Titre de l'histoire érotique : Ma soeur et moi....
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 285 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.6
- • L'ensemble des récits érotiques de Le Matou libertin ont reçu un total de 2 151 217 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 12 710 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Titre de l'histoire érotique : Ma soeur et moi....
Avec ma sœur Stéphanie, nous nous sommes entendus pour raconter notre vie, ou plutôt comment nous avons découvert la sexualité. Vous verrez que cela ne manque pas de piment.
Je m’appelle Loïc, j’ai 19 ans et ma sœur a un an de moins que moi. Nos parents se sont connus lors d’un voyage organisé par le lycée que mon père fréquentait à la fin des années 1990. En fait, n’ayant pas trouvé de correspondant masculin, il avait eu en cours d’année des échanges multiples avec Anja, une jeune fille allemande de son âge.
Quelques années plus tard, leur bac en poche, ils s’étaient retrouvés en fac à Paris pour poursuivre des études dans le cadre du programme Erasmus pour notre mère. Anja avait rapidement quitté sa chambre à la Cité U pour venir s’installer dans le studio de notre père… que ses parents louaient à prix d’or dans le XIIIème arrondissement de Paris.
Les études achevées, ils ont eu la chance de trouver presque aussitôt un bon métier… il est vrai que maîtriser totalement trois langues étrangères facilitait bien les choses… Ils se sont mariés et nous sommes arrivés presque aussitôt dans le monde…
Nous ne nous souvenions pas de notre jeune enfance mais peu à peu nous avons découvert que, dès nos premières années, nos parents nous emmenaient dans les camps naturistes de la côte vendéenne ou landaise… Anja avait fait découvrir à notre père la culture « F.K.K. » c'est-à-dire la liberté du corps par la pratique du naturisme.
C’est à ce moment là que les souvenirs nous sont revenus et ils nous ont fait comprendre pourquoi nous étions aussi libres au cours de notre adolescence : La nudité des corps était aussi de mise à la maison, les douches parfois prises en commun étaient fréquentes… Jusqu’à l’âge de 16 ans, il était assez souvent d’usage que ma mère prenne sa douche en même temps que moi et mon père faisait de même avec ma sœur. Il n’y avait rien de pervers là dedans… nous nous savonnions mutuellement, ça n’allait pas plus loin.
C’est au cours d’un weekend où nos parents étaient absents pour plusieurs jours que ma sœur m’a dit alors que j’entrais dans la salle de bains qui desservait nos deux chambres :
• Puisque les parents ne sont pas là, pourquoi ne prendrions pas notre douche ensemble ?
• Ok ! Si tu veux ! Pour moi, il n’y a pas de problème !
J’étais déjà nu et Stéphanie a rapidement ôté son string et son T-shirt pour entrer avec moi dans la cabine vitrée. Nous avions tellement l’habitude d’être nus ou à moitié déshabillés que je n’avais jamais réellement prêté attention à ma sœur. Un peu plus petite que moi, elle devait mesurer un peu plus d’un mètre soixante dix, très fine, je découvrais avec ravissement sa jolie petite poitrine aux seins en forme de pomme et ses hanches galbées sous une taille étroite… Bref, la gymnastique qu’elle pratiquait assidument en avait fait un joli brin de fille avec des formes qui s’affirmaient pour ses 17 ans passés. Blonde aux yeux bleus comme notre mère, elle avait de longs cheveux qui descendaient jusqu’au milieu du dos… mais la plupart du temps, ils étaient noués en queue de cheval.
Stéphanie :
• Puisque tu me décris ainsi, je vais à mon tour faire ton portrait grand coquin !
Comme l’a dit Loïc, il est un peu plus grand que moi, normal pour un jeune homme… Nous avons hérité de nos parents une silhouette plutôt longiligne et le sport intensif que pratique mon frère a sculpté les muscles de son corps… Rien d’excessif, juste des muscles apparents… Il commence simplement à avoir des tablettes de chocolats sur le ventre et, je le découvre sous un buisson dru et noir un sexe de belle taille… Lorsque je détaille son visage, je retrouve les traits de notre père et les mêmes yeux marron rieurs et une fine barbe naissante… Bref, un mec au look sympa ! Ce que je me suis empressée de lui dire…
La douche a été cette fois là, la découverte mutuelle de nos deux corps. Loïc a passé l’éponge gorgée de produit moussant partout et ce coquin a insisté sur mes seins en voyant que mes tétons pointaient. Il a accentué son massage au point que j’ai senti ma chatte s’humecter, non à cause de l’eau qui ruisselait mais bien parce que ce coquin me faisait ressentir des sensations que je connaissais déjà. En effet, il m’arrivait parfois de me caresser dans l’intimité de ma chambre.
Ne voulant pas être en reste, lorsque que mon tour est venu de laver Loïc, j’ai insisté sur son bas ventre, prenant son sexe entre mes doigts pour relever le prépuce tout en faisant coulisser la hampe dans le creux de ma main. Ce que j’attendais n’a pas tardé : en moins de deux minutes, la bite de mon frère était entièrement et fièrement déployée dans le creux de ma main… Wow ! Et quelle queue… aussi grande que celles que j’avais pu contempler dans des revues coquines que des camarades de classes m’avaient fait passer.
Ce jour-là, nous en sommes restés à ce stade mais le soir venu, nous nous sommes retrouvés dans ma chambre et nous avons reparlé de cette première douche prise ensemble… Il n’y avait aucune gêne entre nous… nous n’avions rien fait de mal….
C’est ainsi que chaque fois que nous le pouvions, désormais, nous prenions notre douche ensemble… ce qui arrivait assez souvent car nos parents s’absentaient fréquemment, souvent le samedi soir. Un jour, Loïc curieux comme toujours a interrogé nos parents au sujet de ces sorties : Quelle n’a pas été notre surprise d’apprendre que nos parents, en plus d’être des naturistes convaincus, étaient aussi des échangistes.
Un jour en effet, notre père nous a alors expliqué, sans aucune gène, que lors de nos dernières vacances sur la côte landaise, il avait croisé et sympathisé avec un couple qui, de retour à Paris, les avait invités à une soirée chez eux. Là, ils avaient fait une jolie partie à quatre, sans mélange mais très excitante selon les dires de notre mère qui était venue se mêler à la conversation... La suite se devinait aisément car du mélangisme ils étaient passés à l’échangisme la fois suivante. Au cours de cette soirée, les hommes avaient fait l’amour successivement avec les deux femmes en changeant de partenaire à plusieurs reprises. Puis, quelques temps après, ils s’étaient rendus dans un club échangiste du centre de Paris mais, pour autant que l’ambiance fût propice à des échanges très chauds, ils avaient convenu avec leurs amis de rester entre eux… L’usage imposé du préservatif en club ne leur convenait pas…
Loïc :
C’est ainsi que notre vie à quatre s’est poursuivie… Les douches avec ma mère ou ma sœur étaient désormais une habitude bien ancrée et ma sœur rejoignait souvent mon père dans la cabine comme avant ce weekend de découverte.
L’été suivant, nous sommes allés passer deux semaines dans les iles du Levant… Il faisait plus chaud que sur l’Atlantique et tout de suite nous avons constaté que l’ambiance était plus chaude aussi… On voyait des couples flirter outrageusement sur la plage au vu et au su de tous, échangeant parfois des caresses intimes avant de partir se réfugier dans un bosquet… Nos parents restaient sages… certainement peu tentés par des galipettes en plein air… conformément à la préférence qu’ils avaient avec leur couple d’amis parisiens.
De mon côté, c’est au cours de ce séjour que j’ai perdu mon pucelage… Voila comment j’ai relaté cet épisode à ma sœur le soir venu dans sa chambre…
• Tu as sans doute remarqué que ce soir, je me suis éclipsé assez longuement avant de revenir au bungalow… Et bien, j’avais un rendez vous avec une femme, tu sais, la grande blonde aux formes très avantageuses que je t’avais fait remarquer sur la plage… Voyant que je la reluquais outrageusement, quand elle est passée près de moi, elle a laissé tomber un papier plié sur ma serviette de plage… Ce billet disait : « rejoins moi à 21 heures au bungalow N° 25. » !!! C’est ainsi que des que je suis arrivé, elle m’a embrassé en disant qu’elle avait envie de baiser avec moi, qu’elle était en manque car son compagnon était reparti pour quelque jours… Elle s’est accroupie entre mes jambes et m’a fait une fellation terrible mais après, elle s’est allongée sur la banquette en tendant les bras et en me disant de la prendre comme une bête !!! Je n’avais jamais baisé mais je savais comment faire… et çà, je peux te dire que c’est bon !
En entendant mon récit, Stéphanie se trémoussait sur sa couchette, croisant et décroisant ses cuisses nues… Elle était émoustillée par ce que j’avais vécu ce soir… C’est alors qu’elle m’a avoué qu’elle avait envie de faire l’amour avec un garçon et qu’elle en avait assez pour le moment des étreintes saphiques avec sa copine Dominique… Cela ne lui suffisait plus… elle avait envie de sentir son sexe envahi par une bite !
Quelques semaines plus tard, nous étions rentrés à Paris j’ai acheté un gode assez fin motorisé avec la complicité de Ludovic, un camarade majeur. J’avais pris une douche commune avec Stéphanie et je l’avais bien chauffée en la savonnant, passant et repassant sur ses seins dont j’avais fait saillir les tétons… faisant de même avec son sexe, passant l’éponge sur son clitoris et ouvrant les lèvres entre mes doigts… Stéphanie me dit en sortant de la cabine pendant la séance d’essuyage :
• Coquin… Tu me fais couler comme une fontaine… Je n’en peux plus.
• Alors, allons dans ma chambre, j’ai une surprise pour toi !
• Dis-moi ce que c’est !
• Sois patiente…
Dès que nous sommes arrivés dans ma chambre, Stéphanie s’est assise en tailleur sur mon lit, dans une totale impudeur, offrant son sexe à ma vue… Sa pilosité de blonde s’était développée mais les lèvres étaient bien visibles, roses et ourlées. Je lui montrai mon achat en lui disant :
• C’est pour toi… Faute d’avoir une vraie, tu pourras toujours t’amuser et te préparer à en recevoir une vraie !
• Oh oui ! Montre-moi… s’il te plait, ne me fais pas languir !
• Caresse-toi pour que ta chatte soit bien humide !
• Mais elle l’est déjà, tu m’as fait ruisseler sous la douche !
• Ok, alors il n’y a pas d’hésitation à avoir !
J’ai enclenché le mécanisme et j’ai commencé à promener le gland factice entre les lèvres intimes de ma sœur en insistant sur son bourgeon qui saillait hors du capuchon… Stéphanie m’encourageait en m’invitant à la prendre véritablement :
• Oui… Vas-y, fais-la entrer dans ma chatte !
• Attention, tu es vierge, cela risque de te faire un peu de mal !
• Non, ne t’inquiète pas, vas-y !
J’ai introduit le gode tout doucement en faisant de brefs aller retours, restant en retrait quand je sentais ma sœur se crisper puis c’est elle qui est venue au devant de la défloration en avançant brusquement son bassin au bon moment… Elle a poussé un petit cri puis un grand soupir :
• Enfin, je ne suis plus vierge ! Merci !
Quelques temps plus tard, nous allions fêter son anniversaire : 18 ans… Elle n’avait connu que des étreintes saphiques avec sa meilleure copine et je savais que Ludovic en pinçait pour elle… Je lui en ai parlé en disant que ma sœur n’avait jamais connu le mâle… que si il voulait en profiter, elle serait d’accord pour coucher avec lui… Bien évidemment, ma sœur était prévenue afin qu’elle ne rembarre pas Ludovic quand il lui ferait la cour…
C’est ainsi que Ludovic, sous le prétexte de m’aider à ranger la maison après la fête, est resté puis s’est isolé avec ma sœur dans sa chambre d’où ils ne sont sortis que le lendemain matin.
S’il nous est arrivé de nous caresser ensemble, jamais je n’ai touché ma sœur autrement que sous la douche, par contre, très souvent lorsque j’avais éjaculé, elle goûtait mon sperme en disant qu’elle avait hâte d’y goûter vraiment lors d’une fellation… Sacrée Stéphanie… Elle promet !!!
Je m’appelle Loïc, j’ai 19 ans et ma sœur a un an de moins que moi. Nos parents se sont connus lors d’un voyage organisé par le lycée que mon père fréquentait à la fin des années 1990. En fait, n’ayant pas trouvé de correspondant masculin, il avait eu en cours d’année des échanges multiples avec Anja, une jeune fille allemande de son âge.
Quelques années plus tard, leur bac en poche, ils s’étaient retrouvés en fac à Paris pour poursuivre des études dans le cadre du programme Erasmus pour notre mère. Anja avait rapidement quitté sa chambre à la Cité U pour venir s’installer dans le studio de notre père… que ses parents louaient à prix d’or dans le XIIIème arrondissement de Paris.
Les études achevées, ils ont eu la chance de trouver presque aussitôt un bon métier… il est vrai que maîtriser totalement trois langues étrangères facilitait bien les choses… Ils se sont mariés et nous sommes arrivés presque aussitôt dans le monde…
Nous ne nous souvenions pas de notre jeune enfance mais peu à peu nous avons découvert que, dès nos premières années, nos parents nous emmenaient dans les camps naturistes de la côte vendéenne ou landaise… Anja avait fait découvrir à notre père la culture « F.K.K. » c'est-à-dire la liberté du corps par la pratique du naturisme.
C’est à ce moment là que les souvenirs nous sont revenus et ils nous ont fait comprendre pourquoi nous étions aussi libres au cours de notre adolescence : La nudité des corps était aussi de mise à la maison, les douches parfois prises en commun étaient fréquentes… Jusqu’à l’âge de 16 ans, il était assez souvent d’usage que ma mère prenne sa douche en même temps que moi et mon père faisait de même avec ma sœur. Il n’y avait rien de pervers là dedans… nous nous savonnions mutuellement, ça n’allait pas plus loin.
C’est au cours d’un weekend où nos parents étaient absents pour plusieurs jours que ma sœur m’a dit alors que j’entrais dans la salle de bains qui desservait nos deux chambres :
• Puisque les parents ne sont pas là, pourquoi ne prendrions pas notre douche ensemble ?
• Ok ! Si tu veux ! Pour moi, il n’y a pas de problème !
J’étais déjà nu et Stéphanie a rapidement ôté son string et son T-shirt pour entrer avec moi dans la cabine vitrée. Nous avions tellement l’habitude d’être nus ou à moitié déshabillés que je n’avais jamais réellement prêté attention à ma sœur. Un peu plus petite que moi, elle devait mesurer un peu plus d’un mètre soixante dix, très fine, je découvrais avec ravissement sa jolie petite poitrine aux seins en forme de pomme et ses hanches galbées sous une taille étroite… Bref, la gymnastique qu’elle pratiquait assidument en avait fait un joli brin de fille avec des formes qui s’affirmaient pour ses 17 ans passés. Blonde aux yeux bleus comme notre mère, elle avait de longs cheveux qui descendaient jusqu’au milieu du dos… mais la plupart du temps, ils étaient noués en queue de cheval.
Stéphanie :
• Puisque tu me décris ainsi, je vais à mon tour faire ton portrait grand coquin !
Comme l’a dit Loïc, il est un peu plus grand que moi, normal pour un jeune homme… Nous avons hérité de nos parents une silhouette plutôt longiligne et le sport intensif que pratique mon frère a sculpté les muscles de son corps… Rien d’excessif, juste des muscles apparents… Il commence simplement à avoir des tablettes de chocolats sur le ventre et, je le découvre sous un buisson dru et noir un sexe de belle taille… Lorsque je détaille son visage, je retrouve les traits de notre père et les mêmes yeux marron rieurs et une fine barbe naissante… Bref, un mec au look sympa ! Ce que je me suis empressée de lui dire…
La douche a été cette fois là, la découverte mutuelle de nos deux corps. Loïc a passé l’éponge gorgée de produit moussant partout et ce coquin a insisté sur mes seins en voyant que mes tétons pointaient. Il a accentué son massage au point que j’ai senti ma chatte s’humecter, non à cause de l’eau qui ruisselait mais bien parce que ce coquin me faisait ressentir des sensations que je connaissais déjà. En effet, il m’arrivait parfois de me caresser dans l’intimité de ma chambre.
Ne voulant pas être en reste, lorsque que mon tour est venu de laver Loïc, j’ai insisté sur son bas ventre, prenant son sexe entre mes doigts pour relever le prépuce tout en faisant coulisser la hampe dans le creux de ma main. Ce que j’attendais n’a pas tardé : en moins de deux minutes, la bite de mon frère était entièrement et fièrement déployée dans le creux de ma main… Wow ! Et quelle queue… aussi grande que celles que j’avais pu contempler dans des revues coquines que des camarades de classes m’avaient fait passer.
Ce jour-là, nous en sommes restés à ce stade mais le soir venu, nous nous sommes retrouvés dans ma chambre et nous avons reparlé de cette première douche prise ensemble… Il n’y avait aucune gêne entre nous… nous n’avions rien fait de mal….
C’est ainsi que chaque fois que nous le pouvions, désormais, nous prenions notre douche ensemble… ce qui arrivait assez souvent car nos parents s’absentaient fréquemment, souvent le samedi soir. Un jour, Loïc curieux comme toujours a interrogé nos parents au sujet de ces sorties : Quelle n’a pas été notre surprise d’apprendre que nos parents, en plus d’être des naturistes convaincus, étaient aussi des échangistes.
Un jour en effet, notre père nous a alors expliqué, sans aucune gène, que lors de nos dernières vacances sur la côte landaise, il avait croisé et sympathisé avec un couple qui, de retour à Paris, les avait invités à une soirée chez eux. Là, ils avaient fait une jolie partie à quatre, sans mélange mais très excitante selon les dires de notre mère qui était venue se mêler à la conversation... La suite se devinait aisément car du mélangisme ils étaient passés à l’échangisme la fois suivante. Au cours de cette soirée, les hommes avaient fait l’amour successivement avec les deux femmes en changeant de partenaire à plusieurs reprises. Puis, quelques temps après, ils s’étaient rendus dans un club échangiste du centre de Paris mais, pour autant que l’ambiance fût propice à des échanges très chauds, ils avaient convenu avec leurs amis de rester entre eux… L’usage imposé du préservatif en club ne leur convenait pas…
Loïc :
C’est ainsi que notre vie à quatre s’est poursuivie… Les douches avec ma mère ou ma sœur étaient désormais une habitude bien ancrée et ma sœur rejoignait souvent mon père dans la cabine comme avant ce weekend de découverte.
L’été suivant, nous sommes allés passer deux semaines dans les iles du Levant… Il faisait plus chaud que sur l’Atlantique et tout de suite nous avons constaté que l’ambiance était plus chaude aussi… On voyait des couples flirter outrageusement sur la plage au vu et au su de tous, échangeant parfois des caresses intimes avant de partir se réfugier dans un bosquet… Nos parents restaient sages… certainement peu tentés par des galipettes en plein air… conformément à la préférence qu’ils avaient avec leur couple d’amis parisiens.
De mon côté, c’est au cours de ce séjour que j’ai perdu mon pucelage… Voila comment j’ai relaté cet épisode à ma sœur le soir venu dans sa chambre…
• Tu as sans doute remarqué que ce soir, je me suis éclipsé assez longuement avant de revenir au bungalow… Et bien, j’avais un rendez vous avec une femme, tu sais, la grande blonde aux formes très avantageuses que je t’avais fait remarquer sur la plage… Voyant que je la reluquais outrageusement, quand elle est passée près de moi, elle a laissé tomber un papier plié sur ma serviette de plage… Ce billet disait : « rejoins moi à 21 heures au bungalow N° 25. » !!! C’est ainsi que des que je suis arrivé, elle m’a embrassé en disant qu’elle avait envie de baiser avec moi, qu’elle était en manque car son compagnon était reparti pour quelque jours… Elle s’est accroupie entre mes jambes et m’a fait une fellation terrible mais après, elle s’est allongée sur la banquette en tendant les bras et en me disant de la prendre comme une bête !!! Je n’avais jamais baisé mais je savais comment faire… et çà, je peux te dire que c’est bon !
En entendant mon récit, Stéphanie se trémoussait sur sa couchette, croisant et décroisant ses cuisses nues… Elle était émoustillée par ce que j’avais vécu ce soir… C’est alors qu’elle m’a avoué qu’elle avait envie de faire l’amour avec un garçon et qu’elle en avait assez pour le moment des étreintes saphiques avec sa copine Dominique… Cela ne lui suffisait plus… elle avait envie de sentir son sexe envahi par une bite !
Quelques semaines plus tard, nous étions rentrés à Paris j’ai acheté un gode assez fin motorisé avec la complicité de Ludovic, un camarade majeur. J’avais pris une douche commune avec Stéphanie et je l’avais bien chauffée en la savonnant, passant et repassant sur ses seins dont j’avais fait saillir les tétons… faisant de même avec son sexe, passant l’éponge sur son clitoris et ouvrant les lèvres entre mes doigts… Stéphanie me dit en sortant de la cabine pendant la séance d’essuyage :
• Coquin… Tu me fais couler comme une fontaine… Je n’en peux plus.
• Alors, allons dans ma chambre, j’ai une surprise pour toi !
• Dis-moi ce que c’est !
• Sois patiente…
Dès que nous sommes arrivés dans ma chambre, Stéphanie s’est assise en tailleur sur mon lit, dans une totale impudeur, offrant son sexe à ma vue… Sa pilosité de blonde s’était développée mais les lèvres étaient bien visibles, roses et ourlées. Je lui montrai mon achat en lui disant :
• C’est pour toi… Faute d’avoir une vraie, tu pourras toujours t’amuser et te préparer à en recevoir une vraie !
• Oh oui ! Montre-moi… s’il te plait, ne me fais pas languir !
• Caresse-toi pour que ta chatte soit bien humide !
• Mais elle l’est déjà, tu m’as fait ruisseler sous la douche !
• Ok, alors il n’y a pas d’hésitation à avoir !
J’ai enclenché le mécanisme et j’ai commencé à promener le gland factice entre les lèvres intimes de ma sœur en insistant sur son bourgeon qui saillait hors du capuchon… Stéphanie m’encourageait en m’invitant à la prendre véritablement :
• Oui… Vas-y, fais-la entrer dans ma chatte !
• Attention, tu es vierge, cela risque de te faire un peu de mal !
• Non, ne t’inquiète pas, vas-y !
J’ai introduit le gode tout doucement en faisant de brefs aller retours, restant en retrait quand je sentais ma sœur se crisper puis c’est elle qui est venue au devant de la défloration en avançant brusquement son bassin au bon moment… Elle a poussé un petit cri puis un grand soupir :
• Enfin, je ne suis plus vierge ! Merci !
Quelques temps plus tard, nous allions fêter son anniversaire : 18 ans… Elle n’avait connu que des étreintes saphiques avec sa meilleure copine et je savais que Ludovic en pinçait pour elle… Je lui en ai parlé en disant que ma sœur n’avait jamais connu le mâle… que si il voulait en profiter, elle serait d’accord pour coucher avec lui… Bien évidemment, ma sœur était prévenue afin qu’elle ne rembarre pas Ludovic quand il lui ferait la cour…
C’est ainsi que Ludovic, sous le prétexte de m’aider à ranger la maison après la fête, est resté puis s’est isolé avec ma sœur dans sa chambre d’où ils ne sont sortis que le lendemain matin.
S’il nous est arrivé de nous caresser ensemble, jamais je n’ai touché ma sœur autrement que sous la douche, par contre, très souvent lorsque j’avais éjaculé, elle goûtait mon sperme en disant qu’elle avait hâte d’y goûter vraiment lors d’une fellation… Sacrée Stéphanie… Elle promet !!!
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Le Matou libertin
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle. excitante.Elle me fait vraiment rêver à faire l'amoure à ma soeur.
J'ai adoré et bien joui en vous lisant!!
A bientôt j'espère...
A bientôt j'espère...