Titre de l'histoire érotique : Présences intimes
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Présences intimes
Je me prénomme Cassandra, avec Alain, nous vivons ensemble depuis bientôt un an. Nous nous sommes rencontrés à Djerba où nous passions nos vacances estivales. Nous étions venus dans deux groupes d’amis des deux sexes et la rencontre de jeunes gens devait inévitablement rapprocher les participants au séjour.
La dernière soirée, nous avons dansé ensemble. Sa cavalière attitrée avait abusé du soleil et elle était restée dans sa chambre. De mon côté, j’étais seule car mon compagnon du moment avait du écourter son séjour pour des raisons professionnelles. En fait, j’ai appris à mon retour qu’il était allé rejoindre une autre fille.
L’un et l’autre nous avons de bons jobs qui nous laissent des loisirs et les moyens d’en profiter. Au fil du temps, nous avons découvert que nous avions un certain penchant pour le libertinage. A bientôt 30 ans, cela nous a encore rapprochés et nous avons décidé de vivre ensemble peu avant Noël. Je suis venue m’installer chez lui qui vivait dans un grand appartement hérité de ses parents.
Alain est ce qu’on peut appeler un « beau mec ». Grand aux épaules larges et à la taille étroite, c’est un sportif accompli. Il pratique intensivement la course à pied et il est ceinture marron de judo. Il pourrait selon lui, prétendre à mieux mais il n’a pas assez de temps pour se consacrer à la préparation de la ceinture noire. Sans avoir une musculature imposante, je dois avouer qu’il a une plastique qui fait que beaucoup de femmes se retournent sur lui quand il est sur la plage ou à la piscine.
De mon côté, j’ai ce qu’il faut aux bons endroits : une poitrine 85 B en forme de chapeau chinois aux tétons légèrement proéminents, des jolies petites fesses rondes et une taille cambrée qui attirent les hommes ! C’est plus d’une fois qu’en club, mes partenaires ont souhaité me prendre en levrette pour admirer « mon pti cul » comme ils disent… De longs cheveux bruns coulent sur mes épaules et j’ai un visage ovale avec de grands yeux bleus et une bouche pulpeuse.
Notre penchant pour le libertinage nous a conduits à fréquenter une fois par mois un club situé dans le centre de Paris où nous rencontrons d’autres adeptes de ce mode de vie. Le pacte conclu entre nous est clair : en club, nous faisons l’un et l’autre ce qui nous plait mais pas question d’écarts en dehors.
Personnellement jusqu’à présent et malgré les sollicitations d’un collègue du boulot, je m’y suis tenue. Alain, amant fougueux et endurant, me laisse épuisée chaque nuit après nos joutes amoureuses. Il doit s’y tenir aussi.
Au cours de cette année de vie commune, nous avons acquis un certain nombre de gadgets érotiques principalement destinés à la satisfaction féminine. Par contre, je suis désormais totalement nue, ma toison pubienne a été traitée au laser lors d’un séjour à Marbella. Ainsi, je n’ai plus à me raser toutes les semaines comme je le faisais depuis quelques mois. Alain a lui aussi les couilles et le pubis rasés car l’institut où j’ai été traitée n’a pas accepté de lui faire la même chose.
Souvent, lorsque je sors pour diverses raisons, je porte dans ma chatte ou dans mon petit trou un œuf vibrant dont j’ai la télécommande dans la poche. Je peux tout à loisir enclencher discrètement le système et me procurer des sensations à l’insu de ceux qui m’entourent. Je ne suis pas encore allée travailler ainsi mais parfois, j’introduis dans mon cul un petit Plug en silicone souple que je garde du matin au soir. C’est plus discret et je ne risque pas de mettre en œuvre accidentellement les vibrations.
Tout cela nous donne à Alain et moi, un plaisir cérébral qui lorsque nous nous retrouvons à la maison, ne manque pas de nous emporter dans des étreintes ardentes et folles. Pour bien ouvrir la voie arrière lorsque j’arrive vers 18 heures, j’introduis des Plugs de plus en plus gros qu’Alain m’enlève au moment où nous nous mettons au lit. Il aime beaucoup me prendre par derrière, passant de mon vagin à mon « pti trou » pour gicler bien au fond !
La dernière fantaisie du genre, je l’ai réalisée la semaine passée sans rien dire à mon compagnon qui est absent pour raisons professionnelles pendant dix jours. Il aura la surprise à son retour.
Discrètement et à son insu, j’ai prospecté sur la toile différents lieux où l’hygiène était assurée car cela était important. Alors que je ne suis pas une adepte du piercing (je n’en n’ai qu’un à la narine gauche où j’ai fait poser un clou très discret avec une tête en diamant), je me suis fais percer les grandes lèvres vaginales dés le lendemain du départ de mon compagnon...
L’absence d’Alain était une opportunité à saisir pour faire ce que je souhaitais. J’étais insensibilisée localement pour le percement et la pose d’un dispositif provisoire pendant la cicatrisation. Lorsque l’effet s’est dissipé, j’ai eu très mal mais après quelques jours, la douleur a disparu.
Au retour d’Alain, j’aurai les cavaliers en or qui doivent venir orner mes lèvres intimes. Ainsi il découvrira ces bijoux intimes quand il va rentrer de son voyage.
Cela ne rate jamais lorsqu’il a été absent même une seule nuit, dés qu’il est à la maison, les premiers baisers échangés nous conduisent droit dans notre chambre pour une séance de baise rapide. Je l’attends d’un moment à l’autre… Il va avoir la surprise !
La dernière soirée, nous avons dansé ensemble. Sa cavalière attitrée avait abusé du soleil et elle était restée dans sa chambre. De mon côté, j’étais seule car mon compagnon du moment avait du écourter son séjour pour des raisons professionnelles. En fait, j’ai appris à mon retour qu’il était allé rejoindre une autre fille.
L’un et l’autre nous avons de bons jobs qui nous laissent des loisirs et les moyens d’en profiter. Au fil du temps, nous avons découvert que nous avions un certain penchant pour le libertinage. A bientôt 30 ans, cela nous a encore rapprochés et nous avons décidé de vivre ensemble peu avant Noël. Je suis venue m’installer chez lui qui vivait dans un grand appartement hérité de ses parents.
Alain est ce qu’on peut appeler un « beau mec ». Grand aux épaules larges et à la taille étroite, c’est un sportif accompli. Il pratique intensivement la course à pied et il est ceinture marron de judo. Il pourrait selon lui, prétendre à mieux mais il n’a pas assez de temps pour se consacrer à la préparation de la ceinture noire. Sans avoir une musculature imposante, je dois avouer qu’il a une plastique qui fait que beaucoup de femmes se retournent sur lui quand il est sur la plage ou à la piscine.
De mon côté, j’ai ce qu’il faut aux bons endroits : une poitrine 85 B en forme de chapeau chinois aux tétons légèrement proéminents, des jolies petites fesses rondes et une taille cambrée qui attirent les hommes ! C’est plus d’une fois qu’en club, mes partenaires ont souhaité me prendre en levrette pour admirer « mon pti cul » comme ils disent… De longs cheveux bruns coulent sur mes épaules et j’ai un visage ovale avec de grands yeux bleus et une bouche pulpeuse.
Notre penchant pour le libertinage nous a conduits à fréquenter une fois par mois un club situé dans le centre de Paris où nous rencontrons d’autres adeptes de ce mode de vie. Le pacte conclu entre nous est clair : en club, nous faisons l’un et l’autre ce qui nous plait mais pas question d’écarts en dehors.
Personnellement jusqu’à présent et malgré les sollicitations d’un collègue du boulot, je m’y suis tenue. Alain, amant fougueux et endurant, me laisse épuisée chaque nuit après nos joutes amoureuses. Il doit s’y tenir aussi.
Au cours de cette année de vie commune, nous avons acquis un certain nombre de gadgets érotiques principalement destinés à la satisfaction féminine. Par contre, je suis désormais totalement nue, ma toison pubienne a été traitée au laser lors d’un séjour à Marbella. Ainsi, je n’ai plus à me raser toutes les semaines comme je le faisais depuis quelques mois. Alain a lui aussi les couilles et le pubis rasés car l’institut où j’ai été traitée n’a pas accepté de lui faire la même chose.
Souvent, lorsque je sors pour diverses raisons, je porte dans ma chatte ou dans mon petit trou un œuf vibrant dont j’ai la télécommande dans la poche. Je peux tout à loisir enclencher discrètement le système et me procurer des sensations à l’insu de ceux qui m’entourent. Je ne suis pas encore allée travailler ainsi mais parfois, j’introduis dans mon cul un petit Plug en silicone souple que je garde du matin au soir. C’est plus discret et je ne risque pas de mettre en œuvre accidentellement les vibrations.
Tout cela nous donne à Alain et moi, un plaisir cérébral qui lorsque nous nous retrouvons à la maison, ne manque pas de nous emporter dans des étreintes ardentes et folles. Pour bien ouvrir la voie arrière lorsque j’arrive vers 18 heures, j’introduis des Plugs de plus en plus gros qu’Alain m’enlève au moment où nous nous mettons au lit. Il aime beaucoup me prendre par derrière, passant de mon vagin à mon « pti trou » pour gicler bien au fond !
La dernière fantaisie du genre, je l’ai réalisée la semaine passée sans rien dire à mon compagnon qui est absent pour raisons professionnelles pendant dix jours. Il aura la surprise à son retour.
Discrètement et à son insu, j’ai prospecté sur la toile différents lieux où l’hygiène était assurée car cela était important. Alors que je ne suis pas une adepte du piercing (je n’en n’ai qu’un à la narine gauche où j’ai fait poser un clou très discret avec une tête en diamant), je me suis fais percer les grandes lèvres vaginales dés le lendemain du départ de mon compagnon...
L’absence d’Alain était une opportunité à saisir pour faire ce que je souhaitais. J’étais insensibilisée localement pour le percement et la pose d’un dispositif provisoire pendant la cicatrisation. Lorsque l’effet s’est dissipé, j’ai eu très mal mais après quelques jours, la douleur a disparu.
Au retour d’Alain, j’aurai les cavaliers en or qui doivent venir orner mes lèvres intimes. Ainsi il découvrira ces bijoux intimes quand il va rentrer de son voyage.
Cela ne rate jamais lorsqu’il a été absent même une seule nuit, dés qu’il est à la maison, les premiers baisers échangés nous conduisent droit dans notre chambre pour une séance de baise rapide. Je l’attends d’un moment à l’autre… Il va avoir la surprise !
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J'adorerais que ma femme me fasse pareille surprise