Titre de l'histoire érotique : L'amour au boulot; - Partie 1.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : L'amour au boulot; - Partie 1.
Première partie.
Pour commencer, laissez-moi me présenter. Je me nomme Bernadette Durant, j’aurai 39 ans à la fin de l’année. Avec une taille de 1, m77, je suis plutôt grande pour une femme de ma génération. Brune à la peau mate de par mes origines latines, j’ai de longs cheveux d’un noir d’ébène qui la plupart du temps sont relevés en un chignon strict pour plus de facilités. J’ai une poitrine quelque peu opulente ( un bon 90 C ) ronde et ferme qui attire les regards des hommes. Ma taille s’évase sur des hanches que je trouve un peu larges, mais avec deux grossesses, cela n’a rien d’anormal.
Je suis divorcée et, ayant eu la garde de mes deux fils, j’ai vécu seule de longues années pour me consacrer entièrement à eux et à ma carrière. Je suis chargée des relations extérieures d’une grande entreprise située dans le Quartier de la Défense ce qui fait que je suis assez libre de mes horaires et de ma présence au bureau.
Je vis depuis deux ans maintenant avec Jean-Louis. Il a mon âge. C’est un copain de lycée mais nous nous étions perdus de vue à la fin de nos études. Ingénieur agronome, il était parti à Madagascar au titre de la coopération pendant dix ans et ce n’est que fortuitement que nous nous sommes retrouvés : au centre de Paris, nous cherchions tous les deux un taxi, lui pour aller au Ministère de l’agriculture et moi pour rejoindre La Défense.
Evidemment, nous n’avons pas pris de taxi tout de suite car pour bavarder et renouer contact, nous sommes allés boire un café dans une brasserie toute proche où nous avons convenu d’un rendez-vous pour un repas au restaurant le vendredi soir suivant. Çà tombait bien car mes deux enfants passaient le weekend avec leur père.
Tout au long du repas, nous échangeons nos souvenirs, nous confions ce que nous avons fait au cours de ces années écoulées. Revenu en France depuis une quinzaine de jours après une nouvelle mission en Afrique de l’Ouest, Jean-Louis me raconte les conditions parfois spartiates dans lesquelles il a accompli ses missions à Madagascar, comment les malgaches et autres africains, pleins de bonne volonté mais sans beaucoup de moyens, arrivent à obtenir de bonnes récoltes. Il insiste aussi beaucoup (en se désolant de cette situation) sur les multinationales de l’agroalimentaire qui spolient les indigènes des bonnes terres et exploitent cette main d’œuvre qui n’a plus de terres à cultiver à son profit !
Sans avoir bu excessivement au cours du repas, l’ambiance de ces retrouvailles dérive peu à peu sur une conversation plus légère. Je taquine Jean-Louis sur ses éventuelles amours avec des belles indigènes et lui me fait en retour une cour discrète faite de flatteries sur mon élégance, ma silhouette. Bref nous nous sentons bien ensemble alors qu’au temps de nos études, nous n’avons été que de bons copains. Sous la table, je sens ses genoux chercher le contact avec les miens, ses pieds emprisonner une de mes chevilles… si bien qu’au lieu de nous séparer, je me retrouve dans sa chambre d’hôtel dans le XIIème arrondissement.
L’un et l’autre nous savons ce qui va se passer et quand Jean-Louis me prend dans ses bras, je me colle à lui de tout mon corps et nous échangeons un baiser torride qui n’en finit pas. Sans que nos lèvres se quittent, nous nous déshabillons fébrilement avant de basculer, totalement nus, en travers du lit. Il y a si longtemps qu’un homme ne m’a pas prise, que c’est sans aucune pudeur que je me livre aux assauts de Jean-Louis, qui, placé au dessus de moi m’éperonne littéralement avec sa bite dure comme du bois.
Avant de nous endormir, nous faisons l’amour deux fois et au réveil, en milieu de matinée, nous remettons le couvert pour une étreinte plus tendre et câline. Finalement, je ne reviens chez moi que le dimanche en milieu d’après-midi, fourbue mais heureuse : Il y a si longtemps que je n’ai plus fait l’amour et ce ne sont pas les séances d’onanisme avec des godes qui pouvaient me satisfaire, moi qui ai toujours aimé les choses du sexe depuis qu’un copain de vacances avait pris mon pucelage l’été de mes 17 ans.
Quelques semaines plus tard alors que nous nous sommes revus à plusieurs reprises, je reçois sur mon téléphone portable ce message de Jean-Louis :
• Caresse tes seins et ta chatte et vas te faire jouir dans les toilettes ! Je vais en faire autant en pensant à toi !
Au cours de nos rencontres, j’avais découvert que Jean-Louis est un coquin, libertin, quelque peu dominateur et ce message ne m’étonne guère car il m’a libérée de certaines inhibitions qui freinaient ma libido : l’intimité préservée de ma chambre était un domaine secret. Je m’empresse d’aller dans le cabinet de toilette attenant à mon bureau et je commence à me caresser.
J’ouvre la veste de mon tailleur-pantalon puis glissant une main dans l’échancrure de mon chemisier, je titille les bourgeons de mes seins. Waouh ! Pensai-je en moi-même, je suis si excitée qu’ils sont déjà sortis. Mon autre main descend caresser mon pubis par-dessus le tissu du pantalon et du string. J’ai chaud et bientôt cela n’a plus suffi. Je vais directement au contact de ma vulve que je trouve inondée de cyprine. Aïe ! Mon portable sonne ! C’est Jean-Louis :
• Je veux t’entendre jouir !
Je réponds que je reste en ligne avec le haut parleur branché. Et aussitôt je reprends ma caresse et je suis de plus en plus excitée, si bien qu’il ne faut pas bien longtemps pour qu’une jouissance démentielle éclate dans mon ventre. Alors que je ne me suis même pas pénétrée, je pousse un feulement sourd et je reste comme tétanisée pendant quelques minutes. Jean-Louis m’ordonne alors :
• Bravo ! J’espère que c’était bon ! 20 heures ce soir à mon hôtel ! Sans string et sans soutif !
Et nous coupons la communication. Après être repassée chez moi pour donner à diner à mes fils et les directives pour la soirée, je m’apprête pour me rendre au rendez-vous fixé par Jean-Louis. Une douche rapide, un maquillage de soirée pas trop appuyé, je choisis dans ma garde-robe la tenue que je vais mettre : une jupe droite noire un peu serrée sur les hanches qui met bien en relief le galbe de mes fesses et qui s’arrête un peu au dessus des genoux, un sweatshirt ivoire moulant au décolleté en rond qui découvre un peu mes épaules bronzées et pour finir je choisis une veste dépareillée à large encolure d’un rouge vif et qui ne ferme que par une cordelette réunissant deux boutons.
Quand je me vois dans le miroir, je ne peux m’empêcher de penser qu’en quelques semaines, je me suis libérée d’un carcan de femme sérieuse et posée. Jamais je ne serais sortie seule dans une tenue aussi provocante ! Avant d’enfiler la veste, je m’aperçois que les bourgeons de mes seins font un relief très visible sous le tissu mais désormais Louis me domine, il me conduit dans des sentiers que j’ignorais.
A l’heure dite, un taxi me dépose devant l’hôtel et je gagne directement la chambre de Jean-Louis. Il m’attend debout au milieu du coin salon, la main gauche négligemment glissée dans la poche et un petit sourire aux lèvres. Il est vêtu d’un pantalon et d’un pull léger qui moulent son corps comme une seconde peau laissant distinguer ses pectoraux et abdominaux puissants et à l’entre-jambes la bosse de son sexe :
• Stop ! Montre-moi ta chatte !
Je m’empresse d’obéir en faisant remonter le bas de ma jupe jusqu’à découvrir ma toison brune. Jean-Louis commande à nouveau :
• Bien, maintenant le haut ! Montre tes seins !
Je déboutonne ma veste que j’ôte et je fais glisser l’échancrure de mon sweatshirt pour découvrir ma poitrine. Mes tétons sont dressés au point que si je les touche, je vais avoir en même temps de la douleur et du plaisir. Mon amant approuve :
• C’est bon, tu as obéi à ce que je demandais ! Nous allons diner légèrement ensuite je t’emmène là où j’en suis sur, tu n’es jamais allée.
Je suis intriguée car Jean-Louis ne m’a parlé de rien lors de nos échanges téléphoniques ou par courriels. Je trouve cependant que les propos qu’il me tient sont un peu chauds, mais au fond de moi, je me sens flattée qu’un homme me désire à ce point.
Vers 23 heures, nous quittons l’hôtel en taxi et je suis intriguée par les indications données au chauffeur qui nous dépose devant une porte cochère Rue d’Argenteuil. Je ne vois pas trop ce que nous venons faire à cette heure dans un tel endroit mais Jean-Louis semble connaitre. Il sonne à l’une des portes latérale qui s’ouvre aussitôt.
Nous entrons dans un couloir faiblement éclairé de petites lampes de couleur rouge et violette et j’entends de la musique. Mon compagnon me tient fermement par le coude droit et me pousse en avant et, après avoir passé une seconde porte, nous débouchons dans un bar où seule la partie réservée aux deux serveuses est bien éclairée. Le reste est dans une pénombre avec quelques points de faible luminosité. Tout en me guidant la main droite sous mon coude gauche, Jean-Louis me dit à l’oreille :
• Viens, je vais te faire découvrir un bar libertin ! Je suis convaincu que tu ne connais pas ce genre d’établissement.
J’écarquille mes yeux et je ne suis pas au bout de mes surprises : les deux serveuses ne portent qu’une minijupe au ras des fesses et un haut en filet au travers duquel on voit les tétons qui pointent. Plus loin, dans une première salle, des couples dansent étroitement enlacés et je vois avec stupeur que la plupart des femmes ont le buste nu. A nouveau dominateur mon amant dit :
• Viens ! Dansons !
Ces deux mots claquent sèchement et je ne peux me dérober lorsque Jean-Louis m’enlace puis fait glisser ma veste et mon sweatshirt par-dessus mes épaules. Nous dansons ainsi une sorte de slow où je sens la jambe de mon amant s’insérer entre les miennes puis son érection contre mon ventre et les tétons de mes seins frotter contre le tissu de sa chemise. Ensuite il me guide vers une autre salle où deux filles dansent à moitié nues sur un podium entouré d’une cage métallique… Dans des alcôves j’entends des soupirs comme si des couples y faisaient l’amour.
Bref, au cours de cette soirée, je découvre ce qu’est un club libertin. Jean-Louis me fait danser nue dans la cage lorsque les deux occupantes en sont sortie. Au départ, moi une femme mature, j’ai honte de m’exhiber ainsi. Puis voyant de plus en plus d’hommes et quelques femmes s’arrêter à ma hauteur pour me regarder, je me livre totalement dans une danse torride faite de poses suggestives et de caresses sur des endroits sensibles comme j’ai vu faire les deux filles qui m’ont précédé dans la cage.
Jamais je ne m’étais livrée ainsi, dans une impudeur totale. Ensuite, nous avons fait l’amour à deux reprises devant des couples de voyeurs qui, Jean-Louis me l’a dit après, auraient aimé participer à nos ébats.
Pendant près de six mois nous continuons ainsi. Nous nous retrouvons parfois en pleine journée dans un hôtel complice où nous ne passons que quelques heures à faire l’amour. Généralement, nous nous sommes bien excités auparavant par un t’chat coquin et sans aucun préliminaire, nous nous envoyons en l’air. Nous retournons à plusieurs reprises dans le club pour de belles parties de baise où nous nous livrons au mélangisme, échange de caresses avec d’autres couples, mais jamais un autre homme que Jean-Louis ne m’a prise.
Puis lors d’un weekend, je présente mon amant à mes deux garçons qui l’accueillent avec beaucoup de joie et d’humour malgré leur jeune âge (12 et 13 ans). En fait ils sont heureux que je ne sois plus seule et au fil du temps, tous les trois deviennent très complices. Voyant cela, je propose à Jean-Louis de s’installer chez moi, il ne peut pas rester indéfiniment à l’hôtel… Nous avons bien assez de place…
Au moins deux fois par semaine alors que l’un et l’autre, nous sommes au travail, nous avons des conversations ou un échange des mails très chauds qui sont un prélude à une partie de jambes en l’air à notre hôtel fétiche ou le soir quand les garçons sont couchés. Ces échanges me troublent toujours autant et chaque fois, soit à la demande de Jean-Louis soit d’initiative, je dois me soulager et faire tomber la pression dans le cabinet de toilettes de mon bureau. J’ai même, bien cachés au fond d’un tiroir, deux jouets à ma disposition pour me caresser jusqu’à la jouissance. Nous sommes allés les acheter ensemble dans un magasin de la Place Clichy. Il m’arrive même de porter un petit Plug bloqué dans mon anneau plissé.
Personne dans l’entreprise ne sait ce qui parfois se passe derrière la porte fermée de mon bureau. Certainement plus d’une personne en aurait été étonnée alors que je suis une femme « sérieuse et réservée ». C’est le jugement de mes supérieurs ! Et c’est justement un de mes jouets qui va me plonger plus profondément dans une sexualité inconnue.
Pour commencer, laissez-moi me présenter. Je me nomme Bernadette Durant, j’aurai 39 ans à la fin de l’année. Avec une taille de 1, m77, je suis plutôt grande pour une femme de ma génération. Brune à la peau mate de par mes origines latines, j’ai de longs cheveux d’un noir d’ébène qui la plupart du temps sont relevés en un chignon strict pour plus de facilités. J’ai une poitrine quelque peu opulente ( un bon 90 C ) ronde et ferme qui attire les regards des hommes. Ma taille s’évase sur des hanches que je trouve un peu larges, mais avec deux grossesses, cela n’a rien d’anormal.
Je suis divorcée et, ayant eu la garde de mes deux fils, j’ai vécu seule de longues années pour me consacrer entièrement à eux et à ma carrière. Je suis chargée des relations extérieures d’une grande entreprise située dans le Quartier de la Défense ce qui fait que je suis assez libre de mes horaires et de ma présence au bureau.
Je vis depuis deux ans maintenant avec Jean-Louis. Il a mon âge. C’est un copain de lycée mais nous nous étions perdus de vue à la fin de nos études. Ingénieur agronome, il était parti à Madagascar au titre de la coopération pendant dix ans et ce n’est que fortuitement que nous nous sommes retrouvés : au centre de Paris, nous cherchions tous les deux un taxi, lui pour aller au Ministère de l’agriculture et moi pour rejoindre La Défense.
Evidemment, nous n’avons pas pris de taxi tout de suite car pour bavarder et renouer contact, nous sommes allés boire un café dans une brasserie toute proche où nous avons convenu d’un rendez-vous pour un repas au restaurant le vendredi soir suivant. Çà tombait bien car mes deux enfants passaient le weekend avec leur père.
Tout au long du repas, nous échangeons nos souvenirs, nous confions ce que nous avons fait au cours de ces années écoulées. Revenu en France depuis une quinzaine de jours après une nouvelle mission en Afrique de l’Ouest, Jean-Louis me raconte les conditions parfois spartiates dans lesquelles il a accompli ses missions à Madagascar, comment les malgaches et autres africains, pleins de bonne volonté mais sans beaucoup de moyens, arrivent à obtenir de bonnes récoltes. Il insiste aussi beaucoup (en se désolant de cette situation) sur les multinationales de l’agroalimentaire qui spolient les indigènes des bonnes terres et exploitent cette main d’œuvre qui n’a plus de terres à cultiver à son profit !
Sans avoir bu excessivement au cours du repas, l’ambiance de ces retrouvailles dérive peu à peu sur une conversation plus légère. Je taquine Jean-Louis sur ses éventuelles amours avec des belles indigènes et lui me fait en retour une cour discrète faite de flatteries sur mon élégance, ma silhouette. Bref nous nous sentons bien ensemble alors qu’au temps de nos études, nous n’avons été que de bons copains. Sous la table, je sens ses genoux chercher le contact avec les miens, ses pieds emprisonner une de mes chevilles… si bien qu’au lieu de nous séparer, je me retrouve dans sa chambre d’hôtel dans le XIIème arrondissement.
L’un et l’autre nous savons ce qui va se passer et quand Jean-Louis me prend dans ses bras, je me colle à lui de tout mon corps et nous échangeons un baiser torride qui n’en finit pas. Sans que nos lèvres se quittent, nous nous déshabillons fébrilement avant de basculer, totalement nus, en travers du lit. Il y a si longtemps qu’un homme ne m’a pas prise, que c’est sans aucune pudeur que je me livre aux assauts de Jean-Louis, qui, placé au dessus de moi m’éperonne littéralement avec sa bite dure comme du bois.
Avant de nous endormir, nous faisons l’amour deux fois et au réveil, en milieu de matinée, nous remettons le couvert pour une étreinte plus tendre et câline. Finalement, je ne reviens chez moi que le dimanche en milieu d’après-midi, fourbue mais heureuse : Il y a si longtemps que je n’ai plus fait l’amour et ce ne sont pas les séances d’onanisme avec des godes qui pouvaient me satisfaire, moi qui ai toujours aimé les choses du sexe depuis qu’un copain de vacances avait pris mon pucelage l’été de mes 17 ans.
Quelques semaines plus tard alors que nous nous sommes revus à plusieurs reprises, je reçois sur mon téléphone portable ce message de Jean-Louis :
• Caresse tes seins et ta chatte et vas te faire jouir dans les toilettes ! Je vais en faire autant en pensant à toi !
Au cours de nos rencontres, j’avais découvert que Jean-Louis est un coquin, libertin, quelque peu dominateur et ce message ne m’étonne guère car il m’a libérée de certaines inhibitions qui freinaient ma libido : l’intimité préservée de ma chambre était un domaine secret. Je m’empresse d’aller dans le cabinet de toilette attenant à mon bureau et je commence à me caresser.
J’ouvre la veste de mon tailleur-pantalon puis glissant une main dans l’échancrure de mon chemisier, je titille les bourgeons de mes seins. Waouh ! Pensai-je en moi-même, je suis si excitée qu’ils sont déjà sortis. Mon autre main descend caresser mon pubis par-dessus le tissu du pantalon et du string. J’ai chaud et bientôt cela n’a plus suffi. Je vais directement au contact de ma vulve que je trouve inondée de cyprine. Aïe ! Mon portable sonne ! C’est Jean-Louis :
• Je veux t’entendre jouir !
Je réponds que je reste en ligne avec le haut parleur branché. Et aussitôt je reprends ma caresse et je suis de plus en plus excitée, si bien qu’il ne faut pas bien longtemps pour qu’une jouissance démentielle éclate dans mon ventre. Alors que je ne me suis même pas pénétrée, je pousse un feulement sourd et je reste comme tétanisée pendant quelques minutes. Jean-Louis m’ordonne alors :
• Bravo ! J’espère que c’était bon ! 20 heures ce soir à mon hôtel ! Sans string et sans soutif !
Et nous coupons la communication. Après être repassée chez moi pour donner à diner à mes fils et les directives pour la soirée, je m’apprête pour me rendre au rendez-vous fixé par Jean-Louis. Une douche rapide, un maquillage de soirée pas trop appuyé, je choisis dans ma garde-robe la tenue que je vais mettre : une jupe droite noire un peu serrée sur les hanches qui met bien en relief le galbe de mes fesses et qui s’arrête un peu au dessus des genoux, un sweatshirt ivoire moulant au décolleté en rond qui découvre un peu mes épaules bronzées et pour finir je choisis une veste dépareillée à large encolure d’un rouge vif et qui ne ferme que par une cordelette réunissant deux boutons.
Quand je me vois dans le miroir, je ne peux m’empêcher de penser qu’en quelques semaines, je me suis libérée d’un carcan de femme sérieuse et posée. Jamais je ne serais sortie seule dans une tenue aussi provocante ! Avant d’enfiler la veste, je m’aperçois que les bourgeons de mes seins font un relief très visible sous le tissu mais désormais Louis me domine, il me conduit dans des sentiers que j’ignorais.
A l’heure dite, un taxi me dépose devant l’hôtel et je gagne directement la chambre de Jean-Louis. Il m’attend debout au milieu du coin salon, la main gauche négligemment glissée dans la poche et un petit sourire aux lèvres. Il est vêtu d’un pantalon et d’un pull léger qui moulent son corps comme une seconde peau laissant distinguer ses pectoraux et abdominaux puissants et à l’entre-jambes la bosse de son sexe :
• Stop ! Montre-moi ta chatte !
Je m’empresse d’obéir en faisant remonter le bas de ma jupe jusqu’à découvrir ma toison brune. Jean-Louis commande à nouveau :
• Bien, maintenant le haut ! Montre tes seins !
Je déboutonne ma veste que j’ôte et je fais glisser l’échancrure de mon sweatshirt pour découvrir ma poitrine. Mes tétons sont dressés au point que si je les touche, je vais avoir en même temps de la douleur et du plaisir. Mon amant approuve :
• C’est bon, tu as obéi à ce que je demandais ! Nous allons diner légèrement ensuite je t’emmène là où j’en suis sur, tu n’es jamais allée.
Je suis intriguée car Jean-Louis ne m’a parlé de rien lors de nos échanges téléphoniques ou par courriels. Je trouve cependant que les propos qu’il me tient sont un peu chauds, mais au fond de moi, je me sens flattée qu’un homme me désire à ce point.
Vers 23 heures, nous quittons l’hôtel en taxi et je suis intriguée par les indications données au chauffeur qui nous dépose devant une porte cochère Rue d’Argenteuil. Je ne vois pas trop ce que nous venons faire à cette heure dans un tel endroit mais Jean-Louis semble connaitre. Il sonne à l’une des portes latérale qui s’ouvre aussitôt.
Nous entrons dans un couloir faiblement éclairé de petites lampes de couleur rouge et violette et j’entends de la musique. Mon compagnon me tient fermement par le coude droit et me pousse en avant et, après avoir passé une seconde porte, nous débouchons dans un bar où seule la partie réservée aux deux serveuses est bien éclairée. Le reste est dans une pénombre avec quelques points de faible luminosité. Tout en me guidant la main droite sous mon coude gauche, Jean-Louis me dit à l’oreille :
• Viens, je vais te faire découvrir un bar libertin ! Je suis convaincu que tu ne connais pas ce genre d’établissement.
J’écarquille mes yeux et je ne suis pas au bout de mes surprises : les deux serveuses ne portent qu’une minijupe au ras des fesses et un haut en filet au travers duquel on voit les tétons qui pointent. Plus loin, dans une première salle, des couples dansent étroitement enlacés et je vois avec stupeur que la plupart des femmes ont le buste nu. A nouveau dominateur mon amant dit :
• Viens ! Dansons !
Ces deux mots claquent sèchement et je ne peux me dérober lorsque Jean-Louis m’enlace puis fait glisser ma veste et mon sweatshirt par-dessus mes épaules. Nous dansons ainsi une sorte de slow où je sens la jambe de mon amant s’insérer entre les miennes puis son érection contre mon ventre et les tétons de mes seins frotter contre le tissu de sa chemise. Ensuite il me guide vers une autre salle où deux filles dansent à moitié nues sur un podium entouré d’une cage métallique… Dans des alcôves j’entends des soupirs comme si des couples y faisaient l’amour.
Bref, au cours de cette soirée, je découvre ce qu’est un club libertin. Jean-Louis me fait danser nue dans la cage lorsque les deux occupantes en sont sortie. Au départ, moi une femme mature, j’ai honte de m’exhiber ainsi. Puis voyant de plus en plus d’hommes et quelques femmes s’arrêter à ma hauteur pour me regarder, je me livre totalement dans une danse torride faite de poses suggestives et de caresses sur des endroits sensibles comme j’ai vu faire les deux filles qui m’ont précédé dans la cage.
Jamais je ne m’étais livrée ainsi, dans une impudeur totale. Ensuite, nous avons fait l’amour à deux reprises devant des couples de voyeurs qui, Jean-Louis me l’a dit après, auraient aimé participer à nos ébats.
Pendant près de six mois nous continuons ainsi. Nous nous retrouvons parfois en pleine journée dans un hôtel complice où nous ne passons que quelques heures à faire l’amour. Généralement, nous nous sommes bien excités auparavant par un t’chat coquin et sans aucun préliminaire, nous nous envoyons en l’air. Nous retournons à plusieurs reprises dans le club pour de belles parties de baise où nous nous livrons au mélangisme, échange de caresses avec d’autres couples, mais jamais un autre homme que Jean-Louis ne m’a prise.
Puis lors d’un weekend, je présente mon amant à mes deux garçons qui l’accueillent avec beaucoup de joie et d’humour malgré leur jeune âge (12 et 13 ans). En fait ils sont heureux que je ne sois plus seule et au fil du temps, tous les trois deviennent très complices. Voyant cela, je propose à Jean-Louis de s’installer chez moi, il ne peut pas rester indéfiniment à l’hôtel… Nous avons bien assez de place…
Au moins deux fois par semaine alors que l’un et l’autre, nous sommes au travail, nous avons des conversations ou un échange des mails très chauds qui sont un prélude à une partie de jambes en l’air à notre hôtel fétiche ou le soir quand les garçons sont couchés. Ces échanges me troublent toujours autant et chaque fois, soit à la demande de Jean-Louis soit d’initiative, je dois me soulager et faire tomber la pression dans le cabinet de toilettes de mon bureau. J’ai même, bien cachés au fond d’un tiroir, deux jouets à ma disposition pour me caresser jusqu’à la jouissance. Nous sommes allés les acheter ensemble dans un magasin de la Place Clichy. Il m’arrive même de porter un petit Plug bloqué dans mon anneau plissé.
Personne dans l’entreprise ne sait ce qui parfois se passe derrière la porte fermée de mon bureau. Certainement plus d’une personne en aurait été étonnée alors que je suis une femme « sérieuse et réservée ». C’est le jugement de mes supérieurs ! Et c’est justement un de mes jouets qui va me plonger plus profondément dans une sexualité inconnue.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Oct. 24, 2017. John La Semelle ne peut rester insensible à ce récit qui l'a mis dans tous ses états. Mille mercis.
Au contraire de Florence (sourire) le dominant et la soumise ont ma préférence - toujours très bien écrit, c'est un plaisir de le lire
Comme à son habitude le Matou nous livre un délicieux récit, j'aime le contraste entre cette femme, bcbg, cadre d'une grande entreprise et les activités auxquelles elle se livre avec son amant. J'aime moins, car pas du tout adepte, les aspects dominant dominée du récit.