Titre de l'histoire érotique : Samedi soir

- Par l'auteur HDS Le Matou libertin -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Samedi soir Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-10-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Samedi soir
Ce dernier samedi ma copine était absente pour raisons professionnelles pour quelques jours. Elle ne devait pas revenir avant le milieu de la semaine suivante. L'après-midi, j'avais fait une longue randonnée avec un groupe local auquel je me joins de temps à autre.

Après un bref trajet en voiture et de retour à la maison, je n'avais pas envie de rester seul, aussi ai-je pris une longue douche pour me délasser avant d'aller diner dans un restaurant qui m'accueille lorsque, seul, je n'ai pas envie de me mettre devant les fourneaux. Je voulais enchainer par une séance de cinéma à 22 heures pour voir un des films à l'affiche.
Le restaurant était bondé mais le patron est parvenu à m'installer à une table pour quatre convives qui venait de se libérer. Il me devait bien çà ! Je venais de passer ma commande et je dégustais un "Martini on the rocks" en rêvassant un peu quand le maître d'hôtel est venu me demander si j'acceptais qu'il installe à ma table deux jeunes femmes qui venaient d'arriver.
Bien sur, j'acceptais.
Diner seul ?
Non, il valait mieux avoir de la compagnie.
Agées de 25 à 30 ans tout au plus, l'une était blonde avec des cheveux longs alors que l'autre, plus menue, était fort brune avec les cheveux coiffés en chignon. Toutes les deux étaient vêtues très élégamment d'un chemisier en soie sous une veste légère et d'une jupe mi-longue en lainage fin et de chaussures à talon.
J'appréciais, cela changeait des filles en jean et basket que l'on voit trop souvent.

Lorsqu'elles ont passé commande, j'ai dit au serveur que nous dinerions en même temps pour plus de convivialité. Nous avons commencé à bavarder et à faire connaissance. Elles travaillaient dans le même cabinet d'avocats de la ville, l'une comme secrétaire, l'autre était employée à la comptabilité. Nous avons parlé loisirs, spectacles, etc.

Tout en mangeant et en plaisantant je leur ai fait compliment à la fois pour leur tenue et leur joie de vivre :
Basta de la morosité.
Puis nous avons enchaîné sur des propos plus légers de badinage et d'humour. La soirée se déroulait comme dans un rêve si bien que j'ai manqué la séance de cinéma. Ce serait pour une autre fois.

Lorsque nous sommes sortis du restaurant, elles ont voulu appeler un taxi pour rentrer chez elles.
Je leur ai offert de les reconduire mais avant, je voulais les remercier en leur offrant le champagne chez moi (il y en a toujours une bouteille dans le réfrigérateur) : Elles ont accepté sans hésitation !

Chez moi, je les ai installées sur le divan et je suis passé dans la cuisine pour préparer le plateau avec les coupes et la bouteille. En revenant dans la salle de séjour, je les ai surprises à s'embrasser à pleine bouche. Cela ne les a pas dérangées. Elles ont continué à échanger des baisers tantôt dans le cou tantôt sur la bouche en frôlant leurs seins par dessus le tissu du chemisier.

Ces deux belles filles seraient-elles des adeptes de l'amour saphique ? Si cela continuait, j'allais avoir le spectacle d'une belle partie entre femmes. J'ai ouvert la bouteille et nous avons trinqué à notre rencontre :
• Non ! A l'amour !

Elles ont continué leur flirt de plus en plus poussé. Les chemisiers ouverts ont laissé apparaitre le soutien gorge en dentelle blanche et bientôt les seins sont sortis des bonnets. Alternativement elles léchaient les tétons pour le faire saillir. Puis elles ont ôté les vêtements du haut, ne conservant que la jupe, les bas tenus par un serre-taille (je l’ai vu plus tard) et les chaussures. Sandra, la blonde avait une belle poitrine ferme avec des seins pyriformes alors que la brune Virginie arborait des seins plutôt menus en forme de dôme.

Cette dernière s’est agenouillée devant sa complice, a relevé la jupe et découvert les cuisses fuselées à la chair nacrée au dessus de la lisière des bas et la fourche. La chatte était masquée par un mini string en dentelle blanche qui laissait entrevoir les lèvres sexuelles et l’absence de toison pubienne. Plongeant la tête entre les cuisses offertes, elle a fait glisser le string et entrepris un cunnilingus appliqué. Sandra, la tête rejetée en arrière savourait cette caresse en massant doucement ses seins. Puis d’une main, elle a relevé la jupe de Virginie, découvrant progressivement le haut des cuisses et les fesses barrées par le cordon blanc du string.

J’appréciais le spectacle que ces deux coquines m’offraient et ma bite commençait à se dresser dans mon boxer au point qu’elle était gênée dans son développement par la ceinture de mon pantalon. Soudain Virginie s’est relevée :
• Dis nous où est la chambre. Nous y serons mieux pour finir et tu pourras nous baiser ensuite.

Encore vêtues de leur jupe et chaussées de leurs escarpins, je les ai guidées vers la chambre où le grand lit les a accueillies. Elles se sont débarrassée de leurs derniers vêtements et chaussures et ont pris la position du 69 en travers du lit. Je jouais les voyeurs, simplement vêtu de mon boxer sur lequel je faisais aller doucement ma main pour caresser ma bite. J’avais en face de moi le visage de Sandra qui léchait la chatte de Virginie. Au delà de la tête, je voyais le dos avec la chute de reins et des fesses rebondies.

Dans la psyché je voyais la chatte charnue de Sandra et Virginie qui, deux doigts fichés dans l’anneau plissé, lapait la cyprine qui s’en écoulait. Un beau spectacle lesbien. La jouissance les a emportées presque en même temps. Pour récupérer, elles se sont allongées sur le dos, cuisses entrouvertes. Virginie dit alors :
• Viens nous rejoindre, tu as été assez patient !

Je l’ai enjambée et je me suis allongé entre elles, la bite dressée comme un I. Elles se sont relevées et d’un seul mouvement elles ont commencé une fellation en duo. Quand l’une me suçait, l’autre me caressait les couilles ou me léchait la hampe s’il lui restait de la place et inversement, comme dans un ballet bien réglé.

Elles savaient y faire et j’avais de plus en plus de mal à retenir ma jouissance que je sentais prête à éclater. Elles ont du le deviner car Sandra, après m’avoir couvert avec un préservatif pris sur la table de chevet, est venue s’empaler sur mon sceptre qui n’en pouvait plus d’attendre. Elle est restée ainsi de longues minutes, sans bouger. J’étais dans une gaine chaude et humide qui massait doucement le gland et le bout de la bite. Virginie est venue s’agenouiller au dessus de mon visage pour me présenter sa chatte et son œillet plissé. En relevant un peu la tête, je pouvais lécher sa vulve toute mouillée de cyprine et aller titiller sa rondelle du bout de la langue.

Sandra et Virginie se faisait face et continuaient à se caresser la poitrine ou à s’embrasser. Par des mouvements du bassin, je baisais Sandra qui gémissait doucement à chaque fois que j’arrivais au fond de sa chatte. De temps à autre, c’est elle qui faisait les mouvements alternatifs. Je sentais que j’étais prêt d’éjaculer quand elle m’a fait sortir de sa chatte. Elle a pris mon sexe d’une main et elle l’a placé sur sa rondelle plissée qui s’est ouverte. J’entrais aussi facilement dans son cul que dans sa chatte.

Elle se sodomisait elle-même, faisant des allers-retours de plus en plus amples. C’est alors que je suis allé chercher sous le traversin un des jouets de ma copine, un gode de taille moyenne au relief bien dessiné. Après l’avoir enduit de la cyprine de Virginie, je l’ai présenté devant son œillet. Dès qu’elle a senti le contact, elle a pesé sur le gland factice qui s’est introduit profondément dans son cul. Je sodomisais en même temps les deux belles coquines qui je le devinais étaient totalement bisexuelles.

Je manipulais le gode et Sandra s’agitait sur ma bite quand la jouissance nous a emportée tous les trois pratiquement en même temps. Waaouuuuhhhh ! Que c’était bon.

A 60 ans, je venais de baiser deux jeunettes. Soudain le téléphone a sonné. C’était ma copine qui m’appelait d’Italie. J’étais un peu essoufflé et elle me demanda ce qui m’arrivait. Selon notre habitude, je lui racontai la fin de ma soirée et comment au moment où elle me téléphonait, j’étais en bonne compagnie dans notre lit. Elle me dit alors :
• Oh ! Le coquin, j’espère que tu ne vas pas en rester là !

J’avais mis le haut parleur ce qui fait que Sandra et Virginie n’ont rien perdu de la conversation. Juste avant de raccrocher, Sandra et Virginie se sont tournées vers moi en disant à haute voix pour que ma copine entende :
• Oh non, on ne va pas en rester là !

Elles se sont à nouveau partagé ma bite dans une fellation en duo pour la nettoyer mais aussi pour faire renaitre ma bandaison : Elles en voulaient encore. Virginie m’a soudain demandé :
• Puisque ta copine semble avoir plein de jouets, y a-t-il un gode ceinture parmi ses trésors ?

Bien sûr qu’il y en avait un qui servait de temps à autre quand elle ramenait une autre fille à la maison. Je suis allé le chercher dans le tiroir aux secrets et je me demandais laquelle des deux allait s’harnacher. Sandra me l’a pris des mains en disant :
• Virginie a envie d’une double pénétration mais elle ne l’a jamais pratiquée qu’avec des godes !

Dès qu’elle a été équipée, elle est revenue sur le lit où elle s’est allongée sur le dos, le sexe factice dressé vers le plafond. Ne sachant pas quel orifice elle voulait pénétrer, j’ai enduit le gode de gel lubrifiant. Elle a fait placer Virginie en amazone face à elle pour qu’elle s’enfile la queue factice dans la chatte. Il me restait l’antre secret que j’avais déjà honoré quelques temps avant avec un gode bien enduit de gel… Il devait en rester !
Là c’était ma bite qui allait y entrer !
Virginie s’est allongée sur la poitrine de Sandra et elle me présentait son cul dont elle écartait les fesses de ses mains : Je voyais son œillet palpiter : crainte ou envie ?

J’ai resserré leurs cuisses et j’ai mis un genou de part et d’autre et je me suis couvert. Dans une position à demi allongé, j’ai présenté mon gland face à son orifice et d’une lente poussée, je suis entré jusqu’au fond.
J’avais pu découvrir tout à l’heure qu’elle était assez ouverte et je n’ai pas été étonné de la facilité de pénétration. Elle avait du introduire souvent des sexes artificiels dans cet orifice…

J’ai accordé mes mouvements avec ceux de Sandra. Nous avons limé Virginie jusqu’à ce qu’elle jouisse de cette double pénétration. Je me suis lâché à mon tour, déversant plusieurs jets abondants au fond du préservatif. Je suis sorti de Virginie la bite encore à moitié bandée. Sandra l’a désarçonnée et a enlevé rapidement le gode ceinture en me disant :
• Viens, finis-moi !

Elle était tellement humide d’excitation que je suis entré dans sa chatte où après quelques mouvements, elle a joui à son tour. Le reste de la nuit a été beaucoup plus calme. Nous nous sommes endormis tous les trois, bras et jambes mêlés pour nous réveiller vers 10 heures. Après un petit déjeuner en tenue légère, string et soutif pour les filles et boxer pour moi, elles ont pris ensemble une douche rapide avant de me quitter.

En fait elles habitaient à moins de cinq minutes à pied de la maison dans un immeuble neuf où elles avaient chacune un appartement.

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