Titre de l'histoire érotique : Plus jamais je ne porterai de culotte
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-12-2017 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Titre de l'histoire érotique : Plus jamais je ne porterai de culotte
Mes parents, naturistes convaincus, nous ont fait découvrir très tôt cette pratique et pour moi, cela a entrainé ce que certains (et certaines) appelleraient une déviance…
Laissez-moi vous expliquer…
Tous les étés, nous partions, mes parents, ma sœur Camille et moi, pour quinze jours de vacances au soleil dans les iles du Levant… un des hauts lieux de la France naturiste.
Le camping avec ses bungalows était très accueillant et d’année en année, nous retrouvions presque toujours les mêmes participants pour peu que la période choisie corresponde.
C’était curieux de voir les hommes disputer des parties de boules acharnées dans l’ombre de la pinède ou des matchs de Volley dans le sable de la plage dans le plus simple appareil, le « service trois pièces » (comme mon père l’appelait en plaisantant) pendant entre les jambes !
Les mères n’étaient pas en reste quand elles allaient à l’épicerie du camping et bavardaient ensemble la foufoune à l’air et les seins offerts au soleil de l’été…
Les couples se reformaient sur la plage et dans l’eau…
Les enfants vivaient nus eux aussi et personne n’y voyait de mal… Pour nous les jeunes, c’était quelque peu amusant et nous ne nous privions pas de faire à mi voix des remarques sur les anatomies des uns et des autres…
Je pense qu’il est inutile de préciser…
D’enfants, nous étions devenus des adolescents et les garçons regardaient les filles d’un autre œil, je dois dire, presque d’envie…
C’est vrai que nous étions devenues (pour la grande majorité) agréables à regarder… des poitrines menues aux tétons toujours pointés (allez savoir pourquoi…), des sexes à peine couverts par un duvet et des petites fesses rondes et fermes… alors que les garçons étaient fiers d’exposer à notre vue des sexes plus ou moins développés !
L’année de mes seize ans, c’est Mélanie, une bonne copine un peu plus âgée que moi qui m’a fait découvrir l’amour entre femmes…
Nous nous étions quelque peu attardées sous les douches collectives du camping…
La nuit était tombée… nous étions seules désormais dans les vestiaires quand elle m’a plaquée contre la cloison et cherché mes lèvres alors que sa main droite fouillait mon intimité qui s’est humectée aussitôt…
Humm… que ses baisers ardents, lèvres contre lèvres, langue contre langue étaient bons... que ses caresses étaient douces sur mes seins et entre mes lèvres intimes… Puis une jambe s’est insinuée entre les miennes et j’ai perdu pied…
Mélanie s’est agenouillée devant moi et posant ses mains sur mes fesses, elle m’a attirée à elle pour poser sa bouche sur ma fente…
Je découvrais…
Certes, je n’étais plus une oie blanche…
Il y a bien longtemps que j’avais découvert la masturbation lors d’une douche prise à la maison…
Je savonnais ma fourche intime et j’ai passé deux doigts dans ma fente… et là, j’ai ressenti pour la première fois un immense plaisir…
Séchée et nue sur mon lit, j’ai immédiatement recommencé la même caresse et ce sont mes doigts qui pour la première fois, m’ont envoyés au 7ème ciel…
Oh… que c’était bon !
Et depuis, je me masturbais pratiquement tous les samedis matins, une main enfoncée dans ma chatte et l’autre caressant mes seins devenus, au fil du temps, de plus en plus sensibles…
Un jour que j’utilisais une mini-bombe de gel de rasage couverte d’un préservatif, je me suis dépucelée moi-même… Sur le coup, j’ai ressenti une légère douleur mais après, ce fut le nirvana : J’ai joui comme jamais encore je n’avais eu de plaisir !
Mais comment en suis-je arrivée à ne plus porter de culotte ?
Après avoir découvert l’amour entre filles avec Mélanie et les vacances terminées, je ne supportais plus d’avoir quelque chose qui me couvrait le sexe…
En jupe, j’aimais le sentir libre, caressé par le vent fripon…
En pantalon, j’aimais la sensation du frottement du tissu entre mes lèvres intimes…
Certes, ce n’était pas facile de tromper ma mère qui se serait étonnée de ne plus voir passer dans sa lessive ce sous-vêtement mais j’avais trouvé une astuce… Il fallait bien… Elle n’aurait pas compris !
A la rentrée, le Bac en poche, j’intégrais l’Université pour préparer ma licence « STAPS » qui devait me conduire si tout allait bien au métier de professeur de sports.
En même temps, j’avais acquis une sorte d’indépendance puisque mes parents avaient réussi (je ne sais pas par quel miracle…) à m’obtenir une chambre à la Cité U.
Dans ma 18ème année, c’était le rêve !
Tout se passait bien… Mes voisines de chambre étaient cool et peu envahissantes comme j’aurais pu le craindre.
Cependant tout a basculé un soir de semaine…
Karima, une beurette d’environ 20 ans, est venue me trouver en disant qu’elle avait remarqué que ma toison pubienne était taillée et qu’elle avait envie d’en faire autant…
- Comment fais-tu pour entretenir ainsi ta toison de blonde ? Je suis très brune et j’en ai assez de voir mes poils sortir sur les côtés du maillot de bain… çà me gêne surtout quand je vois les regards des garçons fixer cet endroit !
Sans entrer dans les détails je lui expliquai comment je faisais tout en remontant ma jupe sur mes cuisses pour lui faire découvrir cette toison qu’elle avait aperçu, je ne sais pas trop comment.
- Mais tu ne portes pas de culotte !
- NON… tu ne peux pas savoir comme c’est bon mais il y a des circonstances où je dois me couvrir ! Tu dois bien te douter desquelles ! Depuis toujours, je suis naturiste et vivre nue est devenu comme une seconde nature chez moi… D’ailleurs, j’allais me déshabiller pour la soirée !
- Ne me dis pas que tu vis nue en permanence ?
- Si… dès que je peux, je suis entièrement nue mais j’ai toujours un vêtement à portée de main pour me couvrir rapidement en cas de besoin... Montre moi… je vais voir ce que je peux faire !
Et en moins de deux minutes nous étions nues toutes les deux…
C’est vrai que le contraste était flagrant…
Aussi grande et longiligne que moi, Karima avait la peau bistre mais elle n’avait pas du voir souvent le soleil. Elle avait des petits seins en forme de demi citron hauts perchés sur son buste et des hanches qui s’évasaient sous une taille mince… et une toison comme j’en avait rarement vu ! Largement répartie sur le bas ventre et entre les cuisses… et drue avec çà !
De mon côté ma peau diaphane de blonde bien dorée par le soleil estival et quelques séance d’UV pour conserver mon bronzage offrait un contraste saisissant. Côté poitrine, je suis encore moins bien dotée par la nature car je ne porte que des bonnets A ou des brassières sportives avec une coque préformée. Ma taille est moins marquée que celle de Karima qui aussitôt s’extasie devant mon pubis :
- Oh… que c’est beau… en plus on voit bien tes lèvres ! Je t’envie !
- OK… Puisque nous en sommes à ce stade, veux-tu que je m’occupe de ta toison ? Il va y avoir du travail mais on a le temps… Pas de cours demain !
- Oui… je veux…
- Alors passons dans le cabinet de toilette, nous serons plus à l’aise dans la douche ! Pour les finitions, nous viendrons sur mon lit !
J’ai disposé une grande serviette dans le bac à douche et j’ai commencé à dégrossir aux ciseaux la partie la plus longue des poils de ma copine. Lorsqu’elle s’est regardée dans la glace, elle a trouvé que je n’en avais pas encore assez ôté.
- Je veux un petit triangle comme le tien !
- D’accord… mais je vais devoir te raser pour en arriver là !
- Je m’en moque… J’en ai assez de tous ces poils…
- Bon, je vais dégager le principal au rasoir et je finirai le reste sur le lit !
- Fais ce que tu veux… Je suis toute à toi !
- Ok… ce sera ma récompense !
- ---.----.----.----.
J’avais ce qu’il me fallait dans ma trousse de toilette, une mini-bombe de gel de rasage (qui parfois me servait de gode) et deux rasoirs jetables neufs qui me servaient pour éliminer les poils superflus sous les aisselles et les avant bras.
Quand j’ai terminé le rasage du pubis de Karima, je lui ai montré le nouvel aspect de sa toison pubienne… Certes, ce n’était pas parfait car il y avait encore de nombreux poils isolés qui folâtraient entre ses cuisses et sur son périnée…
Je n’avais laissé qu’un triangle dont la pointe partait au dessus du capuchon du clitoris et s’évasait sur une dizaine de centimètre de hauteur… Je trouvais cela très réussi et Karima aussi :
- Waouh… çà me fait un effet de me voir ainsi ! J’en ai la chatte qui bave !
- Montre-moi… Laisse-moi aller toucher !
- Oouuuiiiiiii ! Viens !
Elle avait effectivement la chatte complètement trempée et je ne manquai pas de lui en faire la remarque.
- C’est de sentir les ciseaux puis le rasoir qui m’a excitée ainsi… J’imaginais ce que tu faisais… et j’avais envie de faire l’amour !
Ma surprise a été totale lorsque Karima m’a attirée à elle et m’a fait basculer sur mon lit où nous nous sommes retrouvées bras et jambes emmêlées, nous embrassant à bouche que veux-tu…
Je n’aurais jamais imaginé Karima en adepte de Sapho… Elle cachait bien son jeu !
Nous nous sommes fait jouir une première fois, les jambes en ciseau dans la fourche de l’autre et après le retour au calme j’ai dit que j’allais terminer le travail, c'est-à-dire ôter à la pince une bonne vingtaine de poils parasites qui subsistaient ici ou là…
Ensuite, nous sommes passées toutes les deux sous la douche et nous avons partagé mon lit pour la nuit et nous livrer aux délices de Sapho…
Karima en savait bien plus que moi dans le domaine… 18 mois de plus et certainement plusieurs amantes étaient passée par là alors que je n’avais connu que les étreintes furtives de Mélanie au camping.
Elle m’a fait découvrir le 69 et l’anulingus que je n’imaginais même pas… et j’ai pris un pied formidable lorsque j’ai senti sa langue aller et venir dans mon fondement !
Quelle perverse !
- NON… je ne suis pas perverse ! Chez nous, les filles doivent arriver vierge au mariage avec l’homme choisi par la famille aussi, depuis que nous sommes pubères, mes sœurs et moi, nous nous livrons à ces jeux saphiques pour notre plus grand plaisir.
- Et les mères n’y font pas obstacle ?
- NON… bien au contraire… cela nous évite la tentation d’aller voir un homme !
- Donc tu es vierge ?
- Si on veut !
- Explique stp !
- C’est tout simple… Quand mon petit copain Akim veut me faire l’amour, il passe par la porte de derrière… Il me sodomise jusqu’à ce que tous les deux nous ayons notre plaisir !
- Et c’est aussi bon que par devant ?
- Je ne sais pas… Akim me respecte et respecte nos coutumes…
- Je n’ai jamais connu de garçon et je me suis déflorée toute seule avec une bombe de gel comme celle utilisée ce soir… mais à part quelques caresses d’un doigt sur mon sphincter, je n’ai jamais pénétré la « porte arrière » comme tu l’appelle !
- Dormons… demain est un autre jour !
Après une première nuit passée dans les bras l’un de l’autre, j’ai senti les baisers de Karima parcourir mon corps, passant sur mes seins aux tétons immédiatement érigés… puis sa langue pointue s’est insérée en tournoyant dans mon nombril avant de descendre plus bas et ouvrir mes lèvres intimes…
Mes jambes se sont ouvertes aussitôt tant sa caresse était douce et je sentais que mon sexe suintait déjà…
Mais le comble a été lorsqu’elle m’a fait m’agenouiller au milieu du lit comme pour me prosterner, les fesses levées bien haut et que j’ai à nouveau senti son souffle dans ma raie et des doigts inquisiteurs tenter d’entrer dans mon fondement qui… MIRACLE… s’est ouvert pour laisser entrer deux puis trois doigts fins de Karima.
Ces doigts m’ont fouillé de longues minutes… je ne savais plus trop où j’en étais tant les sensations étaient intenses… bien plus que lorsque je me baisais par devant !
Et cette coquine m’a fait jouir comme jamais encore je n’avais joui !
Nous avons passé la journée du samedi dans le même lit où nous sommes aimées comme des folles…
Nous avons recommencé un 69 dantesque qui nous a laissée pantelantes de jouissance et la chatte pleine de cyprine, j’ai sodomisé Karima avec ma bombe de gel qu’elle a pratiquement avalée entièrement dans son sphincter…
Nous avions à peine repris nos esprits que l’une ou l’autre repartait pour une nouvelle joute…
Désormais, chaque vendredi soir Karima me rejoint dans ma chambre où nous nous occupons mutuellement de nos toisons avant de faire l’amour comme deux folles…
Je compte bien l’amener elle aussi à ne plus porte de culotte !
Laissez-moi vous expliquer…
Tous les étés, nous partions, mes parents, ma sœur Camille et moi, pour quinze jours de vacances au soleil dans les iles du Levant… un des hauts lieux de la France naturiste.
Le camping avec ses bungalows était très accueillant et d’année en année, nous retrouvions presque toujours les mêmes participants pour peu que la période choisie corresponde.
C’était curieux de voir les hommes disputer des parties de boules acharnées dans l’ombre de la pinède ou des matchs de Volley dans le sable de la plage dans le plus simple appareil, le « service trois pièces » (comme mon père l’appelait en plaisantant) pendant entre les jambes !
Les mères n’étaient pas en reste quand elles allaient à l’épicerie du camping et bavardaient ensemble la foufoune à l’air et les seins offerts au soleil de l’été…
Les couples se reformaient sur la plage et dans l’eau…
Les enfants vivaient nus eux aussi et personne n’y voyait de mal… Pour nous les jeunes, c’était quelque peu amusant et nous ne nous privions pas de faire à mi voix des remarques sur les anatomies des uns et des autres…
Je pense qu’il est inutile de préciser…
D’enfants, nous étions devenus des adolescents et les garçons regardaient les filles d’un autre œil, je dois dire, presque d’envie…
C’est vrai que nous étions devenues (pour la grande majorité) agréables à regarder… des poitrines menues aux tétons toujours pointés (allez savoir pourquoi…), des sexes à peine couverts par un duvet et des petites fesses rondes et fermes… alors que les garçons étaient fiers d’exposer à notre vue des sexes plus ou moins développés !
L’année de mes seize ans, c’est Mélanie, une bonne copine un peu plus âgée que moi qui m’a fait découvrir l’amour entre femmes…
Nous nous étions quelque peu attardées sous les douches collectives du camping…
La nuit était tombée… nous étions seules désormais dans les vestiaires quand elle m’a plaquée contre la cloison et cherché mes lèvres alors que sa main droite fouillait mon intimité qui s’est humectée aussitôt…
Humm… que ses baisers ardents, lèvres contre lèvres, langue contre langue étaient bons... que ses caresses étaient douces sur mes seins et entre mes lèvres intimes… Puis une jambe s’est insinuée entre les miennes et j’ai perdu pied…
Mélanie s’est agenouillée devant moi et posant ses mains sur mes fesses, elle m’a attirée à elle pour poser sa bouche sur ma fente…
Je découvrais…
Certes, je n’étais plus une oie blanche…
Il y a bien longtemps que j’avais découvert la masturbation lors d’une douche prise à la maison…
Je savonnais ma fourche intime et j’ai passé deux doigts dans ma fente… et là, j’ai ressenti pour la première fois un immense plaisir…
Séchée et nue sur mon lit, j’ai immédiatement recommencé la même caresse et ce sont mes doigts qui pour la première fois, m’ont envoyés au 7ème ciel…
Oh… que c’était bon !
Et depuis, je me masturbais pratiquement tous les samedis matins, une main enfoncée dans ma chatte et l’autre caressant mes seins devenus, au fil du temps, de plus en plus sensibles…
Un jour que j’utilisais une mini-bombe de gel de rasage couverte d’un préservatif, je me suis dépucelée moi-même… Sur le coup, j’ai ressenti une légère douleur mais après, ce fut le nirvana : J’ai joui comme jamais encore je n’avais eu de plaisir !
Mais comment en suis-je arrivée à ne plus porter de culotte ?
Après avoir découvert l’amour entre filles avec Mélanie et les vacances terminées, je ne supportais plus d’avoir quelque chose qui me couvrait le sexe…
En jupe, j’aimais le sentir libre, caressé par le vent fripon…
En pantalon, j’aimais la sensation du frottement du tissu entre mes lèvres intimes…
Certes, ce n’était pas facile de tromper ma mère qui se serait étonnée de ne plus voir passer dans sa lessive ce sous-vêtement mais j’avais trouvé une astuce… Il fallait bien… Elle n’aurait pas compris !
A la rentrée, le Bac en poche, j’intégrais l’Université pour préparer ma licence « STAPS » qui devait me conduire si tout allait bien au métier de professeur de sports.
En même temps, j’avais acquis une sorte d’indépendance puisque mes parents avaient réussi (je ne sais pas par quel miracle…) à m’obtenir une chambre à la Cité U.
Dans ma 18ème année, c’était le rêve !
Tout se passait bien… Mes voisines de chambre étaient cool et peu envahissantes comme j’aurais pu le craindre.
Cependant tout a basculé un soir de semaine…
Karima, une beurette d’environ 20 ans, est venue me trouver en disant qu’elle avait remarqué que ma toison pubienne était taillée et qu’elle avait envie d’en faire autant…
- Comment fais-tu pour entretenir ainsi ta toison de blonde ? Je suis très brune et j’en ai assez de voir mes poils sortir sur les côtés du maillot de bain… çà me gêne surtout quand je vois les regards des garçons fixer cet endroit !
Sans entrer dans les détails je lui expliquai comment je faisais tout en remontant ma jupe sur mes cuisses pour lui faire découvrir cette toison qu’elle avait aperçu, je ne sais pas trop comment.
- Mais tu ne portes pas de culotte !
- NON… tu ne peux pas savoir comme c’est bon mais il y a des circonstances où je dois me couvrir ! Tu dois bien te douter desquelles ! Depuis toujours, je suis naturiste et vivre nue est devenu comme une seconde nature chez moi… D’ailleurs, j’allais me déshabiller pour la soirée !
- Ne me dis pas que tu vis nue en permanence ?
- Si… dès que je peux, je suis entièrement nue mais j’ai toujours un vêtement à portée de main pour me couvrir rapidement en cas de besoin... Montre moi… je vais voir ce que je peux faire !
Et en moins de deux minutes nous étions nues toutes les deux…
C’est vrai que le contraste était flagrant…
Aussi grande et longiligne que moi, Karima avait la peau bistre mais elle n’avait pas du voir souvent le soleil. Elle avait des petits seins en forme de demi citron hauts perchés sur son buste et des hanches qui s’évasaient sous une taille mince… et une toison comme j’en avait rarement vu ! Largement répartie sur le bas ventre et entre les cuisses… et drue avec çà !
De mon côté ma peau diaphane de blonde bien dorée par le soleil estival et quelques séance d’UV pour conserver mon bronzage offrait un contraste saisissant. Côté poitrine, je suis encore moins bien dotée par la nature car je ne porte que des bonnets A ou des brassières sportives avec une coque préformée. Ma taille est moins marquée que celle de Karima qui aussitôt s’extasie devant mon pubis :
- Oh… que c’est beau… en plus on voit bien tes lèvres ! Je t’envie !
- OK… Puisque nous en sommes à ce stade, veux-tu que je m’occupe de ta toison ? Il va y avoir du travail mais on a le temps… Pas de cours demain !
- Oui… je veux…
- Alors passons dans le cabinet de toilette, nous serons plus à l’aise dans la douche ! Pour les finitions, nous viendrons sur mon lit !
J’ai disposé une grande serviette dans le bac à douche et j’ai commencé à dégrossir aux ciseaux la partie la plus longue des poils de ma copine. Lorsqu’elle s’est regardée dans la glace, elle a trouvé que je n’en avais pas encore assez ôté.
- Je veux un petit triangle comme le tien !
- D’accord… mais je vais devoir te raser pour en arriver là !
- Je m’en moque… J’en ai assez de tous ces poils…
- Bon, je vais dégager le principal au rasoir et je finirai le reste sur le lit !
- Fais ce que tu veux… Je suis toute à toi !
- Ok… ce sera ma récompense !
- ---.----.----.----.
J’avais ce qu’il me fallait dans ma trousse de toilette, une mini-bombe de gel de rasage (qui parfois me servait de gode) et deux rasoirs jetables neufs qui me servaient pour éliminer les poils superflus sous les aisselles et les avant bras.
Quand j’ai terminé le rasage du pubis de Karima, je lui ai montré le nouvel aspect de sa toison pubienne… Certes, ce n’était pas parfait car il y avait encore de nombreux poils isolés qui folâtraient entre ses cuisses et sur son périnée…
Je n’avais laissé qu’un triangle dont la pointe partait au dessus du capuchon du clitoris et s’évasait sur une dizaine de centimètre de hauteur… Je trouvais cela très réussi et Karima aussi :
- Waouh… çà me fait un effet de me voir ainsi ! J’en ai la chatte qui bave !
- Montre-moi… Laisse-moi aller toucher !
- Oouuuiiiiiii ! Viens !
Elle avait effectivement la chatte complètement trempée et je ne manquai pas de lui en faire la remarque.
- C’est de sentir les ciseaux puis le rasoir qui m’a excitée ainsi… J’imaginais ce que tu faisais… et j’avais envie de faire l’amour !
Ma surprise a été totale lorsque Karima m’a attirée à elle et m’a fait basculer sur mon lit où nous nous sommes retrouvées bras et jambes emmêlées, nous embrassant à bouche que veux-tu…
Je n’aurais jamais imaginé Karima en adepte de Sapho… Elle cachait bien son jeu !
Nous nous sommes fait jouir une première fois, les jambes en ciseau dans la fourche de l’autre et après le retour au calme j’ai dit que j’allais terminer le travail, c'est-à-dire ôter à la pince une bonne vingtaine de poils parasites qui subsistaient ici ou là…
Ensuite, nous sommes passées toutes les deux sous la douche et nous avons partagé mon lit pour la nuit et nous livrer aux délices de Sapho…
Karima en savait bien plus que moi dans le domaine… 18 mois de plus et certainement plusieurs amantes étaient passée par là alors que je n’avais connu que les étreintes furtives de Mélanie au camping.
Elle m’a fait découvrir le 69 et l’anulingus que je n’imaginais même pas… et j’ai pris un pied formidable lorsque j’ai senti sa langue aller et venir dans mon fondement !
Quelle perverse !
- NON… je ne suis pas perverse ! Chez nous, les filles doivent arriver vierge au mariage avec l’homme choisi par la famille aussi, depuis que nous sommes pubères, mes sœurs et moi, nous nous livrons à ces jeux saphiques pour notre plus grand plaisir.
- Et les mères n’y font pas obstacle ?
- NON… bien au contraire… cela nous évite la tentation d’aller voir un homme !
- Donc tu es vierge ?
- Si on veut !
- Explique stp !
- C’est tout simple… Quand mon petit copain Akim veut me faire l’amour, il passe par la porte de derrière… Il me sodomise jusqu’à ce que tous les deux nous ayons notre plaisir !
- Et c’est aussi bon que par devant ?
- Je ne sais pas… Akim me respecte et respecte nos coutumes…
- Je n’ai jamais connu de garçon et je me suis déflorée toute seule avec une bombe de gel comme celle utilisée ce soir… mais à part quelques caresses d’un doigt sur mon sphincter, je n’ai jamais pénétré la « porte arrière » comme tu l’appelle !
- Dormons… demain est un autre jour !
Après une première nuit passée dans les bras l’un de l’autre, j’ai senti les baisers de Karima parcourir mon corps, passant sur mes seins aux tétons immédiatement érigés… puis sa langue pointue s’est insérée en tournoyant dans mon nombril avant de descendre plus bas et ouvrir mes lèvres intimes…
Mes jambes se sont ouvertes aussitôt tant sa caresse était douce et je sentais que mon sexe suintait déjà…
Mais le comble a été lorsqu’elle m’a fait m’agenouiller au milieu du lit comme pour me prosterner, les fesses levées bien haut et que j’ai à nouveau senti son souffle dans ma raie et des doigts inquisiteurs tenter d’entrer dans mon fondement qui… MIRACLE… s’est ouvert pour laisser entrer deux puis trois doigts fins de Karima.
Ces doigts m’ont fouillé de longues minutes… je ne savais plus trop où j’en étais tant les sensations étaient intenses… bien plus que lorsque je me baisais par devant !
Et cette coquine m’a fait jouir comme jamais encore je n’avais joui !
Nous avons passé la journée du samedi dans le même lit où nous sommes aimées comme des folles…
Nous avons recommencé un 69 dantesque qui nous a laissée pantelantes de jouissance et la chatte pleine de cyprine, j’ai sodomisé Karima avec ma bombe de gel qu’elle a pratiquement avalée entièrement dans son sphincter…
Nous avions à peine repris nos esprits que l’une ou l’autre repartait pour une nouvelle joute…
Désormais, chaque vendredi soir Karima me rejoint dans ma chambre où nous nous occupons mutuellement de nos toisons avant de faire l’amour comme deux folles…
Je compte bien l’amener elle aussi à ne plus porte de culotte !
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
c'est curieux, mais moi aussi, j'aime porter le kilt, voir une petite robe de temps en temps, sans rien dessous évidemment, c'est tellement plus confortable
Les histoires de filles imaginées par des garçons me plaisent
Belle note à celle-ci et merci au matou
Ces histoires que l’on lit sur HDS nous emportent dans des imaginaires qui sont proches de ceux des fantasmes de nos propres histoires.
C’est bon de voir que l’on n’est pas seul dans ces turpitudes merveilleuses.
Y a des copains...
Belle note à celle-ci et merci au matou
Ces histoires que l’on lit sur HDS nous emportent dans des imaginaires qui sont proches de ceux des fantasmes de nos propres histoires.
C’est bon de voir que l’on n’est pas seul dans ces turpitudes merveilleuses.
Y a des copains...
Dec. 26, 2017. Quelle chance que nous avons John La Semelle et moi à lire ce si beau récit qui nous a mis dans un état de jouissance. A bientôt.
Moi aussi j'aime me promener en kilt sans rien dessous et sentir le souffle du vent sur mon sexe et mes fesses