Titre de l'histoire érotique : Mark et Max 08 – A Tout Maître Sa Bonne Chienne
Récit érotique écrit par Ninemark [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Mark et Max 08 – A Tout Maître Sa Bonne Chienne
Voilà déjà 4 mois que nous avons emménagé dans notre nouvel appartement et tout se passe pour le mieux. Nous avons passé le premier mois à agencer et à parler de ce qu’on voudrait ajouter en plus puis le deuxième mois à peaufiner les détails et à tester un peu tous les recoins où il nous était possible de baiser. Sergio nous a rejoint qu’une seule fois afin de refaire un plan à trois comme lors de la visite. Le courant passe bien avec lui et au final c’est devenu un de nos plus proches amis avec qui on rigole bien. Nous avons bien sûr fait la crémaillère avec tous nos amis et Fiona et Éric ont même fait le déplacement pour ça alors j’étais vraiment heureux. Bref tout se passait au mieux et notre couple était plus amoureux que jamais.
Mais depuis quelques jours je suis en pleine phase de réflexion et me demande si tout ça ne va pas peut-être un peu trop vite. Ça ne fait que quelques mois que nous nous connaissons et nous avons toujours vécu dans le même appartement mais contrairement à la colocation, nous partageons le même lit et les mêmes habitudes. Et étant quelqu’un qui aime aussi parfois se retrouver seul, c’est assez compliqué à vivre. C’est peut-être complètement con mais rien que le fait de pouvoir passer une nuit seul me permettrait de pouvoir être un peu avec moi-même. Mais je ne me le permets pas car je ne sais pas ce que ça provoquerait chez Max et ça pourrait y installer des tensions. Donc je prends sur moi et me conforte en me disant que j’ai tout ce dont je voulais.
Nous étions sur le canapé à regarder la télévision et je pensais à tout ça. Max ne met pas longtemps à se rendre compte que j’étais à des années lumières de la réalité et me demanda qu’est-ce qui me faisait penser autant.
« Oh rien, je pense à ma vie, notre relation et mon passé »
« Ahaha ça m’arrive aussi parfois, t’inquiètes ! D’ailleurs en parlant de passé, je me suis rendu compte qu’on avait jamais parlé vraiment de notre passé… »
« Comment ça ? »
« Ben je sais pas, on a jamais parlé de nos exs ou de nos plans cul,… »
« Ça a de l’importance ? Tu veux qu’on en parle ? Ça me dérange pas… Après tout si ça peut nous faire apprendre quelques trucs ! »
On commença alors à parler de nos exs en racontant quelques scènes et aussi des trucs drôles qui nous est arrivé. On parlait des motifs de ruptures et lorsqu’il a prononcé le prénom de ma dernière copine je n’ai pas su répondre de suite, laissant un silence planer quelques secondes. Mon esprit s’était en aller loin à nouveau et je repensais à mon passé, à Thomas, à Raijan. Tout ce passé qui date d’un peu plus d’un an mais qui me paraît avoir eu lieu il y a des siècles. J’en avais presque oublié l’existence de cette époque depuis que j’avais rencontré Max. D’ailleurs lui, me fixait en attente d’une réponse. Je pris une respiration et commençai :
« Euh… A vrai dire c’est à ce moment-là que je me suis découvert un penchant pour les gars. C’était durant mon stage l’année passée et j’ai eu une relation plus ou moins ambiguë avec le patron et un serveur ce qui m’a poussé à la quitter. »
« Sérieux ? Genre tu t’es tapé le patron du lieu de ton stage ? Et un des serveurs ? »
« Ouais… »
« Et genre ça s’est fini comment ? »
« J’ai coupé les ponts avec Rai et on s’est quitté en bons termes avec mon patron mais j’ai plus eu de nouvelles depuis mon arrivée ici. Et j’ai pas forcément envie d’en avoir. J’ai l’impression que ça a eu lieu dans une autre vie tant ça fait longtemps que j’y avais pas repenser ! »
« Oui je vois ça ! Et du coup qu’est-ce qui s’est passé avec le dénommé Rai ? »
« Euh… Je savais plus trop ce que je voulais avec lui et j’ai découvert un jour qu’il était un peu du genre à coucher avec tout le quartier du coup j’ai mis de la distance pour me protéger. »
« Ah okey ! Et genre si il venait à te recontacter, tu dirais quoi ? »
« Pourquoi tu me poses cette question ? Je vois pas pourquoi il me recontacterait puisqu’il m’a lui aussi mis de côté. »
« Je sais pas comme ça. Mais ça répond pas à ma question… »
« Je sais pas. Peut-être oui, peut-être non, j’en sais rien ! »
Qu’est-ce qu’il m’énervait avec ces questions ! J’avais l’impression de passer un interrogatoire et à devoir justifier toutes les relations que j’ai eu. Il commençait tellement à me soûler que je n’avais même plus envie de parler de ça. Il vit mon énervement et s’excusa de poser trop de questions précises avant de changer de sujet. Malgré ça, mon esprit était reparti ailleurs et Raijan prenait de plus en plus de place dans ma tête.
Après le repas et une petite soirée tranquille, nous partîmes nous coucher. J’étais dans les bras de Max mais ma tête était restée bloqué sur la discussion de cet après-midi. Qu’est-ce que je ferais si Raijan m’appelait un jour ? J’émets l’hypothèse que cette situation arrive et jauge mes réactions. D’un côté j’aurais du mal à renouer avec lui et ressasser le passé sachant qu’aujourd’hui je suis bien avec Max. Je pense que je ne répondrais pas et continuerait ma vie tranquillement. Mais cette réponse ne me satisfaisait pas et je faisais face à un vrai dilemme. Je décidai d’ouvrir un peu plus mon esprit et de laisser les souvenirs peu à peu revenir.
Je commençai par revivre mon arrivée dans le restaurant et mon regard croisant celui de Raijan. Puis la première soirée chez lui où je me pris un gros râteau en première partie pour ensuite passer ma première nuit avec un homme dans le même lit entrelacé. Puis c’est au tour des baises de me revenir en tête. Les fois où je le défonçai à même le sol, où quand on fit un plan à trois avec Thomas. Mais une baise en particulier me revenait en tête, celle où j’étais tellement en manque que j’avais demandé à ce qu’il appelle un de ses potes pour me faire prendre par deux rebeux. Et forcément, ce souvenir m’amena à la découverte de la cassette et de ce que faisais Raijan lors de ses soirées. Je regrettais d’avoir découvert ça mais en même temps je me dis que ça m’a permis de pouvoir m’en détacher plus facilement avant de souffrir. En prenant du recul, je repensai à la question initiale et je savais que dans le cas où il tentait de reprendre contact, je dirais oui. D’ailleurs repenser à tout cela m’avait mis la gaule et je bandais comme un âne. Je m’en étais pas rendu compte non plus mais je bougeais faiblement mon bassin depuis quelques minutes et même si l’amplitude était presque nulle, ça avait suffi à réveiller le dard de Max, qui avait maintenant sa queue collée à moi. Il était contre moi, sa queue entre mes deux lobes et ondulait lentement entre mes fesses tout en commençant à me caresser.
« Hummm... Tu commences à t’exciter… Qu’est-ce qui te mets dans cet état ? »
« Oh pas grand-chose (je n’allais quand même pas lui dire que c’était mes baises avec Raijan), mais qui est suffisant pour m’exciter et me donner l’envie d’être baiser à fond »
« Ahhh baiser à fond ? Tu veux que je te défonces ton cul ? »
« Oh ouais, mais vu comme c’est parti je sais pas si tu suffiras à me rassasier »
« T’emballes pas, je vais te la mettre profond et t’en redemanderas mais t’inquiètes pas que je te suffirai ! »
« Je me connais assez pour savoir c’est rare que je sois dans cet état mais que quand j’y suis il m’en faut beaucoup pour redescendre. »
Pendant toute la discussion, Max avait agrippé mon corps d’une manière plus sèche et avait accéléré ses mouvements avec sa queue de manière plus profondes et bestiale. Bien-sûr mon cul lui se cambrait de plus en plus et je commençais à devenir une grosse salope pour la nuit.
Je me relevai à quatre pattes et sautai sur sa queue pour la sucer avidement. Il agrippait ma tête de ses deux mains et relevait son bassin pour bien me baiser la bouche. On n’a pas vraiment pris le temps d’y aller progressivement tant j’étais en rut. De temps à autre il me bifflait ou me giflait en me disant des mots salaces pour bien me rendre chienne. D’habitude j’aurais été refroidi mais comme dit plus tôt, dans un cas spécial comme celui-là, je m’en foutais et au contraire ça m’excitait encore plus. Ce que j’aimais faire c’était le gifler en retour pour qu’il tente de s’imposer encore plus en me défonçant encore plus la bouche. Il me laissa par la suite le sucer comme je voulais car il s’était un peu redressé pour pouvoir toucher mon cul. Bien cambré, il y accède facilement et je reçois plusieurs fessées plus ou moins fortes, toujours accompagné de phrases comme « T’aimes ça petit chienne ! T’es ma petite salope ! Ouais vas-y suce moi ! ». Ça m’excitait tellement bordel !
Je le sentais commencer à titiller mon trou et à mouiller son doigt comme il le pouvait. Je voyais bien qu’il galérait à me doigter et avant que j’ai pu faire quoi que ce soit, il me retourna pour accéder à mon cul. Il était donc derrière moi à me bouffer le cul comme une bête. Je sentais sa langue fouiller mon anus suivit de ses doigts épais qui forçait le passage. Il m’enculait maintenant avec ses doigts en me regardant dans les yeux.
« T’aimes ça hein ! Tu les sens bien mes doigts petite pute ! Huum ouais vas-y jouis, prends ton pied !! »
Il m’excitait carrément et sa musculature y était pour beaucoup. Il avait vraiment une prestance et ce côté dominateur lui allait super bien. Il l’avait bien compris et en jouait de plus en plus en me donnant des ordres. Soudainement, il me demande de me lever et de me coller contre le mur.
« Ouais vas-y comme ça ! Ecartes bien les jambes et cambre ton cul ! Ouais voilà c’est bien ! Humm on voit bien ton trou là ! »
Il se lève du lit et vint se placer derrière moi.
« Et maintenant je vais te défoncer contre le mur ! Tu vas voir que je vais tellement te matraquer que tu vas finir allonger contre le sol à n’en plus pouvoir ! »
Sur ce, il prit sa bite en main pour la soupeser en me lançant un regard vicieux. Il s’approcha de mon trou et s’y enfonça d’un seul coup. C’était la délivrance ! Mon cul n’attendait que ce moment et j’avais enfin son gros calibre en moi. Il me matraquait le cul en me maintenant la tête contre le mur. Il était essoufflé et avait donc réduit ses insultes mais il me les faisait passer par la gestuelle quand il me claquait les fesses ou quand il me giflait la gueule. Il a continué ainsi pendant une bonne dizaine de minutes avant de nous laisser tomber au sol. Il était sur moi à me pilonner parterre avec la même vivacité voire plus. Je l’encourageais et lui me répondait en me crachant à la gueule. Puis sans prévenir, il me mit des coups secs et profonds suivit de plusieurs jets. Il venait de se finir en moi et continuait de m’enculer en poussant de gros râles bien mâle. Il finit par s’arrêter et se retirer. Tout en me doigtant le cul en trempant ses doigts dans son sperme, il me demanda si ça m’avait suffi. Pour son égo j’aurais bien voulu répondre oui mais la réalité est tout autre et j’avais encore envie de me faire défoncer. Il parut surpris était donné que c’est la première fois qu’il me voit dans cet état puis se leva pour prendre son téléphone.
« Ouais Sergio ça va ? Désolé de te déranger à cette heure mais j’ai mon copain qu’est en mode grosse chienne et mon défonçage de cul ne lui a pas suffi alors si tu veux venir tirer ton coup en mode défonce c’est le moment !.... …. Ah ! … Ben écoute vois avec lui si ça l’intéresse ! … Génial ... Ouais à tout de suite, la porte est ouverte ! »
C’était la première fois que je voyais Max agir de la sorte. De nature un peu jaloux, je ne le pensais pas capable de faire ça mais je pense que c’est aussi parce que l’ambiance est particulière. Sans démorde de son rôle, Il me releva et m’ordonna d’aller dans le salon et d’attendre le cul à l’air sur la table basse. Lui, s’était installé sur le sofa dans l’angle et se touchait en attendant l’arrivée de Sergio.
D’ailleurs il ne tarda pas à arriver accompagné, comme je l’avais compris, d’un ami. Je me retournai brièvement pour les regarder. Sergio était vraiment putain de canon et rien que de le voir je savais que j’allais kiffer. A côté de lui, un mec beaucoup plus fin habillé en mode jogging et casquette. Oh ouais un ptit rebeu ! Il faisait à peu près ma taille je pense et il avait une bonne ptite gueule de rebeu comme je kiffe. Lorsqu’il me vit, il s’arrêta sur place et restait la main dans le caleçon et la bouche ouverte. Son regard se tourna vers Max qui était assis à se caresser en le regardant d’un air dominateur.
« Ah ouais putain c’est chaud en effet ! Ça va être kiffant frère ! »
Le mec était vraiment fin chaud et au bout de deux minutes il était déjà derrière moi à me caresser les fesses.
« Azy regarde-moi ce bijou ! En plus il est déjà lustré avec du foutre ! si ça c’est pas le bonheur ! Je vais prendre plaisir à te défoncer ma petite ! Tu vas goûter à mes 26 cm tu vas voir tu voudras plus t’en séparer ! Tel un os à son ptit chien ! »
Il parlait avec son accent de cité et était tout heureux. Lorsqu’il prononça la mesure de sa queue, je refroidi un peu tant je ne m’attendais pas à ça ! J’en ai jamais pris des aussi grosses et à regarder Max, je le vois tout aussi surpris mais excité à l’idée de voir ça !
Je voulais me retourner pour voir l’engin mais le rebeu baissa à peine son jogging pour sortir sa queue et me l’enfonça direct dans le cul. Je sentis mes parois d’enflammer et j’allais me mettre à crier quand une main se plaça sur ma bouche. Il avait anticipé le truc et continuait son avancée dans mes entrailles. Je sentis enfin ses couilles et ce fut de courte durée car il se retira rapidement pour mieux y rentrer. Il commença des vas et vient bien profond dans mon cul bien cambré. Il est complètement sur moi avec toujours sa main sur ma bouche. Je sentais son souffle chaud au creux de mon oreille.
« Hummm t’aimes ça ! T’en as jamais pris des si grosses. Tu vois ma queue est tellement grosse que ya que les chiennes dans ton genre qui peuvent l’encaisser. Et quand j’en trouve une en générale, j’y met tout mon cœur pour la défoncer. Tu vas voir tu vas jouir du cul comme personne et tu vas en perdre ta voix tant tu vas pousser des petits cris de petite salope. »
Ses mots me faisaient perdre la raison et plus ça avançait plus je sentais ses vas et vient me faire du bien. Je l’incitais à continuer et était complètement à sa merci. Il aimait ça et prenait un plaisir à me dominer face à mon copain. Je voyais dans le reflet du miroir qu’il regardait Max droit dans les yeux.
« Hum t’as une bonne chienne à la maison ! Regarde moi comme je lui pète son cul de salope et qu’elle en redemande ! T’arrives pas à faire ça toi ! Obligé d’appeler les voisins pour défoncer sa chienne car il arrive pas à la satisfaire seul ! Ça n’arrive jamais avec moi ça ! Mais t’inquiètes t’as l’air d’être une bonne salope aussi quand tu t’y mets alors tu auras le droit d’y goûter un jour ! »
Je regardais Max en attente de sa réaction tant le rebeu le provoquait. Je ne savais pas comment il allait réagir. Je le connaissais assez pour savoir qu’être dominant n’était qu’un rôle alors que dans le cas du rebeu ça semblait être plus naturel. Max le fixait donc, muet avec un regard enflammé. Il aurait, je pense, voulu le rabaisser mais la vue devant lui ne le lui permettait pas et la seule réaction notable fut sa queue qui se remit au garde à vous ce qui ne passa pas inaperçu à l’œil du rebeu.
« Tu vois je te disais que t’allais kiffer ! Aller je suis d’humeur coquine alors je te ferais pas attendre trop longtemps. Serg’, prépare mon arrivée stp ! Ce soir on a deux chiennes à la maison ! »
Sergio qui depuis son arrivée était muet et spectateur obéit de suite sans cligner des yeux. Je compris alors qu’il devait aussi se faire baiser par le rebeu et qu’il était aussi sous sa domination. Max aurait voulu faire bonne figure mais à peine Sergio le touchait qu’il était à quatre pattes le cul en l’air. Il se faisait bouffer le cul pendant que moi j’encaissais toujours les coups du rebeu dont je ne savais pas encore le prénom. Soudain, il se retira de mon cul et se leva. Il me prit par le bras et m’ordonna de le suivre.
« Bon j’arrive je vais continuer de lui baiser sa chatte dans la salle de bain histoire qu’il puisse se voir être défoncé. Occupe-toi bien de la tienne pour qu’elle soit prête à mon retour. Mais écarte pas trop non plus pour qu’elle puisse bien sentir mon calibre. Allez viens suis moi toi petite chienne ».
Je le suivais sans broncher et pendant le trajet je me disais que j’étais bien supérieur à lui physiquement mais qu’en ce moment j’aimais me faire dominer par lui. Arrivés dans la salle de bain, il se plaça face au miroir derrière moi et plaçant une de mes jambes sur l’évier, il s’enfonça de nouveau en moi. Cette fois-ci je la sentais bien mieux maintenant que c’était dilaté. J’en profitais directement et mes gémissements reprenaient. Je le voyais se mater en train de m’enculer et j’ai pu moi aussi l’observer un peu plus en détail. Il avait les cheveux rasés avec sa casquette à l’envers. Ses traits du visage sont à la fois fins et masculins avec une belle peau de rebeu. Ses yeux verts et sa barbe taillée à ras le rendait magnifique. Je remarquai qu’il avait toujours son jogging en bas des fesses comme s’il allait tirer son coup sans s’installer. Mais ça lui donnait une allure bandante. A vrai dire, c’était un pur étalon. J’aurais pu me faire baiser par un moche mais non c’est bien un beau gosse qui me baise. Il accélérait le rythme et m’encourageait à me regarder être baisé.
« Ouais vas-y mate comme tu te fais défoncer ! Ton mec te baise pas comme ça hein ! Regarde ma puissance ! Ma queue qui ramone ton trou de chiennasse ! Vas y donne ta bouche ! »
Je tournai ma tête pour pouvoir l’embrasser. Il commença par me cracher dans la bouche avant de me rouler une pelle baveuse en me léchant bien tout le visage. Il enchaînait les coups de matraque. Je repris ma position face au miroir et je le vois mettre une main dans la poche de son jogging. Il en sort son portable.
« Tkt je montre pas ta tête mais faut vraiment que j’envoie un extrait à mes potes pour qu’ils se jutent dessus ! »
Je le vois lancer snapchat. J’étais en train de me dire que j’allais peut-être regretter ça par la suite car quelqu’un pourrait me reconnaître. Mais là j’étais beaucoup trop en trans pour refléchir à quoi que ce soit. Je le vois positionner le portable pour qu’on me voit bien me faire défoncer. Je comprends qu’il commençait à filmer quand je sentis le rythme devenir très intensif et où je l’entendais parler à ses auditeurs.
« Mmmmh regardez-moi cette chienne que je me tape ! Mes 26 sont au paradis ! Ouais c’est ma ptite pute ça ! »
J’entends la vidéo se répéter puis il l’envoie à ses potes. Je m’entends derrière couiner et ça m’excite encore plus ! Il se retira alors de moi et me mit à genoux. Il reprit une vidéo où il me biflait puis m’enfonçais sa queue pleine de ma mouille.
« Huumm vas y suce ma queue pleine du foutre de ton copain et de ta mouille de chiennasse ! »
J’en avais presque oublié qu’avant lui je m’étais fait défoncer par Max. D’ailleurs j’étais en train de continuer de sucer le rebeu quand un cri nous parvient aux oreilles. C’était Max qui était surement en train de se faire défoncer par Sergio. Le rebeu me bifla une dernière fois avant de me relever pour m’amener dans le salon afin de rejoindre les deux autres. A notre arrivée, Sergio était en train de défoncer Max sur l’îlot de la cuisine. Il avait les fesses bien rouges qui traduisaient les fessées qu’il a dû prendre.
« Ouais c’est bon ça ! Merci Sergio pour la préparation ! Maintenant pour finir ton travail, viens me sucer la queue comme tu sais bien le faire !! »
J’avais donc raison à propos de la relation Sergio/Rebeu. Sergio se retira de Max pour venir se mettre à quatre pattes devant la queue du rebeu assis sur le sofa. Il la goba alors directement et je fus surpris qu’il mette autant dans sa bouche. Il était directement en gorge profonde et à chaque nouvelle bouffée d’air, des gros fils de bave coulaient. Max allait bouger de l’îlot pour venir nous rejoindre quand une voix rauque se fit entendre.
« Non non toi tu restes comme tu es le cul à l’air ! J’arrive te défoncer ma petite ! »
Max obéit et le rebeu sorti son portable à nouveau pour filmer Sergio en pleine gorge profonde.
« Aiiight qui c’est qui se tape 3 petites chiennes ce soir ? C’est moi ! Regardez une m’attend pour que je la féconde ! »
Il était là à filmer Max qui montrait son trou bien ouvert par Sergio. J’étais là à les regarder reprenant mon souffle alors que ça fait peut-être 1h que je me fais défoncer. Mon trou est béant et je n’ose même pas imaginer mon état demain. Mais je n’y pense pas et continue de mater la scène devant moi. Enfin le rebeu se leva et se dirigea vers Max. Sans patience, il s’enfonça droit dans le cul de mon copain. Il poussa un cri de douleur et comme avec moi, il se fit taire par la main du rebeu. A voir d’un point de vue extérieur c’était assez hard mais très excitant. J’avais assez pris de repos et il restait encore une personne qui ne m’avait pas défoncé.
« Vas-y Sergio, défonce moi ! »
Il ne se fit pas prier et en moins de 10 secondes il était déjà à me culbuter. Forcément sa bite était plus petite alors ça passait crème et ses coups de butoir était moins saisissant. Mais tout de même, il faisait le taf ! Il était moins féroce et se tentait même à quelques caresses. Ça faisait du bien mais j’avais tout de même envie de plus. Je l’incitai alors à me claquer les fesses en lui parlant du cul de Max. Il ne tarda pas à s’y mettre et bientôt nous étions quatre gars à gémir au plus fort.
Cela devait faire une bonne 15aine de minutes que Sergio me défonçait et je n’étais toujours pas rassasié. J’en voulais plus et alors que Max et le rebeu venait de nous rejoindre sur le canapé, je sous entendis que je ne sentais pas assez sa queue. Le rebeu me regarda alors et lança :
« Allez viens sur la queue de papa Tarek que tu la sentes bien passer. »
Je venais enfin de savoir son prénom et sans plus tarder je sautai sur la matraque de Tarek. Je m’empalais dessus comme une chienne et le fixait dans les yeux avec un regard de jouissance. Je vois qu’il aime ça et pour la première fois, il laissa échapper un sourire franc et de plaisir. Mais il se reprit très vite.
« Je vois que t’arrives à gérer mes 26 sans problèmes ! Je vais élever ton niveau de putasse. Sergio vient derrière on la prend en double ! On va lui éclater sa chatte ! »
Il s’arrêta un moment en moi laissant le temps à Sergio de venir se placer. Je le sens forcer le passage et pour le coup la douleur était revenue.
« Ah ça fait mal hein petite chienne ! Attends ton copain va venir de calmer ! Toi, viens te faire sucer la queue ! »
Max se mit alors debout sur le canapé pour me foutre sa queue dans la bouche. Et on peut dire qu’il n’y va pas de main morte car il me fait des gorges profondes comme jamais. Pendant ce temps-là, je n’avais pas capté que Sergio était enfin rentré dans mon cul. Bordel j’ai deux gros calibre dans mon cul !!! Je ne vais pas assumer demain. Je les sens prendre le rythme et je dois repousser Max pour en apprécier toute l’action. Tour à tour il s’enfonce en moi et je sens leurs queues se frotter.
« Putain ouaiiiis ! C’est la première fois que je fais une double ! T’as vraiment un cul de chienne bordel ! T’as vraiment mérité que je te lâche toute ma jute dans ton cul ! »
Il était vraiment content et en même temps il avait Max à côté le cul en l’air. Tarek s’enculait comme il pouvait avec ses doigts pendant que Sergio mettait les siens dans la bouche de Max. On continua comme ça encore quelques minutes puis Tarek prit de nouvelles directives.
« Bon je vais bientôt juter là ! Donc pour récompenser ma petite chienne je vais aller me finir dans son cul en privée. Et vous ben vous pouvez continuer à vous défoncer si vous voulez et vous juter l’un dans l’autre si ça vous fait plaiz ! »
Sur ces paroles, il se leva en m’emmenant dans la chambre laissant Sergio et Max seuls. On avait à peine passer la pièce que Sergio était déjà à défoncer Max. On arrive dans la chambre et là il retire entièrement ses chaussures et son jogging puis s’allonge sur le lit la queue dressée en l’air.
« Allez viens petit gars, je t’offre une récompense que peu de personnes ont eu droit. »
Son intonation de voix avait changé et il paraissait plus vulnérable. Ça n’empêchait pas de lui obéir et je montai sur lui et commençai à m’empaler bien sec sur son manche. Contre tout attente, il m’agrippa afin de maintenir un rythme plus calme et profond.
« Calme ! On apprécie ce dernier moment ! De ce que j’ai compris j’ai la chance d’avoir été là ce soir et tu m’as pas l’air d’être une chienne à queue constamment ! J’ai vraiment kiffé te baiser et vu que ça risque d’être la seule fois j’aimerai te rendre la pareil en te baisant plus respectueusement. »
Dans son discours il paraissait très sincère et limite touchant. Bizarrement mon envie d’être défoncé était passé, bon au bout d’une heure et demie c’est un peu normal, et j’acceptai son retour de pièce avec plaisir. Je me risquai alors à l’embrasser et nos langues se joignirent dans un long baiser langoureux. Il continuait de me baiser profondément et de me masser l’intérieur avec sa queue. Au bout de quelques minutes il inversa les positions pour être au-dessus de moi. Ses coups de reins sont très profonds et il ondule parfaitement son corps pour que je la sente bien. Il était dans le creux de mon cou et m’embrassait dans tous les sens. Il se redressa ensuite un tout petit peu pour m’embrasser puis recula son visage pour pouvoir me fixer dans les yeux. A travers ses yeux verts, je compris qu’il allait venir et ses coups de reins s’intensifièrent. Dans un long râle bien rauque je le sentis se bloquer en moi sans que ses yeux ne se détachent des miens. C’est alors que je ressens une décharge dans mon cul avec des dizaines de jets. Il attendit quelques secondes avant de reprendre son souffle et venir m’embrasser. Il se retira de mon cul laissant un trou béant coulant de foutre. Il ne détachait pas son regard du mien et commença à descendre plus bas. C’est alors qu’il empoigna ma queue et se mit à la masturber. Ce qu’il fit ensuite me laissa de marbre et je savais que j’avais un traitement de faveur ultime car il se mit à me sucer la queue. C’était tellement bizarre après tout ce qu’on vient de vivre mais en même temps c’était super appréciable. Il y allait avec douceur et délicatesse mais se permettait aussi de faire des gorges profondes. Il me doigtait en même temps le cul plein de foutre.
Soudainement, il s’arrêta et se releva pour venir à ma hauteur.
« Je… Bon je sais que ça va faire bizarre après la baise qu’on vient d’avoir mais… Enfin … Tu pourrais te finir en moi stp ? Mais ça reste entre nous par contre ! Même pas un mot aux deux autres genre c’est notre secret ? »
Un sourire se dessinait sur mon visage. Même en mode chienne j’arrivais encore à avoir un putain de pouvoir de séduction au point que le gros dominateur veuille se faire féconder par moi. Bien sûr j’acceptai car je ne voulais pas rater cette occasion. Je le mis à quatre pattes afin de pouvoir lui lécher le trou. Il était tout mouillé et ça allait me faciliter les choses. Je pu rapidement y insérer un doigt puis deux. Tarek poussait quelques gémissements et à l’entendre je pense que c’était sa première fois. J’en étais encore plus heureux et rapidement je pu y insérer ma queue. J’y allai doucement pour ne pas trop lui faire mal et arrivé au fond je l’embrassai dans le cou. Il poussait des « ouais » et je commençai à faire des allers et viens. Bien-sûr j’étais sur le point de juter alors je savais que ça n’allais pas durer. D’autant plus qu’avec ce cul bien serré, mes sensations étaient amplifiées. J’accélérai un peu plus vite et de lui-même il m’encouragea à aller plus vite. Je sentais que j’allais juter alors je le matraquai le plus vite possible et dans un râle et un coup de rein bien profond, je me déchargeai de mon foutre dans son cul. Il poussa pas mal de gémissements et après avoir juté, je restai un petit coup dans son cul à l’enculer. Enfin je me retirai et nous nous retrouvâmes côte à côte à s’embrasser. Je repris vite mes esprits et proposai de retourner au salon. Il accepta et après un ultime baiser il reprit sa position de dominateur et remis son jogging en bas des fesses.
A notre arrivée, Sergio était en train de lécher le sperme qui coulait du cul de Max. On assista alors quand même à la faciale de Max sur le doux visage de Sergio. On était tous crevé et sans attendre je m’écrasai sur le canapé. Sergio et Max me suivirent et seul Tarek était encore debout. Il finit par remballer son paquet et enfiler son tee-shirt. Dans un air toujours de domi, il nous laissa en plan pour rentrer chez lui. Nos regards se croisèrent et je savais qu’il tenait à garder ce rôle pour dominer mais qu’au fond il aurait adoré rester là. Mais bon il faut assumer jusqu’au bout sa place et je lui dis au revoir non sans lui lancer un clin d’œil. Sergio finit par le suivre en rentrant chez lui en nous remerciant de l’appel. La porte se ferma et je me blottis dans les bras de Max. Je le remercie à mon tour pour cette soirée surprenante et il me répondit qu’il ne s’attendait pas non plus à ça. On rigola un peu avant de parler des souffrances de demain matin. Mais nous étions trop épuisés et après un dernier baiser, nous nous endormirent sur le canapé, lampes allumées, nos culs bien remplis.
Mais depuis quelques jours je suis en pleine phase de réflexion et me demande si tout ça ne va pas peut-être un peu trop vite. Ça ne fait que quelques mois que nous nous connaissons et nous avons toujours vécu dans le même appartement mais contrairement à la colocation, nous partageons le même lit et les mêmes habitudes. Et étant quelqu’un qui aime aussi parfois se retrouver seul, c’est assez compliqué à vivre. C’est peut-être complètement con mais rien que le fait de pouvoir passer une nuit seul me permettrait de pouvoir être un peu avec moi-même. Mais je ne me le permets pas car je ne sais pas ce que ça provoquerait chez Max et ça pourrait y installer des tensions. Donc je prends sur moi et me conforte en me disant que j’ai tout ce dont je voulais.
Nous étions sur le canapé à regarder la télévision et je pensais à tout ça. Max ne met pas longtemps à se rendre compte que j’étais à des années lumières de la réalité et me demanda qu’est-ce qui me faisait penser autant.
« Oh rien, je pense à ma vie, notre relation et mon passé »
« Ahaha ça m’arrive aussi parfois, t’inquiètes ! D’ailleurs en parlant de passé, je me suis rendu compte qu’on avait jamais parlé vraiment de notre passé… »
« Comment ça ? »
« Ben je sais pas, on a jamais parlé de nos exs ou de nos plans cul,… »
« Ça a de l’importance ? Tu veux qu’on en parle ? Ça me dérange pas… Après tout si ça peut nous faire apprendre quelques trucs ! »
On commença alors à parler de nos exs en racontant quelques scènes et aussi des trucs drôles qui nous est arrivé. On parlait des motifs de ruptures et lorsqu’il a prononcé le prénom de ma dernière copine je n’ai pas su répondre de suite, laissant un silence planer quelques secondes. Mon esprit s’était en aller loin à nouveau et je repensais à mon passé, à Thomas, à Raijan. Tout ce passé qui date d’un peu plus d’un an mais qui me paraît avoir eu lieu il y a des siècles. J’en avais presque oublié l’existence de cette époque depuis que j’avais rencontré Max. D’ailleurs lui, me fixait en attente d’une réponse. Je pris une respiration et commençai :
« Euh… A vrai dire c’est à ce moment-là que je me suis découvert un penchant pour les gars. C’était durant mon stage l’année passée et j’ai eu une relation plus ou moins ambiguë avec le patron et un serveur ce qui m’a poussé à la quitter. »
« Sérieux ? Genre tu t’es tapé le patron du lieu de ton stage ? Et un des serveurs ? »
« Ouais… »
« Et genre ça s’est fini comment ? »
« J’ai coupé les ponts avec Rai et on s’est quitté en bons termes avec mon patron mais j’ai plus eu de nouvelles depuis mon arrivée ici. Et j’ai pas forcément envie d’en avoir. J’ai l’impression que ça a eu lieu dans une autre vie tant ça fait longtemps que j’y avais pas repenser ! »
« Oui je vois ça ! Et du coup qu’est-ce qui s’est passé avec le dénommé Rai ? »
« Euh… Je savais plus trop ce que je voulais avec lui et j’ai découvert un jour qu’il était un peu du genre à coucher avec tout le quartier du coup j’ai mis de la distance pour me protéger. »
« Ah okey ! Et genre si il venait à te recontacter, tu dirais quoi ? »
« Pourquoi tu me poses cette question ? Je vois pas pourquoi il me recontacterait puisqu’il m’a lui aussi mis de côté. »
« Je sais pas comme ça. Mais ça répond pas à ma question… »
« Je sais pas. Peut-être oui, peut-être non, j’en sais rien ! »
Qu’est-ce qu’il m’énervait avec ces questions ! J’avais l’impression de passer un interrogatoire et à devoir justifier toutes les relations que j’ai eu. Il commençait tellement à me soûler que je n’avais même plus envie de parler de ça. Il vit mon énervement et s’excusa de poser trop de questions précises avant de changer de sujet. Malgré ça, mon esprit était reparti ailleurs et Raijan prenait de plus en plus de place dans ma tête.
Après le repas et une petite soirée tranquille, nous partîmes nous coucher. J’étais dans les bras de Max mais ma tête était restée bloqué sur la discussion de cet après-midi. Qu’est-ce que je ferais si Raijan m’appelait un jour ? J’émets l’hypothèse que cette situation arrive et jauge mes réactions. D’un côté j’aurais du mal à renouer avec lui et ressasser le passé sachant qu’aujourd’hui je suis bien avec Max. Je pense que je ne répondrais pas et continuerait ma vie tranquillement. Mais cette réponse ne me satisfaisait pas et je faisais face à un vrai dilemme. Je décidai d’ouvrir un peu plus mon esprit et de laisser les souvenirs peu à peu revenir.
Je commençai par revivre mon arrivée dans le restaurant et mon regard croisant celui de Raijan. Puis la première soirée chez lui où je me pris un gros râteau en première partie pour ensuite passer ma première nuit avec un homme dans le même lit entrelacé. Puis c’est au tour des baises de me revenir en tête. Les fois où je le défonçai à même le sol, où quand on fit un plan à trois avec Thomas. Mais une baise en particulier me revenait en tête, celle où j’étais tellement en manque que j’avais demandé à ce qu’il appelle un de ses potes pour me faire prendre par deux rebeux. Et forcément, ce souvenir m’amena à la découverte de la cassette et de ce que faisais Raijan lors de ses soirées. Je regrettais d’avoir découvert ça mais en même temps je me dis que ça m’a permis de pouvoir m’en détacher plus facilement avant de souffrir. En prenant du recul, je repensai à la question initiale et je savais que dans le cas où il tentait de reprendre contact, je dirais oui. D’ailleurs repenser à tout cela m’avait mis la gaule et je bandais comme un âne. Je m’en étais pas rendu compte non plus mais je bougeais faiblement mon bassin depuis quelques minutes et même si l’amplitude était presque nulle, ça avait suffi à réveiller le dard de Max, qui avait maintenant sa queue collée à moi. Il était contre moi, sa queue entre mes deux lobes et ondulait lentement entre mes fesses tout en commençant à me caresser.
« Hummm... Tu commences à t’exciter… Qu’est-ce qui te mets dans cet état ? »
« Oh pas grand-chose (je n’allais quand même pas lui dire que c’était mes baises avec Raijan), mais qui est suffisant pour m’exciter et me donner l’envie d’être baiser à fond »
« Ahhh baiser à fond ? Tu veux que je te défonces ton cul ? »
« Oh ouais, mais vu comme c’est parti je sais pas si tu suffiras à me rassasier »
« T’emballes pas, je vais te la mettre profond et t’en redemanderas mais t’inquiètes pas que je te suffirai ! »
« Je me connais assez pour savoir c’est rare que je sois dans cet état mais que quand j’y suis il m’en faut beaucoup pour redescendre. »
Pendant toute la discussion, Max avait agrippé mon corps d’une manière plus sèche et avait accéléré ses mouvements avec sa queue de manière plus profondes et bestiale. Bien-sûr mon cul lui se cambrait de plus en plus et je commençais à devenir une grosse salope pour la nuit.
Je me relevai à quatre pattes et sautai sur sa queue pour la sucer avidement. Il agrippait ma tête de ses deux mains et relevait son bassin pour bien me baiser la bouche. On n’a pas vraiment pris le temps d’y aller progressivement tant j’étais en rut. De temps à autre il me bifflait ou me giflait en me disant des mots salaces pour bien me rendre chienne. D’habitude j’aurais été refroidi mais comme dit plus tôt, dans un cas spécial comme celui-là, je m’en foutais et au contraire ça m’excitait encore plus. Ce que j’aimais faire c’était le gifler en retour pour qu’il tente de s’imposer encore plus en me défonçant encore plus la bouche. Il me laissa par la suite le sucer comme je voulais car il s’était un peu redressé pour pouvoir toucher mon cul. Bien cambré, il y accède facilement et je reçois plusieurs fessées plus ou moins fortes, toujours accompagné de phrases comme « T’aimes ça petit chienne ! T’es ma petite salope ! Ouais vas-y suce moi ! ». Ça m’excitait tellement bordel !
Je le sentais commencer à titiller mon trou et à mouiller son doigt comme il le pouvait. Je voyais bien qu’il galérait à me doigter et avant que j’ai pu faire quoi que ce soit, il me retourna pour accéder à mon cul. Il était donc derrière moi à me bouffer le cul comme une bête. Je sentais sa langue fouiller mon anus suivit de ses doigts épais qui forçait le passage. Il m’enculait maintenant avec ses doigts en me regardant dans les yeux.
« T’aimes ça hein ! Tu les sens bien mes doigts petite pute ! Huum ouais vas-y jouis, prends ton pied !! »
Il m’excitait carrément et sa musculature y était pour beaucoup. Il avait vraiment une prestance et ce côté dominateur lui allait super bien. Il l’avait bien compris et en jouait de plus en plus en me donnant des ordres. Soudainement, il me demande de me lever et de me coller contre le mur.
« Ouais vas-y comme ça ! Ecartes bien les jambes et cambre ton cul ! Ouais voilà c’est bien ! Humm on voit bien ton trou là ! »
Il se lève du lit et vint se placer derrière moi.
« Et maintenant je vais te défoncer contre le mur ! Tu vas voir que je vais tellement te matraquer que tu vas finir allonger contre le sol à n’en plus pouvoir ! »
Sur ce, il prit sa bite en main pour la soupeser en me lançant un regard vicieux. Il s’approcha de mon trou et s’y enfonça d’un seul coup. C’était la délivrance ! Mon cul n’attendait que ce moment et j’avais enfin son gros calibre en moi. Il me matraquait le cul en me maintenant la tête contre le mur. Il était essoufflé et avait donc réduit ses insultes mais il me les faisait passer par la gestuelle quand il me claquait les fesses ou quand il me giflait la gueule. Il a continué ainsi pendant une bonne dizaine de minutes avant de nous laisser tomber au sol. Il était sur moi à me pilonner parterre avec la même vivacité voire plus. Je l’encourageais et lui me répondait en me crachant à la gueule. Puis sans prévenir, il me mit des coups secs et profonds suivit de plusieurs jets. Il venait de se finir en moi et continuait de m’enculer en poussant de gros râles bien mâle. Il finit par s’arrêter et se retirer. Tout en me doigtant le cul en trempant ses doigts dans son sperme, il me demanda si ça m’avait suffi. Pour son égo j’aurais bien voulu répondre oui mais la réalité est tout autre et j’avais encore envie de me faire défoncer. Il parut surpris était donné que c’est la première fois qu’il me voit dans cet état puis se leva pour prendre son téléphone.
« Ouais Sergio ça va ? Désolé de te déranger à cette heure mais j’ai mon copain qu’est en mode grosse chienne et mon défonçage de cul ne lui a pas suffi alors si tu veux venir tirer ton coup en mode défonce c’est le moment !.... …. Ah ! … Ben écoute vois avec lui si ça l’intéresse ! … Génial ... Ouais à tout de suite, la porte est ouverte ! »
C’était la première fois que je voyais Max agir de la sorte. De nature un peu jaloux, je ne le pensais pas capable de faire ça mais je pense que c’est aussi parce que l’ambiance est particulière. Sans démorde de son rôle, Il me releva et m’ordonna d’aller dans le salon et d’attendre le cul à l’air sur la table basse. Lui, s’était installé sur le sofa dans l’angle et se touchait en attendant l’arrivée de Sergio.
D’ailleurs il ne tarda pas à arriver accompagné, comme je l’avais compris, d’un ami. Je me retournai brièvement pour les regarder. Sergio était vraiment putain de canon et rien que de le voir je savais que j’allais kiffer. A côté de lui, un mec beaucoup plus fin habillé en mode jogging et casquette. Oh ouais un ptit rebeu ! Il faisait à peu près ma taille je pense et il avait une bonne ptite gueule de rebeu comme je kiffe. Lorsqu’il me vit, il s’arrêta sur place et restait la main dans le caleçon et la bouche ouverte. Son regard se tourna vers Max qui était assis à se caresser en le regardant d’un air dominateur.
« Ah ouais putain c’est chaud en effet ! Ça va être kiffant frère ! »
Le mec était vraiment fin chaud et au bout de deux minutes il était déjà derrière moi à me caresser les fesses.
« Azy regarde-moi ce bijou ! En plus il est déjà lustré avec du foutre ! si ça c’est pas le bonheur ! Je vais prendre plaisir à te défoncer ma petite ! Tu vas goûter à mes 26 cm tu vas voir tu voudras plus t’en séparer ! Tel un os à son ptit chien ! »
Il parlait avec son accent de cité et était tout heureux. Lorsqu’il prononça la mesure de sa queue, je refroidi un peu tant je ne m’attendais pas à ça ! J’en ai jamais pris des aussi grosses et à regarder Max, je le vois tout aussi surpris mais excité à l’idée de voir ça !
Je voulais me retourner pour voir l’engin mais le rebeu baissa à peine son jogging pour sortir sa queue et me l’enfonça direct dans le cul. Je sentis mes parois d’enflammer et j’allais me mettre à crier quand une main se plaça sur ma bouche. Il avait anticipé le truc et continuait son avancée dans mes entrailles. Je sentis enfin ses couilles et ce fut de courte durée car il se retira rapidement pour mieux y rentrer. Il commença des vas et vient bien profond dans mon cul bien cambré. Il est complètement sur moi avec toujours sa main sur ma bouche. Je sentais son souffle chaud au creux de mon oreille.
« Hummm t’aimes ça ! T’en as jamais pris des si grosses. Tu vois ma queue est tellement grosse que ya que les chiennes dans ton genre qui peuvent l’encaisser. Et quand j’en trouve une en générale, j’y met tout mon cœur pour la défoncer. Tu vas voir tu vas jouir du cul comme personne et tu vas en perdre ta voix tant tu vas pousser des petits cris de petite salope. »
Ses mots me faisaient perdre la raison et plus ça avançait plus je sentais ses vas et vient me faire du bien. Je l’incitais à continuer et était complètement à sa merci. Il aimait ça et prenait un plaisir à me dominer face à mon copain. Je voyais dans le reflet du miroir qu’il regardait Max droit dans les yeux.
« Hum t’as une bonne chienne à la maison ! Regarde moi comme je lui pète son cul de salope et qu’elle en redemande ! T’arrives pas à faire ça toi ! Obligé d’appeler les voisins pour défoncer sa chienne car il arrive pas à la satisfaire seul ! Ça n’arrive jamais avec moi ça ! Mais t’inquiètes t’as l’air d’être une bonne salope aussi quand tu t’y mets alors tu auras le droit d’y goûter un jour ! »
Je regardais Max en attente de sa réaction tant le rebeu le provoquait. Je ne savais pas comment il allait réagir. Je le connaissais assez pour savoir qu’être dominant n’était qu’un rôle alors que dans le cas du rebeu ça semblait être plus naturel. Max le fixait donc, muet avec un regard enflammé. Il aurait, je pense, voulu le rabaisser mais la vue devant lui ne le lui permettait pas et la seule réaction notable fut sa queue qui se remit au garde à vous ce qui ne passa pas inaperçu à l’œil du rebeu.
« Tu vois je te disais que t’allais kiffer ! Aller je suis d’humeur coquine alors je te ferais pas attendre trop longtemps. Serg’, prépare mon arrivée stp ! Ce soir on a deux chiennes à la maison ! »
Sergio qui depuis son arrivée était muet et spectateur obéit de suite sans cligner des yeux. Je compris alors qu’il devait aussi se faire baiser par le rebeu et qu’il était aussi sous sa domination. Max aurait voulu faire bonne figure mais à peine Sergio le touchait qu’il était à quatre pattes le cul en l’air. Il se faisait bouffer le cul pendant que moi j’encaissais toujours les coups du rebeu dont je ne savais pas encore le prénom. Soudain, il se retira de mon cul et se leva. Il me prit par le bras et m’ordonna de le suivre.
« Bon j’arrive je vais continuer de lui baiser sa chatte dans la salle de bain histoire qu’il puisse se voir être défoncé. Occupe-toi bien de la tienne pour qu’elle soit prête à mon retour. Mais écarte pas trop non plus pour qu’elle puisse bien sentir mon calibre. Allez viens suis moi toi petite chienne ».
Je le suivais sans broncher et pendant le trajet je me disais que j’étais bien supérieur à lui physiquement mais qu’en ce moment j’aimais me faire dominer par lui. Arrivés dans la salle de bain, il se plaça face au miroir derrière moi et plaçant une de mes jambes sur l’évier, il s’enfonça de nouveau en moi. Cette fois-ci je la sentais bien mieux maintenant que c’était dilaté. J’en profitais directement et mes gémissements reprenaient. Je le voyais se mater en train de m’enculer et j’ai pu moi aussi l’observer un peu plus en détail. Il avait les cheveux rasés avec sa casquette à l’envers. Ses traits du visage sont à la fois fins et masculins avec une belle peau de rebeu. Ses yeux verts et sa barbe taillée à ras le rendait magnifique. Je remarquai qu’il avait toujours son jogging en bas des fesses comme s’il allait tirer son coup sans s’installer. Mais ça lui donnait une allure bandante. A vrai dire, c’était un pur étalon. J’aurais pu me faire baiser par un moche mais non c’est bien un beau gosse qui me baise. Il accélérait le rythme et m’encourageait à me regarder être baisé.
« Ouais vas-y mate comme tu te fais défoncer ! Ton mec te baise pas comme ça hein ! Regarde ma puissance ! Ma queue qui ramone ton trou de chiennasse ! Vas y donne ta bouche ! »
Je tournai ma tête pour pouvoir l’embrasser. Il commença par me cracher dans la bouche avant de me rouler une pelle baveuse en me léchant bien tout le visage. Il enchaînait les coups de matraque. Je repris ma position face au miroir et je le vois mettre une main dans la poche de son jogging. Il en sort son portable.
« Tkt je montre pas ta tête mais faut vraiment que j’envoie un extrait à mes potes pour qu’ils se jutent dessus ! »
Je le vois lancer snapchat. J’étais en train de me dire que j’allais peut-être regretter ça par la suite car quelqu’un pourrait me reconnaître. Mais là j’étais beaucoup trop en trans pour refléchir à quoi que ce soit. Je le vois positionner le portable pour qu’on me voit bien me faire défoncer. Je comprends qu’il commençait à filmer quand je sentis le rythme devenir très intensif et où je l’entendais parler à ses auditeurs.
« Mmmmh regardez-moi cette chienne que je me tape ! Mes 26 sont au paradis ! Ouais c’est ma ptite pute ça ! »
J’entends la vidéo se répéter puis il l’envoie à ses potes. Je m’entends derrière couiner et ça m’excite encore plus ! Il se retira alors de moi et me mit à genoux. Il reprit une vidéo où il me biflait puis m’enfonçais sa queue pleine de ma mouille.
« Huumm vas y suce ma queue pleine du foutre de ton copain et de ta mouille de chiennasse ! »
J’en avais presque oublié qu’avant lui je m’étais fait défoncer par Max. D’ailleurs j’étais en train de continuer de sucer le rebeu quand un cri nous parvient aux oreilles. C’était Max qui était surement en train de se faire défoncer par Sergio. Le rebeu me bifla une dernière fois avant de me relever pour m’amener dans le salon afin de rejoindre les deux autres. A notre arrivée, Sergio était en train de défoncer Max sur l’îlot de la cuisine. Il avait les fesses bien rouges qui traduisaient les fessées qu’il a dû prendre.
« Ouais c’est bon ça ! Merci Sergio pour la préparation ! Maintenant pour finir ton travail, viens me sucer la queue comme tu sais bien le faire !! »
J’avais donc raison à propos de la relation Sergio/Rebeu. Sergio se retira de Max pour venir se mettre à quatre pattes devant la queue du rebeu assis sur le sofa. Il la goba alors directement et je fus surpris qu’il mette autant dans sa bouche. Il était directement en gorge profonde et à chaque nouvelle bouffée d’air, des gros fils de bave coulaient. Max allait bouger de l’îlot pour venir nous rejoindre quand une voix rauque se fit entendre.
« Non non toi tu restes comme tu es le cul à l’air ! J’arrive te défoncer ma petite ! »
Max obéit et le rebeu sorti son portable à nouveau pour filmer Sergio en pleine gorge profonde.
« Aiiight qui c’est qui se tape 3 petites chiennes ce soir ? C’est moi ! Regardez une m’attend pour que je la féconde ! »
Il était là à filmer Max qui montrait son trou bien ouvert par Sergio. J’étais là à les regarder reprenant mon souffle alors que ça fait peut-être 1h que je me fais défoncer. Mon trou est béant et je n’ose même pas imaginer mon état demain. Mais je n’y pense pas et continue de mater la scène devant moi. Enfin le rebeu se leva et se dirigea vers Max. Sans patience, il s’enfonça droit dans le cul de mon copain. Il poussa un cri de douleur et comme avec moi, il se fit taire par la main du rebeu. A voir d’un point de vue extérieur c’était assez hard mais très excitant. J’avais assez pris de repos et il restait encore une personne qui ne m’avait pas défoncé.
« Vas-y Sergio, défonce moi ! »
Il ne se fit pas prier et en moins de 10 secondes il était déjà à me culbuter. Forcément sa bite était plus petite alors ça passait crème et ses coups de butoir était moins saisissant. Mais tout de même, il faisait le taf ! Il était moins féroce et se tentait même à quelques caresses. Ça faisait du bien mais j’avais tout de même envie de plus. Je l’incitai alors à me claquer les fesses en lui parlant du cul de Max. Il ne tarda pas à s’y mettre et bientôt nous étions quatre gars à gémir au plus fort.
Cela devait faire une bonne 15aine de minutes que Sergio me défonçait et je n’étais toujours pas rassasié. J’en voulais plus et alors que Max et le rebeu venait de nous rejoindre sur le canapé, je sous entendis que je ne sentais pas assez sa queue. Le rebeu me regarda alors et lança :
« Allez viens sur la queue de papa Tarek que tu la sentes bien passer. »
Je venais enfin de savoir son prénom et sans plus tarder je sautai sur la matraque de Tarek. Je m’empalais dessus comme une chienne et le fixait dans les yeux avec un regard de jouissance. Je vois qu’il aime ça et pour la première fois, il laissa échapper un sourire franc et de plaisir. Mais il se reprit très vite.
« Je vois que t’arrives à gérer mes 26 sans problèmes ! Je vais élever ton niveau de putasse. Sergio vient derrière on la prend en double ! On va lui éclater sa chatte ! »
Il s’arrêta un moment en moi laissant le temps à Sergio de venir se placer. Je le sens forcer le passage et pour le coup la douleur était revenue.
« Ah ça fait mal hein petite chienne ! Attends ton copain va venir de calmer ! Toi, viens te faire sucer la queue ! »
Max se mit alors debout sur le canapé pour me foutre sa queue dans la bouche. Et on peut dire qu’il n’y va pas de main morte car il me fait des gorges profondes comme jamais. Pendant ce temps-là, je n’avais pas capté que Sergio était enfin rentré dans mon cul. Bordel j’ai deux gros calibre dans mon cul !!! Je ne vais pas assumer demain. Je les sens prendre le rythme et je dois repousser Max pour en apprécier toute l’action. Tour à tour il s’enfonce en moi et je sens leurs queues se frotter.
« Putain ouaiiiis ! C’est la première fois que je fais une double ! T’as vraiment un cul de chienne bordel ! T’as vraiment mérité que je te lâche toute ma jute dans ton cul ! »
Il était vraiment content et en même temps il avait Max à côté le cul en l’air. Tarek s’enculait comme il pouvait avec ses doigts pendant que Sergio mettait les siens dans la bouche de Max. On continua comme ça encore quelques minutes puis Tarek prit de nouvelles directives.
« Bon je vais bientôt juter là ! Donc pour récompenser ma petite chienne je vais aller me finir dans son cul en privée. Et vous ben vous pouvez continuer à vous défoncer si vous voulez et vous juter l’un dans l’autre si ça vous fait plaiz ! »
Sur ces paroles, il se leva en m’emmenant dans la chambre laissant Sergio et Max seuls. On avait à peine passer la pièce que Sergio était déjà à défoncer Max. On arrive dans la chambre et là il retire entièrement ses chaussures et son jogging puis s’allonge sur le lit la queue dressée en l’air.
« Allez viens petit gars, je t’offre une récompense que peu de personnes ont eu droit. »
Son intonation de voix avait changé et il paraissait plus vulnérable. Ça n’empêchait pas de lui obéir et je montai sur lui et commençai à m’empaler bien sec sur son manche. Contre tout attente, il m’agrippa afin de maintenir un rythme plus calme et profond.
« Calme ! On apprécie ce dernier moment ! De ce que j’ai compris j’ai la chance d’avoir été là ce soir et tu m’as pas l’air d’être une chienne à queue constamment ! J’ai vraiment kiffé te baiser et vu que ça risque d’être la seule fois j’aimerai te rendre la pareil en te baisant plus respectueusement. »
Dans son discours il paraissait très sincère et limite touchant. Bizarrement mon envie d’être défoncé était passé, bon au bout d’une heure et demie c’est un peu normal, et j’acceptai son retour de pièce avec plaisir. Je me risquai alors à l’embrasser et nos langues se joignirent dans un long baiser langoureux. Il continuait de me baiser profondément et de me masser l’intérieur avec sa queue. Au bout de quelques minutes il inversa les positions pour être au-dessus de moi. Ses coups de reins sont très profonds et il ondule parfaitement son corps pour que je la sente bien. Il était dans le creux de mon cou et m’embrassait dans tous les sens. Il se redressa ensuite un tout petit peu pour m’embrasser puis recula son visage pour pouvoir me fixer dans les yeux. A travers ses yeux verts, je compris qu’il allait venir et ses coups de reins s’intensifièrent. Dans un long râle bien rauque je le sentis se bloquer en moi sans que ses yeux ne se détachent des miens. C’est alors que je ressens une décharge dans mon cul avec des dizaines de jets. Il attendit quelques secondes avant de reprendre son souffle et venir m’embrasser. Il se retira de mon cul laissant un trou béant coulant de foutre. Il ne détachait pas son regard du mien et commença à descendre plus bas. C’est alors qu’il empoigna ma queue et se mit à la masturber. Ce qu’il fit ensuite me laissa de marbre et je savais que j’avais un traitement de faveur ultime car il se mit à me sucer la queue. C’était tellement bizarre après tout ce qu’on vient de vivre mais en même temps c’était super appréciable. Il y allait avec douceur et délicatesse mais se permettait aussi de faire des gorges profondes. Il me doigtait en même temps le cul plein de foutre.
Soudainement, il s’arrêta et se releva pour venir à ma hauteur.
« Je… Bon je sais que ça va faire bizarre après la baise qu’on vient d’avoir mais… Enfin … Tu pourrais te finir en moi stp ? Mais ça reste entre nous par contre ! Même pas un mot aux deux autres genre c’est notre secret ? »
Un sourire se dessinait sur mon visage. Même en mode chienne j’arrivais encore à avoir un putain de pouvoir de séduction au point que le gros dominateur veuille se faire féconder par moi. Bien sûr j’acceptai car je ne voulais pas rater cette occasion. Je le mis à quatre pattes afin de pouvoir lui lécher le trou. Il était tout mouillé et ça allait me faciliter les choses. Je pu rapidement y insérer un doigt puis deux. Tarek poussait quelques gémissements et à l’entendre je pense que c’était sa première fois. J’en étais encore plus heureux et rapidement je pu y insérer ma queue. J’y allai doucement pour ne pas trop lui faire mal et arrivé au fond je l’embrassai dans le cou. Il poussait des « ouais » et je commençai à faire des allers et viens. Bien-sûr j’étais sur le point de juter alors je savais que ça n’allais pas durer. D’autant plus qu’avec ce cul bien serré, mes sensations étaient amplifiées. J’accélérai un peu plus vite et de lui-même il m’encouragea à aller plus vite. Je sentais que j’allais juter alors je le matraquai le plus vite possible et dans un râle et un coup de rein bien profond, je me déchargeai de mon foutre dans son cul. Il poussa pas mal de gémissements et après avoir juté, je restai un petit coup dans son cul à l’enculer. Enfin je me retirai et nous nous retrouvâmes côte à côte à s’embrasser. Je repris vite mes esprits et proposai de retourner au salon. Il accepta et après un ultime baiser il reprit sa position de dominateur et remis son jogging en bas des fesses.
A notre arrivée, Sergio était en train de lécher le sperme qui coulait du cul de Max. On assista alors quand même à la faciale de Max sur le doux visage de Sergio. On était tous crevé et sans attendre je m’écrasai sur le canapé. Sergio et Max me suivirent et seul Tarek était encore debout. Il finit par remballer son paquet et enfiler son tee-shirt. Dans un air toujours de domi, il nous laissa en plan pour rentrer chez lui. Nos regards se croisèrent et je savais qu’il tenait à garder ce rôle pour dominer mais qu’au fond il aurait adoré rester là. Mais bon il faut assumer jusqu’au bout sa place et je lui dis au revoir non sans lui lancer un clin d’œil. Sergio finit par le suivre en rentrant chez lui en nous remerciant de l’appel. La porte se ferma et je me blottis dans les bras de Max. Je le remercie à mon tour pour cette soirée surprenante et il me répondit qu’il ne s’attendait pas non plus à ça. On rigola un peu avant de parler des souffrances de demain matin. Mais nous étions trop épuisés et après un dernier baiser, nous nous endormirent sur le canapé, lampes allumées, nos culs bien remplis.
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Les avis des lecteurs
Bien chaud. Ca rend le lecteur aussi bien salope. Tu nous fais bien bander et nous mets en chaleur