Titre de l'histoire érotique : Les vendanges
Récit érotique écrit par Laure60 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-10-2016 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Les vendanges
Pour le deuxième année je fais avec Pierre mon mari les vendanges dans une propriété au vin réputé du département de la côte d'or. Ce n'est pas très intéressant financièrement mais c'est plaisant. C'est une chose que l'on avait envie de faire depuis un bon moment.
Mais cette année Pierre doit partir en déplacement avant la fin, il reste une bonne semaine de travail pour en terminer.
Les gens du coin retournent chez eux après le travail, nous logeons sur place et en plus de nous cinq hommes (Paul, Alain, André, Marc et Pascal)partagent le même dortoir. Une cloison mince sépare la partie femme ou se trouvent deux lits d'une personne et ou je couche avec mon mari (je suis la seule femme à loger dans le dortoir), de ce fait nous faisons l'amour succinctement en évitant de faire du bruit car les lits métalliques grincent.
La dernière semaine commence et Pierre est parti de bonne heure pour l'Allemagne.
Il fait beau en ce mois de septembre et je me rends dans la vigne vêtue d'un maillot ajusté, d'un short qui moule mes fesses et chaussée de tennis. Une tenue habituelle pour moi.
Le matin nous faisons une pose casse-croûte, des hommes me draguent ouvertement.
Je constate que maintenant que je suis seule les hommes deviennent beaucoup plus entreprenants, mon air de salope doit y être pour quelque chose.
Le midi comme tous les jours une table est dressée dans un chemin, les victuailles sont posées dessus et nous mangeons ensemble assis dans l'herbe.
Le repas terminé je vais dans un endroit tranquille entre les rangs de vigne pour satisfaire un besoin naturel. Quand je me relève et rajuste ma tenue André, un homme qui partage le dortoir surgit devant moi.
<<qu'est ce que tu fais là>>.
<<à ton avis, je viens faire avec toi ce qu'un homme et une femme font ensemble>>.
<<tu es fou, on est là pour travailler ce n'est pas le lieu pour ça et on ne se connait pas>>.
<<on va faire connaissance et se faire du bien, là ou ailleurs quelle différence>>.
Malgré que mes paroles ne lui laissent pas d'espoir il insiste se colle contre moi et finit par passer un bras autour de ma taille.
J'hésite, est ce que je crie, est ce que je me débats, est'il utile de faire un scandale.
Ses lèvres sont sur les miennes et de sa main libre il caresse ma poitrine. Je capitule, j'ouvre la bouche et mêle ma langue à la sienne.
Une main s'insinue dans mon short et vient caresser mon sexe. il déboutonne mon short et le baisse puis il en fait autant avec mon slip. Je lève une jambe pour la dégager des vêtements et les laisse sur la cheville de l'autre jambe.
A genoux sur le sol il me pénètre en levrette après avoir sorti son sexe de son short.
Il s'active et rapidement éjacule dans mon vagin. Il se retire et se rajuste pendant que je m'essuie puis je me rhabille.
<<salaud, je vais rester les fesses mouillées par ton sperme toute la journée>>.
Il sourit et part retrouver les autres puis j'en fais autant après avoir un peu attendue.
Aux regards que me lancent les vendangeurs je vois qu'ils ont compris ce qui s'était passé.
Le soir ceux qui dorment sur place dînent ensemble puis nous parlons un moment, je suis la seule femme avec cinq hommes, et je passe dans une salle de bain sommaire installée près des dortoirs avant d'aller me coucher en pyjama.
Je commence à m'assoupir quand on pénètre dans ce qui me sert de chambre, l'intrus se glisse dans mon lit et me dit tout bas:
<<chut c'est Paul, on va passer un bon moment tous les deux>>.
<<vas t'en, je n'ai pas envie de ça, on va nous entendre et qu'est ce que vont dire les autres>>.
<<la même chose qu'ils on dit quand tu t'es fait sauter par André ce midi>>.
<<et qu'est ce qu'ils ont dit>>.
<<que tu as l'air d'une sacrée salope, qu'on doit bien s'amuser avec toi et que tu ne dois pas faire de difficultés pour écarter les cuisses>>.
<<merci pour le compliment et les commentaires>>.
Il soulève ma veste de pyjama et caresse mon corps sans s'attarder à un endroit précis.
Rapidement il se débarrasse de son caleçon et s'allonge sur moi après m'avoir retiré le pantalon sans que je résiste, je me soulève même pour lui faciliter la tache salope que je suis.
Il ne perd pas de temps en préliminaires.
Sa queue bute sur mon sexe et cherche l'entrée de mon intimité dans laquelle elle s'enfonce. Il se met en action et les va-et-vient de son pénis dans mon vagin sont rythmés par le bruit du lit qui grince.
Ses collègues ne doivent plus ignorer ce qui se passe s'ils ne le savaient pas déjà.
Rapidement il éjacule en moi, se retire et à genoux sur moi présente sa verge au dessus de mon visage attendant que je lui fasse une pipe, je m'exécute et ma bouche avale son membre que je suce énergiquement jusqu'à ce qu'il juge que c'est suffisant.
Il se rallonge sur moi, me pénètre de nouveau et me défonce pendant un moment à grands coups de reins ne se préoccupant pas du bruit maintenant très audible que fait le lit.
Je mouille mais le plaisir n'est pas très important. Il se soulage encore dans mon ventre puis se lève et s'en va après m'avoir souhaité bonne nuit.
Après avoir enfilé une chemise de nuit (je ne veux pas tacher de sperme le pantalon de pyjama) je retourne dans le coin toilette et me lave. Quand j'en sors Pascal est devant moi.
<<je t'attendais, tu es partie trop vite et je n'ai pas eu le temps d'arriver dans ta chambre avant que tu ne viennes ici>>.
<<pourquoi, j'ai sommeil et je n'ai pas envie de parler>>.
<<non, c'est pour baiser avec toi, moi aussi j'ai envie de profiter>>.
Il insiste et me plaque debout contre le mur, jambes écartées et chemise relevée il me pénètre et remue en donnant de bons coups de reins pour rapidement inonder ma chatte.
Il me courbe et se positionne derrière moi puis me prend en levrette. Pendant qu'il me défonce je me cramponne au mur. Sa queue fait des aller-retour pendant un moment dans mon vagin avant de l'arroser.
Il remet son pénis dans son short et va se coucher.
Je me lave et retourne dans mon lit puis m'endors.
Le lendemain matin les hommes font comme-ci rien ne s'était passé.
Pendant la matinée nous travaillons normalement.
Le midi une fois que nous avons mangé André me fait signe de le suivre, je ne bouge pas, il insiste et je finis par lui obéir de peur qu'il ne se manifeste bruyamment devant les autres.
Dans les vignes il s'assoit sur le sol et à genoux entre ses jambes je le fais éjaculer en lui faisant une fellation, je recrache le sperme puis à genoux il me prend en levrette et après peu de temps mon vagin reçoit les giclées de sperme. Je suis loin d'avoir pris du plaisir.
Correctement rhabillés nous retrouvons le groupe de vendangeurs en affrontant leurs sourires et les remarques, c'est surtout moi qui suis concernée car je passe pour une grosse salope qui a le feu au cul.
Le soir une fois couchés c'est Marc qui fait irruption dans mon lit. Comme je pressentais que quelque chose allait encore m'arriver je suis nue. Il caresse un peu mon corps puis je satisfais ses besoins en lui faisant une pipe, il éjacule dans ma bouche puis il pénètre mon vagin et ne met pas beaucoup de temps avant d'y cracher des jets de semence.
Il retourne se coucher et quelques minutes après Alain s'invite dans ma couche, il m'embrasse et se montre un peu plus caressant allant jusqu'à masturber mon clitoris.
Il me pénètre et remue. Quand la jouissance approche il vient se soulager dans ma gorge puis retourne en faire autant dans mon vagin après m'avoir défoncée avec fougue.
Je vais me laver et enfile mon pyjama puis je me couche.
J'ai compris qu'ils se sont entendus entre-eux pour passer à tour de rôle dans mon lit sans s'occuper de ce que j'en pensais ni si j'étais d'accord.
La semaine se passe ainsi: tous les midi c'est André qui me saute dans les vignes, dés qu'il se lève et me regarde je le suis résignée sans me poser de questions. Le soir un jour ce sont Paul et Pascal puis le lendemain Marc et Alain qui me prennent faisant monter la température dans mon corps.
Ils se soulagent trop rapidement dans mon intimité ou ma bouche sans prolonger l'étreinte plus que nécessaire ayant eus ce qu'ils veulent de moi.
Je suis frustrée car ils ne cherchent pas à me procurer le plaisir que je suis en droit d'espérer mais je n'ose pas me caresser et ni me masturber de peur que le bruit du lit ne leur révèle ce que je suis en train de faire. Je reste avec mes envies inassouvies et chaque soir j'attends que le calme revienne dans mon ventre avant de m'endormir.
Libérés par mon exemple deux couples illégitimes se sont formés. Un qui s'isole le midi après le repas et qui copule dans les vignes et l'autre qui attend que nous partions en fin de journée pour s'accoupler.
Je ne suis plus la seule femme à être montrée du doigt et critiquée.
C'est la fin des vendanges, le midi un repas ou le vin ne manque pas nous réunit, les tables sont installées sous des arbres dans la propriété des viticulteurs. Pour l'ambiance on ne peut mieux et même celles et ceux qui étaient plus ou moins coincés pendant la cueillette s'y mettent.
Quand nous quittons le domaine je monte dans la voiture de Marc qui a proposé de me déposer dans la ville voisine.
En route il s'arrête dans un chemin et m'invite à descendre. Des autos stoppent derrière nous et les cinq hommes qui ont profité de mon corps sont là.
<<nous ne voulions pas partir sans te dire au revoir et garder un petit souvenir de toi>>.
<<je ne comprends pas ou vous voulez en venir>>. En fait je ne comprends que trop bien.
Malgré mes protestations ils me déshabillent, je me retrouve nue couchée sur le dos sur le capot de la voiture de Marc puis pendant que André me pénètre et me défonce les autres me pelotent et torturent les tétons de mes seins.
Puis ils se succèdent dans mon vagin y éjaculant chacun leur tour.
Une fois leur envie assouvie ils m'embrassent sur la bouche, remontent dans leurs voitures et partent.
Je reste seule avec Marc à qui je dis:
<<si tu veux que je paie pour le transport il n'y a pas de problème mon sexe est disponible>>.
Il ne se le fait pas dire deux fois et s'adosse à une portière, à genoux je lui fais une fellation puis il me demande de me pencher en avant et placé derrière moi il me prend en levrette et s'active pendant qu'indifférente j'attends que mon intimité soit encore arrosée ce qui ne tarde pas à arriver.
Marc essuie sa queue avec un chiffon puis me tend une bouteille d'eau et un autre chiffon, je me lave les fesses puis je récupère ma robe et mes sous-vêtements qui ont posés sur le toit de l'auto et je me rhabille.
Il me dépose devant un hôtel dans la ville voisine et me quitte après m'avoir embrassée.
L'après-midi je passe dans une laverie ou je lave et sèche mes vêtements sales, surtout mes culottes.
Le soir Pierre arrive et me rejoint dans ma chambre, il me demande comment s'est passée ma semaine et je lui réponds que sans lui ce n'était plus pareil en omettant de lui parler que j'ai servie de vide-couilles aux occupants du dortoir (une semaine de rapports sexuels sans éprouver de plaisir ça ne vaut pas la peine d'en parler).
il me dit que s'il inspectait mes culottes il y trouverait des traces suspectes. J'ouvre ma valise dans laquelle il trouve mes vêtements propres et bien pliés, me connaissant il est étonné.
Nous allons dîner dans un restaurant puis revenus à l'hôtel il me fait l'amour et bien jouir pendant la nuit.Entre deux étreintes j'embrasse et lèche longtemps son dos ce qui le fait frémir, il adore ça.
Le lendemain matin nous prenons la route pour revenir chez nous tranquillement.
Notre expérience de vendangeurs s'est arrêtée là.
Mais cette année Pierre doit partir en déplacement avant la fin, il reste une bonne semaine de travail pour en terminer.
Les gens du coin retournent chez eux après le travail, nous logeons sur place et en plus de nous cinq hommes (Paul, Alain, André, Marc et Pascal)partagent le même dortoir. Une cloison mince sépare la partie femme ou se trouvent deux lits d'une personne et ou je couche avec mon mari (je suis la seule femme à loger dans le dortoir), de ce fait nous faisons l'amour succinctement en évitant de faire du bruit car les lits métalliques grincent.
La dernière semaine commence et Pierre est parti de bonne heure pour l'Allemagne.
Il fait beau en ce mois de septembre et je me rends dans la vigne vêtue d'un maillot ajusté, d'un short qui moule mes fesses et chaussée de tennis. Une tenue habituelle pour moi.
Le matin nous faisons une pose casse-croûte, des hommes me draguent ouvertement.
Je constate que maintenant que je suis seule les hommes deviennent beaucoup plus entreprenants, mon air de salope doit y être pour quelque chose.
Le midi comme tous les jours une table est dressée dans un chemin, les victuailles sont posées dessus et nous mangeons ensemble assis dans l'herbe.
Le repas terminé je vais dans un endroit tranquille entre les rangs de vigne pour satisfaire un besoin naturel. Quand je me relève et rajuste ma tenue André, un homme qui partage le dortoir surgit devant moi.
<<qu'est ce que tu fais là>>.
<<à ton avis, je viens faire avec toi ce qu'un homme et une femme font ensemble>>.
<<tu es fou, on est là pour travailler ce n'est pas le lieu pour ça et on ne se connait pas>>.
<<on va faire connaissance et se faire du bien, là ou ailleurs quelle différence>>.
Malgré que mes paroles ne lui laissent pas d'espoir il insiste se colle contre moi et finit par passer un bras autour de ma taille.
J'hésite, est ce que je crie, est ce que je me débats, est'il utile de faire un scandale.
Ses lèvres sont sur les miennes et de sa main libre il caresse ma poitrine. Je capitule, j'ouvre la bouche et mêle ma langue à la sienne.
Une main s'insinue dans mon short et vient caresser mon sexe. il déboutonne mon short et le baisse puis il en fait autant avec mon slip. Je lève une jambe pour la dégager des vêtements et les laisse sur la cheville de l'autre jambe.
A genoux sur le sol il me pénètre en levrette après avoir sorti son sexe de son short.
Il s'active et rapidement éjacule dans mon vagin. Il se retire et se rajuste pendant que je m'essuie puis je me rhabille.
<<salaud, je vais rester les fesses mouillées par ton sperme toute la journée>>.
Il sourit et part retrouver les autres puis j'en fais autant après avoir un peu attendue.
Aux regards que me lancent les vendangeurs je vois qu'ils ont compris ce qui s'était passé.
Le soir ceux qui dorment sur place dînent ensemble puis nous parlons un moment, je suis la seule femme avec cinq hommes, et je passe dans une salle de bain sommaire installée près des dortoirs avant d'aller me coucher en pyjama.
Je commence à m'assoupir quand on pénètre dans ce qui me sert de chambre, l'intrus se glisse dans mon lit et me dit tout bas:
<<chut c'est Paul, on va passer un bon moment tous les deux>>.
<<vas t'en, je n'ai pas envie de ça, on va nous entendre et qu'est ce que vont dire les autres>>.
<<la même chose qu'ils on dit quand tu t'es fait sauter par André ce midi>>.
<<et qu'est ce qu'ils ont dit>>.
<<que tu as l'air d'une sacrée salope, qu'on doit bien s'amuser avec toi et que tu ne dois pas faire de difficultés pour écarter les cuisses>>.
<<merci pour le compliment et les commentaires>>.
Il soulève ma veste de pyjama et caresse mon corps sans s'attarder à un endroit précis.
Rapidement il se débarrasse de son caleçon et s'allonge sur moi après m'avoir retiré le pantalon sans que je résiste, je me soulève même pour lui faciliter la tache salope que je suis.
Il ne perd pas de temps en préliminaires.
Sa queue bute sur mon sexe et cherche l'entrée de mon intimité dans laquelle elle s'enfonce. Il se met en action et les va-et-vient de son pénis dans mon vagin sont rythmés par le bruit du lit qui grince.
Ses collègues ne doivent plus ignorer ce qui se passe s'ils ne le savaient pas déjà.
Rapidement il éjacule en moi, se retire et à genoux sur moi présente sa verge au dessus de mon visage attendant que je lui fasse une pipe, je m'exécute et ma bouche avale son membre que je suce énergiquement jusqu'à ce qu'il juge que c'est suffisant.
Il se rallonge sur moi, me pénètre de nouveau et me défonce pendant un moment à grands coups de reins ne se préoccupant pas du bruit maintenant très audible que fait le lit.
Je mouille mais le plaisir n'est pas très important. Il se soulage encore dans mon ventre puis se lève et s'en va après m'avoir souhaité bonne nuit.
Après avoir enfilé une chemise de nuit (je ne veux pas tacher de sperme le pantalon de pyjama) je retourne dans le coin toilette et me lave. Quand j'en sors Pascal est devant moi.
<<je t'attendais, tu es partie trop vite et je n'ai pas eu le temps d'arriver dans ta chambre avant que tu ne viennes ici>>.
<<pourquoi, j'ai sommeil et je n'ai pas envie de parler>>.
<<non, c'est pour baiser avec toi, moi aussi j'ai envie de profiter>>.
Il insiste et me plaque debout contre le mur, jambes écartées et chemise relevée il me pénètre et remue en donnant de bons coups de reins pour rapidement inonder ma chatte.
Il me courbe et se positionne derrière moi puis me prend en levrette. Pendant qu'il me défonce je me cramponne au mur. Sa queue fait des aller-retour pendant un moment dans mon vagin avant de l'arroser.
Il remet son pénis dans son short et va se coucher.
Je me lave et retourne dans mon lit puis m'endors.
Le lendemain matin les hommes font comme-ci rien ne s'était passé.
Pendant la matinée nous travaillons normalement.
Le midi une fois que nous avons mangé André me fait signe de le suivre, je ne bouge pas, il insiste et je finis par lui obéir de peur qu'il ne se manifeste bruyamment devant les autres.
Dans les vignes il s'assoit sur le sol et à genoux entre ses jambes je le fais éjaculer en lui faisant une fellation, je recrache le sperme puis à genoux il me prend en levrette et après peu de temps mon vagin reçoit les giclées de sperme. Je suis loin d'avoir pris du plaisir.
Correctement rhabillés nous retrouvons le groupe de vendangeurs en affrontant leurs sourires et les remarques, c'est surtout moi qui suis concernée car je passe pour une grosse salope qui a le feu au cul.
Le soir une fois couchés c'est Marc qui fait irruption dans mon lit. Comme je pressentais que quelque chose allait encore m'arriver je suis nue. Il caresse un peu mon corps puis je satisfais ses besoins en lui faisant une pipe, il éjacule dans ma bouche puis il pénètre mon vagin et ne met pas beaucoup de temps avant d'y cracher des jets de semence.
Il retourne se coucher et quelques minutes après Alain s'invite dans ma couche, il m'embrasse et se montre un peu plus caressant allant jusqu'à masturber mon clitoris.
Il me pénètre et remue. Quand la jouissance approche il vient se soulager dans ma gorge puis retourne en faire autant dans mon vagin après m'avoir défoncée avec fougue.
Je vais me laver et enfile mon pyjama puis je me couche.
J'ai compris qu'ils se sont entendus entre-eux pour passer à tour de rôle dans mon lit sans s'occuper de ce que j'en pensais ni si j'étais d'accord.
La semaine se passe ainsi: tous les midi c'est André qui me saute dans les vignes, dés qu'il se lève et me regarde je le suis résignée sans me poser de questions. Le soir un jour ce sont Paul et Pascal puis le lendemain Marc et Alain qui me prennent faisant monter la température dans mon corps.
Ils se soulagent trop rapidement dans mon intimité ou ma bouche sans prolonger l'étreinte plus que nécessaire ayant eus ce qu'ils veulent de moi.
Je suis frustrée car ils ne cherchent pas à me procurer le plaisir que je suis en droit d'espérer mais je n'ose pas me caresser et ni me masturber de peur que le bruit du lit ne leur révèle ce que je suis en train de faire. Je reste avec mes envies inassouvies et chaque soir j'attends que le calme revienne dans mon ventre avant de m'endormir.
Libérés par mon exemple deux couples illégitimes se sont formés. Un qui s'isole le midi après le repas et qui copule dans les vignes et l'autre qui attend que nous partions en fin de journée pour s'accoupler.
Je ne suis plus la seule femme à être montrée du doigt et critiquée.
C'est la fin des vendanges, le midi un repas ou le vin ne manque pas nous réunit, les tables sont installées sous des arbres dans la propriété des viticulteurs. Pour l'ambiance on ne peut mieux et même celles et ceux qui étaient plus ou moins coincés pendant la cueillette s'y mettent.
Quand nous quittons le domaine je monte dans la voiture de Marc qui a proposé de me déposer dans la ville voisine.
En route il s'arrête dans un chemin et m'invite à descendre. Des autos stoppent derrière nous et les cinq hommes qui ont profité de mon corps sont là.
<<nous ne voulions pas partir sans te dire au revoir et garder un petit souvenir de toi>>.
<<je ne comprends pas ou vous voulez en venir>>. En fait je ne comprends que trop bien.
Malgré mes protestations ils me déshabillent, je me retrouve nue couchée sur le dos sur le capot de la voiture de Marc puis pendant que André me pénètre et me défonce les autres me pelotent et torturent les tétons de mes seins.
Puis ils se succèdent dans mon vagin y éjaculant chacun leur tour.
Une fois leur envie assouvie ils m'embrassent sur la bouche, remontent dans leurs voitures et partent.
Je reste seule avec Marc à qui je dis:
<<si tu veux que je paie pour le transport il n'y a pas de problème mon sexe est disponible>>.
Il ne se le fait pas dire deux fois et s'adosse à une portière, à genoux je lui fais une fellation puis il me demande de me pencher en avant et placé derrière moi il me prend en levrette et s'active pendant qu'indifférente j'attends que mon intimité soit encore arrosée ce qui ne tarde pas à arriver.
Marc essuie sa queue avec un chiffon puis me tend une bouteille d'eau et un autre chiffon, je me lave les fesses puis je récupère ma robe et mes sous-vêtements qui ont posés sur le toit de l'auto et je me rhabille.
Il me dépose devant un hôtel dans la ville voisine et me quitte après m'avoir embrassée.
L'après-midi je passe dans une laverie ou je lave et sèche mes vêtements sales, surtout mes culottes.
Le soir Pierre arrive et me rejoint dans ma chambre, il me demande comment s'est passée ma semaine et je lui réponds que sans lui ce n'était plus pareil en omettant de lui parler que j'ai servie de vide-couilles aux occupants du dortoir (une semaine de rapports sexuels sans éprouver de plaisir ça ne vaut pas la peine d'en parler).
il me dit que s'il inspectait mes culottes il y trouverait des traces suspectes. J'ouvre ma valise dans laquelle il trouve mes vêtements propres et bien pliés, me connaissant il est étonné.
Nous allons dîner dans un restaurant puis revenus à l'hôtel il me fait l'amour et bien jouir pendant la nuit.Entre deux étreintes j'embrasse et lèche longtemps son dos ce qui le fait frémir, il adore ça.
Le lendemain matin nous prenons la route pour revenir chez nous tranquillement.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
je suis comme le lecteur il y a un manque de respect du plaisir! domage.
Si cest bien réel ce n'est pas les vendanges mais les vidanges!!! Cest bien raconté mais c'est incompréhensible ces hommes qui vident leurs couilles sans donner de plaisir...
Je ne comprends pas! Surtout une belle salope comme vous doit être honorer comme il faut son plaisir doit passer avant celui de ces chiens a qui elle daigne offrir son corps
Je ne comprends pas! Surtout une belle salope comme vous doit être honorer comme il faut son plaisir doit passer avant celui de ces chiens a qui elle daigne offrir son corps
toujours aussi salope
super!j'ai moi aussi fait les vendanges j'avais 45 ans,il y avait 5 hommes et 3 femmes 2 filles de l'est et moi ,tous les soires c'était la fête ,pas mal d'alcool,et les filles excitaient énormément les mecs,moi j'étais la mémère
mais de les voires baiser je m'excitais et un gamin de 18 ans plus timide me demanda si je pouvais lui montrer mes seins je lui dis d'accord mes toi montre ta bite je l'ai sucé puis aprés un autre m'a baisé dans la semaine les 5 ont sautés la mémé et j'ai mème sucée les chattes des filles.Les vendanges un bon souvenir!
mais de les voires baiser je m'excitais et un gamin de 18 ans plus timide me demanda si je pouvais lui montrer mes seins je lui dis d'accord mes toi montre ta bite je l'ai sucé puis aprés un autre m'a baisé dans la semaine les 5 ont sautés la mémé et j'ai mème sucée les chattes des filles.Les vendanges un bon souvenir!