Titre de l'histoire érotique : Ma belle-mère, son amant et moi.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-09-2017 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Ma belle-mère, son amant et moi.
Il faut que je vous raconte ma dernière histoire de sexe… Elle vaut son pesant d’or !
Mais d’abord, laissez-moi nous présenter.
Carolyn, ma belle mère a épousé mon père il ya deux ans… Touriste américaine en année sabbatique, ils se sont rencontrés dans une boîte de la Côte et se sont revus à plusieurs reprises avant qu’elle ne vienne s’installer à la maison.
Grande femme aux longs cheveux blonds, elle est très jolie et je ne suis pas étonné que mon père ait craqué pour elle… Un garçon dirait qu’elle a des formes voluptueuses…
Dans un visage à l’ovale parfait, elle a des yeux gris-vert ombrés de longs cils châtain (c’est sa couleur originelle), un nez pointu aux ailes mobiles et une bouche aux lèvres minces complète son portrait... Elle a une poitrine bien ronde et haut perchée que je lui envie… Mais n’as t’elle pas une douzaine d’années de plus que moi qui vient de fêter mes 18 ans…
Loïc mon père est âgé de 45 ans, c'est-à-dire 15 ans de plus que Carolyn…
Il dirige une entreprise d’accastillage et un petit chantier naval qui assure l’entretien des petits bateaux à moteur et à voiles attachés dans les ports du secteur. Avec son look de loup de mer aux yeux bleu délavé, une haute silhouette mince, il a toujours plu aux femmes… plus tard j’ai su qu’il avait de nombreuses maîtresses…
C’est d’ailleurs pour cela que ma mère a divorcé quelques années après ma naissance avant de déprimer, de sombrer dans l’alcool et de se suicider.
C’est à cette époque que je suis revenue vivre avec mon père.
Quant à moi Alice, j’ai hérité de ma mère le type méditerranéen… Brune de peau, de cheveux, j’ai cependant une silhouette longiligne avec une petite poitrine et des hanches tout juste marquées sous ma taille… Au lycée, je trainais toujours derrière moi une bande de garçons qui ne pensaient qu’à une chose : me faire la cour et m’emmener au lit avec eux…
Parfois les propositions étaient sans équivoque, du style « j’ai envie de te baiser… si t’es OK… on y va ! » !
S’ils avaient su… Il y avait bien longtemps que j’avais sauté le pas et perdu mon pucelage au creux d’une dune l’année de mes 15 ans ! Mais j’aimais me faire désirer.
Revenons-en à ce dernier weekend de juillet…
Avec une bande de copains, garçons et filles, nous étions partis en goguette pour fêter la fin de l’année universitaire.
C’est à mon retour à la villa le lundi matin vers 10 heures que c’est arrivé !
J’ai été surprise de voir à côté du cabriolet de ma belle mère, une voiture que je ne connaissais pas. J’ai pensé que c’était un des familiers de la maison qui avait changé de véhicule… mais c’était une voiture de location d’un réseau bien connu...
Je suis entrée… Personne dans le séjour, personne dans le bureau ni dans la cuisine.
Ce n’est que lorsque je suis arrivée à l’étage que j’ai entendu des bruits venant de la chambre de mon père… J’ai reconnu aussitôt la voie assez caractéristique de Carolyn.
Et elle n’était pas seule et les propos qu’elle tenait était sans équivoque : elle était en train de se faire baiser et elle y prenait beaucoup de plaisir en encourageant son partenaire tantôt en français, tantôt en anglais !
Et ce n’était pas mon père qui la sautait ainsi puisque je venais de l’avoir au téléphone !
C’était hyper chaud…
Bien qu’ayant baisé plusieurs fois au cours du weekend avec des partenaires différents, j’ai senti mon sexe s’humidifier aussitôt… et ma main droite s’est insinuée dans mon short pour aller caresser ma chatte…
Je suis restée à écouter ainsi près de dix minutes jusqu’à ce que j’entende les deux amants jouir bruyamment…
J’ai achevé de me caresser jusqu’à jouir discrètement en mordant mon autre main.
J’ai laissé passer quelques minutes et après avoir frappé à la porte, je suis entrée aussitôt ! Carolyn était des les bras de son amant…
Bref coup d’œil… Un colosse noir taillé comme un athlète de foot américain avec des épaules larges et des muscles à faire pâlir un culturiste !
Visiblement, ma belle mère n’était pas rassasiée… Elle lui faisait une fellation très appliquée, suçant un membre aux dimensions peu courantes qu’elle avait du mal à faire entrer entièrement dans sa bouche.
• Oh Carolyn ! Excuse moi… je te croyais seule… je voulais te dire que j’étais rentrée !
• Bon, puisque tu es là, je te présente Steve, un de mes ex boy-friends… Il est de passage à Nice et il est venu me rendre visite ! Tu ne diras rien à ton père ?
• Tu n’crois pas que tu vas t’en tirer à si bon compte ! J’aurais pas cru çà de toi ! D’abord… tu vas te dém----er mais je veux 500 € pour me taire… çà vaut bien çà !
• Mais où veux-tu que je trouve 500 € comme çà ? Tu sais bien que je ne travaille pas…
• Trouve toi un ou deux gigolos, fais toi sauter puisque mon père ne te suffit pas et refile moi le fric dans une semaine !
• Approche toi et embrasse moi… faisons la paix… on va trouver un terrain d’entente !
Carolyn m’a tendu la main et m’attirée sur le lit. Elle m’a d’abord embrassé normalement puis sa bouche a dérivé vers la mienne, sa langue a forcé mes lèvres et s’est glissée entre mes dents… J’avais déjà été embrassée par plusieurs filles car j’étais bisexuelle depuis l’année du bac…
Et Carolyn embrassait bien.
Ses mains se sont glissées sous mon T-shirt pour venir agacer mes tétons.
• Tu sens comme tu es excitée… Tes tétons sont tout sortis !
• Humm… continue… c’est bon…
• Fais m’en autant… mes seins sont très sensibles… et comme je suis chaude… mes tétons vont réagir tout de suite.
Nous étions maintenant à genoux face à face sur le vaste lit. Carolyn a fait glisser mon T-shirt par-dessus mes épaules puis elle a ôté mon short.
Ce coquin de Steve nous observait en masturbant doucement son sexe.
• Carry on ! You are very exciting… Two beautiful whores !
D’un maint Carolyn caressait mes seins et s’attardait sur les bourgeons et de l’autre elle caressait mon pubis… J’en faisais autant… Je savais que ma chatte ruisselait tout comme celle de ma belle mère… à laquelle je finis par dire :
• J’veux plus des 500 €… mais laisse Steve me baiser… Son gros bout me fait envie… j’n’en ai jamais absorbé un pareil.
• Oh Alice… tu veux passer après moi ?
• Oui… çà n’me dérange pas !
Et en disant cela, je me suis penchée sur le sexe de Steve et je l’ai mis dans ma bouche pour bien le faire durcir… Pendant que je faisais des va et vient sur cette hampe magnifique, Carolyn caressait les bourses et la base du sexe de son amant…
Nous étions en train de lui faire une pipe à deux bouches qu’il semblait apprécier car sa bite ne cessait de grossir entre mes lèvres.
• Come on ! You put on doggy !
Pas besoin de préciser ! Il voulait me baiser en levrette ! Sa queue allait me ramoner la chatte au plus profond et j’allais aimer !
J’ai pris la position demandée au milieu du lit et Steve est venu entre mes jambes après s’être couvert. Je l’ai senti qu’il cherchait l’entrée de mon vagin puis le bout est entré…
J’étais tellement mouillée qu’il est entré facilement jusqu’au fin fond de ma chatte… Il a fait quelques mouvements et soudain, il s’est plaqué vivement contre mes fesses !
• You feel good ?
Oh oui, je me sentais bien… ses mains étaient crochées de chaque côté de ma taille et le mouvement de piston a commencé…
Carolyn s’est glissée tant bien que mal en dessous de moi et d’une main elle caressait mon clitoris que la position ne sollicitait pas trop et de l’autre, elle en faisait autant avec les bourses de NOTRE amant !
C’est chaud bouillant comme disent les antillais…
J’avais déjà baisé avec deux partenaires masculins, mais là, avec une autre femme et Steve qui continuait de me pilonner la chatte, c’était le pied total.
D’ailleurs, je n’ai pas tardé à jouir… agitant mon bassin sur ce pal qui continuait ses va et vient pour faire venir Steve…
Lorsque j’ai senti les giclées de sperme frapper le fond de la capote, je suis repartie une seconde fois dans une jouissance qui est remontée le long de mon dos et je me suis effondrée à plat ventre.
La tête de Carolyn était plaquée sur mon pubis et Steve encore au plus profond de moi.
Il fallait que je récupère… Nous nos sommes désunis… une femme de chaque côté de notre AMANT COMMUN… qui bandait encore à moitié, le préservatif plein encore sur sa bite qui m’avait envoyée en l’air deux fois en moins de cinq minutes !
Çà n’avait rien à voir avec mes autres amants… certains étaient presque aussi bien montés que Steve mais ce dernier avait plus d’expérience et savait faire « monter la sauce » !
• Merci Carolyn… Steve est génial… Quel amant !
• Oui… c’est bien pour cela que j’ai vécu plus d’un an avec lui aux States et que j’ai accepté de le revoir ici.
• T’as bien fait ! J’dirai rien à Papounet !
C’est comme çà que mon weekend s’est terminé…
Mais d’abord, laissez-moi nous présenter.
Carolyn, ma belle mère a épousé mon père il ya deux ans… Touriste américaine en année sabbatique, ils se sont rencontrés dans une boîte de la Côte et se sont revus à plusieurs reprises avant qu’elle ne vienne s’installer à la maison.
Grande femme aux longs cheveux blonds, elle est très jolie et je ne suis pas étonné que mon père ait craqué pour elle… Un garçon dirait qu’elle a des formes voluptueuses…
Dans un visage à l’ovale parfait, elle a des yeux gris-vert ombrés de longs cils châtain (c’est sa couleur originelle), un nez pointu aux ailes mobiles et une bouche aux lèvres minces complète son portrait... Elle a une poitrine bien ronde et haut perchée que je lui envie… Mais n’as t’elle pas une douzaine d’années de plus que moi qui vient de fêter mes 18 ans…
Loïc mon père est âgé de 45 ans, c'est-à-dire 15 ans de plus que Carolyn…
Il dirige une entreprise d’accastillage et un petit chantier naval qui assure l’entretien des petits bateaux à moteur et à voiles attachés dans les ports du secteur. Avec son look de loup de mer aux yeux bleu délavé, une haute silhouette mince, il a toujours plu aux femmes… plus tard j’ai su qu’il avait de nombreuses maîtresses…
C’est d’ailleurs pour cela que ma mère a divorcé quelques années après ma naissance avant de déprimer, de sombrer dans l’alcool et de se suicider.
C’est à cette époque que je suis revenue vivre avec mon père.
Quant à moi Alice, j’ai hérité de ma mère le type méditerranéen… Brune de peau, de cheveux, j’ai cependant une silhouette longiligne avec une petite poitrine et des hanches tout juste marquées sous ma taille… Au lycée, je trainais toujours derrière moi une bande de garçons qui ne pensaient qu’à une chose : me faire la cour et m’emmener au lit avec eux…
Parfois les propositions étaient sans équivoque, du style « j’ai envie de te baiser… si t’es OK… on y va ! » !
S’ils avaient su… Il y avait bien longtemps que j’avais sauté le pas et perdu mon pucelage au creux d’une dune l’année de mes 15 ans ! Mais j’aimais me faire désirer.
Revenons-en à ce dernier weekend de juillet…
Avec une bande de copains, garçons et filles, nous étions partis en goguette pour fêter la fin de l’année universitaire.
C’est à mon retour à la villa le lundi matin vers 10 heures que c’est arrivé !
J’ai été surprise de voir à côté du cabriolet de ma belle mère, une voiture que je ne connaissais pas. J’ai pensé que c’était un des familiers de la maison qui avait changé de véhicule… mais c’était une voiture de location d’un réseau bien connu...
Je suis entrée… Personne dans le séjour, personne dans le bureau ni dans la cuisine.
Ce n’est que lorsque je suis arrivée à l’étage que j’ai entendu des bruits venant de la chambre de mon père… J’ai reconnu aussitôt la voie assez caractéristique de Carolyn.
Et elle n’était pas seule et les propos qu’elle tenait était sans équivoque : elle était en train de se faire baiser et elle y prenait beaucoup de plaisir en encourageant son partenaire tantôt en français, tantôt en anglais !
Et ce n’était pas mon père qui la sautait ainsi puisque je venais de l’avoir au téléphone !
C’était hyper chaud…
Bien qu’ayant baisé plusieurs fois au cours du weekend avec des partenaires différents, j’ai senti mon sexe s’humidifier aussitôt… et ma main droite s’est insinuée dans mon short pour aller caresser ma chatte…
Je suis restée à écouter ainsi près de dix minutes jusqu’à ce que j’entende les deux amants jouir bruyamment…
J’ai achevé de me caresser jusqu’à jouir discrètement en mordant mon autre main.
J’ai laissé passer quelques minutes et après avoir frappé à la porte, je suis entrée aussitôt ! Carolyn était des les bras de son amant…
Bref coup d’œil… Un colosse noir taillé comme un athlète de foot américain avec des épaules larges et des muscles à faire pâlir un culturiste !
Visiblement, ma belle mère n’était pas rassasiée… Elle lui faisait une fellation très appliquée, suçant un membre aux dimensions peu courantes qu’elle avait du mal à faire entrer entièrement dans sa bouche.
• Oh Carolyn ! Excuse moi… je te croyais seule… je voulais te dire que j’étais rentrée !
• Bon, puisque tu es là, je te présente Steve, un de mes ex boy-friends… Il est de passage à Nice et il est venu me rendre visite ! Tu ne diras rien à ton père ?
• Tu n’crois pas que tu vas t’en tirer à si bon compte ! J’aurais pas cru çà de toi ! D’abord… tu vas te dém----er mais je veux 500 € pour me taire… çà vaut bien çà !
• Mais où veux-tu que je trouve 500 € comme çà ? Tu sais bien que je ne travaille pas…
• Trouve toi un ou deux gigolos, fais toi sauter puisque mon père ne te suffit pas et refile moi le fric dans une semaine !
• Approche toi et embrasse moi… faisons la paix… on va trouver un terrain d’entente !
Carolyn m’a tendu la main et m’attirée sur le lit. Elle m’a d’abord embrassé normalement puis sa bouche a dérivé vers la mienne, sa langue a forcé mes lèvres et s’est glissée entre mes dents… J’avais déjà été embrassée par plusieurs filles car j’étais bisexuelle depuis l’année du bac…
Et Carolyn embrassait bien.
Ses mains se sont glissées sous mon T-shirt pour venir agacer mes tétons.
• Tu sens comme tu es excitée… Tes tétons sont tout sortis !
• Humm… continue… c’est bon…
• Fais m’en autant… mes seins sont très sensibles… et comme je suis chaude… mes tétons vont réagir tout de suite.
Nous étions maintenant à genoux face à face sur le vaste lit. Carolyn a fait glisser mon T-shirt par-dessus mes épaules puis elle a ôté mon short.
Ce coquin de Steve nous observait en masturbant doucement son sexe.
• Carry on ! You are very exciting… Two beautiful whores !
D’un maint Carolyn caressait mes seins et s’attardait sur les bourgeons et de l’autre elle caressait mon pubis… J’en faisais autant… Je savais que ma chatte ruisselait tout comme celle de ma belle mère… à laquelle je finis par dire :
• J’veux plus des 500 €… mais laisse Steve me baiser… Son gros bout me fait envie… j’n’en ai jamais absorbé un pareil.
• Oh Alice… tu veux passer après moi ?
• Oui… çà n’me dérange pas !
Et en disant cela, je me suis penchée sur le sexe de Steve et je l’ai mis dans ma bouche pour bien le faire durcir… Pendant que je faisais des va et vient sur cette hampe magnifique, Carolyn caressait les bourses et la base du sexe de son amant…
Nous étions en train de lui faire une pipe à deux bouches qu’il semblait apprécier car sa bite ne cessait de grossir entre mes lèvres.
• Come on ! You put on doggy !
Pas besoin de préciser ! Il voulait me baiser en levrette ! Sa queue allait me ramoner la chatte au plus profond et j’allais aimer !
J’ai pris la position demandée au milieu du lit et Steve est venu entre mes jambes après s’être couvert. Je l’ai senti qu’il cherchait l’entrée de mon vagin puis le bout est entré…
J’étais tellement mouillée qu’il est entré facilement jusqu’au fin fond de ma chatte… Il a fait quelques mouvements et soudain, il s’est plaqué vivement contre mes fesses !
• You feel good ?
Oh oui, je me sentais bien… ses mains étaient crochées de chaque côté de ma taille et le mouvement de piston a commencé…
Carolyn s’est glissée tant bien que mal en dessous de moi et d’une main elle caressait mon clitoris que la position ne sollicitait pas trop et de l’autre, elle en faisait autant avec les bourses de NOTRE amant !
C’est chaud bouillant comme disent les antillais…
J’avais déjà baisé avec deux partenaires masculins, mais là, avec une autre femme et Steve qui continuait de me pilonner la chatte, c’était le pied total.
D’ailleurs, je n’ai pas tardé à jouir… agitant mon bassin sur ce pal qui continuait ses va et vient pour faire venir Steve…
Lorsque j’ai senti les giclées de sperme frapper le fond de la capote, je suis repartie une seconde fois dans une jouissance qui est remontée le long de mon dos et je me suis effondrée à plat ventre.
La tête de Carolyn était plaquée sur mon pubis et Steve encore au plus profond de moi.
Il fallait que je récupère… Nous nos sommes désunis… une femme de chaque côté de notre AMANT COMMUN… qui bandait encore à moitié, le préservatif plein encore sur sa bite qui m’avait envoyée en l’air deux fois en moins de cinq minutes !
Çà n’avait rien à voir avec mes autres amants… certains étaient presque aussi bien montés que Steve mais ce dernier avait plus d’expérience et savait faire « monter la sauce » !
• Merci Carolyn… Steve est génial… Quel amant !
• Oui… c’est bien pour cela que j’ai vécu plus d’un an avec lui aux States et que j’ai accepté de le revoir ici.
• T’as bien fait ! J’dirai rien à Papounet !
C’est comme çà que mon weekend s’est terminé…
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