Titre de l'histoire érotique : Ma 307 ! enfin la liberté ! - histoire érotique

Pour moi avoir dix huit ans c’est la liberté et encore plus depuis que j’ai mon permis de conduire et ma petite 307 rouge, c’est un peu comme un minuscule loft, avec elle j’ai envie d’aller partout, de tout voir, de tout faire dedans…je n’ai pas encore testé mais pour faire certaines choses l’espace est limité !

Je ne pense qu’au sexe ? NON ! quoique …? je me souviens lorsque mon grand frère me donnait des leçons de conduite sur le grand parking de l’hyper marché, il me faisait manœuvrer au bout d’un bâtiment où a plusieurs reprises j’ai vu des hommes uriner, une fois un gars pissait volontairement exposé a notre vue ça m’avait choquée et mon frère aussi, il m’avait d’ailleurs conseillé de ne jamais venir trainer par ici, conseil qui évidement avait aiguisé ma curiosité
Voir en douce des verges de mecs m’a toujours titillée, comme un fantasme, et si j’allais me garer par là-bas ? je reste dans ma voiture comme si j’attendais quelqu’un ? et j’attends des amateurs ! c’est ce que je fais en ce moment, je viens de stationner de façon a me rendre discrète, j’attends patiemment cinq minutes, Ha ! en voilà un … bofff, il est vieux et se soulage en quelques secondes, secoue son bout surement fripé, le range et disparait
Tien-tien… en voilà un autre pas mal, mais je crois qu’il a vu que j’étais dans la voiture car au moment d’uriner il se retourne, hésite … wouaaah ! je la vois ! muuuuuummmmmm, il en dépasse pas mal de sa main elle doit être longue …c’est bizarre je ne vois pas le jet ? a nouveau il regarde dans ma direction …je ne détourne pas la tête, il vient de la lâcher …noooonnn ! il se concentre et la fait se soulever toute seule, elle retombe lourdement avant de remonter encore plus haut, de plus en plus haut jusqu’à rester raide a l’horizontale, désormais il bande !, j’aimerais bien qu’il se branle …OOOUUUUAAIIIS ! mon vœux est exaucé ! il la chope et la décalotte ! Haaaaaa zuuut ! juste au moment ou ma main va s’égarer entre mes cuisses un autre mec arrive, il range son matériel en catastrophe et passe au ras de ma portière dont la glace est baissée, il a surement eu le temps de voir mes cuisses dénudées

- Je serais là demain même heure, salut…

Je suis consternée et a la fois surprise du rendez vous proposé, je redémarre la culotte mouillée… il a quand même une belle bite ce mec, c’est décidé demain je reviens !
Impatiente je suis arrivée dix minutes en avance, j’ai vu un défilé de gars mais aucun n’a osé me la montrer... ha, le voilà ! il m’a vue et va se poster afin que je perde rien du spectacle, je remonte carrément ma jupe et écarte mon string prête a me toucher le bonbon
je vois une touffe de poils bruns d’où émerge sa queue et ses couilles, il bande … lentement il décalotte sa verge et commence à faire coulisser la peau dans sa paume, les genoux légèrement fléchis ça doit l’exciter de se savoir épié, mes deux doigts virevoltent sur mon clitoris enduit de cyprine, c’est bon, mais pas question de fermer les yeux, je ne rien rater ! nous nous masturbons de concert mais lui ne voit pas ma moule ! dommage …
Soudain il me fait des signes de tête... que veut-il me dire ?? … quoi ? lorsque je comprend il est trop tard, je vois une ombre de l’autre coté de ma 307, un homme est penché et me mate, j’ôte ma main de mon entrecuisse et rabaisse vivement ma jupe, je doit être rouge pivoine, comme ma voiture ! le voyeur, un vieux moustachu a la George Brassens ne se dégonfle pas et fait le tour pour venir a ma portière

- N’aie pas peur , j’ai vu par mégarde et comme c’était tellement beau que je n’ai pu m’empêcher de te regarder !
- Vous êtes gonflé !
- Je suppose que ton copain et toi n’avez pas de lieu discret pour conclure
- Mais ce n’est pas…
- Je peux vous inviter dans mon camping car, il est garé juste là, ne bouge pas je vais lui parler

Interloquée je vois le mec se diriger vers mon bel inconnu qui a tout rangé en catastrophe une fois de plus ! ils me regardent tous les deux, au bout d’un moment le jeune me fait ‘oui’ de la tête, les voilà qui reviennent vers moi …

- Tu viens ?
- Mais je ne veux pas …
- Il a juré qu’il ne te toucherait pas, il mate seulement, aller vient !
- Tu va me la montrer encore ?
- Oui …
- Alors juste un moment

Le gars nous attend sur la marche du véhicule, ce salaud laisse trainer une main sur mon cul lorsque je grimpe a l’intérieur, j’attends bêtement au milieu de l’allée ne sachant pas quoi faire et comment ça allait se passer

- Asseyez-vous sur le lit mes petits, je reste là sans bouger
- Tu viens ?
- Je … bon …

Ma poitrine va exploser, à nouveau rouge je m’assois a cote du jeune homme qui passe un bras autour de ma taille

- Comment tu t’appelle ?
- Roseline et toi ?
- Roméo
- Tu es belle
- Toi aussi …
- Alors tu aime regarder ?
- Oui et toi ?
- Moi aussi, je te la montre encore ?
- Si tu veux
- Tu peux remonter ta jupe ?
- Pas trop haut !
- Encore un peu ?
- Là ça va ?
- Du moment que j’aperçois ta petite culotte ça me suffit pour bander, regarde comme je suis excité, touche là elle ne mord pas

Je fais le vide dans ma tête, j’oublie le vieux qui mate mon entrecuisse et saisie la verge raide et chaude, une légère poussée sur mon épaule et je me laisse choir doucement en arrière sans chercher à résister, les jambes pendantes et entrouvertes une main s’insinue entres elles, je ne lâche pas le membre qui tressaute au creux de ma paume, ma chatte est malaxée, les lèvres séparées par un doigt inquisiteur qui s’y engouffre comme dans une motte de beurre fondu, notre mateur pousse un râle de satisfaction, il doit sans aucun doute s’astiquer le poireau en nous voyant exaucer ses désirs , je me surprend a faire le maximum pour lui faire plaisir, mes genoux se joignent lorsque mon string est tiré vers le bas pour s’écarter au maximum l’instant d’après sans que je ne ressente aucune honte

- Quelle belle petite chattoune … bouffe la lui petit !
- J’ai trop envie de la baiser …
- Alors va-y, tu vois bien qu’elle ne demande que ça ! putain que c’est beau ! ils vont me faire décharger ces petits jeunes

Les fesses au bord du lit, mes jambes sont relevées, le garçon vient se placer entres-elles, je les laisse reposer sur ses épaules, mon bassin se porte au niveau de son sexe qui cherche l’entrée de mon calice en eau

- HHHHHHHaaaaaaaaooooouuuuuiiiiiiiii ! Baise mmmmooooooooooooooi
- Hhhhhhhhooooooo que c’est bbbbbooooooonnnnnnn !
- Putain !!! j’le crois pas ! ils baisent sous mes yeux ! qu’est-ce qu’il lui met ! je vais m’approcher pour mieux voir sa bite coulisser dans son con

Les paroles du vieux me parviennent au loin, mais au lieu de me gêner elles m’incitent à en faire plus, je voudrais qu’il repeigne son camping car de son foutre en voyant ma chatte bourrée par une belle pine, rien que cette pensée fait monter en moi un orgasme sublime, mes jambes serrées bloquent le mec au fond de ma grotte et le font décharger prématurément, je reste alanguie encore écartelée sur le lit a savourer le bienfait du sperme dans mon vagin tandis que mon amant se retire brutalement de ma chatte

- Aaaaaaaaaahhhhhhhhh ! la vache, elle m’a fait jouir trop vite cette conne !
- Que c’est booooooonnnnnnnnn !
- Pour toi peu être ? tu m’as fait jouir trop tôt, je m’ barre !
- Mais ??? quel con ?
- Laisse-le partir ma petite … hoooooo, bon-sang de bonsoir tu vas salir mon dessus de lit ! ne bouge surtout pas !
- Qu’allez-vous faire ?
- Te nettoyer le minou pardi
- Comment ?
- Avec ma langue !

Avant que je n’ai pus protester sa bouche est collée à mon vagin et je peux dire que dés la première seconde je ne le regrette pas ! un vrai virtuose de la langue et des doigts, ce mec connait indiscutablement les points névralgiques de la femme, ajouté a ça la moustache qui chatouille divinement mes petites lèvres, en moins de deux il ravive mon orgasme a peine éteint, je lui maintient la tête sur mon vagin complètement explosé, j’ai des doigts dans le minou d’autres dans le trou de balle, ce qu’il désirait faire pour éviter des taches a son lit est anéanti par des giclées de pisse que je lui balance a la figure

Apaisée je retombe sur le lit yeux fermés, voulant simplement jouer les voyeuses qui aurait dit que j’allais vivre une telle aventure, je vais pour me relever quand un corps pesant me plaque sur la couche

- Pas si vite ma mignonne, laisse tonton Luc profiter de cette bonne aubaine, écarte encore un peu tes cuisses
- Je ne veux pas ! je ne veux pas ! je ne veux …… !!! haaaaaaaaaaaaaaaaoooooooooooouuuuuuuuuuuuiiiiiiiii, enfoncez-vous encore !
- Tu vois ? tu me remercieras de t’avoir ramoné le minou plus longtemps que ce jeune con ! au fait ? tu sais qu’il est encore là ?
- J’m’en fous …
- Et si ??? et si nous te prenions à deux ?
- Suce-moi salope, tu m’as fait jouir trop vite, tu me dois bien ça
- Aller accepte

De toute façon sa pine force déjà mes lèvres, je n’ai pas ouvert la bouche qu’il s’y engouffre, prise par le haut et par le bas je prends la décision d’en profiter à fond, je suce méthodiquement le nœud encore aromatisé de ma chatte tandis que ses couilles ballottent sur mon front, le vieux camping cariste s’acharne nerveusement dans ma cramouille en aspirant les sécrétions que j’ai laissée dans sa moustache, tout a coup le jeune s’arrache de ma bouche

- Faites là basculer sur vous, j’ai envie de la prendre aussi par la chatte
- Si tu veux petit, nous allons lui agrandir le vestibule… cramponne toi a moi petite, tu vas connaitre le nirvana

Le cul en l’air je ne vois plus que la face du vieux, derrière moi Roméo s’affaire, son gland cherche à se caser auprès de la bite enfoncée profondément dans ma matrice, je fais un bond incontrôlé lorsque ma chatte est étirée, mon moustachu m’a retenue de justesse avant que je ne l’éjecte, me voilà avec deux membres bien actifs plantés dans le ventre qui trouvent vite la bonne cadence

- Alors ? c’est pas bon une double ?
- Pour moi c’est super, elle me ratatine la bite !
- Vous allez m’exploser la chatte !
- Tu es plus endurant que moi Roméo, le frottement de ta pine va me faire décharger
- Je la finirais seul
- Teste son p’tit trou
- Non ! je ne veux pas être sodomisée !
- Dis-moi que mon doigt ne te fait pas de bien ?
- Je reconnais que ce n’est pas désagréable
- Ça y est les jeune je pars ! oooouuuuuuuuuaaaaaaaaaaaaaahh je vide mes couilles !
- Ça glisse trop facile, ha, ta queue est sortie de son con, je ne sens plus les bords
- Encule-moi …

Ces paroles sont sorties de ma bouche involontairement, mon corps réclame son dût, pendant que Roméo me sodomise le ‘vieux’ nettoie à nouveau ma moule avec appétit