Titre de l'histoire érotique : Je fais cocue ma cousine - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Parmi mes frasques qui vont de mes 18 ans à l'âge de 63 ans je relate des choses que je n'ai pas abordées dans les douze récits relatant le déroulement de ma vie sexuelle.

C'est un weekend de la pentecôte, il fait beau et pour la communion d'un neveu toute la famille est réunie.
Les tables sont dressées sur la terrasse pour le repas du midi puis du soir. L'ambiance est super l'alcool aidant.
Léo, marié depuis six mois à Chantale une cousine grassouillette, me tourne autour et n'arrête pas de mater mes cuisses et mon entre-jambes, il est vrai que quand je suis assise ma robe remonte et ne cache pas grand chose. Ce n'est pas que cela me déplaise mais cela devient gênant de sentir son regard sur moi tout l'après-midi.
Il faut dire qu'il n'a pas toujours la vie facile avec sa femme qui est un vrai dragon. De plus elle n'est pas très aimée dans la famille car elle fait beaucoup de réflexions et n'est pas avare de critiques.

Le soir nous dînons dehors à la lumière des lampadaires.
Les boissons viennent à manquer et je me propose pour aller avec José un neveu en chercher dans le cellier.
Il n'y a pas d'éclairage dans le local, munie d'une lampe de poche je donne queques bouteilles à José qui les ramène aux convives pendant que j'en prépare d'autres.

Soudain je sens une présence dérrière moi, une main se pose sur mes seins et une autre sur mes fesses. Une fois l'effet de surprise passé je me retoune.
<<c'est qui? arrêtes!>>.
<<ne bouges pas c'est Léo, j'ai envie de toi et de ton corps>>.
<<sors d'ici, je n'ai pas envie de ça et on va nous voir>>.
<<il n'y a pas de lumière, on ne nous verra pas>>.
Après avoir échangé encore quelques phrases et malgré mes protestations il me pousse contre le mur et se plaque contre moi.
Pendant qu'il pétrit frénétiquement mes seins sa bouche cherche la mienne.
Ce corps contre le mien fait naître des envies dans mon ventre et comme je ne suis pas du genre à résister longtemps.
Ma langue va à la rencontre de la sienne et nous échangeons un long baiser pendant qu'une de ses mains soulève me robe, s'insinue dans ma culotte et arrive sur mon sexe.
Machinalement j'écarte les jambes et sa main caresse ma chatte puis me doigte brièvement.
Rapidement il descend le zip de son pantalon et en extrait son pénis.
Tout en continuant à m'embrasser il écarte ma culotte, il dirige sa queue contre mon intimité et d'un coup de reins la fais coulisser à l'intérieur.
Il me défonce à grands coups de reins mais il a trop envie de moi et je commence seulement à mouiller qu'il ne peut pas se retenir et sa verge secouée par des soubresauts gonfle et envoie des giclées de sperme dans mon vagin pendant qu'il soupire.
Soulagé il se recule et rajuste sa tenue.
Je repositionne ma culotte correctement.
<<mardi je suis seul à la maison viens me retrouver à quatorze heures, Chantale ne revient qu'à dix sept heures>>.
<<ne comptes pas sur moi>>.
<<je suis sur que tu viendras>>.
Il quitte le local et retourne discrètement rejoindre les convives.
Peu après je ramène de la boisson sur les tables mais ne me rassieds pas pour ne pas tacher ma robe car le sperme sors de ma chatte et inonde ma culotte.

En fin de soirée je monte en voiture avec Pierre mon mari et pendant le parcours de retour je sens les problèmes arriver.
Arrivés dans notre garage et en descendant de l'auto Pierre voit une grosse tache sur ma robe au niveau des fesses puis consate que le siège est également taché.
<<nettoie le siège tout de suite puis viens me voir>>.
Piègée j'obéis sans discuter ensuite je vais le retrouver au salon.
<<enlèves ta culotte et donnes moi la>>.
<<j'ai beaucoup mouillée, il faut que je me lave>>.
<<je ne suis pas idiot, donnes moi ta culotte>>.
Je la retire et la lui tends. Il ne mets pas longtemps avant de constater qu'elle est tachée par une belle quantité de sperme et que ce n'est pas le sien.
<<tu n'as pas pu t'empêcher de te faire sauter. Avec qui et comment, j'attends tes explications>>.
Les yeux baissés je lui raconte ce qui s'est passé en omettant de parler du rendez-vous que Léo m'a fixé et auquel je ne compte pas me rendre.
<<allonges toi sur le dos et écartes les cuisses, je vais te punir par ou tu as pêché>>.
Je fais ce qu'il me dit car il est en colère.
A genoux une claque s'abat sur ma chatte. mon corps tréssaute et je serre les cuisses car la douleur est forte.
Il me demande de me remettre en place et une vingtaine de claques violentes atteignent mon sexe, je crie et pleure car cela me fait très mal.
<<vas te coucher comme la chienne que tu es sur le sol au pied du lit sans te déshabiller, mets juste une serviette de toilette sous ton cul de salope, on reparlera de ça demain>>.
Docile j'obéis. Je sais qu'une grosse punition m'attend.
J'ai du mal à m'endormir car une forte envie de pénis a envahi mon ventre.

Le lundi se passe sans que j'éprouve le besoin de revoir Léo. Le mardi matin au fur et à mesure que les heures passent les envies montent dans mon ventre et ma culotte s'humidifie, mon tempérament de salope prend le dessus.
C'est plus fort que moi, je me maquille et je mets des dessous sexy puis je me rends chez Léo. Moi une femme de 38 ans je suis partie pour faire l'amour avec un jeune de 21 ans.

Je sonne à sa porte, il m'ouvre aussitôt et referme la porte après avoir regardé à l'extérieur si personne ne m'avait vu.
<<la prochaine fois passe par le chemin à l'arrière du jardin, je laisserai la grille ouverte, ce sera plus discret>>.
<<si tu veux, je ne crains pas d'être vue>>.
<<si quelqu'un te vois et le dit à Chantale je suis mort>>.

Il m'enlace, je mets mes bras autour de son cou. Sa bouche se pose sur la mienne, nos langues se cherchent et se mêlent. Nous échangeons plusieurs baisers.
Nous buvons le jus de fruit qu'il nous a servi. La conversation est limitée, il est trop impatient de passer à l'acte.

Il m'emmène dans sa chambre.
Je me déshabille lentement pendant qu'il reste à me regarder les yeux exorbités.
<<tu es belle>>.
<<tu vas rester comme une statue, habillé à me regarder>>.
Il hésite emprunté.
C'est à ce moment que je comprends pourquoi il a osé me prendre comme une vide-couilles ce dimanche passé.
<<S'il n'y avait pas eu l'alcool tu n'aurais jamais osé me prendre comme une pute dimanche soir>>.
<<oui c'est l'alcool qui m'a donné du courage mais tu me plais beaucoup>>.
Il se devêt timidement.

Je m'allonge sur le lit, il vient se coucher à côté de moi.
Nous nous embrassons fougueusement.
Je caresse son ventre, son sexe et ses testicules. Je commence à le masturber sa queue de taille moyenne est droite comme un I.
Il caresse timidement mes seins, mon ventre puis ma chatte.
Je m'aperçois qu'il est emprunté et loin d'être expert côté relations sexuelles.
Je lui demande d'embrasser et de lécher mes seins puis de sucer et mordiller avec ses dents les tétons.
Je lèche sa queue partout en commençant par le gland et en descendant vers les testicules et quand je commence une fellation je lui demande de doigter ma chatte puis de masturber mon clitoris en lui indiquant les mouvements à faire.
Je suce en serrant mes lèvres sur sa verge et en l'engloutissant complètement dans ma bouche, je fais des mouvements rapides. Il ne tient pas longtemps, son corps se raidit, sa queue s'agite dans ma bouche et ma gorge reçoit des giclées de sperme que j'avale. Je continue un peu la fellation pour être sure qu'il ne débande pas.

Je me couche sur le dos, Léo s'allonge sur moi, sa queue bute contre mon sexe, il exerce une poussée et son pénis pénètre mon intimité. Nous remuons ensemble tout en nous embrassant. Il caresse mes seins et agace les tétons pendant que je caresse son dos et ses fesses. Je mouille car le plaisir commence à augmenter dans mon ventre, les clapotis accompagnent nos mouvements et ses bourses tapent contre mes fesses.
Soudain son corps se tend, sa queue gonfle et son sperme s'écoule en moi.
Mon partenaire se retire et se couche à côté de moi.

Je reprends l'initiative.
Je me positionne à genoux entre ses jambes. Je caresse puis masturbe son sexe pendant un bon moment jusqu'à ce qu'il redonne signe de vie puis je lui fais une fellation énergique. Enfin sa queue se dresse fièrement.
Je m'accroupis au dessus de lui mes jambes de chaque côté de son corps. J'approche sa verge de mon intimité et je m'empale dessus ensuite je remue en donnant des grands coups de reins et en veillant à ce qu'elle entre entièrement en moi.
Je m'active un bon moment, je mouille de plus en plus et le plaisir que je ressens augmente vite. Mon corps se raidit, prise de spasmes je jouis en gémissant pendant que mon vagin envoie des jets de cyprine sur son ventre.
Je reste un moment inerte puis je recommence à bouger sur lui, à ma demande il remue en même temps que moi. Le plaisir ne faiblit pas dans mon ventre et j'ai un orgasme, quelques minutes plus tard il éjacule dans mon vagin.

Nous passons nous nettoyer dans la salle de bain.
Après nous être rhabillés nous buvons un verre en parlant.
<<tu ne connais pas grand chose concernant les relations sexuelles, qu'a tu fais avant de connaître Chantal>>.
<<je n'ai connu personne>>.
<<tu étais puceau>>.
<<non, j'avais déjà été avec des putains>>.
<<et comment ça se passe avec ta femme>>.
<<toujours pareil, on s'embrasse, on se caresse, je me mets sur elle, j'enfonce ma queue dans sa chatte et je bouge jusqu'à ce que j'éjacule>>.
<<c'est tout, pas de fellation et tu ne lèches pas sa chatte>>.
<<non elle dit que c'est dégoutant qu'il n'y a que les prostituées qui font ça>>.
<<il va falloir que tu te montres autoritaire et exiger autre chose d'elle>>.
<<tu m'as expliqué certaines choses et j'espère que tu m'apprendras encore des trucs>>.
Je le quitte après que nous ayons convenu d'un autre rendez-vous pour le mardi suivant.


Lors de la rencontre suivante il est plus hardi et me déshabille après m'avoir embrassé longuement.
Il se dévêt et me rejoint sur le lit.
Nous nous caressons partout pendant un bon moment et pendant que je caresse sa queue et ses bourses il caresse mes seins et torture les tétons.
Je me positionne tête-bêche au dessus de lui. J'embrasse puis lèche sa verge sur toute sa longueur, après un moment ma bouche l'engloutit et je lui fais une fellation en variant le rythme des va-et-vient de ma bouche sur son membre pendant qu'il embrasse et lèche ma chatte puis sa langue la pénètre et la fouille pour mon plus grand plaisir.
Il ne résiste pas longtemps à la torture que j'inflige à son pénis, avec des soubresauts son membre gonfle et éjacule dans ma bouche, j'avale sa semence.
Il bande toujours. Je me mets à genoux, le jambes écartées, la tête dans les draps et les bras repliés. Il se positionne derrière moi, il introduit sa queue dans mon vagin et me prend en levrette.
Son sexe fait des aller-retour rapides dans mon vagin, le plaisir envahit mon ventre surtout qu'en même temps il masturbe mon clitoris.
Il arrête ses mouvements de temps en temps pour faire durer le coït et finalement le plaisir qui monte en moi devient intolérable, accompagnés de spasmes des jets de cyprine sortent de mon vagin pendant que je jouis. Peu après je sens le sperme envahir mon ventre quand il éjacule.

Allongé sur le lit Léo récupère.
Je me mets à genoux entre ses jambes. Je caresse puis masturbe sa verge ramollie, quand elle commence à grossir je la lèche partout puis je la prends dans ma bouche et lui fais une fellation en donnant de l'amplitude à mes va-et-vient pour que son membre disparaisse complètement dans ma bouche.
Quand je juge avoir assez sucé je me positionne accroupie au dessus de lui, je m'empale sur son pènis et commence les mouvements de va-et-vient faisant disparaître complètement sa queue en moi. Il rythme ses mouvements sur les miens tout en mastubant mon clitoris et torturant les tétons de mes seins.
Je mouille beaucoup, mon plaisir est intense et au bout d'un moment je jouis.
Je reste empalée sur sa verge et je recommence à remuer après avoir récupéré un court instant.
J'ai encore un orgasme puis je me retrouve sous lui. Je croise mes jambes dans son dos pendant qu'il me défonce à grands coups de reins. Les clapotis provoqués par ma mouillure accompagnent ses mouvements et ses testicules tapent contre mes fesses.
Il éjacule dans mon ventre juste quand j'allais jouir de nouveau, il se retire et se couche à côté de moi. Frustrée je masturbe violemment mon clitoris et rapidement mon corps se tend, en râlant prise de spasme je jouis pendant des giclées de liquide sortent de mon vagin.
Allongée je récupère avant d'aller me laver.

Rhabillés nous buvons un verre de jus de fruit.
<<il ne faut pas uniquement t'en promettre, tu es douée pour faire l'amour, avec toi je m'éclate>>.
<<il faut que les deux participent et prennent du plaisir sinon pourquoi faire l'amour>>.


Nos rencontres durent environ deux mois, une fois par semaine. Léo prend de l'assurance et devient un partenaire intéressant au lit.

Mais au fil du temps IL devient envahissant, il me téléphone très souvent et voudrait qu'on se voie plusieurs fois dans la semaine, il dit qu'il a besoin de faire l'amour avec moi et devient possessif disant qu'il ne peut pas se passer de moi.
Excédée j'use d'un stratagème pour m'en débarrasser: volontairement je laisse couler une bonne quantité de sperme sur le drap de son lit et sur l'oreiller du côté ou couche Chantal puis je refais le lit pendant qu'il est dans la salle de bain. Comme je l'avais prévu elle s'en aperçoit et Léo en prend pour son grade. Il m'appelle pour me dire qu'on ne pourra plus se voir car sa femme malgré des explications plus ou moins crédibles le soupçonne de coucher avec une autre femme sans avoir de certitudes.
Leur couple bat de l'aile un moment puis par peur de perdre Léo elle consent petit à petit à faire les choses qu'elle lui refusait allant même jusqu'à la sodomie une chose que j'avis refusée à Léo en lui disant que mon anus était réservé pour mon mari.