Titre de l'histoire érotique : Transports en TGV .... l'aller... 1/2 - histoire érotique

Lundi soir, il est vingt-deux heures, assise sur mon siège dans le TGV quasiment vide, Je suis encore ‘remuée’ et ‘secouée’ pour différentes raisons, je viens de laisser mon mari sur le quai de la gare pour repartir à la maison, Georges est réceptionniste dans un grand hôtel pour l’été, nous nous voyons seulement quelques heures dans le weekend, la semaine prochaine c’est lui qui viendra
Mais prenons les choses dans l’ordre, lorsque Georges m’a accompagnée à la gare il s’est stationné dans un parking a étages, en bon gentleman il a fait le tour de la voiture pour m’ouvrir la portière, du moins c’est ce que je pensais …
- Adosse-toi sur la voiture Aline chérie...
- Mais ? que fais-tu ?
- Eh bien je relève ta jupe, j’écarte ta petite culotte car je vais t’embrocher une dernière fois avant ton départ !
- Mais ça va couler partout ensuite !
- Tu n’auras qu’à bien éponger ! relève une jambe … hhhhaaaaaaaaaaaaaaaaooooooooouuuuuuiii , t’es bonne ma cochonne !
- Oooooouuuuuuuuuuiiiiiiiiiiii !!!!baise-moi fort mon amour, je veux ressentir ta pénétration durant tout le trajet
- Tu vas être servie
Il m’a sautée à la hussarde comme une vulgaire pouffe, j’aime cette façon de faire quelquefois, lorsqu’il s’est retiré son sperme coulait à gros paquets sur le béton,
- Donne-moi vite un mouchoir, je vais faire pipi et m’essuyer la chatte
- Ça fait du bien avoue ?
- Bien sûr ! surtout que je vais devoir attendre cinq jours !
- Dépêche-toi ça va être l’heure
Accroupie, le slip tiré sur le côté un torrent d’urine chuintant mêlé de foutre courrait sur le sol, j’ai remis ma petite culotte humide sur ma vulve et nous nous somment rendus sur le quai, dernière embrassade et je monte dans ce wagon où je suis la seule voyageuse
- Attend chérie !
- Quoi ?
- Donne-moi ta culotte
- Hein ?
- Donne-moi vite ta culotte je vais me masturber dans la voiture en pensant à ta moule !
- T’es fou ? je vais être cul nu ?
- Et alors ? ce n’est pas le contrôleur qui va vérifier ! une dernière chose, touche toi la chatte dans dix minutes en même temps que je me caresserais la bite, je vais décharger dans ta petite culotte toute la semaine tu la remettras à notre prochain rendez-vous, je te l’arracherais avec les dents ! !
- Vicieux, elle sentira le faisandé !
Je ne me serais jamais crue capable de retirer mon string dans l’entrée du wagon ! l’air frais me procure une sensation aussi bizarre qu’agréable, un coup de sifflet retentit et le monstre d’acier commence à rouler, un baiser du bout des lèvres et je vais m’assoir pensive la chatte encore secouée de contractions, heureusement que je suis seule dans ce carré de quatre places en vis-à-vis sinon j’aurais dût faire gaffe à ne pas laisser mes genoux s’ouvrir par inadvertance, ma jupe courte et très évasée découvre assez largement mes cuisses, mes quarante ans font de moi ‘une femme très attirante’ comme dit georges
C’est parti pour deux heures de route … le lundi soir contrairement a la ruée humaine du weekend le tgv est vide, bien calée contre la fenêtre je commence à passer une main sous ma jupe, j’atteins mes lèvres poisseuses lorsque des rires quasi enfantins fusent à l’autre bout de la voiture… aussitôt une voix d’homme calme le groupe
- Vos billets s’il vous plait, merci... sachez jeunes hommes que le train n’est pas une cour de récréation et puis vous n’êtes pas à votre place
- Mais m’sieur le train est vide ?
- Le règlement c’est le règlement vous devez être assis à la place qu’indique le billet c'est-à-dire 67, 68,69 près de la dame du fond, aller ouste !
- Haaa quelle poisse !
- Venez les gars ne faisons pas d’histoire
- J’veux la place 69 !
Je vois arriver trois jeunes de 18/20 ans, en shorts, tongs, chemisettes ouvertes sur des torses plus ou moins robuste et pileux qui me disent poliment bonjour, je réponds en rectifiant ma position, raté pour la masturbation clitoridienne !
J’ai de la chance j’ai récupéré le plus beau d’entre eux à mon côté ! après quelques minutes la lumière intérieure diminue, en rase campagne seule la lune indiscrète éclaire mes cuisses et celles de jeune assis face à moi, ce jeune loup a le regard rivé sur les miennes, j’ai pourtant envie de m’assoupir, de nouveau se pose la question de mes genoux qui vont certainement se relâcher, et mon minou n’est pas protégé …
Avant de rejoindre Morphée j’envoie un SMS à Georges pour lui expliquer ma déconvenue sur ma promesse de me toucher et l’arrivée inopportune de mes trois jeunes voisins, auquel il répond simplement ‘ Tu devrais en profiter …’
Quel blagueur ! j’ai retirées mes chaussures et me cale de façon à me relaxer quand soudain mon voisin dans les vape se tourne vers moi et pose sa tête sur mon épaule, il me prend pour sa maman ou sa petite copine ? j’ai posé ma main entre nous deux pour faire barrière, la sienne se glisse sous ma paume il parvient a entremêler ses doigts avec les miens comme le ferait deux amoureux et ce n’est pas tout, son autre main est atterrie ‘négligemment’ sur ma cuisse, je ne pense pas que ce soit prémédité, finalement je trouve ça adorable !
Le souffle régulier qui caresse mon cou pourrais faire croire que le jeune homme dort, il suffirait que je tourne la tête pour joindre nos lèvres …de temps à autre ses doigts se crispent entre les miens et sur la chair de ma cuisse, j’ai beau être plus âgée et lucide je ne peux empêcher ma chatte de réagir …mais … je reve ? je remarque vaguement le poignet du jeune face à moi, théoriquement au bout d’un poignet normalement il y a une main ? alors ce serait … sa verge ? mon dieu quel morceau ! à présent je perçois nettement sa main faire coulisser la peau sur le manche
Je ne contrôle plus les eaux qui suintent de mon vagin, et cette main qui imperceptiblement remonte vers ma fourche, je décide de refermer les genoux mais un pied nu venu d’en face le force vers l’extérieur, je comprends alors que les deux sont complices … aucun d’eux ne dort, ‘profite-en’ a dit mon mari ?
Advienne que pourra, nous somment seuls dans cette voiture, je ne reste plus à la pression exercée sur mon genou pour me faire ouvrir les cuisses, et cette lune toujours aussi indiscrète luit entre ma fourche, une exclamation étouffée me fais comprendre qu’il vient de découvrir ma chatte nue, un raclement de gorge et la main de mon voisin atteint son but, c’est-à-dire mes lèvres poisseuses, le pied nu en profite pour caresser l’intérieur de ma cuisse, au lieu de repousser les jeunes téméraires je me surprend à m’avancer sur mon siège, ma jupe reste coincée sur le siège, mon bas ventre est carrément offert , des doigts et des orteils se partagent les lieux, le troisième larron jusque-là spectateur vient dépatter mon corsage pour masser ma poitrine extraite du soutient gorge gonflée par le désir
- Allongez-vous madame…
- N’ayez crainte nous surveillons les portes
- Soyez sympas madame, nous somment des jeunes impatients et curieux de découvrir la vie, vous ne portez jamais de petite culotte ?
- Ce serait trop long à vous expliquer, pousse toi afin que je m’étende sur les sièges, contentez-vous vous mes petits
- Hooouuuua regardez la écarter les cuisses ! je bande comme un âne, j’y vais le premier ?
- Dépêche-toi, chacun notre tour
- Vous sucez ?
- Approche
- Vous avalez ?
- Bien sûr, vous pouvez aussi décharger dans ma chatte, surtout surveillez bien le couloir
- Y’a pas de problème, c’est bon Léo ?
- Une chatte de velours, on dirait qu’elle a baisé y’a pas longtemps c’est tout mouillé
- Exact, par mon mari
- Merde je vais déjà juter dans sa craquette
- A moi ! a moi !
- Chhhuuuuuuuuuutttt ! moins fort les garçons, prend vite la place de ton copain
- Ce coup-là ça glisse vraiment ! je ne sens pas grand-chose … je peux dans l’autre trou ?
- Ta verge est assez fine va-y
C’est ainsi que je fût baisée et sodomisée par trois garnements durant plus d’une heure, après avoir fait une toilette sommaire dans les WC et avant que le train n’entre en gare j’ai tout raconté au téléphone à mon Georges qui est resté abasourdit devant mon audace, il a simplement regretté de ne pas avoir assisté….