Titre de l'histoire érotique : L'auto-stop
Récit érotique écrit par Laure60 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2016 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : L'auto-stop
Pierre mon mari descend pour plusieurs jours dans le sud.
Je lui demande si je peux l'accompagner, je visiterais Marseille pendant qu'il sera au travail.
Il est d'accord et prévoit pour moi une pension complète dans l'hôtel ou il va.
Nous arrivons sur place le dimanche soir puis je passe deux superbes journées bien aidée par le beau temps.
Le mardi soir mauvaise nouvelle Pierre doit partir en Espagne pour une urgence dans une usine du groupe.
Il se renseigne et me donne l'argent pour le train de retour car je ne peux pas aller avec lui.
Je reste à l'hôtel jusqu'au lendemain matin puis je me rappelle une phrase que Pierre m'a dit en plaisantant:
<<toi qui ne recule devant rien je ne sais pas si je vais te payer le billet de train, tu pourrais faire du stop, avec tes belles gambettes que tu aimes montrer tu n'aurais pas de mal à trouver des automobilistes pour te véhiculer>>.
Bien que cela comporte des risques je décide de faire du stop.
Un client de hôtel qui se rend à Marignane m'amène aux abords de la ville. Je suis vêtue d'une robe à bretelles très seyante qui me va à ravir et met mes seins en valeur, je tiens un sac dans lequel j'ai mis des vêtements et ma trousse de toilette.
Je lève le pouce sur le bas côté pas loin de l'entrée de l'autoroute et rapidement une voiture s'arrête.
Un homme seul à bord, il ouvre sa vitre et me demande ou je vais. Il ne peut m'emmener que jusqu'à Lyon.
J'accepte et je monte dans son auto.
En route nous parlons et je l'observe, il n'est pas particulièrement beau mais cela ne me pose pas de problème vu les quelques heures que je vais passer en sa compagnie.
Son regard se porte de plus en plus sur mes cuisses car en m'asseyant ma robe a remonté.
Soudain sa main droite vient se poser sur ma cuisse gauche.
<<que faites vous>>.
<<vous me plaisez beaucoup et ce serait bien que j'aie une contrepartie pour vous avoir transportée>>.
<<si j'ai bien compris vous voulez me sauter et si je refuse>>.
<<je vais m'arrêter et vous demander de descendre ce qui est dangereux pour vous de faire du stop sur autoroute>>.
<<vous savez, que je fasse ça avec vous ou un autre je ne vois pas la différence, alors c'est ou et quand vous voulez puisque de toutes façons il faudra que je passe à la casserole>>.
Il reste la bouche ouverte sans répliquer.
Il se ressaisit et sa main n'ayant pas quitté ma cuisse il la caresse. Enhardi, sa main s'insinue sous ma robe et caresse mon sexe par dessus le string.
Il continue sa route et finit par s'engager sur une aire de repos du côté de valence, il va se garer dans un chemin fermé par une barrière et qui doit servir comme issue de secours pour le personnel qui travaille sur l'autoroute ou quand il y a un problème.
Il occulte au mieux les vitres avec des serviettes pour nous procurer une certaine intimité.
Nous nous installons sur le siège arrière.
Rapidement ses mains se promènent sur mon corps et il cherche à m'embrasser, je réponds à son baiser et ma langue se mêle à la sienne.
Il déplace les bretelles de ma robe dont il descend le haut jusqu'à ma taille, il en fait de même avec mon soutien-gorge. je suis maintenant seins nus devant lui, il les caresse et ses doigts agacent les tétons, il les tripote comme un mort de faim.
Il me demande de soulever mes fesses, il remonte ma robe jusqu'à ma taille et descend mon string le long de mes jambes que je soulève pour qu'il la retire.
Une main caresse mon sexe et des doigts le fouille.
Je ne suis pas décidée à faire des efforts avec lui n'ayant pas digérée sa phrase qui voulait dire "tu baises ou je te laisse sur la bande d'arrêt d'urgence de l'autoroute", je n'étais pas contre le fait de satisfaire ses envies j'ai déjà fait l'amour avec pire que lui.
<<si tu veux que je suce sors ta bite>>.
Il ne se le fait pas dire deux fois. Il déboutonne son pantalon et le baisse, son slip prend le même chemin.
Je caresse son pénis de taille moyenne qui est en érection puis je le masturbe un peu.
A genoux sur le siège ma bouche avale son membre et je lui fais une fellation énergique en serrant au maximum mes lèvres sur sa tige pendant qu'il tripote mes seins et caresse ma chatte.
Il ne résiste pas longtemps très excité, sa queue prise de tremblement grossit encore et envoie des jets de sperme dans ma gorge. J'ouvre une portière et recrache sa semence à l'extérieur.
Je le masturbe un peu, il bande toujours. Je me couche au mieux en écartant les jambes. Il s'allonge sur moi et sa verge pénètre mon intimité, il me défonce à grands coups de reins, j'essaie de remuer avec lui mais c'est difficile car ma position n'est pas très inconfortable.
Je mouille un peu mais n'étant pas inspirée par lui ni par ce qu'il me fait je ne prends pas de plaisir.
Au bout d'un moment son corps se crispe, sa queue est agitée par des soubresauts et il éjacule dans mon vagin.
Il se retire et s'essuie avec une serviette, il me la tend et j'essuie au mieux ma chatte puis je me rhabille pendant qu'il en fait autant.
Satisfait il reprend la route.
Il me dépose au nord de Lyon sur une aire ou on peut se restaurer, ce que je fais après être passée côté douche pour laver mon sexe et changer de culotte car celle que je porte est souillée par le sperme qui coule de mon vagin.
Je recommence à faire de l'auto-stop.
Une voiture avec deux hommes à bord à l'abord engageant s'arrête, ils vont jusqu'à Auxerre.
Je monte à l'arrière et nous prenons la route.
Pendant le parcours ils se mettent comme je l'avais prévu, car un homme est un homme et c'est son sexe qui commande son cerveau, rapidement ils se mettent à me draguer.
Plus on approche d'Auxerre plus ils se montrent insistants et je finis par accepter de faire l'amour avec eux.
Sortis de l'autoroute ils stoppent devant un hôtel à bas prix.
Ils vont à la borne située à côté de l'entrée de l'établissement et en reviennent avec un badge. nous montons par l'escalier extérieur, ils ouvrent une porte et nous pénétrons dans une chambre sans charme.
Rapidement ils me déshabillent et une fois que je suis nue ils m'embrassent chacun leur tour, je réponds à leurs baisers et je mêle ma langue à la leur.
Ils me caressent partout frénétiquement.
Je me retrouve à plat ventre sur le lit avec les pieds qui touchent le sol.
Ils se déshabillent, l'un s'assoit devant moi sur le lit et me présente son sexe que je prend tout de suite dans ma bouche et lui fais une fellation pendant qu'il caresse ma poitrine et agace les tétons.
L'autre est derrière moi et sa queue pénètre dans mon intimité, il me prend en levrette à grands coups de reins et masturbe mon clitoris.
Le plaisir monte en moi, presque en même temps je sens leur pénis grossir dans l'orifice ou il se trouve et agité de tremblements envoie des jets de sperme dans ma gorge et mon vagin.
Ils échangent leur place, nouvelle fellation pendant qu'une queue défonce mon intimité. Ils torturent mes tétons et mon clitoris, le plaisir que je ressens devient trop fort et prise de spasmes je jouis pendant que de la cyprine sort de mon vagin.
Je reprends la fellation que j'avais arrêtée le temps de ma jouissance. La queue qui occupe ma chatte n'a pas arrêté ses va-et-vient, elle enfle et est prise de soubressauts puis arrose mon intimité.
J'accélère la fellation et quelques minutes plus tard du sperme frappe le fond de ma gorge. J'avale la semence.
Ils se couchent sur le lit, je me mets à genoux entre eux et je masturbe leur pénis, quand le premier rebande je suce un peu.
Couchée sur le dos celui que j'ai remis en forme s'allonge sur moi et me pénètre, je remue en même temps que lui tout en masturbant la queue de son compère qui finit par rebander.
Cela se complique pour moi car ils se relaient en évitant d'éjaculer, les coups de boutoirs dans mon intimité font monter le plaisir dans mon ventre, je ne peux plus me retenir et je jouis deux fois avant que l'un se décide à se soulager dans ma chatte.
Il met son pénis ramolli dans ma main pour que je le masturbe pendant que son collègue continue à pilonner mon intimité.
Celui que je masturbe rebande et me pénètre de nouveau dès que l'autre a arrosé mon vagin puis vient se faire masturber, quand je l'ai remis de nouveau d'attaque il prend le relai et ils défoncent ma chatte en se remplaçant souvent et en faisant durer le supplice.
Je ne tiens plus, le plaisir est trop fort, maintenant je gémis continuellement pendant que les orgasmes s'enchaînent.
Le temps m'a paru très long avant qu'ils finissent par se soulager dans ma chatte mais très peu de sperme coule de leur verge.
Après avoir récupéré un peu c'est direction la salle de bain.
Nous nous rhabillons et quittons l'hôtel.
Ils m'amènent à l'entrée de l'autoroute et je lève de nouveau le pouce.
Je ne lève pas le pouce longtemps une auto s'arrête à ma hauteur, le conducteur qui est seul va à Paris.
Il ouvre la portière avant droite et je monte.
En route il parle beaucoup de tout et de rien et lance quelques allusions concernant le sexe pour voir ma réaction.
Je finis par lui répondre que les hommes ont toujours une arrière pensée quand ils prennent une femme en stop mais que si je n'étais pas consciente de ce qui allait se passer je n'en ferais pas.
A son air je pense qu'il a compris ce que j'ai dit.
Arrivés du côté de Fontainebleau il sort de l'autoroute et s'engage dans un chemin en forêt et stoppe.
<<à mon avis tu désires quelque chose de ma part>>.
<<tu es une belle femme et j'ai envie d'un petit câlin>>.
<<tu crois que je vais être d'accord>>.
<<qui ne tente rien n'a rien>>.
<<tu as de la chance c'est mon jour de bonté>>.
Je déboutonne son pantalon et descend le zip, il se soulève pour que je descendre le pantalon et le slip.
Une belle queue se dresse, je la caresse et la masturbe un peu.
Je me penche et l'introduis dans ma bouche puis lui fais une fellation. Mon nez vient toucher son pubis. Je m'active et rapidement il se crispe, son pénis grossit encore et pris de tremblements éjacule dans ma gorge. J'ouvre la portière et recrache le sperme.
Nous sortons de l'auto, il dénude mes seins en baissant ma robe et mon soutien-gorge puis caresse ma poitrine,j'enlève ma culotte, il soulève ma robe et caresse mon sexe. Couchée le dos sur le capot et les jambes écartées sa verge pénètre ma chatte qu'il défonce à grands coups de reins tout en triturant mes tétons. Il ne met pas trop longtemps avant d'éjaculer en moi.
Il n'est pas satisfait et me retourne, j'ai les seins collés au capot, il me prend en levrette et pilonne longtemps mon vagin ses mains agrippées à mes hanches, je mouille et le plaisir monte sans que j'arrive à l'orgasme puis il arrose encore mon ventre.
Nous nous essuyons avec des kleenex et j'en place dans ma culotte car le sperme va couler de mon vagin.Nous rajustons notre tenue.
Il reprend la route et m'amène jusqu'à une station de métro à la périphérie de paris.
j'achète un ticket et en métro je vais à la gare du nord ou j'achète un sandwich et une boisson puis je prends le train et je regagne mon domicile ou j'arrive très tard.
Avec le recul je sais que j'étais inconsciente et ne mesurais pas le danger encouru.
Je lui demande si je peux l'accompagner, je visiterais Marseille pendant qu'il sera au travail.
Il est d'accord et prévoit pour moi une pension complète dans l'hôtel ou il va.
Nous arrivons sur place le dimanche soir puis je passe deux superbes journées bien aidée par le beau temps.
Le mardi soir mauvaise nouvelle Pierre doit partir en Espagne pour une urgence dans une usine du groupe.
Il se renseigne et me donne l'argent pour le train de retour car je ne peux pas aller avec lui.
Je reste à l'hôtel jusqu'au lendemain matin puis je me rappelle une phrase que Pierre m'a dit en plaisantant:
<<toi qui ne recule devant rien je ne sais pas si je vais te payer le billet de train, tu pourrais faire du stop, avec tes belles gambettes que tu aimes montrer tu n'aurais pas de mal à trouver des automobilistes pour te véhiculer>>.
Bien que cela comporte des risques je décide de faire du stop.
Un client de hôtel qui se rend à Marignane m'amène aux abords de la ville. Je suis vêtue d'une robe à bretelles très seyante qui me va à ravir et met mes seins en valeur, je tiens un sac dans lequel j'ai mis des vêtements et ma trousse de toilette.
Je lève le pouce sur le bas côté pas loin de l'entrée de l'autoroute et rapidement une voiture s'arrête.
Un homme seul à bord, il ouvre sa vitre et me demande ou je vais. Il ne peut m'emmener que jusqu'à Lyon.
J'accepte et je monte dans son auto.
En route nous parlons et je l'observe, il n'est pas particulièrement beau mais cela ne me pose pas de problème vu les quelques heures que je vais passer en sa compagnie.
Son regard se porte de plus en plus sur mes cuisses car en m'asseyant ma robe a remonté.
Soudain sa main droite vient se poser sur ma cuisse gauche.
<<que faites vous>>.
<<vous me plaisez beaucoup et ce serait bien que j'aie une contrepartie pour vous avoir transportée>>.
<<si j'ai bien compris vous voulez me sauter et si je refuse>>.
<<je vais m'arrêter et vous demander de descendre ce qui est dangereux pour vous de faire du stop sur autoroute>>.
<<vous savez, que je fasse ça avec vous ou un autre je ne vois pas la différence, alors c'est ou et quand vous voulez puisque de toutes façons il faudra que je passe à la casserole>>.
Il reste la bouche ouverte sans répliquer.
Il se ressaisit et sa main n'ayant pas quitté ma cuisse il la caresse. Enhardi, sa main s'insinue sous ma robe et caresse mon sexe par dessus le string.
Il continue sa route et finit par s'engager sur une aire de repos du côté de valence, il va se garer dans un chemin fermé par une barrière et qui doit servir comme issue de secours pour le personnel qui travaille sur l'autoroute ou quand il y a un problème.
Il occulte au mieux les vitres avec des serviettes pour nous procurer une certaine intimité.
Nous nous installons sur le siège arrière.
Rapidement ses mains se promènent sur mon corps et il cherche à m'embrasser, je réponds à son baiser et ma langue se mêle à la sienne.
Il déplace les bretelles de ma robe dont il descend le haut jusqu'à ma taille, il en fait de même avec mon soutien-gorge. je suis maintenant seins nus devant lui, il les caresse et ses doigts agacent les tétons, il les tripote comme un mort de faim.
Il me demande de soulever mes fesses, il remonte ma robe jusqu'à ma taille et descend mon string le long de mes jambes que je soulève pour qu'il la retire.
Une main caresse mon sexe et des doigts le fouille.
Je ne suis pas décidée à faire des efforts avec lui n'ayant pas digérée sa phrase qui voulait dire "tu baises ou je te laisse sur la bande d'arrêt d'urgence de l'autoroute", je n'étais pas contre le fait de satisfaire ses envies j'ai déjà fait l'amour avec pire que lui.
<<si tu veux que je suce sors ta bite>>.
Il ne se le fait pas dire deux fois. Il déboutonne son pantalon et le baisse, son slip prend le même chemin.
Je caresse son pénis de taille moyenne qui est en érection puis je le masturbe un peu.
A genoux sur le siège ma bouche avale son membre et je lui fais une fellation énergique en serrant au maximum mes lèvres sur sa tige pendant qu'il tripote mes seins et caresse ma chatte.
Il ne résiste pas longtemps très excité, sa queue prise de tremblement grossit encore et envoie des jets de sperme dans ma gorge. J'ouvre une portière et recrache sa semence à l'extérieur.
Je le masturbe un peu, il bande toujours. Je me couche au mieux en écartant les jambes. Il s'allonge sur moi et sa verge pénètre mon intimité, il me défonce à grands coups de reins, j'essaie de remuer avec lui mais c'est difficile car ma position n'est pas très inconfortable.
Je mouille un peu mais n'étant pas inspirée par lui ni par ce qu'il me fait je ne prends pas de plaisir.
Au bout d'un moment son corps se crispe, sa queue est agitée par des soubresauts et il éjacule dans mon vagin.
Il se retire et s'essuie avec une serviette, il me la tend et j'essuie au mieux ma chatte puis je me rhabille pendant qu'il en fait autant.
Satisfait il reprend la route.
Il me dépose au nord de Lyon sur une aire ou on peut se restaurer, ce que je fais après être passée côté douche pour laver mon sexe et changer de culotte car celle que je porte est souillée par le sperme qui coule de mon vagin.
Je recommence à faire de l'auto-stop.
Une voiture avec deux hommes à bord à l'abord engageant s'arrête, ils vont jusqu'à Auxerre.
Je monte à l'arrière et nous prenons la route.
Pendant le parcours ils se mettent comme je l'avais prévu, car un homme est un homme et c'est son sexe qui commande son cerveau, rapidement ils se mettent à me draguer.
Plus on approche d'Auxerre plus ils se montrent insistants et je finis par accepter de faire l'amour avec eux.
Sortis de l'autoroute ils stoppent devant un hôtel à bas prix.
Ils vont à la borne située à côté de l'entrée de l'établissement et en reviennent avec un badge. nous montons par l'escalier extérieur, ils ouvrent une porte et nous pénétrons dans une chambre sans charme.
Rapidement ils me déshabillent et une fois que je suis nue ils m'embrassent chacun leur tour, je réponds à leurs baisers et je mêle ma langue à la leur.
Ils me caressent partout frénétiquement.
Je me retrouve à plat ventre sur le lit avec les pieds qui touchent le sol.
Ils se déshabillent, l'un s'assoit devant moi sur le lit et me présente son sexe que je prend tout de suite dans ma bouche et lui fais une fellation pendant qu'il caresse ma poitrine et agace les tétons.
L'autre est derrière moi et sa queue pénètre dans mon intimité, il me prend en levrette à grands coups de reins et masturbe mon clitoris.
Le plaisir monte en moi, presque en même temps je sens leur pénis grossir dans l'orifice ou il se trouve et agité de tremblements envoie des jets de sperme dans ma gorge et mon vagin.
Ils échangent leur place, nouvelle fellation pendant qu'une queue défonce mon intimité. Ils torturent mes tétons et mon clitoris, le plaisir que je ressens devient trop fort et prise de spasmes je jouis pendant que de la cyprine sort de mon vagin.
Je reprends la fellation que j'avais arrêtée le temps de ma jouissance. La queue qui occupe ma chatte n'a pas arrêté ses va-et-vient, elle enfle et est prise de soubressauts puis arrose mon intimité.
J'accélère la fellation et quelques minutes plus tard du sperme frappe le fond de ma gorge. J'avale la semence.
Ils se couchent sur le lit, je me mets à genoux entre eux et je masturbe leur pénis, quand le premier rebande je suce un peu.
Couchée sur le dos celui que j'ai remis en forme s'allonge sur moi et me pénètre, je remue en même temps que lui tout en masturbant la queue de son compère qui finit par rebander.
Cela se complique pour moi car ils se relaient en évitant d'éjaculer, les coups de boutoirs dans mon intimité font monter le plaisir dans mon ventre, je ne peux plus me retenir et je jouis deux fois avant que l'un se décide à se soulager dans ma chatte.
Il met son pénis ramolli dans ma main pour que je le masturbe pendant que son collègue continue à pilonner mon intimité.
Celui que je masturbe rebande et me pénètre de nouveau dès que l'autre a arrosé mon vagin puis vient se faire masturber, quand je l'ai remis de nouveau d'attaque il prend le relai et ils défoncent ma chatte en se remplaçant souvent et en faisant durer le supplice.
Je ne tiens plus, le plaisir est trop fort, maintenant je gémis continuellement pendant que les orgasmes s'enchaînent.
Le temps m'a paru très long avant qu'ils finissent par se soulager dans ma chatte mais très peu de sperme coule de leur verge.
Après avoir récupéré un peu c'est direction la salle de bain.
Nous nous rhabillons et quittons l'hôtel.
Ils m'amènent à l'entrée de l'autoroute et je lève de nouveau le pouce.
Je ne lève pas le pouce longtemps une auto s'arrête à ma hauteur, le conducteur qui est seul va à Paris.
Il ouvre la portière avant droite et je monte.
En route il parle beaucoup de tout et de rien et lance quelques allusions concernant le sexe pour voir ma réaction.
Je finis par lui répondre que les hommes ont toujours une arrière pensée quand ils prennent une femme en stop mais que si je n'étais pas consciente de ce qui allait se passer je n'en ferais pas.
A son air je pense qu'il a compris ce que j'ai dit.
Arrivés du côté de Fontainebleau il sort de l'autoroute et s'engage dans un chemin en forêt et stoppe.
<<à mon avis tu désires quelque chose de ma part>>.
<<tu es une belle femme et j'ai envie d'un petit câlin>>.
<<tu crois que je vais être d'accord>>.
<<qui ne tente rien n'a rien>>.
<<tu as de la chance c'est mon jour de bonté>>.
Je déboutonne son pantalon et descend le zip, il se soulève pour que je descendre le pantalon et le slip.
Une belle queue se dresse, je la caresse et la masturbe un peu.
Je me penche et l'introduis dans ma bouche puis lui fais une fellation. Mon nez vient toucher son pubis. Je m'active et rapidement il se crispe, son pénis grossit encore et pris de tremblements éjacule dans ma gorge. J'ouvre la portière et recrache le sperme.
Nous sortons de l'auto, il dénude mes seins en baissant ma robe et mon soutien-gorge puis caresse ma poitrine,j'enlève ma culotte, il soulève ma robe et caresse mon sexe. Couchée le dos sur le capot et les jambes écartées sa verge pénètre ma chatte qu'il défonce à grands coups de reins tout en triturant mes tétons. Il ne met pas trop longtemps avant d'éjaculer en moi.
Il n'est pas satisfait et me retourne, j'ai les seins collés au capot, il me prend en levrette et pilonne longtemps mon vagin ses mains agrippées à mes hanches, je mouille et le plaisir monte sans que j'arrive à l'orgasme puis il arrose encore mon ventre.
Nous nous essuyons avec des kleenex et j'en place dans ma culotte car le sperme va couler de mon vagin.Nous rajustons notre tenue.
Il reprend la route et m'amène jusqu'à une station de métro à la périphérie de paris.
j'achète un ticket et en métro je vais à la gare du nord ou j'achète un sandwich et une boisson puis je prends le train et je regagne mon domicile ou j'arrive très tard.
Avec le recul je sais que j'étais inconsciente et ne mesurais pas le danger encouru.
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10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Écrit par un mec évidemment
humm très exitant ...
m'étant fait insulter j'avais décidé de retirer tous mes récits du site mais je me suis ravisée: pourquoi tenir compte de ce que dit un homme qui a un petit poids à la place du cerveau, il n'a qu'a pas lire mes récits.
Est ce que en voyant mes photos j'ai l'air d'un homme,
Est ce que la nature m'a attribuée une bite: non, j'ai ai une seulement quand un homme me la met dans le vagin ou dans la bouche.
Est ce que en voyant mes photos j'ai l'air d'un homme,
Est ce que la nature m'a attribuée une bite: non, j'ai ai une seulement quand un homme me la met dans le vagin ou dans la bouche.
mon avis c est que cette histoire est écrite par un mec qui fantasme, meme en sautant deux lignes sur 3 on ne manque pas grand chose , seul truc vrai ce mec a une bite à la place du cerveau
C'est ce côté pute plus que salope qui est bien excitant parfois. Je suis comme toi parfois et c est très jouissif autant pour l'homme que pour monsieur. Une lectrice.
j'aime bien tes histoires,mais tu es plus pute que salope domage!
pas très romantique
A la longue ça devient lassant
Mis à part les prénoms c'est toujours le meme schema dans ces histoires
Mis à part les prénoms c'est toujours le meme schema dans ces histoires
belle écriture ,j'aime bien les femmes qui savent se "lacher" .....
toujours aussi salope,
une autre grosse salope
une autre grosse salope