Titre de l'histoire érotique : Mon petit rugbyman 4 - histoire érotique

Voici la suite et la fin, de ma relation avec L.
Deux jours après ma déception de mon incapacité à lui faire l’amour, je reviens le voir. Il me reçoit habillé seulement d’un boxer moulant. Waouh ! Ça lui met ses trois pièces bien en évidence, je commence à être excité. Après un superbe baiser il me prend fermement par le bras et m’emmène rapidement dans sa chambre. Je lui dis :
- hé doucement tu es si pressé que ça ?
Avec une expression dure sur le visage, et une voix directive :
- puisque tu n’a pas réussi a me faire l’amour je vais te punir, fou toi à poil !
Je rétorque vivement :
- non je ne suis pas du tout attiré par le SM.
- t’inquiété pas, je ne vais pas te faire du mal. Aller à poil !
Avec un peu d’appréhension, je m’exécute. Un fois nu, L m’allonge sur le lit, me prend les bras, les met au dessus de ma tête et fait mine de les attachés aux barreaux du lit, il dit :
- maintenant tu ne peux plus bouger.
Je me laisse faire et lui demande :
- pas de mal hein ?
- non juste te faire souffrir de plaisir et de désir.
Et il commence du bout de ses doigts à caresser chaque centimètre carré de mon corps avec ne dextérité qui me fait frissonner de plaisir. Par contre il évite soigneusement de me toucher le sexe, les testicules et le cul. Le tortionnaire me fera endurer ce supplice pendant une demi heure. Mais il ne s’arrête pas là, il continue à me caresser avec les mains entières cette fois. Quel plaisir il y met toute son inspiration et me fait me tordre de délice. Puis, il continuera en me faisant de petits bisous sur tout le corps mais toujours sans me toucher sexe, couilles et cul.
Je vais subir cette situation pendant une heure.
Là, j’ai vécue une expérience que je n’avais jamais connue auparavant. Je me suis senti pris d’une étrange sensation. Mon corps se mit à trembler et j’ai ressentit une jouissance terrible sans éjaculer, mais le bien être ressentit était exceptionnel. J’appelle ça une jouissance mentale. Je ne l’ai vécue que peu de fois. Une autre fois avec mon copain actuel.
Quand L a vu que j’avais joui il s’est allongé à mes côtés. Il me dit :
- alors cette punition comment c’était ?
- génial ! Tu veux me faire l’amour maintenant ?
- non ça va.
Il ne voulait rien de plus, il m’avait donné du plaisir sans en demander en retour. Même si je sais qu’il a pris beaucoup de plaisir seulement à me caresser et à m’embrasser.
Quelques soirs après ça, alors que j’allais partir il me dit d’un air gêné :
- ha ! Vendredi soir on ne se voit pas.
- pourquoi, de toute façon ce n’était pas prévu et je dois t’appeler avant, chaque fois que je veux venir.
- oui mais cette fois on ne pourra pas se voir.
A ce moment très précis, voyant qu’il était embarrassé, j’ai compris, il aller voir une fille, je lui dit :
- ça y est tu as rencontré une fille ?
- oui et vendredi je vais conclure
Moi commençant a être en colère (jaloux ?)
- tu vas la baiser ? C’est ça !
- oui, je t’avais prévenue.
Encore plus énervé :
- très bien je ne t’appellerais plus.
Il ne répondit rien, alors que j’attendais qu’il me retienne. Mais d’un air dépité, il m’a laissé partir.
J’avoue que j’ai souffert de cette séparation. Il me manquait terriblement. En discothèque, on s’est croisé, mais apparemment rancunier, il ne m’a même pas regardé.
Puis, en quelque mois, ma vie à changer.
J’ai quitté mon mec le jour où il a levé la main sur moi. Je me suis retrouvé à la rue, mais, après un mois à vivre chez des copains, j’ai trouvé un studio. Je ne suis pas sortie beaucoup, car mes finances étaient au plus bas. Bien sur, j’ai eu quelques relations sexuelles avec d’autres mecs, mais que des coups sans lendemain. Puis, je suis retourné dans la discothèque. Les première fois je ne l’ai pas vu. J’ai même baisé avec deux autres rugbymans de sa bande (voir « Le rugbyman »). Plusieurs mois sont passés, j’avais un peu perdu espoir de le revoir. Surtout que je ne pouvais pas poser des questions à qui que ce soit, discrétion oblige.
Et, un jour, je sors en discothèque, il était là. Mais il ne m’adressa aucun regard, même pas un tout petit.
Contrarié, je suis aller tout au fond de la discothèque et j’ai bu plus que de raison. Avant la fermeture je m’en vais et alors que je suis déjà loin, j’entends quelque un courir derrière moi. Je me retourne, c’est L. Il se jette dans mes bras et sans se soucier des personnes qu’il pourrait y avoir autour de nous, il m’embrasse avidement. Manifestement, je ne suis pas le seul à avoir beaucoup bu, je sens son haleine alcoolisée. Tant pis car j’avais retrouvé mon amant.
Heureusement personne ne nous a vu.
Après les politesses d’usage il me dit :
- où tu vas ?
- chez moi, j’ai quitté mon copain il a quelques mois. J’habite tout prés d’ici tu veux venir ?
Très excité il répond :
- oui, on y va de suite !
Je lui demande quand même :
- tu as une copine en ce moment ?
- non.
- de toute façon je m’en fou, j’ai très envie de toi.
On est rentré très vite chez moi. Arrivé on s’est déshabillé puis il m’a fait l’amour fiévreusement et fougueusement. Après avoir pris un plaisir extrême nous nous sommes endormi dans ce tout petit lit, une place. Le jour était levé depuis longtemps quand j’ouvris les yeux. Il dormait dans mon dos je sentait son souffle sur ma nuque. Une envie pressente se fit sentir, direction la salle de bain. Je me suis assis sur les toilettes, vu ma fatigue et ma gueule de bois il valait mieux. Je sens un liquide gluant sortir de mon anus. Hé oui, ce soir là on a oublié le préservatif (à ne pas faire !).
C’est-ce qui arrive quand on est bourré. On en a parlé ensemble, et vu qu’il avait toujours utilisé des préservatifs et moi aussi il n’y avait pas de problème. Attention confiance oblige.
Nous nous sommes revu plusieurs fois. Il venait souvent à l’improviste, j’étais seul donc aucun problème.
Mais un jour, au milieu de la nuit, il a sonné chez moi. Je venais de perdre quelqu’un de ma famille et je ne me sentais pas de le voir. Je ne voulais pas non plus lui faire supporter ma tristesse. Vexé il est parti.
Aujourd’hui, je regrette encore de ne pas lui avoir ouvert. J’aurais voulais le lui dire, mais quand je le revit dans un magasin, je voulais lui parler, mais encore une fois rancunier, il m’ignora.
Je ne l’ai jamais revu, mais cette histoire reste une des meilleurs que j’ai vécue. L était vraiment un très bon coup. Un lecteur m’a demandé si j’en étais amoureux. Je crois que même si je ne veux pas l’admettre, je dirais que oui. Et sincèrement je pense que lui aussi était amoureux de moi.
Voilà c’est la fin. Laissez moi vos coms, j’aime savoir ce que vous pensez de mes aventures et j’ai d’autres histoires que j’ai vécue à vous raconter. A bientôt.