexe de son amant et elle le suça avec gourmandise. La séance dura un bon moment et tous les membres tendus reçurent le même traitement divin. Tous les hommes continuaient de se branler et un premier éjacula sur la poitrine de Framboise qui frémit en recevant ce chaud nectar sur ses seins. Tous suivirent et se répandirent sur le cou, le visage et la bouche de la belle qui reçut une véritable douche de foutre.
Elle prit alors conscience de la situation et réclama un massage collectif. Ces mains qui se posaient sur elle réveillèrent un instinct bestial et elle se transforma en tigresse, râlant de plaisir, offerte à ces hommes avec une belle impudeur. Marc voulut lui enlever le bandeau... "n'en faites rien mon adoré... Je ne veux pas voir ces hommes, je veux juste qu'ils me touchent encore et encore" Marc sortit la caméra qu'il avait glissé dans le grand sac de plage de Framboise et il immortalisa la scène. Ce serait un plaisir de revoir ce film dans l'intimité de leur chambre.
Le massage dura longtemps car ces hommes n'étaient pas rassasiés de ce corps chaud qu'ils rêvaient tous de prendre et posséder mais il n'en était pas question et Marc était vigilant et veillait au grain. Au bout d'un moment il leur fit signe de partir et bientôt ils disparurent dans le petit bois, se mettant en quête d'une nouvelle "proie" pour assouvir leurs pulsions.
Marc fut étonné de découvrir que dans cette groupe se trouvait une très jeune femme qui n'avait pas bougé au départ des hommes et qui devait être là depuis le début. Marc lui fit signe d'approcher et lui saisit la main pour la guider vers le ventre de Framboise. Elle se laissa faire et sa main se posa délicatement au niveau du nombril et demeura immobile.
Framboise tressaillit lorsqu'elle sentit ce contact nouveau et doux sur sa peau.
Framboise n'avait jamais été caressée par une femme. Elle eut un mouvement de recul mais Marc vint derrière elle, l'empêchant de bouger. Elle ferma les yeux et laissa sa partenaire inattendue la caresser, l'embrasser. Peu à peu, elle se sentit plus détendue et se laissa faire, étonnée de prendre tant de plaisir à ce jeu. Elle eut une très forte envie de caresser la jeune femme à son tour. Cette dernière avait une peau délicieusement douce et délicatement parfumée. Marc ne ratait pas une miette du spectacle.
Marc vint se positionner derrière la jeune femme et déboutonna délicatement son chemisier libérant deux tout petits seins qui mettaient en valeur les tétons pointus qui commençaient à grandir. Il prit les mains de Framboise et les posa sur les seins. Elle sentait la chaleur dans ses paumes tels deux oiseaux doux. Marc, toujours derrière la jeune femme, remonta sa jupe dégageant grandement ses cuisses fuselées.
Tout en lui embrassant la nuque, Marc posa ses mains sur celles de Framboise toujours immobiles et leur imprima un mouvement circulaire dans une très douce caresse. La main de la jeune femme glissa entre les cuisses de Framboise qui ne put retenir un tressaillement de plaisir lorsque les doigts fins glissèrent sur sa fente pour remonter vers son bouton. Sous l'effet de la caresse de Framboise les tétons s'étaient érigés et paraissaient encore plus gros. La jeune femme avait maintenant glissé deux doigts dans le vagin de Framboise et la branla vigoureusement. Marc sentit que Framboise était prête et il prit une de ses deux mains pour la guider vers le sexe de la jeune femme. Elle se laissa faire et bientôt elle sentit glisser entre ses doigts la mouille de la jeune femme.
Marc s'allongea et la jeune femme vint s'assoir sur lui afin qu'il la pénètre. L'homme invita framboise â venir laper le sexe de la jeune femme pendant qu'il la prenait. Docilement elle s'exécuta et vint poser sa langue sur le clitoris gonflé pendant que la verge de Marc pilonnait le sexe ouvert et trempé. Parfois la queue quittait le doux fourreau et Framboises l'accueillait dans sa bouche mélangeant sa salive aux sucs intimes de la jeune femme. Bientôt celle-ci fut terrassée par un orgasme violent et Marc continua encore quelques instants à la limer avant de sortir de son vagin pour éjaculer dans la bouche de Framboise qui le but avec délectation et gourmandise.
En quittant la plage, Framboise demanda à Marc de prendre le volant. Cette journée l'avait éreintée et elle s'endormit pendant le trajet du retour. Elle se réveilla en arrivant à la maison
- "merci mon adorable amant pour cette délicieuse journée".
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aime autant votre brûlant récit que l'avis savoureux laissé par la lectrice au doux non de Perdue. A bientôt.
Beau récit... très excitant !
Cela m'est arrivé de jouer le voyeur... mais je n'ai rien payé car je n'ai pas été découvert !
Cela m'est arrivé de jouer le voyeur... mais je n'ai rien payé car je n'ai pas été découvert !
Je me surprends à être excitée en lisant ce genre de récit plutôt cochon, pour ne pas dire orgiaque ...
j'adore !!!! (mais ne le dites pas à mon mari, il ne comprendrait pas que je ne le trompe qu'avec ma main ...)
j'adore !!!! (mais ne le dites pas à mon mari, il ne comprendrait pas que je ne le trompe qu'avec ma main ...)