Titre de l'histoire érotique : Mes rencontres avec Alice.

- Par l'auteur HDS Le Matou libertin -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Mes rencontres avec Alice. Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Mes rencontres avec Alice.
Mes rencontres avec Alice.

J’ai transcrit le mieux possible le récit de mes aventures avec cette jolie jeune femme (je pourrais être son père...).

Un 5 à 7 qui se prolonge.

Alice : Après nos rencontres virtuelles et nos multiples échanges sur internet, nous nous voyons pour la première fois en chair et en os.
C’est si troublant de t’accueillir ainsi sur le parking de la gare où nous nous sommes donnés rendez-vous. Sans mot, nous nous serrons l'un contre l'autre comme deux amants qui se retrouvent après une séparation trop longue. Je mets mes mains autour de ton cou, caresse ta belle barbe. Et je t'embrasse. Nos langues s'entremêlent, enivrant nos corps d'une sensation excitante et légère. Tes mains glissent le long de ma taille :
• Enfin tu es là ! Depuis trois semaines bientôt, je ne tiens plus en place depuis que nous avons prévu de nous retrouver cet après midi !

Non ce n'est pas un rêve, tu es bien là ! Je lis dans tes yeux la même excitation que la mienne. Sur la route qui nous conduit à mon appartement, je sens que tu m'observes et que tu n’es pas insensible à la petite robe légère et courte qui laisse apparaitre mes jambes et le haut de mes cuisses. Tu as envie de laisser glisser tes mains sur ma peau et de remonter doucement vers mon trésor intime ! N’est-ce pas grand coquin ? Tu me regardes, tu souris et je me sens alors si bien !

Nous arrivons chez moi où je suis seule pour deux semaines encore car mon copain Tony est sur un chantier à l’autre bout de la France. Je craque dans l'ascenseur qui nous monte dans mon appartement. Je me colle contre toi et tu m'embrasses à nouveau. Tu glisses tes mains derrière mes cuisses, remontes, caresses doucement mes fesses. Mumm… C’est bon que tu sois enfin près de moi. L'ascenseur s'ouvre, et je te fais entrer chez moi. La porte à peine claquée tant je suis surexcitée, nous reprenons notre étreinte :
• Viens vite, j’ai soif de toi ! Tes coquineries sur la toile et tes histoires coquines m’ont bien chauffée !

Tu arraches ma culotte humide et fais glisser les bretelles de ma robe qui tombe sur la moquette. Mes petits seins libres sous la robe sont tendus de désir. Tu les embrasses et lèches délicatement les tétons pour les faire saillir. Je les sens durcir sous ta langue experte et tu les mordilles doucement entre tes dents. Tu me portes et me déposes sur le canapé... La tête entre mes cuisses, tu embrasses mon intimité :
- Ouuiiii ! C’est bon ! Continue, je sens bien ta langue dans ma fente !

J'ondule de plaisir et laisse échapper des gémissements. Tu te relèves, tu te couvres et me pénètres enfin. Ton sexe entre en moi si facilement, je suis si mouillée ! Cette sensation chaude, douce et humide me transporte.

Tu me prends ainsi, de plus en plus vite, et de plus en plus fort alors que je suis à moitié allongée sur le canapé. Ta bouche enfouie dans la chair tiède de mon cou, tes mains explorent les recoins les plus intimes de mon corps, me secouent de délicieux frissons. Tu me fais gémir, haleter, retardant au maximum ma jouissance pour qu'elle soit divine. Je sens ta bite qui sort de mon petit abricot fendu pour y entrer à nouveau.

Puis, n’y tenant plus, tu t’enfonces d’un seul coup de reins dans ma chatte inondée. Tu plies légèrement les genoux pour te redresser, et, d’un élan violent, bestial, ton sexe triomphant s’introduit jusqu'à la garde… Tu prends possession de moi mon amour et je me mords les lèvres pour ne pas exploser de plaisir. Jusqu'à ce moment magique où, te sentant jouir entre mes cuisses désarmées, je ne peux plus me retenir, submergée, inondée de plaisir...
• Oohhh mon trésor que c’est boooon !



Moi : Oh oui que c'était bon ! Je suis ravi de ton accueil. J'avais deviné quand tu m'as ouvert les bras sur le parking de la gare de Biarritz que tes seins coquins étaient libres de toute entrave sous ta robe légère.

C’est vrai aussi qu’ils n’ont guère besoin de soutien ! Lorsque nous sommes arrivés dans ton grand studio, j'ai ainsi eu vite fait de te dénuder entièrement ! La robe est passée par-dessus ta tête et tu m’es apparue juste avec un string des plus mini !
Tu étais à ma merci mais consentante à tout ce qui allait se dérouler. L'un comme l'autre, nous savions ce que nous attentions de cette rencontre : prendre beaucoup de plaisir ensemble. Je profitais d’un séjour en camp naturiste sur la côte landaise pour te rendre visite.

Après avoir récupéré un peu de nos émotions en buvant un verre de jus de fruits, tu quittes le canapé pour débarrasser les verres. A ton retour, je te vois avec surprise te mettre à genoux devant moi. Tu écartes mes cuisses et de ta jolie bouche tu viens gober ma bite qui est au repos. Quelques léchouilles et aspirations plus tard, elle commence à se redresser et reprenant uniquement mon gland entre tes lèvres, tu continues cette divine fellation.

Je sens ta langue jouer avec le bout, caresser le méat. Humm ! Que c’est bon ! De ta main droite tu caresses mes couilles pour accentuer la nouvelle montée de sève et ta main gauche est entre tes cuisses pour caresser ta chatte.

Le spectacle vaut son pesant d'or ! Lorsque tu sens que je suis prêt pour une nouvelle joute, tu te places à genoux sur le canapé en te mettant en levrette. Nos conversations antérieures avaient évoqué notre goût respectif pour cette position dans laquelle toute l'animalité de l'Homme se révèle… J'ai compris le message !
Je viens me placer derrière toi, j'enserre ta taille de mes mains, je mets sur le côté le cordon du string et après avoir enfilé un préservatif… d'un coup, j'enfonce mon sexe jusqu'à la garde dans ta chatte en faisant claquer mes cuisses contre tes fesses.

Après avoir savouré cette intrusion, je commence un va-et-vient lent et profond. Tu ne tardes pas à exprimer ta satisfaction ! Tes soupirs et gémissements se font de plus en plus forts et je sens notre excitation monter à nouveau vers le paroxysme. Ma jouissance est assez longue à venir car mon âge est là mais je la retarde aussi pour que la tienne soit aussi complète que possible.

Tu jouis une première fois et alors que je ne me suis pas encore libéré tu me supplies :
- Encore !

Oui… je reprends le va-et-vient dans ta chatte qui est trempée de mouille. Je glisse sans effort dans ta gaine et je sens tes muscles internes me travailler le sexe. Nous jouissons ensemble au moment où je me répands au fond du préservatif.
Tu te retires d'un mouvement souple et mes dernières giclées de sperme finissent entre tes fesses et au bas de ton dos ! J’ai enlevé prestement cet accessoire barbare mais nécessaire.

Restant dans cette position tu viens recueillir mon sperme qui a maculé tes reins et tu suces ensuite tes doigts pour en apprécier la saveur en mélangeant aussi ta mouille qui est abondante :
- Humm ! Que c'est bon !

Je ne sais si c'est le goût ou les sensations retirées de notre étreinte. L'un et l'autre nous avons besoin de souffler un peu et nous nous allongeons sur ton divan collés l'un à l'autre dans la position de la cuillère.

Je suis le dos contre le dossier et tu es collée à moi. Après quelques mouvements tu trouves ta position : tu t'es arrangée pour que tes fesses viennent au contact de mon bas ventre pour sentir ma bite dans ton sillon fessier. De mon côté, je viens cueillir ton sein droit et je triture le téton qui est bien dressé. Tu ronronnes comme une chatte satisfaite des caresses de son maître.

Quelques temps plus tard… en fait nous nous sommes endormis, il fait nuit. Dans la pénombre, je te vois te diriger vers ta cuisine, entièrement nue…
Alors que je n'ai pas bougé, savourant mon bonheur, tu reviens avec un en-cas que nous dégustons à la lumière de quelques bougies que tu as allumées. Nous bavardons ensuite quelques temps et au moment où je veux te quitter pour regagner la chambre d'hôtel réservée à l'avance, tu me dis :
- Reste ! J’ai envie que nous passions la nuit ensemble ! Cela fait quelques temps que je n'ai pas eu cette opportunité ! Mon copain est absent depuis trop longtemps !

La nuit, après un sommeil réparateur, nous apporte de nouvelles forces. Au réveil, tu es blottie entre mes bras et ta main droite part en exploration vers ma bite qui, comme presque tous les matins, est déjà bien bandée.
Ta caresse achève de rendre mon sexe turgescent. Tu enjambes mon corps et te mettant accroupie, tu viens t'empaler sur mon sexe dressé.
Je n’ai même pas eu le temps de me couvrir tant tu étais impatiente !
C'est toi qui effectue le va-et-vient alors que je me contente de te maintenir par la taille.
Je sens ma sève monter et comme hier soir tes muscles intimes travaillent pour augmenter mes sensations. Je vois tes seins qui se tendent vers moi. Sans que je les caresse, les tétons pointent au point que l'on croirait que deux bouches invisibles les sucent pour les faire se dresser.

Quel spectacle tu m'offres ! Bientôt nous jouissons ensemble et sans nous désunir, tu t'allonges sur moi en me gardant prisonnier de ta chatte. Quelle douce sensation de rester dans ton fourreau brûlant où nos jouissances se sont mêlées.
Après quelques temps nous nous séparons et tu pars vers ta salle de bains nue comme au premier jour !
Tu en ressors habillée d'un petit tailleur avec une jupe courte qui dévoile la moitié de tes cuisses. Pendant que tu nous prépares un petit déjeuner reconstituant, je passe également dans la salle de bains où tu as tout prévu pour moi : rasoir jetable, lotion, etc.
Oh quelle coquine tu fais ! Tu avais tout manigancé pour me retenir jusqu'au matin.

Malheureusement nous sommes obligés de nous séparer : J’ai rendez vous à Bordeaux en début d’après midi et toi, tu en as un pour ton boulot vers 11 heures. Nous nous promettons de renouveler cette excellente expérience dans quelques temps mais tu me poses de conditions ! Nous conservons notre entière liberté, pas question d'aller au delà d'une amitié complice. Cela me convient !

Je commande un taxi pour aller à la gare et je prends congé de toi non sans un dernier échange de baisers fous.



Pique nique au bord de la cascade.

Moi : Près d’une année a passé ! Après notre précédente rencontre chez toi l’été dernier et nos multiples échanges sur la toile, j’ai enfin la possibilité de passer quelques jours de repos dans ta région.
C’est sciemment que j’ai choisi cette destination afin d’être plus près de toi et te rencontrer dès que tu seras libre.

Nous avons décidé de passer cette belle journée de juin au bord de l’eau pour un pique nique d’amoureux. Cela fait longtemps que nous parlons de cette escapade complice, en toute liberté.
Lors de mes randonnées dans la région il y a de nombreuses années, j’avais découvert un site qui devrait nous convenir : Un peu éloigné des sentiers… dans un coin discret avec une cascade.

Nous avons laissé ma voiture en bord de route, et, après environ une demi heure de marche sur un sentier qui courre sous les arbres, nous arrivons au bord du gave (encore un torrent à cet endroit).
Nous avons avec nous tout le nécessaire pour être bien.
Le sentier est assez difficile, mais je crois que c’est le prix de notre tranquillité. Tu es surprise de ce lieu… Nous allons être bien.
Au pied de la cascade, il y a un petit bassin où les eaux sont plus calmes et réchauffées par le soleil déjà haut dans le ciel. Nous allons pouvoir nous y baigner.

Notre campement est vite installé : un grand plaid étendu au soleil, le sac à dos à l’ombre d’un chêne. Personne ne viendra nous déranger.
Nus tous les deux, comme deux enfants que nous ne sommes plus, nous nous précipitons dans l’eau et nous commençons à nous ébattre en passant sous la cascade. Nous nous poursuivons dans l’eau fraîche et sur la petite plage, en nous éclaboussant à grands coup d’eau jusqu’à ce que, n’en pouvant plus de désir refréné et des caresses furtives échangées, nous nous écroulions sur le plaid.

Après quelques minutes où nous reprenons notre souffle, tu viens au dessus de moi en présentant ta chatte toute lisse au dessus de mon visage. C’est une invitation. De ton côté, tu engloutis ma bite déjà à moitié bandée au fond de ta large bouche et tu me fais une gorge profonde savoureuse, jouant au passage avec la pointe de ta langue ornée d’un piercing que je ne connaissais pas...
L’un comme l’autre nous sommes bien excités et l’envie de baiser nous tenaille.

Tu te remets en levrette pour bien m’exciter encore plus en frétillant de la croupe. Tu sais combien j’affectionne cette position ! Rapidement couvert, d’une seule poussée je prends possession de ta chatte toute humide d’eau et de ta mouille. De mes mains, je viens emprisonner tes petits seins et j’agace tes jolis tétons bien saillants. Que c’est bon de te faire l’amour en entendant les chants d’oiseaux et le bruit de la cascade proche.

Prenant mon temps malgré le désir intense que j’ai de toi, je fais de lents va-et-vient dans ton fourreau bien humide. J’entends tes soupirs et la manifestation de ton contentement.
Puis, au bout d’un long moment, ta jouissance éclate, soudaine et violente à la fois. Je n’ai pas encore joui. Tu dégages de ma pénétration pour retirer le préservatif et venir gober ma bite pour gouter nos odeurs mélangées jusqu’à ce que je gicle abondamment sur tes seins que tu caresses pour les enduire de mon sperme.



Alice : Cette cascade ! Quelle jolie trouvaille ! Le calme et la discrétion de ce coin charmant en font un merveilleux nid d’amour.
Tes mains puissantes enserrant mes petits seins gonflés de désir…
Grrrrrrr… que c’est bon mon cœur !
Comme tu sais me combler !
Et cette levrette au soleil mais cachés par les arbres complices La tiédeur de mon corps encastré contre le tien, ton membre raidi serré entre mes fesses rondes, collées contre ton bas-ventre. Mon bassin qui commence à onduler doucement, mon sexe s’humidifiant. Je me cambre pour t’exciter encore plus, pour que tu ne puisses pas résister.

C’est une journée merveilleuse qui commence bien.
Merci mon doux amant.

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