Titre de l'histoire érotique : Le bain érotique ou Myosotis au château
Récit érotique écrit par Lilly Grasse [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2017 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Le bain érotique ou Myosotis au château
La baignoire déborderait presque d'eau chaude, je me sens si bien , cette température est casi parfaite... j'oublie tout et je savoure ce bon moment.
Ma dame de compagnie me nettoie tout le corps , ou plutot devrais je dire qu'elle me caresse et me fait des attouchements partout. Elle insiste surtout aux endroits de mon corps les plus sensuels tels que les seins ou les fesses en prenant encore plus son temps et en redoublant de douceur.
Le Comte nous regarde par le trou de la serrure mais on le savait toutes les deux car cela faisait partie du jeu.
Elle recommence a me laver depuis le début comme si elle n'avait rien fait. Cette fois ci elle me mets carrément des doigts dans la chatte , ce bain devient de plus en plus un support pour préliminaires.
Quand elle a vraiment bien fini ,elle me sèche mais...n'en a pas terminé de me tripoter pour autant.
Elle met de l'huile de couleur jaune sur mes seins, elle en deverse généreusement dans ses mains avant de l'étaler langoureusement sur ma grosse poitrine.
Ses massages ont sur moi un effet à la fois excitant et relaxant , je me sens vraiment bien , on s'allonge sur le lit qui n'était qu'a quelques mètres de la baignoire mobile que l'on pouvait déplacer au grés des envies comme une simple meuble.
Elle continue de m'administrer les soins mammaires et je commence a sortir de long et silencieux "hmmm..."
Je ne reste pas passive pour autant même si elle s'occupe bien de moi , je commence a mon tour a lui tater ses formes genereuses par dessus sa robe...et je ne tarde pas a la déhabillée afin que l'on se retrouve toutes les deux toutes nues.
Le feu dans la cheminée était allumée et la baignoire dégageait quelques vapeurs de fumées... l'ambiance était trés chaude, érotique et humide.
Une sensation de confort régnait partout dans toute la pièce. Même si nous n'etions pas en été , la temperature ambiante du lieu aurait pu nous y tromper.
Pourtant dehors le ciel était gris et il pleuvait assez régulièrement , c'était une journée typiquement automnale ...les feuilles jaunes sur les arbres étaient secouées par le vent quand elles ne tombaient pas à terre.
J'aimais ces moments là lorsque j'etais au chateau, c'était une vraie source de chaleur qui aurait été impossible de reproduire dans ma petite maisonette en terre cuite.
Le Comte fait irruption dans la pièce , il se déshabille vite pour nous rejoindre dans le grand lit. On s'occupe toute les deux de lui , elle lui fait une pipe alors que je le caresse sur tout le torse en le couvrant de bisous.
Il la fait reculée pour me prendre la premiére. Il me touche la poitrine avec beaucoup d'insistance et s'occupe de mes tétons en jouant avec pour qu'ils pointent et se durcissent.
Il me fait toujours aussi jouir ... j'adore ses coups de reins , il va fort mais ne me fait jamais mal. Il s'est tellement bien s'en servir de son penis que j'en oublierais presque que je suis mariée dans ses moments la.
Ce n'etait pas que je n'aimais plus Philippe , loin de la ... mais je ne culpabilisais plus de le tromper contrairement au debut ou je venait de commencer ma relation d'avec le Comte.
Il m'a fait un immonde chantage : que je devienne la nourrice de son bébé pour que je sois sa maitresse qui vive sous son toit sans que personne ne s'y oppose...et pour que je cède sans problèmes, il m'avait menacé de me faire couper la poitrine en cas de refus de ma part.
Je n'aurais pas voulu de cela et j'aurais volontier laissé ma place à une autre que moi, pour ça qu'on peut parler d'un affreux chantage mais en même temps des plus delicieux...et je prenais gout a lui appartenir ...a force d'être souvent avec lui.
Il faisait tout pour passer un max de temps avec moi , il n'en était jamais a court d'idée pour ça.
Revenons au plan a 3 ...
Le Comte etait des lors sur ma dame de compagnie, il la prenait vigoureusement . J'étais juste a coté d'eux allongée , et je les regardait faire en posant une main sur un de ses seins.
Quand il a congédié ma dame de compagnie , il est resté seul avec moi allongé sur le lit et il m'a demandé comment Philippe a réagit lorsqu'il a appris que j'allais surement travailler au chateau...
"Il n'était pas content du tout... et il a casiment hurlé quand je lui ai dit que j'allais dormir chez vous quand le petit ne fera pas encore ses nuits.
"Il espère simplement que les examinateurs qui me recevront dans quelques mois ne me jugeront pas apte pour m'occuper et pour allaiter votre enfant a venir" lui ai je repondu.
Le Comte ricanait pour bien montrer son mépris face aux inquiétudes de Philippe et sa grande assurance face a ce dernier.
Il m'a dit
"Je ferait tout pour que tu sois acceptée , tu peux en être sure.
"Pour commencer, tu diras bien a Philippe qu'à partir de demain , tu passeras tes journées entiéres au chateau afin que je te prépare bien pour le grand jour l'examen final , ou tu passeras devant le jury pour ma requête..."
Et il ajoute également les consignes qui s'appliqueront spécialement pour moi , il finit par me dire:
"Tu es obligée de prendre encore plus de poids pour que le certificat d'aptitude soit accepté avec certitude et facilité. C'est bien la seule chose qui manque pour que la reussite soit pleinement assurée...
"Par ailleurs, tu peux compter sur mon appui, je serai généreux en éloges a ton propos. "
Au bout d'une semaine deja , le "programme intensif " avait deja débuté.
Il mettait tout en oeuvre pour que je devienne coute que coute la nourrice de son futur bébé.
La ou ça devenait plus dur pour lui , c'est qu'il ne pouvait pas a lui seul decider de qui allait allaiter son petit.
Il avait parfaitement le droit de choisir une potentielle nourrice selon ses affinités , son evaluation de son proffessionalisme et bien d'autres choses... mais attention!!... d'autres personnes devaient également donner leur accord via des papiers , documents et tout autre forme de contrat pour les transmattre au clergé aprés un examen méticuleux de la nourrice choisie et voulue par le Comte...
D'une façon légale, et même si le feu vert n'avait pas encore été donné par toutes ses personnes, le Comte récupérait le pouvoir de me faire venir chez lui tout les jours dans son chateau , vu les circonstances.
Il était heureux de m'avoir dans son chateau des 7 heures du matin et il n'hesitait pas a me refaire dormir dans la matinée pour que je ne sois pas en manque de sommeil...mais Philippe vivait trés mal cette situation et ne pouvais rien faire au risque d'etre pris pour un mari jaloux, trop possessif et tiranique... il survellait tout mais de loin.
Plus les semaines passaient...
Le Comte était vraiment aux petits soins pour moi , encore plus que d'habitude.
Je devais faire le moins d'efforts possible , et faire des sièstes aprés chaques nombreux et copieux repas allongée prés de la cheminée.
Il venait me voir réguliérement dans la journée, prenait de mes nouvelles, et ça finissait souvent en delicieux rapport sexuel.
Quand je repartait le soir avec mon bébé ,
j'avais a cette période précise encore le droit de retourner chez moi et dormir avec mon mari Philippe (puisque j'avais accouché plusieurs mois avant que la Comtesse ne soit a therme de sa propre grossesse¨) , j'emportait toujours un panier rempli de nourriture.
Comme je ne pouvais vraiment plus rien avaler, je donnais le contenu du panier a des familles vraiment misérables qui ne mangeaient pas forcément tout les jours...mais je me gardait bien de le dire au Comte,autrement il aurait raler.
Et je pense aussi qu'il m'aurait même passer un savon pour ça , alors je lui ai caché ce dossier.
Au bout de quelques mois, 2 ou 3 grand maximum :
Je grossissais de plus en plus, j'avais bien pris 10 kilos gramme ajoutée a ceux que j'avais deja pris pendant ma grossesse qui n'etait pas si loin que cela...Mes seins gonflaient comme des gros ballons ainsi que tout le reste du corps, mêmes mes hanches n'ont jamais étées aussi arrondies, je ressemblait a une vraie vache a lait.
Le Comte s'en réjouissait de mon exeptionelle prise de poids. Il s'allongeait souvent sur moi quand il me faisait comprendre que je l'excitait et qu'il avait envie de me faire l'amour. Je sentais que je lui plaisiat encore plus a sa façon de me toucher, de me caresser et de me pénétrer avec sa grosse queue bien dure.
Le jour J :
Le Comte est devant la porte de son bureau, il m'attend et me dit que "tout va bien se passer"
Je passais "l'entretient d'ambauche..."
A suivre ...
Ma dame de compagnie me nettoie tout le corps , ou plutot devrais je dire qu'elle me caresse et me fait des attouchements partout. Elle insiste surtout aux endroits de mon corps les plus sensuels tels que les seins ou les fesses en prenant encore plus son temps et en redoublant de douceur.
Le Comte nous regarde par le trou de la serrure mais on le savait toutes les deux car cela faisait partie du jeu.
Elle recommence a me laver depuis le début comme si elle n'avait rien fait. Cette fois ci elle me mets carrément des doigts dans la chatte , ce bain devient de plus en plus un support pour préliminaires.
Quand elle a vraiment bien fini ,elle me sèche mais...n'en a pas terminé de me tripoter pour autant.
Elle met de l'huile de couleur jaune sur mes seins, elle en deverse généreusement dans ses mains avant de l'étaler langoureusement sur ma grosse poitrine.
Ses massages ont sur moi un effet à la fois excitant et relaxant , je me sens vraiment bien , on s'allonge sur le lit qui n'était qu'a quelques mètres de la baignoire mobile que l'on pouvait déplacer au grés des envies comme une simple meuble.
Elle continue de m'administrer les soins mammaires et je commence a sortir de long et silencieux "hmmm..."
Je ne reste pas passive pour autant même si elle s'occupe bien de moi , je commence a mon tour a lui tater ses formes genereuses par dessus sa robe...et je ne tarde pas a la déhabillée afin que l'on se retrouve toutes les deux toutes nues.
Le feu dans la cheminée était allumée et la baignoire dégageait quelques vapeurs de fumées... l'ambiance était trés chaude, érotique et humide.
Une sensation de confort régnait partout dans toute la pièce. Même si nous n'etions pas en été , la temperature ambiante du lieu aurait pu nous y tromper.
Pourtant dehors le ciel était gris et il pleuvait assez régulièrement , c'était une journée typiquement automnale ...les feuilles jaunes sur les arbres étaient secouées par le vent quand elles ne tombaient pas à terre.
J'aimais ces moments là lorsque j'etais au chateau, c'était une vraie source de chaleur qui aurait été impossible de reproduire dans ma petite maisonette en terre cuite.
Le Comte fait irruption dans la pièce , il se déshabille vite pour nous rejoindre dans le grand lit. On s'occupe toute les deux de lui , elle lui fait une pipe alors que je le caresse sur tout le torse en le couvrant de bisous.
Il la fait reculée pour me prendre la premiére. Il me touche la poitrine avec beaucoup d'insistance et s'occupe de mes tétons en jouant avec pour qu'ils pointent et se durcissent.
Il me fait toujours aussi jouir ... j'adore ses coups de reins , il va fort mais ne me fait jamais mal. Il s'est tellement bien s'en servir de son penis que j'en oublierais presque que je suis mariée dans ses moments la.
Ce n'etait pas que je n'aimais plus Philippe , loin de la ... mais je ne culpabilisais plus de le tromper contrairement au debut ou je venait de commencer ma relation d'avec le Comte.
Il m'a fait un immonde chantage : que je devienne la nourrice de son bébé pour que je sois sa maitresse qui vive sous son toit sans que personne ne s'y oppose...et pour que je cède sans problèmes, il m'avait menacé de me faire couper la poitrine en cas de refus de ma part.
Je n'aurais pas voulu de cela et j'aurais volontier laissé ma place à une autre que moi, pour ça qu'on peut parler d'un affreux chantage mais en même temps des plus delicieux...et je prenais gout a lui appartenir ...a force d'être souvent avec lui.
Il faisait tout pour passer un max de temps avec moi , il n'en était jamais a court d'idée pour ça.
Revenons au plan a 3 ...
Le Comte etait des lors sur ma dame de compagnie, il la prenait vigoureusement . J'étais juste a coté d'eux allongée , et je les regardait faire en posant une main sur un de ses seins.
Quand il a congédié ma dame de compagnie , il est resté seul avec moi allongé sur le lit et il m'a demandé comment Philippe a réagit lorsqu'il a appris que j'allais surement travailler au chateau...
"Il n'était pas content du tout... et il a casiment hurlé quand je lui ai dit que j'allais dormir chez vous quand le petit ne fera pas encore ses nuits.
"Il espère simplement que les examinateurs qui me recevront dans quelques mois ne me jugeront pas apte pour m'occuper et pour allaiter votre enfant a venir" lui ai je repondu.
Le Comte ricanait pour bien montrer son mépris face aux inquiétudes de Philippe et sa grande assurance face a ce dernier.
Il m'a dit
"Je ferait tout pour que tu sois acceptée , tu peux en être sure.
"Pour commencer, tu diras bien a Philippe qu'à partir de demain , tu passeras tes journées entiéres au chateau afin que je te prépare bien pour le grand jour l'examen final , ou tu passeras devant le jury pour ma requête..."
Et il ajoute également les consignes qui s'appliqueront spécialement pour moi , il finit par me dire:
"Tu es obligée de prendre encore plus de poids pour que le certificat d'aptitude soit accepté avec certitude et facilité. C'est bien la seule chose qui manque pour que la reussite soit pleinement assurée...
"Par ailleurs, tu peux compter sur mon appui, je serai généreux en éloges a ton propos. "
Au bout d'une semaine deja , le "programme intensif " avait deja débuté.
Il mettait tout en oeuvre pour que je devienne coute que coute la nourrice de son futur bébé.
La ou ça devenait plus dur pour lui , c'est qu'il ne pouvait pas a lui seul decider de qui allait allaiter son petit.
Il avait parfaitement le droit de choisir une potentielle nourrice selon ses affinités , son evaluation de son proffessionalisme et bien d'autres choses... mais attention!!... d'autres personnes devaient également donner leur accord via des papiers , documents et tout autre forme de contrat pour les transmattre au clergé aprés un examen méticuleux de la nourrice choisie et voulue par le Comte...
D'une façon légale, et même si le feu vert n'avait pas encore été donné par toutes ses personnes, le Comte récupérait le pouvoir de me faire venir chez lui tout les jours dans son chateau , vu les circonstances.
Il était heureux de m'avoir dans son chateau des 7 heures du matin et il n'hesitait pas a me refaire dormir dans la matinée pour que je ne sois pas en manque de sommeil...mais Philippe vivait trés mal cette situation et ne pouvais rien faire au risque d'etre pris pour un mari jaloux, trop possessif et tiranique... il survellait tout mais de loin.
Plus les semaines passaient...
Le Comte était vraiment aux petits soins pour moi , encore plus que d'habitude.
Je devais faire le moins d'efforts possible , et faire des sièstes aprés chaques nombreux et copieux repas allongée prés de la cheminée.
Il venait me voir réguliérement dans la journée, prenait de mes nouvelles, et ça finissait souvent en delicieux rapport sexuel.
Quand je repartait le soir avec mon bébé ,
j'avais a cette période précise encore le droit de retourner chez moi et dormir avec mon mari Philippe (puisque j'avais accouché plusieurs mois avant que la Comtesse ne soit a therme de sa propre grossesse¨) , j'emportait toujours un panier rempli de nourriture.
Comme je ne pouvais vraiment plus rien avaler, je donnais le contenu du panier a des familles vraiment misérables qui ne mangeaient pas forcément tout les jours...mais je me gardait bien de le dire au Comte,autrement il aurait raler.
Et je pense aussi qu'il m'aurait même passer un savon pour ça , alors je lui ai caché ce dossier.
Au bout de quelques mois, 2 ou 3 grand maximum :
Je grossissais de plus en plus, j'avais bien pris 10 kilos gramme ajoutée a ceux que j'avais deja pris pendant ma grossesse qui n'etait pas si loin que cela...Mes seins gonflaient comme des gros ballons ainsi que tout le reste du corps, mêmes mes hanches n'ont jamais étées aussi arrondies, je ressemblait a une vraie vache a lait.
Le Comte s'en réjouissait de mon exeptionelle prise de poids. Il s'allongeait souvent sur moi quand il me faisait comprendre que je l'excitait et qu'il avait envie de me faire l'amour. Je sentais que je lui plaisiat encore plus a sa façon de me toucher, de me caresser et de me pénétrer avec sa grosse queue bien dure.
Le jour J :
Le Comte est devant la porte de son bureau, il m'attend et me dit que "tout va bien se passer"
Je passais "l'entretient d'ambauche..."
A suivre ...
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