Titre de l'histoire érotique : Réveillon surprise et surprise par le réveillon ! - histoire érotique

Cette année, loin de la famille, nous avons projetés de passer le réveillon de fin d’année en tête à tête, ce qui ne veut pas dire que nous allons nous coucher de bonne heure et sans faire la fête, non, seulement le genre de ‘fête ‘ que nous avons de projeté de faire s’avère torride, repas festif sans être obligé de rester a table, bien arrosé de champagne et vins fins
Pas de frais de toilette, slip et chemise pour Antoine, et pour moi, nuisette transparente, bas, soutient gorge ‘corbeille’ laissant libre les tétons et slip fendu pour ne pas être obligé de l’ôter a la hâte
Je me fais un plaisir immense à l’idée de provoquer mon mari par des positions ou des mots indécents, je lui ferais boire du champagne a même ma source ou bien lui tremperais son sexe dans ma flute a champagne avant de le sucer
Mais voilà ? comme souvent les projets les plus attendus sont contrariés a la dernière minute … c’est exactement ce qui vient de se passer, a une demi-heure du début des ‘festivités’ le téléphone sonne…

- Guillaume ? que fait tu a Toulouse ? tu as ratée ta correspondance ? MERDE ! et alors ? que faisons-nous ce soir ? rien… enfin si, nous allons fêter la nouvelle année avec Nancy… si tu peux te joindre a nous ??? attend …
- Ce n’est pas possible d’être aussi étourdit que ça ! il nous emmerde ton p’tit frère
- Bon, qu’est-ce que je lui dis ?
- Ont ne va pas le laisser a la rue, qu’il vienne mais je te préviens, je ne change rien a nos projets
- Pas même de toilette ?
- Surtout pas !
- Bon, prend un taxi et arrive, mais je te préviens pas de réflexions sur notre façon de faire la fête, tu te plieras a nos désirs ? je ne t’en demande pas autant !
- Chéri quel dommage, moi qui me faisais une joie d’assouvir notre fantasme
- Il doit être fatigué, peut être ira-t-il se coucher de bonne heure, tu tiens vraiment a rester habillée ou plutôt déshabillée ainsi ?
- Bof, je vais passer une nuisette plus opaque, on apercevra à peine mes sous-vêtements
- La naissance de tes fesses aussi ! et à dix neuf ans il a l’œil exercé !
- Si ‘ça’ le travaille trop il n’aura qu’à aller se soulager dans la chambre d’amis
- Ça promet !
- Avoue que tu l’aime bien ton p’tit frère hein ? moi aussi du reste il est adorable…
- Alors je lui demande de se mettre comme moi, en chemise ?
- Bonne idée ça fera moins ‘désordre’ ! et puis il n’ira pas le répéter à la famille
- Je sers un apéro, il ne va pas tarder, la gare matabiau est a dix minutes
- Je suis tout de même gênée
- Trop tard pour faire marche arrière, le voilà
- Tu lui ouvre ?
- Va-y-toi
- Guillaume ! quelle surprise !
- Tu allais te coucher Nancy ?
- Non, c’est ma tenue de soirée, tu y vois un inconvénient ?
- Que nini ! c’est trop top !
- Ne rigole pas trop vite, tu vas faire comme ton frère
- Qu’est-ce-qu’il a mon frère ?
- Salut l’emmerdeur ! hé oui ôte moi ces foutus veste et pantalon, il fait chaud ici
- Pour être chaud, c’est chaud ! elle est bien foutue ma belle sœur
- Déconne pas tu l’as déjà vue en monokini cet été
- C’est vrai, je m’en souviens encore comme si c’était hier…
- Ne fantasme pas trop... tiens, prend ce verre de punch coco et explique nous tes emmerdes de correspondance
- En vérité je suis venu exprès
- Quoi ? tu es gonflé !
- Y’à trop longtemps qu’ont ne s’est pas vus
- Petit enfoiré ! à la tienne !
- A la tienne Nancy, tourne un peu pour voir ? Wwooooouuuuuuh ! mon frère a de la chance de profiter de ce corps de déesse
- Arrête de lui mater le cul, t’as pas de petite copine ?
- Pas d’attitrée, je préfère taper dans la catégorie ‘cougar’
- Genre ta belle sœur ?
- Nancy est limite trop jeune, mais te connaissant tu as dût lui apprendre pas mal de trucs cochons !
- Je te le confirme
- Tu devrais monter le chauffage, ta femme a froid !
- Chiche, tout le monde a poil ?
- Heeeuuuuu… pourquoi pas en slip ?
- Soit patient, je vous ressers un verre ?
- Doucement chéri je vais être pompette
- C’est ainsi que tu fais le mieux l’amour
- Vous aller faire ça devant moi ?
- Bien bourrés peut-être bien…
- Bon, moi je me fous en slip, vous m’accompagnez ?
- Je te suis et toi Nancy ?

Un bref instant rêveuse devant le torse puissant et les abdos de Guillaume, je me dis que malgré son jeune âge il doit être un bon amant, aussi je décide de jouer la provocatrice

- J’ôte ma nuisette ?
- Ça nous va
- Attention aux érections messieurs !....
- Hhhoooooouuuuuuaaaaaaaaa la minette ! c’est mieux qu’en monokini !
- STOP ! on ne touche pas
- C’est de la torture mentale, voir les bouts de seins dressés sur le bonnet et c’est quoi cette drôle de culotte ? c’est les poils qui dépassent au milieu ?
- C’est un string fendu
- Rhabille toi sinon je ne réponds plus de rien
- Que lui ferais-tu ?
- Je la ferais allonger sur la table pour caresser son corps
- Sans toucher aux endroits intimes qui me sont réservés ?
- Ce serait dur mais j’aimerais essayer
- Chérie ?
- Tu prends un sacré risque Antoine
- C’est jour de fête, je remplis les verres encore une fois !
- Tu sais que lorsque tu es ivre tu ne bande plus chéri
- J’ai mon joker …fait plaisir à mon frère, allonge toi sur la table, met ce coussin sous ta tête
- Baisse un peu la lumière j’aurais moins honte
- Ainsi la lumière ?
- Très bien …

Étendue les bras le long du corps, Antoine s’assied dans un fauteuil pour assister au spectacle que nous allons lui donner, Guillaume détaille avidement mes formes de la tête aux pieds avant de poser une main sur mon ventre plat, premier frémissement de plaisir et premier pincement a l’intérieur de mon sexe qui se concrétise par une goutte de mouille et ce n’est certainement pas la dernière…

- J’aime ton grain de peau …
- N’oublie pas frérot pas les nichons ni la chattoune
- Je sais …

Si c’est une torture pour lui c’est un véritable calvaire pour moi, sa paume de main décrit des cercles partants du nombril frôlant la base du soutien-gorge et du string, mes tétons se sont encore allongés, qu’attends-t-il pour empaumer mes seins ? me peloter, me sucer !

- Je peux descendre un peu Nancy ?
- Va-y Guillaume mais ne lui touche pas le bonbon
- Rhhhhhaaaaaaaa dommage….
- Hé oui c’est un terrain privé ! il ne fallait pas venir !
- Tu bande Antoine ?
- Un peu pourquoi ?
- Parce que mon nœud est passé par-dessus l’élastique
- Calme-toi, je t’autorise à caresser ses cuisses aussi, rien que les cuisses !
- Tu as entendu Nancy ? écarte-toi un peu
- D’accord, mais pas plus que ça …
- Tu sens bon
- Tu aime mon parfum ? c’est du Dior
- Je ne parle pas de celui là mais de celui qu’une femme excitée libère
- Soit sérieux Guillaume

Les caresses du bas sont pires mentalement que celles du ventre …
Ses bouts de doigts viennent taquiner les volants de mon string fendu, je suis certaine que des perles de cyprines sont accrochées dans ma toison pubienne, je veux des doigts ! une langue vite ! mais craignant la réaction de son frère il n’ose pas toucher franchement mon sexe pourtant très accessible …imperceptiblement je remonte mes genoux ce qui a pour effet d’ouvrir mon compas a outrance, Antoine ne s’est aperçu de rien, je me demande même s’il a les yeux toujours ouverts, s’il ne se passe rien je vais craquer ,ma main va lentement chercher le poignet de Guillaume et le remonte vers la fente de ma culotte …dans cette fente il y a la mienne surement entrouverte si ce n’est pas béante …

- Nancy ?
- Chhhhuuuut …touche-moi …
- Et Antoine ?
- Il dort, écoute le ronfler paisiblement
- Je n’ose pas …
- J’en prends la responsabilité
- Dans ce cas … mmmmmmmuuuuummmm que c’est dooouuuuux et trempé !
- Penche-toi et lèche-moi l’abricot, approche toi que je puisse me saisir de ta queue… Hooouuuua qu’elle est longue et dure ! hhhoooooooolàlà ! ta langue me fait du bien, bouffe-moi la moule !

Dans ma main sa bite tressaute il est a deux doigts d’éjaculer, ce serait dommage que cette purée bénite finisse sur le carrelage

- Vient sur moi et baise-moi …
- J’en ai très envie mais …
- Enfile-moi ou je réveille ton frère et tout le monde va se coucher
- Attend …

Souple comme un félin il se glisse sur moi j’ai juste eu le temps d’écarter les cuisses, sa queue plaquée sur son ventre entre sans aucunes aides en contact avec ma vulve, sa bouche happe un téton au passage pour le téter, il ne va pas flancher si prés du but ? je le prend sous les bras et le tire du plus fort que je peux vers le haut

- Je t’en supplie prend moi, j’ai la chatte en feu
- T’es chiante comme belle sœur

Il prend appuis sur ses mains et lentement avance son bassin faisant glisser sa verge sur ma motte liquéfiée, une fois … raté … deux fois … encore raté, la troisième est enfin la bonne je me sens emplie de sa chair brulante, ça n’en finit pas, je noue mes chevilles autour de sa taille et finit de m’empaler d’un coup de rein rageur, et là je reste stupéfaite , un liquide brulant envahit ma gaine vaginale, il vient de décharger ! et quelle décharge ! ça imbibe les froufrous de ma culotte et coule entre mes fesses jusqu’a napper la table

- Hé bien Guillaume ? tu viens de jouir déjà ? je reste sur ma faim ?
- Ne soit pas pressée, ça ne fait que commencer, crois moi ta chatte se souviendra de mon passage

D’un coup la table se met à grincer et trembler sur ses pieds, je suis secouée, ballotée en tous sens, en un mot bien baisée ! soudain ce qui devait arriver arriva … un bâillement m’interpelle, je deviens subitement livide

- Que faites-vous ?
- Je baise ta femme comme tu me l’avais proposé hier
- HIER ? qu’est-ce que ça veut dire Antoine ?
- Il a raison, je l’ai fait venir exprès pour pimenter notre réveillon, car je savais que lorsque j’ai bu trois punchs je ne suis bon a rien
- Bandes de vauriens, je me suis faites bien avoir, que suis-je sensée faire ? arrêter ? continuer de me faire farcir le con ?
- Continue à écarter les cuisses, je vais rallumer la lumière afin de profiter du spectacle
- J’ai envie de te prendre en levrette
- Dans ces conditions allons sur le lit, je commence à avoir les reins brisés
- Tu va le chevaucher, de voir ta moule encombrée par la queue de mon frère me fera peut-être bander
- Concentre-toi bien, si tu y arrive je veux une double pénétration, tu va me voir onduler de la croupe sur les couilles de Guillaume

Dans la nuit, lors-qu’Antoine a dessoulé, j’ai été baisée, sodomisée, prise en double par la chatte l’anus et même la bouche, pas un centimètre carré de ma peau et mes cheveux n’ont échappé au foutre