Titre de l'histoire érotique : Renconre 24 - histoire érotique

J'ai eu la vision des ramasseuses de balles et j'ai été interloqué.
Tu veux dire qu'on va aller la bas comme elles?
Ben oui, Il est temps que tu te comportes en jeune fille, même extérieurement. Et avec vos petits seins tous les deux iront très bien avec la tenue.
Il avait à peine fini de dire ça que la sonnette à retentie. Gerard est allé voir et revenu avec Alain et José. Je les connaissais mais différemment. José par son gros sexe et Alain avec sa bouche. José a salué Eric d'une poignée de main et m'a détaillé de son regard de mec qui mate une femelle. Il avait un jean cuir moulant qui cachait tout, en laissant tout deviner. Alain lui portait une pantalon assez large et une chemisette tendue sur ses seins plus imposants que les miens.
Tu as les tenues?
Oui dans la chambre. Tu veux les voir se changer?
Ouaips! Je me rappelle de Frederic ,une belle rondelle je suis sur que t'as du l'élargir depuis.
Eric a ri.
Pas autant que la fois ou il en a pris deux.
Ce soir j'ai réservé le petit salon mais elles devront traverser la boîte et y aura des potes, t'inquiètes pas. Tous sains mais tous les baiserons avec des capotes.
Eric m'a regardé.
Tu vas te changer avec Alain, on arrive.J'ai pris Alain par la la main et sur le lit Gerard avait posé des baskets, des petites socquettes un tee shirt et une jupe flottante courte, très courte. Je le suis retourné sur Eric mais il a souri.
Déshabilles toi Alain et toi Fraderic passe dèja tes socquettes. Non ne t'assois pas, penche toi en montrant tes fesses.
J'ai obéi, évitant de penser à la vue que j'offrais. Alain lui virait ses pompes et son pantalon, nu dessous, aussi lisse que moi et enlevait sa chemise. Ses seins étaient magnifiques et tranquillement il s'est penché montrant sa chatte de mec sans état d'âme.
Elles sont bandantes non?
Plutôt oui. Le jour ou t'en veux plus je peux trouver un mac pour elle.
Bah elle va me servir en bonne et brave fille. Aller continuez à vous habiller. Mettez vos baskets de suite vous n'aurez rien à enfiler.
J'ai rougi, J'allais avoir les fesses à l'air , à peine cachées par la jupette. J'ai enfilé les baskets je sentais que je bavais sans me contrôler.
Bien le tee shirt maintenant. Ils sont ajustés pour mettre vos seins en valeur, et finissez par la jupe qui s'accroche par le coté.
J'ai regardé Alain il était rouge ausi mais moins que moi. J'ai vu qu'il me détaillait avec le sourire.
Bon on y va les lopettes. Je ne sais pas à quelle heure je les ramène.
T'inquiètes pas , sonne, Gerard viendra vous ouvrir . Il a le sommeil léger.
Aalain est sorti en premier je l'ai suivi , José derrière moi me pelotant déjà les fesses. Sa voiture était pas très loin on a croisé que deux mecs qui ont ricanés. José nous a fait monter derrière.
J'ai un détour à faire pour passer chercher un pote, vous attendrez dans la voiture.
J'ai pris la main d'Alain et l'ai serré très fort. Il a souri.
T'inquiètes pas ce ne sont que des hommes.
Il s'est arrêté et après un coup de portable un mec est arrivé. La petite trentaine bien conservé, a serré la main de José avant de nous mater.
Jolies filles!
Il a soulevé nos jupettes.
Jolis clitos épilés ça va être bon.
José était reparti et s'est garé entre Beaubourg et Les Halles. J'avais vu en passant l'enseigne du "zouk" pas très loin.
Aller les salopes descendez, il y a un peu d'air pour rafraichir vos fesses avant qu'elles servent.
On a croisé 3 antillais rigolards. Le temps que la porte s'ouvre le mec que je ne connaissais pas me pelotais les fesses, tranquille, jupe releée, à l'air ce qui fait que quand je suis entré et que j'ai commencé à descendre les escaliers, la honte et l'excitation m'avait mise dans un état que seules les filles apprécient pour ce que c'est. En bas il y a vait une petite foule dansant les uns contre les autres, se frottant à qui mieux mieux. Une vieille m'a mis la main sur la queue mais José l'a repoussée, nous guidant vers une porte à l'écart.
Les filles on s'est mis d'accord avec Eric , on vous laisse un demie heure entre vous et aprés on entre en jeu. La porte sera fermée mais vous serez filmées pour Eric . Nous on va au bar.
Ils nous ont laissés et de suite je me suis collée à Alain, je n'en pouvais plus et après une petite pipe pour le chauffer je l'ai basculé sur le dossier d'un fauteuil pour lécher son anus, le faisant gémir comme ça m'arrivait. J'aimais cette caresse la. J'ai bien salivé son trou, le tenant par les couilles avant de le pénétrer. Il avait un anus parfait, s'ouvrant facilement et j'ai pu ramoner à mon aise ses fesses. Hélas pour moi, l'anneau retenait mon jus, m'excitant de plus en plus et donnant des coups furieux pour aller le plus loin dans ce cul offert. Rien ne sortait à mon grand désespoir. Il a changé de position et cette fois a remarque mon anneau.
La vache c'est un coup à Eric ça! Baise moi comme la dernière des chiennes, claque mes fesses tu penseras plus à l'anneau et ça va partir d'un coup.
Il a lui même tenu mon sexe pour se pénétrer avec, s'asseyant sur moi dos tourné et me tripotant les couilles. Rien n'y faisait et je lui claqué les fesses de plus en plus fort. Lui, remontait sur ma queue pour se laissser tomber dessus, nous arrachant des cris mutuels et cette fois je n'ai rien senti arriver mais j'ai jouis comme jamais, secoué de spasmes qui chaque fois laissaient passer du jus. Il s'était retiré mais je giclais encore et la bouche ouverte devant ma queue il buvait ce qu'il pouvait attraper. J'étais limite dans les vaps de plaisir et on s'est roulé des pelles en mélant mon jus à nos salives. Ils sont entrés à ce moment.
Oh les lopettes on se calme! Et on change d'objet à câliner.
José avait sorti son engin que j'avais déjà pris bouche et fesse.
Suce comme j'aime et Alain fera de même avec mon pote.
Le pote en question avait la queue recourbée sur son ventre gland circoncis qui remontait jusqu'au nombril et de la même épaisseur que celle de José. J'ai sucé il me poussait la tête pour s'enfoncer dans la bouche me faisant baver dessus. J'avais à peine le temps de reprendre mon souffle qu'il poussait à nouveau sur ma nuque. J'entendais Alain à coté chercher de l'air régulièrement, je suppose comme moi , forcée(si, si) à pomper la queue.