Titre de l'histoire érotique : Mon banquier

- Par l'auteur HDS Laure60 -
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Auteur femme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Mon banquier Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Mon banquier
Ces faits datent des années 70, j'ai 24 ans. Avec Pierre mon mari nous envisageons de faire construire un pavillon dans un nouveau lotissement situé dans la ville ou nous résidons. Pour cela il nous faut trouver le prêt bancaire le plus avantageux possible.
A cette époque Les employeurs paient encore assez souvent leur personnel en espèces, les comptes bancaires ne sont pas encore généralisés.
Nous avons discuté avec une première banque un samedi matin avec mon mari et comme il est souvent en déplacement il me charge de contacter les banques de la ville qui sont au nombre de quatre et de voir ce qu'elles peuvent nous proposer.
Je le fais en me basant sur ce qui a été négocié avec la première banque et les directives de Pierre qui est très pointilleux je prend beaucoup de notes et en leur demande de me détailler par écrit leurs propositions de prêt.
Au bout de deux semaines nous avons un tableau précis de ce que nous pouvons obtenir et je peux comparer la qualité d'accueil qui m'a été réservée. Pierre est très content de moi et me félicite.

Je suis chargée d'ouvrir un compte dans l'établissement choisi et je suis reçue (comme lorsque je suis venue les solliciter pour le prêt immobilier) dans son bureau par le responsable un bel homme blond charmant et aimable vêtu d'un élégant costume, de taille moyenne ayant la quarantaine qui ne me déplaît pas.
A cette époque c'est encore une petite agence bancaire qui comprend trois personnes (une femme et deux hommes).
Comme je sers d'intermédiaire pour mon mari qui a des idées bien précises de ce qu'il veut, je commence à bien connaître les lieux et le personnel avec tous les aller-retour que je fais à la banque pour apporter des documents, donner ou demander des renseignements.
Et si le responsable me plait bien je m'aperçois vite qu'il apprécie tout autant de me voir et qu'il ne laisse à personne d'autre le soin de me recevoir ou de me renseigner.
Une fois les problèmes d'ouverture de compte et du prêt bancaire soldés, même quand je viens retirer de l'argent au guichet il continue, quand il n'est pas trop occupé, à me recevoir avec empressement souvent sans nécessité dans un box ou dans son bureau sous divers prétextes.
Pas folle j'ai vite compris ou il veut en venir et je me prête au jeu car cela m'amuse et j'aime profiter de l'attrait que j'exerce sur la gent masculine, je suis déjà bien dévergondée (mariée jeune puis à 20 ans j'avais déjà servie de vide couilles à un jeune homme à grosse queue et à 22 ans j'ai pris un amant régulier avec l'accord de mon mari pour assouvir mon gros appétit sexuel et la suite de ma vie sexuelle est celle que je vous conte depuis un moment).

Mon air de salope, mon physique et mon habillement souvent sexy l'attirent, je me suis rapidement aperçue qu'il a des vues sur moi ce qui m'arrange car j'ai des idées préconçues concernant les revenus des directeurs de banques.
Il a vite tenté de me voir en dehors de ses horaires de travail à la banque, ce que je refuse sans vraiment fermer la porte pendant un certain temps.
L'homme s'appelle Armand et maintenant nous avons abandonné le monsieur ou madame et nous nous appelons par notre prénom.
Si au début sa drague est discrète au fur et à mesure que le temps passe il devient plus direct et plus entreprenant.
<<bonjour Laure, toujours aussi charmante, vos visites sont toujours un enchantement pour moi>>.
<<bonjour Armand, encore des nouveautés à me proposer>>.
<<non, j'ai plaisir à vous voir. Vous me plaisez beaucoup et ce serait bien de nous rencontrer en dehors de la banque>>.
<<pour quoi faire>>.
<<nous connaître mieux et envisager autre chose de plus agréable si affinités>>.
<<ce ne serait pas convenable, nous sommes mariés tous les deux>>.

Comme j'ai une idée en tête je résiste afin de le faire mariner car je sais déjà ce qu'on peut tirer d'un homme attiré par le "cul" d'une femme et que l'on fait attendre, je sais que je finirais par coucher avec lui mais seulement quand j'aurais ce que je veux.

Il est tout sourire quand enfin je sens qu'il est mur et que j'accepte un rendez-vous.
En fin d'après-midi je l'attends devant la banque.
ensemble nous marchons dans la rue car il veut m'offrir un rafraîchissement et parler.
Nous entrons dans un bar.
Il m'offre un apéritif et pendant que nous parlons, surtout de ce qu'il espère de moi, il commande une deuxième tournée car il doit penser que l'alcool aidant je serais plus encline à lui céder.
Je lui laisse l'espoir qu'il peut se passer quelque chose entre nous sans m'engager plus avant.

Quelques jours plus tard, salope que je suis, je passe comme par inadvertance devant la banque en guettant le moment ou il en sort.
<<bonjour Laure, il faudrait que l'on se voient>>.
<<quand>>.
<<maintenant si possible>>.
<<je n'ai pas le temps mon mari m'attend>>.
<<alors quand êtes vous disponible>>.
Armand commence à être à point, j'avance mes pions et je commence à le tutoyer.
<<cette semaine je ne peux que pendant les heures du midi>>.
<<je ne peux pas sauter le déjeuner sinon l'après-midi je ne suis pas bien et demain j'ai un rendez-vous très important>>.
<<tu m'as dis que parfois tu invites des clients au restaurant alors pourquoi pas moi, j'en suis une après tout>>.
<<je ne sais pas, tu me poses un cas de conscience>>.
<<ce n'est pas grave, je blaguais, excuses moi je suis pressée, peut être à un autre jour>>.
Il réfléchit vite sentant sa proie s'éloigner.
<<d'accord demain à midi attends moi devant la banque>>.

Le lendemain il quitte son travail et nous gagnons à pieds un restaurant situé un peu plus loin, nous passons devant une boutique ou j'ai repérée une belle robe et je m'arrête devant la vitrine pour l'admirer.
<<tu as vu comme elle est belle cette robe>>.
<<oui, elle te plait vraiment à ce que je vois>>.
<<oui, je me vois bien le porter>>.
Il ne répond pas, nous gagnons le restaurant ou nous parlons de tout mais surtout de moi pendant le repas.
<<tu me plais beaucoup, j'ai envie de toi, on pourrait passer à l'étape suivante>>.
<<pas comme ça, j'ai besoin d'un peu de temps, je ne veux pas d'un coup vite fait puis au revoir>>.
<<je veux quelque chose de plus durable et que nous soyons satisfaits tous les deux sexuellement>>.
<<je vais réfléchir car tu me demandes de tromper mon mari>>.
Rendez-vous est pris pour un nouveau déjeuner la semaine suivante.

J'attends Armand devant sa banque puis en gagnant le restaurant nous passons de nouveau devant la boutique ou j'ai repérée une belle robe qui se trouve en vitrine et je fais celle qui est intéressée au plus haut point.
<<tu aimes cette robe>>.
<<je me damnerais pour l'avoir>>
<<elle est très jolie, tu serais encore plus désirable avec>>.
<<c'est sur que je pourrais la mettre pour te plaire et pour que tu aie le plaisir de me l'enlever>>.
<<tu n'as pas besoin de ça pour me plaire>>.
<<tu es bien un homme, tu me vois déjà nue dans ton lit en train de me faire prendre mais tu négliges la vision que chacun doit donner à l'autre avant même un contact physique, sans parler de la préparation et de la montée du désir avec les préliminaires avant de passer à l'acte et d'arriver au plaisir>>.
<<je n'ai pas voulu dire ça, je voulais dire que tu es une belle femme qui me plait telle qu'elle est>>.
Je ris sans répondre.
Pendant le repas, envoûté et de plus en plus impatient de coucher avec moi il me dit:
<<en sortant du travail en fin d'après-midi je passe à la boutique, demain tu pourras aller chercher la robe qui te plais tant, j'espère que tu la mettras pour notre premier rendez-vous et que tu ne me poseras pas de lapin>>.
<<je ne te demande pas de m'offrir cette robe>>.
<<elle te fait trop envie, ça me fait plaisir de te faire ce cadeau et il est normal qu'un homme fasse un cadeau à une charmante femme>>.
<<merci, tu es gentil, je constate que tu me forces la main pour pouvoir coucher avec moi, puisque tu insistes moi en contrepartie de ton cadeau je vais t'offrir mon corps puisque c'est ce que tu attends, tu ne seras pas déçu>>.
<<tu n'as pas envie d'avoir une relation avec moi>>.
<<si, mais nous sommes mariés et ce n'est pas bien, cela m'ennuie de tromper mon mari>>. Comme malhonnête je me pose là, s'il connaissait me vie sexuelle ma phrase le ferait bien rire.
<<cela n'empêche rien si nous en avons envie tous les deux>>.
<<d'accord puisque tu insistes et que je suis une faible femme mais je préfère que tu sois avec moi quand je vais essayer la robe>>.
Il sourit heureux d'arriver à son but sans savoir que moi je suis en bonne voie pour le mien.
<<d'accord demain après-midi vers 17 heures>>.

Le lendemain je l'attends devant la boutique de vêtements, il arrive le sourire aux lèvres.
Je donne ma taille à la vendeuse puis j'entre dans la cabine d'essayage, j'enlève la jupe et le maillot que je porte et j'enfile la robe mais je n'arrive pas à remonter la fermeture à glissière qui se trouve dans le dos, je sors de la cabine et demande à Armand de la fermer ce qu'il fait maladroitement.
Je me regarde devant un miroir, je fais plusieurs tours devant Armand et lui demande son avis que je connais rien qu'à voir ses yeux.
Je retourne dans la cabine retirer la robe et je demande à Armand de venir m'aider.
Timidement il me rejoint, baisse la fermeture et m'aide à enlever le vêtement ce qui fait que je me retrouve en string et soutien-gorge devant lui sans chercher à me cacher. Il est gêné et ne sait plus quelle attitude adopter.
<<alors ce que tu vois de mon corps te plais, a moins que tu sois déçu>>.
<<tu es belle, mais te voir ici comme ça me fais bizarre>>.
<<je t'offre une vision de ce que je vais t'offrir>>.
Son pantalon est déformé au niveau de son sexe.
Je lui souris puis je m'approche de lui et l'embrasse sur les lèvres en me collant contre lui.
Pendant que je me rhabille il paie l'achat et je le raccompagne jusqu'à sa voiture. Quand il est assis au volant je me penche et approche mes lèvres des siennes, ma langue pénètre dans sa bouche et cherche la sienne. Nos langues se livrent une bataille acharnée pendant un moment.
Il démarre et me quitte le sourire aux lèvres après que je l'aie remercié pour son cadeau et lui aie sussuré quelques mots à l'oreille.

Le lendemain comme je le lui avais dit à l'oreille la veille je le rejoins dans son bureau une fois que ses employés sont partis.
Nous n'avons pas beaucoup de temps la femme qui nettoie l'établissement doit bientôt arriver.
Je ne m'embarrasse pas de préambules, je me colle contre lui et passe mes bras autour de son cou.
Ma bouche est contre la sienne et nos langues se cherchent dans de longs baisers pendant que mon ventre apprécie la bosse qui grossit dans son pantalon. Avec une de mes mains je caresse l'endroit.
<<oh là là! tu es dans un état, je ne peux pas te laisser comme ça, assieds toi>>
Armand s'assoit, je déboutonne son pantalon et bataille avec son slip pour en extraire son pénis bien érigé qui est long mais pas trop gros.
A genoux entre se jambes, après l'avoir caressé je le lèche sur toute la longueur après avoir insisté sur le gland. Il apprécie ce que je lui fais les yeux mi-clos.
Il sursaute quand j'introduis l'objet dans ma bouche. Je commence une fellation en serrant bien mes lèvres pour qu'elles épousent au mieux la verge et en la faisant pénétrer le plus profond que je peux dans ma gorge.
Ma bouche fait des aller-retour lents au début puis j'accélère la cadence pendant que ses mains s'accrochent aux accoudoirs de sa chaise.
Il a trop envie, rapidement son corps se cabre, sa queue gonfle dans ma bouche et prise de soubresauts envoie des jets de sperme au fond de ma gorge, j'avale et continue un peu à sucer. je me relève.
<<cochon tu avais une grosse envie>>.
<<c'était bon, comme tu suces bien>>.
Je m'allonge sur son bureau jupe relevée, jambes écartées pendant dans le vide.
<<viens, prends moi>>.
Debout entre mes cuisses il écarte ma culotte et sa queue bute contre mon sexe. je la prend avec une main et la dirige vers l'entrée de ma grotte déjà bien humide.
Les mains agrippées à mes hanches il exerce une poussée avec son corps et son membre coulisse en moi.
Pendant qu'il me défonce à grands coups de reins une de ses mains soulève mon maillot puis mon soutien-gorge, palpe et caresse ma poitrine puis s'en prend aux tétons.
Les va-et-vient de la verge durent un petit moment avant que prise de tremblements elle n'arrose mon vagin.
Il se retire et s'essuie pendant que je rajuste ma culotte et mes vêtements.
<<quand je vais marcher ton sperme va couler et tâcher ma culotte tu n'as pas honte de me salir comme ça>>.
<<c'était bien et c'est dommage que nous n'ayons pas plus de temps car la femme de ménage arrive dans dix minutes>>.
<<ce n'est qu'un avant goût, à toi de t'organiser pour que nous ayons plus de temps et un autre endroit pour faire correctement l'amour>>.
<<je vais voir ça pour mardi prochain>>.

Le mardi suivant nous déjeunons ensemble, il me dit qu'il a pris son après-midi pour le passer avec moi.
Il est content de voir que j'ai mis la robe qu'il m'a offerte.
<<j'ai réservé une chambre d'hôtel en espérant que tu aie le temps nécessaire pour passer un agréable moment avec moi>>.
<<tu me prends par surprise, je ne pensais pas que cela irait si vite>>.
<<tu n'es pas d'accord>>.
<<allons y, soyons fous, faisons des folies de notre corps>>.
L'apéritif et le vin bus pendant le repas me rendent un peu euphoriques.
Puis dans sa voiture nous gagnons la ville voisine.

Il se gare devant un hôtel chic et nous allons à la réception prendre une clé puis nous montons au premier étage et entrons dans une chambre coquette.
Debout il me prend dans ses bras et m'embrasse longuement tout en caressant mon corps. J'en fais autant sur lui en insistant au niveau de son sexe qui est gonflé par le désir.
Il baisse le fermeture de ma robe et la fait glisser et tomber à mes pieds.
Il me caresse sans se presser partout tout en me regardant sans retirer mes sous-vêtements ce qui m'étonne.
<<tu es belle>>.
Il caresse longuement mes seins et mon sexe par dessus les sous-vêtements avant de dégrafer mon soutien-gorge et de faire glisser mon string qui tombe à mes pieds.
<<j'aime les sous-vêtements et j'adore les voir sur une femme>>.
<<tu peux m'en offrir, je les porterais uniquement pour toi, surtout que je risque à chaque fois de repartir avec la culotte tâchée>>.
Une fois nue il me couche délicatement sur le lit puis il se déshabille avant de s'allonger à côté de moi.
<<tu as un beau corps et j'ai trop envie de toi>>.
<<mon corps est à toi, fais en bon usage>>.
Nous nous embrassons pendant qu'il me caresse s'attardant sur mes seins. Je caresse son torse.
Quand sa main quitte ma poitrine pour aller sur mon ventre elle est remplacée par sa langue et sa bouche. Il embrasse, lèche les seins puis il suce les tétons avant de les agacer avec ses dents.
Sa main a quitté mon ventre et caresse longuement mon sexe avant qu'il ne doigte ma chatte. Ensuite il masturbe doucement puis plus énergiquement mon clitoris pendant que sa bouche s'occupe toujours de mes seins.
Le plaisir monte dans mon ventre, il n'est pas pressé d'en terminer avec les caresses qui durent depuis un moment, j'en ai assez de simplement caresser et masturber son pénis je me déplace et approche ma figure de celui-ci.
J'embrasse partout son membre puis je le lèche en insistant sur le gland pendant un bon moment avant de le prendre dans ma bouche et de lui faire une fellation en faisant pénétrer le maximum de longueur dans ma gorge.
Comme il continue ce qu'il a entrepris le plaisir devient intense dans mon ventre, je m'acharne avec ma bouche sur sa verge mais prise de spasmes j'ai un orgasme et la cyprine qui sort de mon vagin arrose sa main qui continue à me martyriser.
Enfin son corps se raidit, sa queue grossit encore dans ma bouche et est agitée par des tremblements pendant qu'il déverse son sperme dans ma gorge, j'avale la semence et je continue à sucer.
Je me déplace, il se met sur le dos, je m'accroupis sur lui les jambes de chaque côté de son corps et en m'aidant d'une main je m'empale sur sa verge qui vient buter au fond de mon vagin. Je remue à grands coups de reins pendant qu'il accompagne mes mouvements et triture mes tétons, ma mouillure coule sur son ventre et le plaisir que je ressens est toujours intense mais il jouit avant moi arrosant mon vagin.
Sans que son membre ne sorte de ma grotte il me retourne et se retrouve sur moi, mes bras enserrent son cou pendant qu'il me défonce sans ménagement, les aller-retour de son pieu dans mon intimité sont accompagnés par les clapotis dus à ma mouillure abondante et ses testicules frappent contre mes fesses. Je jouis bien avant qu'il n'éjacule encore.
Après un moment de repos allongés côte à côte il recommence à me caresser, je le masturbe puis lèche et suce sa queue qui reprend vie pendant qu'il doigte ma chatte et masturbe mon clitoris.
A genoux la tête dans les draps, il me prend en levrette tout en s'occupant de mon clitoris faisant remonter rapidement les sensations dans mon ventre, je caresse ses cuisses et triture ses testicules, il me besogne longtemps et j'ai un orgasme puis il jouit encore.
Non lassé il me retourne sur le dos et me prend en pliant et relevant mes jambes, notre accouplement est très long et au bout d'un moment je baisse mes jambes pour pouvoir remuer en même temps que lui en dehors des fois ou je dois récupérer après avoir eu un orgasme.
Quand enfin il réussit à éjaculer il s'allonge et récupère en soufflant une main sur mes seins.
Une fois passés par la salle de bain et rhabillés nous allons boire un verre avant qu'il ne me ramène. Il est content de son après-midi et satisfait de ma prestation. Il compte bien recommencer.

La fois suivante on se retrouve en fin de journée dans son bureau.
Tout en m'embrassant il me déshabille et je me retrouve en sous-vêtements (il aime regarder une femme dans cette tenue, c'est sa marotte).
Il me caresse pendant que j'extirpe son sexe du pantalon quand soudain une porte s'ouvre et une personne entre dans la banque.
<<c'est la femme de ménage, elle est en avance, il ne faut pas qu'elle te voie ici>>.
<<je ne peux pas sortir sans être vue, j'ai une solution qui peut suffire car la face avant de ton bureau est fermée>>.
<<qu'est ce que tu veux faire>>.
<<me cacher dessous jusqu'à ce qu'elle finisse son travail>>.
<<elle en a pour une heure>>.
Armand cache mes habits dans un placard.
Je me glisse sous le bureau. Armand s'assoit et s'installe comme-ci il allait travailler sur un dossier.
Ne perdant pas le nord j'ouvre la fermeture de son pantalon car il a remballé son pénis, il essaie de m'en empêcher mais j'arrive à mes fins et je sors son sexe qui est ramolli à cause de la présence de l'intruse.
je commence par caresser son membre puis je le masturbe, malgré la situation il finit par bander.
Bien que ma position soit inconfortable j'approche ma bouche de son pénis et le lèche pendant un bon moment en alternant avec des succions sur le gland.
La femme entre dans la pièce et commence le ménage, j'en profite pour commencer une fellation avec des aller-retour rapides de ma bouche sur sa queue. Rapidement il repousse ma tête avec une main mais je reprends possession de son membre et telle une sangsue je m'active.
Les va-et-vient de ma bouche sur sa queue finissent par donner le résultat que j'espérais, son corps se raidit et avec des soubresauts il éjacule dans ma bouche en soupirant.
<<ça ne va pas monsieur>> lui dit la femme intriguée par les mouvements de son corps et le bruit qu'il a émis.
<<ce n'est rien, une crampe au mollet, ça va passer. Vous finirez mon bureau demain, là j'ai un dossier urgent à finir et je préfère ne pas être dérangé>>.
Imperturbable je continue la fellation et je suis toujours en action quand la femme de ménage quitte la pièce pour s'occuper des box. Je prend mon temps et arrête de temps en temps pour faire durer au maximum la torture.
J'accélère quand j'entends <<au revoir Monsieur, à demain>> et des jets de sperme arrosent de nouveau ma gorge. Je continue la fellation mais mon amant recule sa chaise et se lève.
Je sors courbaturée de sous le bureau.
<<tu m'as soufflé avec ce que tu as fait, je m'aperçois que tu es une sacrée vicieuse>>.
<<tu n'as pas aimé>>.
<<si mais cela a été une surprise de voir le sang froid avec lequel tu as agi>>.
<<ce n'est pas le tout mais une partie de moi est en manque et a beaucoup mouillée, il va falloir que tu t'en occupes>>.
<<pas de soucis si tu arrives à garder ma chose en forme>>.
Je le masturbe vigoureusement, comme il n'a pas totalement débandé sa queue se dresse vite pendant qu'il me débarrasse de ce qui me reste comme habits: le string et le soutien-gorge.
Debout face à moi les jambes un peu fléchies il me pénètre et s'active un moment tout en m'embrassant les mains sur mes fesses pendant que je passe mes bras autour de son cou.
Puis il me prend en levrette une main pétrit mes seins, tord et étire les tétons, l'autre main masturbe violemment mon clitoris. Je gémis
<<après le tour que tu m'as joué sous le bureau tu vas souffrir>>.
<<ce n'est pas de la souffrance mais du plaisir que moi je t'es donné>>.
<<oui mais si la femme de ménage s'est aperçue de quelque chose ma réputation va en prendre un coup>>.
<<elle dira que le directeur se tape son employée>>.
<<petite salope>>.
Il continue longtemps à martyriser mes tétons et le clitoris tout en pilonnant ma chatte avec vigueur, je commence à bien mouiller et comme la situation que nous avons vécue m'a beaucoup excitée le plaisir monte dans mon ventre et devient intolérable, je jouis pendant que des jets de cyprine sortent de mon vagin agité par des contractions.
Les va-et vient de la verge de mon amant continuent dans mon intimité, j'éprouve beaucoup de plaisir. Ses doigts se crispent et ses ongles pénètrent dans ma peau quand sa queue est prise de soubresauts, il éjacule dans mon vagin.
J'en veux encore, à genoux je le masturbe puis lèche son sexe gluant et enfin je recommence une fellation jusqu'à ce qu'il bande correctement.
Je lui demande de s'asseoir sur une chaise qui se trouve dans un coin de la pièce et à califourchon face à lui je m'empale sur son pénis.
Tout en l'embrassant je fais des mouvements verticaux avec mon corps pour faire coulisser son membre dans mon intimité pendant qu'il caresse mes seins et martyrise les tétons. L'accouplement dure un bon moment et emportée par le plaisir je jouis et m'affale sur lui.
Je me retrouve à genoux sur le sol, lui derrière moi, sa queue pénètre ma chatte et il me prend en levrette à grands coups de reins pressé d'en finir. Au bout d'un moment en haletant il éjacule encore dans mon ventre puis se retire et se relève.
Il me donne une petite claque sur une fesse et me dit:
<<c'est bon de faire l'amour avec toi et quelle suceuse tu fait, tu es la reine de la pipe>>.
<<si tu es content de moi alors il n'y a pas de raison pour ne pas recommencer la semaine prochaine>>.
<<je souhaite continuer à faire l'amour avec toi tant que nous ne serons pas lassés l'un de l'autre>>.
Je me rhabille et nous allons boire un verre avant de nous quitter.

Ensuite nous faisons l'amour une fois par semaine dans une chambre d'hôtel et dès que nous le pouvons dans son bureau.
Tout le temps que durera notre liaison, qui se terminera quand il sera muté dans une autre agence bancaire, il sera attentionné et m'offrira des cadeaux: sous-vêtements, guêpière, porte jarretelles et bas, habits divers, montre, bijoux et autres.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Tu me donnes des envies

Histoire Erotique
Et bien moi aussi j'aprecie toujours tes récits...quelle perversion et ce besoin de plaire de faire bander et de donner du plaisir si il y avait un classement des plus belles salopes tu serais sur le podium laure

Histoire Libertine
j'apprécie toujours de lire les récits de la salope que tu es.
Moi aussi j'ai fait et continue à faire des choses que la morale réprouve et maintenant je me sers de ce que tu raconte.
une autre pute



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : Mon banquier
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