Titre de l'histoire érotique : Le commercial - histoire érotique

Pierre mon mari envisage de changer de voiture, il fait le tour des concessionnaires de la ville et essaie les modèles des différentes marques dans la catégorie qui l'intéresse.
Il négocie les prix et les options car il sait qu'en étant persuasif il peut avoir un tarif avantageux et il est déjà fixé sur le modèle qu'il veut.

Un concessionnaire qui vend l'auto qu'il souhaite acquérir lui rétorque qu'il lui fait déjà une bonne remise suite à un accord avec leur gros client qui est la société qui emploie Pierre et il doit nous envoyer son commercial mais le prix proposé ne satisfait pas Pierre.
Le lendemain Philippe le commercial vient chez nous discuter mais mon mari se montre intraitable car ce qu'il propose est très insuffisant.
Il demande à Pierre les jours et heures ou il est disponible pour continuer les tractations.Je sais qu'en demandant ça cet homme a une arrière pensée.

Je connais de réputation cet homme, quand il a un acheteur potentiel en vue il vient au domicile des clients quand l'épouse est seule car c'est un charmeur, il arrive plus facilement à une signature et cela se termine souvent par un passage dans le lit avec la cliente, comme quoi il y a beaucoup de salopes qui cachent leur jeu.
Dans l'immeuble ou réside une de mes amies j'ai vu plusieurs femmes le relancer quand il circule à pieds dans les environs et mon amie qui a observé certains comportements m'en a parlé.
Je devine la suite, je décide de profiter de la situation pour aider mon mari à obtenir ce qu'il veut, coucher avec un homme ne me fait pas peur car je ne suis pas farouche vu le grand nombre de fois ou j'ai écartées les cuisses avec des partenaires différents, je ne suis plus à quelques coups de bites près.

Le surlendemain mon mari est en déplacement et comme je m'y attendais Philippe sonne à la porte, je le fais entrer et l'invite à s'asseoir dans un fauteuil, je m'installe dans celui situé en face de lui.
Evidemment quand je m'assois ma jupe courte remonte et il voit largement mes cuisses et ma culotte sans que je fasse l'effort de serrer les jambes ou de mieux me positionner. De plus je porte intentionnellement un maillot à bretelles sans soutien-gorge, mes seins ont tendance à vouloir sortir du vêtement et les tétons pointent à travers le tissu.
Il commence son baratin concernant la voiture mais son regard ne quitte pas certains endroits de ma personne et il est désorienté car il n'a pas l'habitude qu'une femme se comporte ainsi, il n'arrive plus à débiter ses phrases toutes faites ce qui le met en position de faiblesse.

Je prends les choses en main, j'ai beau être une putain j'arrive quand il le faut à garder ma lucidité surtout en ce qui concerne les affaires.
<<écoute Philippe je peux faire un effort mais toi fais en un aussi je serais reconnaissante, tu ne le regretteras pas>>.
<<je ne comprends pas, ou veux tu en venir>>.
J'écarte les cuisses et soulève mon maillot.
<<je parle de ça, depuis le temps que tu me mates je croyais que tu avais compris>>.
Il reste bouche bée pendant un moment puis sort des arguments que je réfute.
Au bout d'un moment il commence à plier, la grosse bosse dans son pantalon au niveau de son sexe atteste de son intérêt.
<<je peux faire quelque chose mais pas ce que ton mari demande>>.
<<je sais mais ton patron peut lui aussi faire un effort, ce ne sera pas la première fois>>.
Je lui cite des noms de personnes qui ont obtenu une bonne remise ce qui le décontenance un peu plus.
<<quand tu seras en mesure de me proposer un prix correct viens me voir et tu auras tout ça>>.
Je me lève, prends une de ses mains que je passe sur ma poitrine puis sur mon sexe.
<<faire l'amour une fois c'est maigre si je réussis à te donner ce que tu demandes>>.
<<je ne mets pas de limites, je peux satisfaire tes besoins sexuels pendant un mois deux fois par semaine>>.
Je continue à l'assurer que je respecterais ma part du marché.
Nous buvons un verre de jus de fruit et il s'en va tout chamboulé.

Le lendemain Philippe me téléphone.
<<tu n'as pas changé d'avis, je crois que cela va pouvoir se faire, j'aurais une réponse définitive demain>>.
<<je t'ai donnée ma parole, mon corps sera à toi dés que tu m'apporteras le bon d'achat avec la remise souhaitée par mon mari>>.
<<quand est tu disponible>>.
<<mardi prochain le matin>>.
<<je viendrais vers 9 heures>>.
<<d'accord je serais prête pour te donner du plaisir, tu ne le regretteras pas>>.

Je ne dis à Pierre que le nécessaire: que j'ai parlé avec le commercial qui doit me faire une proposition de prix et que je pense avoir été persuasive. Il me demande de me comporter correctement avec le commercial: ce qui veut dire pas comme une putain.
Je ne suis pas très honnête mais je le rassure sur mes intentions.

Le mardi matin je me prépare: pas de sous-vêtements,une jupe ultra courte tenue par un bouton, un top qui ne cache pas grand chose et des escarpins à talons hauts.
Bien que je refuse de recevoir des hommes chez moi pour ce cas particulier je fais une exception.
Philippe sonne à la porte, j'ouvre et le fais entrer.
Ma tenue le décontenance.
La porte refermée je passe mes bras autour de son cou et colle mes lèvres sur les siennes, ma langue cherche la sienne qui après une hésitation vient à sa rencontre. Je mets de la fougue dans le baiser qui nous unis.
<<je ne m'attendais pas à un tel accueil, tu ne perds pas de temps>>.
<<c'est pour te prouver que je ne mentais pas en disant que je serais à toi>>.

Nous allons dans le salon, il pose les documents sur la table basse, je me baisse pour les lire en me tournant de façon qu'il voie bien mes fesses, ma jupe mini (et l'absence de culotte) ne cachant rien dans cette position. Une salope ne se refait pas.
Le prix qui est inscrit est conforme à ce que mon mari voulait.
J'enlève mon top dévoilant ma poitrine, un acompte de ma bonne volonté. Ses yeux s'agrandissent.
Il reste à signer les papiers ce que je fais, je lui tends le stylo et pendant qu'il paraphe à son tour les documents je déboutonne ma jupe qui tombe à mes pieds. Quand il se retourne il reste à me regarder surpris.
<<je suis à toi comme promis, profites de mon corps>>.
<<tu as un beau corps et tu ne manques pas d'aplomb>>.
Comme je le vois emprunté et hésitant je le déshabille: je retire sa cravate, je déboutonne sa chemise, je dégrafe son pantalon qui tombe à ses pieds bientôt suivi de son caleçon.

Philippe reste debout les bras ballants, je me mets à genoux sur la moquette. Je caresse son pénis qui bande mollement puis le masturbe un peu, il prend vite des dimensions respectables.
Je lèche un bon moment son membre en partant du gland pour finir au niveau des testicules que je caresse et triture. Il ferme les yeux et savoure ce que je lui fais.
Ma bouche engloutit la verge que j'enfonce jusqu'au fond de ma gorge, mes lèvres touchent ses bourses et je reste un moment ainsi en faisant juste bouger ma langue.
J'entreprends de lui faire une fellation en serrant le mieux que je peux son membre avec mes lèvres.
Il est trop excité, rapidement ses doigts se cramponnent à mes épaules, il se raidit et je sens sa verge augmenter de volume et prise de tremblements envoie des jets de sperme dans ma gorge, j'avale et continue un peu à sucer.

Je lui demande de s'allonger sur le dos.
Je me mets à califourchon au dessus de lui, je positionne sa queue à l'entrée de mon intimité et je m'empale dessus.
En soulevant et baissant mon bassin je fais des va-et-vient. Tout en caressant mes seins et agaçant les tétons il soulève sa tête et regarde sa queue entrer et sortir de mon vagin.
Au bout d'un moment son excitation a augmentée et il accompagne mes mouvements à coups de reins rythmés.
Le plaisir monte dans mon ventre, j'arrête de bouger et je me penche pour l'embrasser, je fais durer le baiser le temps que mes envies se calment un peu.
De concert nous recommençons à bouger jusqu'à ce qu'avec les signes annonciateurs il n'éjacule dans mon intimité.
Je me relève et en tenant mon sexe fermé avec une main, après lui avoir dit de ne pas bouger je vais me nettoyer dans la salle de bain puis je reviens avec une éponge mouillée et une serviette et je lave sa queue et ses bourses souillées de sperme et de mouillure.
Nus nous buvons un verre de jus de fruit avant de reprendre nos ébats.

Allongés côte à côte nous nous embrassons pendant que chacun caresse le corps de l'autre.
Ensuite je me positionne à l'inverse de lui et pendant qu'il caresse mon sexe, l'explore avec ses doigts puis masturbe mon clitoris moi je caresse et masturbe énergiquement sa verge.
J'embrasse et lèche ses cuisses, ses bourses et enfin son sexe qui reprend vie. Je lui fais une fellation pour améliorer son érection.
Je me mets à genoux la tête reposant sur mes bras repliés. Philippe se positionne derrière moi à genoux puis enfonce sa queue dans ma chatte et il commence les va-et-vient tout en masturbant mon clitoris, je caresse ses cuisses et triture ses bourses.
Il s'active si bien que le plaisir que je ressens devient intolérable et prise de spasmes j'ai un orgasme, la cyprine qui s'échappe de mon sexe mouille son ventre et la moquette.
Je me retrouve allongée sur le dos mon amant sur moi, sa verge toujours plantée dans mon ventre, je remue de concert avec lui qui s'active à grands coups de reins.
Il est long à venir et emportée par le plaisir je jouis encore avant qu'il n'éjacule dans mon vagin.

Nous récupérons allongés côte à côte.
Il me dit qu'il doit partir car il a un rendez-vous, il va être en retard.
Il va se nettoyer dans la salle de bain et se rhabille.
Nous convenons d'un rendez-vous pour le jeudi.

Le jour dit quand il arrive je suis en train de parler avec ma voisine sur le pas de la porte.
Il tient des documents à la main.
<<Bonjour madame, il va falloir refaire tous les papiers car il y a eu une erreur sur ceux que vous avez remplis mardi, ça va prendre un moment>>.
Bien trouvé le prétexte pour que la voisine ne trouve pas bizarre qu'il reste un moment chez moi.
<<pas de problème monsieur on va prendre le temps de bien lire et de les remplir correctement>>.
Nous allons dans le salon, chacun se déshabille et nous faisons l'amour, il éjacule quatre fois dont une dans ma bouche, nous varions les positions: lui sur moi, moi sur lui, en levrette.
Il adore mes fellation et me dit que je suis "une sacrée suceuse".

Le mardi suivant je le rejoins en ville et nous allons dans la forêt ou il se gare dans un chemin.
Il me met nue mais lui garde ses vêtements car il ne veut pas être surpris dans une tenue indécente, moi ça ne me dérange pas.
Assis dans la voiture j'extirpe sa queue du pantalon et lui fais une fellation, j'avale sa semence puis nous sortons du véhicule.
Adossé à un arbre il me soulève en mettant ses mains sous mes cuisses pendant que je passe mes bras autour de son cou, il m'empale sur son pénis et s'aide de ses bras pour les mouvements de va-et-vient, il finit par jouir dans mon intimité.
A genoux je redonne vie à son sexe en le masturbant puis le suçant.
Il me couche sur le dos contre le capot de la voiture jambes écartées et me pénètre. Il me défonce à grands coups de reins, je remue comme je peux en même temps, il caresse mes seins et tord les tétons à me faire mal.
C'est la qu'un couple de personnes âgées passe à pieds dans le chemin et fait des commentaires désagréables sur notre comportement et surtout ma tenue, ils font demi tour scandalisés.
Après un bref arrêt nous reprenons nos ébats. Il me retourne, je me retrouve les seins et le ventre contre le capot puis il me défonce jusqu'à ce qu'il éjacule dans mon vagin.
Nous nous essuyons avec des serviettes en papier et je me rhabille.
Pendant le retour il me parle du couple qui nous a surpris, il est un peu choqué, moi cela m'amuse.

les fois suivantes nous avons fait l'amour dans différents endroits: une fois chez moi, dans sa voiture en forêt, dans une chambre d'hôtel et une fois chez lui.

A la fin du mois notre relation s'est arrêtée, il a continué à profiter des occasions que lui procure son métier à savoir les relations intimes avec d'autres femmes faciles ou qui pensent (à tort) qu'en lui cédant il leur fait un tarif plus intéressant pour l'achat d'une auto neuve.